L'avilissement d'Aurore - Partie 01

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Début du chantage lors d'une mission en Afrique.
3.4k mots
4.28
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7
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/19/2020
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Chapitre 1

Un passage mouvementé à la douane béninoise

Aujourd'hui âgée de vingt-deux ans, Aurore trépigne d'impatience : dans le cadre d'un échange entre institutions publiques, elle va exaucer son rêve : découvrir l'Afrique, via le Bénin, pays partenaire du Conseil régional pour lequel elle travaille comme employée au sein du Service « Culture et Coopération internationale ».

Elle fait partie de la délégation française, composée de quatre personnes dûment accréditées : le Président de la collectivité locale, ses deux Vice-Présidents et elle-même, en tant que représentante de l'Administration générale. Elle sera la seule femme...

- Un monde d'hommes, se dit-elle.

Le séjour doit durer une dizaine de jours. Le Secrétariat s'est occupé de toutes les réservations. En raison du manque de sièges libres disponibles au niveau des vols, il a été convenu que l'intéressée partirait avec le patron de l'assemblée politique quelques jours avant le reste de la représentation. Du moins, c'est la version officielle. En réalité, le dirigeant, qui phantasme depuis plusieurs mois sur la jeune mariée, s'est arrangé pour partir anticipativement avec la fille de ses rêves! Il a mis au point un plan machiavélique pour la faire tomber sous sa coupe absolue.

Après un voyage tranquille en avion, les deux intéressés atterrissent à Cotonou. L'aéroport international, même si celui-ci est situé dans la capitale du pays, ressemble plus à un entrepôt délabré. Ayant récupéré leurs bagages, Aurore et l'élu, un dénommé Daniel Guérin, portent ceux-ci à l'intérieur du bâtiment. Ils passent devant une petite salle d'attente où quelques compagnons de voyage -tous des autochtones rentrant à la maison- sont assis avec leurs malles. En s'approchant du comptoir marqué "Visiteurs", elle se rend compte qu'ils sont les seuls Occidentaux présents. Derrière le comptoir se tient un agent des douanes, un homme noir, grand et mince, vêtu d'une chemise blanche avec des épaulettes et un pantalon bleu uni. Il a l'air de se sentir important lorsqu'il examine les passeports en les feuilletant attentivement. Lorsqu'il a fini, il place les documents hors de portée et regarde lentement les deux blancs de haut en bas, surtout l'auxiliaire.

Elle est jolie, vraiment désirable. Blonde, les yeux bleus, de belle taille (1m68), elle porte une veste ouverte sur un t-shirt coloré, sous lequel on peut clairement discerner sa poitrine pleine. Un pantalon de voyage et des chaussures robustes de randonnée contrastent avec sa peau lisse, accentuant plutôt que diminuant sa féminité. Un mâle peut facilement désirer d'une telle dame, se dit le fonctionnaire. Mais il est mû par des raisons plus sombres, et surtout, des ordres stricts.

- Les sacs sur la table, aboie-t-il, en indiquant une longue desserte basse à sa gauche. Comme demandé, les deux visiteurs posent leurs valises. Ils ont apporté des vêtements de rechange et quelques présents à remettre aux officiels béninois. Ils sont sûrs de pouvoir passer facilement la douane. C'est du moins ce qu'ils pensent.

Le contrôleur se déplace avec un air zélé, ouvrant le sac d'Aurore en regardant à l'intérieur. Il bouge quelques objets. Trois soldats à l'air peu recommandable sont appuyés contre un mur, non loin, et observe chaque mouvement du policier des frontières. Alors que ce dernier fouille la valise de la préposée, ses yeux sont fixés vers ceux de la donzelle, observant sa réaction. Il semble vouloir l'intimider et, effectivement, elle baisse le regard. L'homme a manifestement un certain besoin de dominer cette femme, peut-être par sentiment d'infériorité. Il commence à retirer les vêtements de la préposée, les tenant en l'air afin de bien les montrer avant de les poser sur le bureau. Quatre chemisiers, cinq débardeurs, deux pantalons, dix paires de chaussettes, deux mini-jupes, deux robes habillées, trois shorts, six soutien-gorge, dix strings, quatre paires de chaussures et enfin deux bikinis. Elle essaie, plus ou moins, de rester impassible pendant qu'il montre ses dessous, mais à l'intérieur, devient de plus en plus stressée. Et rouge comme une tomate à l'extérieur!

