La déchéance d'Hélène 01

Informations sur Récit
Histoire de la soumission d'Hélène et sa famille.
2k mots
4.04
37k
9
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/28/2020
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Bonjour,

Je vais maintenant vous raconter la lente déchéance de ma famille, qui me transforma de fille de bourgeoise en putain de bas étage. Tout commença lors d'une réunion de famille, ou mon père, François avait insisté pour que tout ses enfants soient là. Nous étions donc ensemble avec mes deux sœurs, mon père, médecin, et ma mère infirmière, avec un ami de la famille, Vincent, qui avait l'air de faire pas mal de petites affaires avec mon père.

Papa avait réuni toute la famille quand Vincent pris la parole, il avait le ton grave :

« Je suis un ami de la famille, vous le savez, j'ai donc prêté des sommes importantes d'argent à François, au titre de l'amitié que j'ai pour votre père. Mais il m'a trahi, il a préféré dilapider tout son argent dans les jeux, au mépris de sa famille et de moi. Lui, le bon médecin de campagne, ruiné, déchu. »

J'étais là, sur le canapé, avec mes 2 sœurs et mes parents, assise sur le canapé quand il reprit, solennellement:

« Je peux vous éviter la ruine et le déshonneur, à toute, mais cela à un prix, et il sera lourd ; pensez cependant que si vous n'acceptez pas ma proposition, votre maison sera saisie, François sera radié de l'ordre à vie, vous perdrez tout, et serez obliger de vous mettre à travailler dur, pour gagner une misère qui sera immédiatement absorber par vos dettes insoutenables »

Il reprit:

« Vous vous demandez sans doute pourquoi j'ai posé une cage, et une enveloppe devant vous? et bien cela est simple : dans deux heures, je prendrais cette cage et l'enveloppe dessus. Soit il y a une des filles dedans, avec le bâillon qui s'y trouve, et j'oublie tout, soit la cage est vide et votre famille va être détruite. Je vous laisse le choix de qui vous mettrez dedans. L'enveloppe contient un papier de mise sous curatelle, pour folie et délire paranoïaque, que François, en tant que psychiatre repliera, afin que je devienne le tuteur de sa fille (et puis ça évitera qu'elle essaie de porter plainte) »

Maman éclata en sanglot, me père se pris la tête dans les mains, et nous restions toutes bouche bée

« Ne fait pas ça, ne touche pas à mes filles, prend moi plutôt » supplia maman

Il répondit froidement :

« Je me fout de comment vous choisiriez, mais il faut que ce soit une des filles » Comme je suis sympa, je garderais votre fille 4 ans à mon service, elle aura le droit à une lettre par mois, et 6 fois par ans, je viendrais vous rendre visite un weekend avec elle"

Il quitta ensuite la pièce, nous laissant seule décider de notre destin

Mon père voulait partir sur la banqueroute, et ma mère aussi, mais nous on ne voulait pas tout perdre, Charlotte, ma sœur aînée, chômeuse avait besoin de mes parents, surtout qu'elle élevait difficilement ses jumeaux qu'elle avait eus à 14ans. Alix ma plus jeune sœur avait à peine 17 ans et avait besoin de sa vie. Il ne restait que moi, Hélène célibataire de 25 ans, yeux ambré, brune à la peau claire, les trais fin et mon gros 90D et mes fesses un peu larges. Mais hors de question que je sois donné comme cela :

Je proposais :

On n'a qu'à voter : si on veut « sacrifier » une de nous, et ensuite, qui si la réponse est oui. Après avoir sécher nos larmes, tout le monde accepta le vote :

Trois personnes contre deux furent favorables au sacrifice... Mais le vote de la victime fut encore plus unanime : 4 voix contre moi ; toute ma famille était d'accord pour me donner en pâture à ce porc. J'étais écœuré, je ne luttai même pas quand mon père me mis le bâillon, avant d'entrer dans la cage.

Je ne pus dire combien de temps je restais dans ma cage, cela me parut interminable. Mon prochain souvenir fut moi, debout devant Vincent dans un appartement que je ne connaissais pas. J'avais encore mon bâillon.