L'agent sourit maintenant largement alors qu'il étale délicatement l'un des tangas sur le meuble, le tenant par l'entrejambe entre ses doigts. Il examine chaque article, y compris le nécessaire de toilette : il s'arrête sur un petit flacon pulvérisateur de déodorant féminin, l'examinant avec une prudence factice comme s'il s'agissait d'explosifs. Lorsqu'il a complètement vidé le bagage, il le retourne, le secoue une dernière fois, le place sur la table avant d'inviter la subalterne à le récupérer. Les joues de celle-ci continuent à rosir, de manière incontrôlée.

Elle referme la malle en adressant au douanier un air suppliant non dissimulé. Si les fonctionnaires et les soldats béninois traitent les étrangers blancs avec un certain degré de déférence, il est essentiel que les voyageurs montrent qu'ils comprennent le pouvoir exercé et, surtout, qu'ils le respectent. Et même si c'est le cas ici, la tentative échoue lamentablement. En raison d'instructions précises. Un sourire se répand sur le visage du contrôleur alors qu'il semble prendre une décision importante.

Se tournant vers les troufions qui s'appuient contre le mur, il prononce une petite phrase à leur attention : « Il faut chercher! ». Trois larges rictus illuminent le visage des militaires. Ils se détachent du mur et avancent vers l'assistante. Le Président du Conseil régional tente de s'interposer, d'un air scandalisé, parlant d'une délégation officielle et non de tourisme, mais il est emmené par un bidasse dans une pièce adjacente, ornée d'une vitre sans tain permettant de voir tout ce qui se passe sans être vu.

Un officiel, vêtu d'un costume des plus luxueux, l'y attend déjà. Et Guérin le salue chaleureusement :

- Désiré, mon ami!

- Comment va mon frère Daniel? Ne t'avais-je pas dit que tout serait mis en place pour ton plus grand plaisir! Et tu avais raison, c'est un sacré beau petit lot : tu ne vas pas t'embêter!

- Depuis le temps que j'en rêve!

- Lorsque tu m'as téléphoné pour m'expliquer que tu arrivais bientôt avec l'une de tes employées avec laquelle tu rêvais de faire plus ample connaissance, mais qu'elle se refuserait certainement à toi, je t'ai informé qu'au Bénin, l'impossible devenait possible. Ici, les femmes savent où est leur place : au lit! Mais regarde la suite!

Derrière le carreau teinté, ils observent le déroulement d'une scène surréaliste. Après avoir attendu le retour des fantassins, l'agent des douanes s'est adressé directement à la fille : - Nous allons procéder à une fouille aléatoire, Madame, comme nous en avons le droit légal. Vous ne serez pas blessée. Si vous résistez de quelque manière que ce soit, vous serez en violation des lois de notre pays et vous perdrez toute protection internationale. Vous serez alors instantanément arrêtée, examinée de force et jetée dans l'une de nos prisons, dont les commodités, je suis au regret de vous le dire, ne sont pas très bien notées dans les guides humanitaires".

L'ingénue, bouche bée, se retrouve donc seule avec quatre hommes à l'air maléfique. Elle prend quelques grandes respirations pour se calmer et examine son environnement. Elle est dans une salle au plafond élevé et aux murs en parpaings.

Une rangée de fines fenêtres près de la voûte sert de puits de lumière, mais elles sont trop hautes pour que l'on puisse voir à l'extérieur. La « pièce » est vide, à l'exception de deux fauteuils défraîchis et des tables utilisées par le douanier dans le cadre de sa fonction de contrôle des bagages. Les sièges sont anciens et décrépis, leur dessus rembourré brun est très usé et déchiré par endroits. On dirait qu'ils ont été arrachés dans le salon d'un hôtel fermé depuis des années. Le sol est en béton a l'air sale et moisi, surtout autour d'un égout situé au centre de la pièce. Ce n'est pas du tout un endroit agréable, pense-t-elle, en remarquant également un large miroir réfléchissant situé dans le mur situé derrière elle. Un frisson la traverse.

Les trois militaires se sont disposés en demi-cercle face à elle, avec le contrôleur occupant le centre. Elle peut voir dans chaque paire d'yeux un regard troublant d'excitation, quasi de prédation. La situation semble tout à fait inappropriée dans cet endroit miteux.

Se raclant la gorge pour couvrir son excitation nerveuse, le douanier s'adresse à nouveau à l'adjointe : - Nous allons maintenant procéder à la fouille --ce qui est autorisé dans la plupart des pays et qui est en parfaite conformité avec le droit international- de vos vêtements. Vous vous souviendrez des instructions que je vais vous donner et vous ferez exactement ce que je vous dis et ne répondrez pas. Vous parlerez uniquement lorsque je vous pose une question. Comprenez-vous, Mademoiselle?

Bien qu'elle tremble intérieurement de peur, l'employée d'administration sait qu'elle doit essayer de rester concentrée et maîtriser ses émotions. Avec le plus grand calme possible, elle regarde l'agent et dit, d'une voix juste au-dessus d'un murmure :

- Oui, je comprends.

- Très bien, dit le fonctionnaire. - Maintenant, écoutez bien. Quand je vous le dirai, vous vous déshabillerez. Vous enlèverez chaque vêtement, me le remettrez et attendrez que je l'inspecte. Quand vous verrez que j'ai terminé, vous me donnerez un autre article.

Est-ce bien clair? Dernière chose : nous n'avons pas d'agent féminin disponible. La fouille sera donc effectuée uniquement en présence d'hommes. Cela vous dérange-t-il?

Dans un silence de mort, Aurore répond doucement : - Non.

- Très bien, à présent présentez-moi la veste!

Elle enlève sa vareuse et la tend au préposé qui attend celle-ci. Il la prend et commence à ouvrir les multiples poches, en retirant les objets qu'elles contiennent : des lunettes de soleil, un paquet de lingettes humides, des comprimés.

Bref, tous les accessoires habituels d'une touriste. Le policier des frontières fait preuve de zèle en examinant soigneusement chaque objet, avant de le placer sur l'un des fauteuils vides. Après avoir inspecté l'habit à l'intérieur et à l'extérieur, il le pose sur le siège :

- Le tee-shirt!

La blonde se tient debout, saisi le bas de celui-ci et le tire par-dessus sa tête, le remettant au douanier. Les sourires des bidasses s'élargissent devant le dessous noir et la vue de la peau blanche de la jeune femme. La plénitude de la poitrine compressée dans le dessous promet des délices à venir ; un air d'excitation plane dans la salle.

L'agent examine le T-shirt entre ses doigts, le pose sur le siège et donne un nouvel ordre :

- Le soutien-gorge!

Aurore affronte cette situation de plus en plus affreuse en évitant de penser à ce qu'elle fait. Consciente de la nécessité de lui remettre sa pièce de lingerie, elle décroche celle-ci.

En la retirant, elle sait que ses seins se sont libérés et totalement exposés aux hommes, dont les yeux se sont écarquillés. Si ces derniers sont habitués à voir des poitrines « locales », la vue des globes mammaires d'une fille blanche est vraiment rare. Le policier et les soldats regardent les beautés jumelles, rondes et bien fournies, leurs aréoles rose pâle et leurs jolis mamelons qui leur reviennent en pleine face.

La mariée se tient là, nue jusqu'à la taille. Après une longue minute à se régaler les yeux, le douanier fait un geste pour le vêtement suivant et la subordonnée attachée au sein du service « culture » se penche pour défaire ses chaussures. Les hommes sont concentrés sur son dos lisse et sur les côtés de ses appas, qui se bombent vers l'extérieur et bougent au gré de ses efforts. Une fois ces dernières inspectées sommairement, la fille est invitée à enlever son pantalon, qu'elle fait glisser le long de ses longues jambes joliment galbées, fines mais qui ne sont pas maigres.

Elle le remet au contrôleur, qui le reçoit d'un air guilleret. Malgré son état d'engourdissement, la jeune femme est désormais très consciente de sa presque nudité.