Vincent était un homme d'une bonne trentaine d'année, grand et sec, avec un regard bleu acier très impressionnant.

Il m'attacha un collier raz le cou, avec un médaillon, il me dit : « répond oui ou non de la tête :

« Tu m'entend? -- oui fis-je »

« Tu t'appel Stacy maintenant, ce prénom conviendra mieux à ta nouvelle activité, il vaut mieux que tu oublies ton ancienne vie. Ensuite, tu me vouvoie, tu ne parles que si je t'y autorise. Tu baisse toujours les yeux en ma présence, sauf si je te demande de me regarder. C'est claire? -- oui, fis-je, en commença à pleurer. »

« Si tu enfreins les règles, c'est une punition, et je te souhaite te pas trop me tester sur ce point, j'ai beaucoup d'imagination perverse » Là je pleurais franchement.

« Déshabille-toi » ordonna t'il.

Lentement, à contre cœur, je me mise nue devant lui, des larmes coulaient sur mes joues....

Il se mit derrière moi, je sentais son souffle dans mes cheveux, puis il enleva le bâillon, avant de revenir vers moi

« Tu préfères sucer, ou te faire baiser? »

Je ne m'attendais pas à ça....

« Tu vas me violer? » -- demandais-je

Il me répondit froidement :

« Déjà tu ne me vouvoie pas Stacy, ensuite tu réponds à ma question, et ensuite, non, je ne vais pas te violer, parce que tu es mon objet maintenant, et qu'on ne peut pas violer un objet, tu vas me servir de vide couille à un point que tu n'imagines pas... ; »

J'étais en larme, terrorisée, mais je n'osais pas crier.

« Je préférais sucer », pleurnichais-je.

« Bien » il s'approcha de moi et mis une main sur mon épaule. Je me mis à genoux instinctivement, déjà brisée mentalement

« Ah ah, et bien toi t'es vraiment bien partie, tu ne vas pas me sucer maintenant, là tu vas te coucher. Ta punition sera de pas manger ce soir, c'est plutôt cool, c'est parce que c'est le début. Demain, on ira faire des courses pour s'occuper un peu de toi, parce que la, tu n'est pas encore au niveau de qualité que j'attends »

J'appris donc qu'on était le soir, il me coucha, nu, dans un placard fermé à clé, sur une couverture, telle une chienne. Je dormis très mal, très inquiète de la journée du lendemain.

Je fus réveillé par Vincent, il me servit un petit déjeuner, et cette gentillesse me surpris, j'étais encore à poil, en train de manger quand la porte d'entrée sonna.

Une femme entra, j'étais à poil et je cachais mon intimité tant que je pouvais.

« Voilà Nathalie, elle va te préparer, alors assis toi dans le canapé et écoute-la »

Elle commença par une épilation intégrale de mon sexe, puis entrepris les piercings, à la langue, au nez, et au nombril. Heureusement, mes gros nichons furent épargnés.

Ce furent ensuite les tatouages, sur le pubis, dans le creux des reins et à la base de la nuque. Mais en l'absence de miroir, je ne savais pas de quelles natures ils étaient.

J'eu ensuite le droit à une coloration de mes cheveux, là encore sans miroir, donc je ne savais toujours pas à quoi je ressemblais. Elle colla ensuite des faux cils sur mes paupières.

Après cette préparation, Nathalie quitta l'appartement. Vincent me jetât mes fringues, un jean et un tshirt basket en disant :

« tu t'habille, et tu me suis, on va faire des courses pour ta garde-robe »

Je failli répondre qu'il ne m'avait pas donné de culotte, mais je compris vite que ce n'était pas vraiment un oubli

Je reconnaissais le coin, sur le trajet vers le centre commercial le plus proche, on alla dans un magasin pas cher, ou Vincent commença à charger le caddy, principalement de jupe, de robe, et de top près du corps. Après 5 minutes je me risquais à parler :

« Vincent, vous prenez des hauts trop petits, je ne rentrerais jamais la dedans, alors qu'il prenait un débardeur en taille 12 ans »