Son tanga noir laisse une grande partie de ses hanches et de son ventre plat nus. Ses seins, situés entre des bonnets B ou C, sont désormais à découvert. Seules ses chaussettes blanches lui offrent une fine protection. Les militaires jacassent joyeusement entre eux dans leur langue maternelle, commentant évidemment ses charmes.

Le fonctionnaire sournois fouille méticuleusement les poches de son pantalon, tout en gardant les yeux rivés sur sa poitrine. La situation est terrifiante, pense-t-elle, sachant qu'elle est complètement sous son contrôle. Elle sait aussi qu'elle sera dépouillée dans quelques minutes. Elle peut voir combien les individus scrutent son corps.

En levant les jambes une par une, elle enlève ses socquettes, avec peur, et pose ses pieds sur le sol. La fraîcheur du béton rayonne sur son corps et un frisson involontaire la traverse lorsque l'agent l'invite à enlever sa dernière protection : - Le string, s'il vous plaît!

Aurore glisse ses doigts dans la ceinture de celui-ci et le glisse sur ses hanches. Son sexe blond, délicatement épilé, seul un « ticket de métro » ornant son mont de vénus, est soudain exposé à quatre paires d'yeux masculins. Les blacks la regardent en silence, hypnotisés. La plupart n'ont jamais vu une fille blanche sans le moindre vêtement. Ils s'émerveillent devant ce corps : les cheveux de couleur blé, une peau pâle, des mamelons roses et, plus fascinant encore, le peu de poils pubiens présents.

Le douanier tend la main, réceptionne le dessous et, après l'avoir examiné, le dépose sur le fauteuil.

La pile de vêtements est maintenant complète. Tout ce que l'assistante portait lorsqu'elle est entrée dans la pièce est sur un vieux siège totalement défraîchi, la laissant nue comme à sa naissance. Elle est figée, debout, les bras le long du corps, n'essayant pas de se couvrir, tandis que les trouffions la dévorent d'un regard libidineux.

- Mettez vos mains derrière la tête! ordonne brusquement le policier. Elle fait ce qu'il demande, les coudes sortis. Son public regarde ses seins fermes être relevés et poussés vers l'avant, ses tétons sans défense pointant droit sur eux. - Les jambes écartées, aboie l'agent. L'auxiliaire positionne ces dernières de façon à ce que les pieds soient à la largeur des épaules. Les yeux des bidasses se dirigent vers l'entrejambe de la jolie blonde, où ils peuvent voir distinctement les petites lèvres roses.

Sans vêtement devant des Africains habillés : une vague de honte la submerge, au moment où fusent de nouvelles instructions. - Marchez jusqu'au mur du fond et revenez, puis continuez de vous déplacer jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter. La subalterne se retourne et se dirige vers le pan souhaité, les soldats la suivant des yeux, le regard rivé sur son cul, ses fesses haut perchées et fermes oscillant à chaque pas.

Atteignant le mur, elle se retourne et marche vers les hommes, les seins tendus et le sexe visible. Les individus la regardent comme une meute de loups affamés pendant qu'elle fait plusieurs allers et retours. Finalement, l'agent lui dit de s'arrêter près de la table :

- Tournez-vous, ordonne-t-il.

Elle obéit.

- Penchez -vous et écartez vos fesses!

L'assistante administrative, de nature un peu naïve, ne s'attendait pas à quelque chose comme cela. Elle tourne son dos aux militaires et, prenant une grande inspiration, se cambre, prenant un globe complet dans chaque main et ouvrant largement ceux-ci. Quelle humiliation, pense-t-elle, ses yeux bleus embués de larmes.

Le douanier et les fantassins regardent, dans une excitation intense, la belle touriste leur montrer son postérieur. Le pli entre ses globes fessiers s'est dégagé, révélant son anus, de couleur rosâtre, rappelant de façon presque obscène les lèvres de sa chatte dégarnie. Les Noirs la détaillent. Ils ont soumis de nombreuses victimes à cette routine dégradante, principalement des opposants de sexe masculin. Mais c'est leur première beauté blonde. Lentement, le temps passe, en silence.

Le dos et les jambes de la jeune femme commence à lui faire mal alors qu'elle tient cette position inconfortable. Elle peut sentir une légère brise contre son œillet exposé.

- Mademoiselle, nous allons procéder à une fouille corporelle. Si celle-ci s'avère négative, vous serez libérée. Veuillez coopérer! Sur ce, le contrôleur sort d'un des tiroirs de la seule armoire présente dans la pièce ce qui ressemble à un bidon de crème froide, dont il dévisse le large couvercle. Il met son doigt long et fin dans le pot et le ressort, enduit d'un gel jaunâtre à l'aspect désagréable. Aurore, le regard horrifié, commence à comprendre ce qui l'attend. Regardant le plafond fissuré, elle se saisit des bords de la table et creuse ses pieds. Avec avoir invité les trois militaires à faire de même, le policier, écartant les lèvres intérieures de l'Occidentale, glisse son pouce graissé dans le sexe ouvert. Les soldats regardent avec fascination et envie le doigt du douanier disparaître complètement dans le sexe de la jolie fille.

Gardant celui-ci à l'intérieur, il sent les parois de son canal vaginal, tandis que l'employée d'administration serre les dents devant cette intrusion intime et inconfortable.

- Madame, je constate qu'il n'y a rien de caché. Mais, au Bénin, pour qu'un avis soit confirmé, il y a besoin de plusieurs témoins. Ces messieurs vont donc vérifier mes affirmations.

Successivement, trois nouveaux majeurs --un par bidasse- fouille la chatte de l'assistante ...

A peine le douanier a-t-il prononcé ces paroles qu'un premier soldat introduit profondément son doigt dans l'anus d'Aurore. Celle-ci se cabre, mais tente de rester digne.

- Je confirme, Monsieur, il n'y a rien dans ce conduit! constate en s'esclaffant le militaire.

Et pour certifier soi-disant les choses, l'ongle de l'un de ses collègues pénètre dans l'œillet.

Néanmoins, une dernière humiliation attend la subordonnée, alors que le troisième milicien s'approche de son cul. Ils savent tous que cet homme a des doigts courts mais inhabituellement épais. Il place sans plus attendre le bout émoussé de son majeur contre le rectum déjà graissé et se met à pousser puissamment.

La belle donzelle ne peut retenir un long "aaaaahhh" prolongé. Les trouffions regardent avec fascination sa petite porte s'élargir pour accueillir l'énorme intrus, passant d'un point plissé à un large anneau de muscle distendu, lisse et brillant, qui accueille l'extrémité du bidasse. Elle essaie de se détendre, de s'habituer au monstre logé dans son anus, alors que le soldat entreprend un va-et-vient, faisant entrer et sortir son majeur. La douleur la traverse alors qu'elle tombe en avant, impuissante, sur la table. Elle tente de ne pas crier, mais l'agonie causée par le doigt massif qui s'étire et frotte la chair tendre de son œillet dilaté est trop forte à endurer.

Un grognement peu digne d'une dame lui échappe de la gorge chaque fois que la brute enfonce son majeur, suivi d'un faible gémissement lorsqu'il le retire. Les militaires et le douanier bavent pratiquement à la vue obscène de l'anneau anal élargi de l'auxiliaire, tandis que le doigt noir et gras glisse sans relâche dans et hors de son rectum. Ses feulements sont une douce musique pour leurs oreilles perverses.

Le militaire retire enfin son ongle du derrière d'Aurore avec un « plop » humide. Son anus, rose et rugueux, est resté ouvert pendant quelques secondes avant de se contracter lentement pour reformer un plissement normal. La pièce est calme, à l'exception de la respiration lourde de la jeune femme et des individus. Le silence -et l'érotisme de la situation!- est soudainement interrompu lorsqu'elle se libère avec une série de pets bruyants, les soldats riant de manière hystérique de son malaise.

Concentrée, elle ne remarque pas que l'un des sous-officiers ramasse la pile de vêtements, les place dans sa valise et emporte celle-ci vers la pièce voisine, qui débouche sur un parking en tarmac situé à l'arrière de l'aéroport. Une berline y stationne. Il ouvre le coffre de celle-ci et place le bagage de la secrétaire dans ce dernier. Il s'agit de la voiture du Préfet, dans laquelle somnole un chauffeur, qui fait signe au militaire.

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