« C'est sûr que tes seins de pétasse vont être un peu à l'étroit là-dedans, mais bon ils sont tellement beau, ça sera dommage de les cacher, non? »

On acheta ensuite du maquillage, le plus cheap possible, mais en grande quantité, puis des chaussures, que je jugeais toute plus vulgaires les unes que les autres, notamment à cause de la hauteur des talons, et / ou de la couleur et des plateformes

Je suivais Vincent, passive et résignée. Je ne savais pas à quoi m'attendre. Aux finales il ne m'avait pas battu, ni violé depuis que ma famille m'avait désigné pour être sa chose.

On manga un bout, puis rentra à la maison.

« Ah, la lingerie est arrivée, dit 'il en prenant un carton devant sa porte »

Je restais la, plantée dans le salon, pendant qu'il déballa les courses : après 5 minutes, il me tendit une débardeur rose pale, une minijupe en jean, des bas resilles et porte jarretelle, et une paire d'escarpin à plateforme noir, et du brillant à lèvre et du mascara.

« Habille-toi correctement maintenant, tu te maquille, et ensuite t'aura le droit de voire à quoi tu ressembles »

Franchement je voulais savoir, donc j'obtempérais. La jupe m'arrivait péniblement au raz des fesses, quant au débardeur, Vincent fut obligé de l'entailler au milieu sur 5 cm pour que mon abondante poitrine rentre dedans.

J'appliquais le maquillage, mais sans miroir ce fut un peu aléatoire. J'eu ensuite le droit de voire ma transformation. Je fus horrifiée : je me tenais, debout sur mes talons devant le miroir de la salle de bain, ma jupe raz la moule et mes seins exposées, le débardeur trop court faisant apparaitre mon nombril, dans laquelle il y avait maintenant un faux bijou, les attaches des bas était clairement visible. Mes cheveux bruns étaient maintenant remplacés par une couleur blond platine. J'étais clairement une invitation à la bite, et pas le modèle raffiné.

Je commençais à pleurer devant le miroir, faisant couler le mascara bas de gamme que j'avais sur les cils inférieures. Je me tournais pour regarder les tatouages : sur le bas des reins, deux ailes et un cœur dans une couronne d'épine : vulgaire à souhait. Sur la nuque, mon nouveau prénom, « Stacy » , et le pire, sur mon pubis, une mention calligraphiée : « petite pute »

Vincent s'approcha de moi sans parler, et profita de ma stupeur pour me faire deux couettes basses.

Il me retourna ensuite, je lui faisais maintenant face, mais toujours en baissant les yeux, comme il me l'avait appris. En silence, il mit la main sur ma tête, et là je compris ce qu'il attendait. Je n'avais plus la force de dire non. Je me mis à genoux, et pris directement sa bite dans son pantalon, je me mis à le sucer, d'abord avec douceur, puis comme une vraie traînée.

Peux être pour expier quelque chose en moi, cela faisait deux jours que je m'imaginais les pires viols et supplices physiques, que j'étais plutôt contente, même enthousiaste à l'idée de « juste » pratiquer une pipe involontaire. Je m'appliquais, rassurer par faire quelque chose que je connaissais, j'étais son jouet, je le suçais, enfin des choses rassurantes.

Je variais le rythme, en maintenant mes lèvres bien serrées contre sa bite. Ma langue, équipé de son piercing me permettait de pratiquer mon art avec grand talent.

La bite de Vincent était bien dure, je commençais à sentir les pulsations annonciatrices de sa jouissance. Un peu surprise, il se retira et présenta son gland devant mon visage, avant de répandre son foutre sur mon visage de putain en plusieurs long jet épais et chaud.

Il m'ordonna ensuite de nettoyage sa bite, ce que je fis avec ma bouche, le visage encore dégoulinant de foutre. Il refusa ensuite de me donner un mouchoir, et je dû m'essuyer avec mon débardeur.

Il me servit ensuite un repas, et ensuite me dit calmement. : « bon ma grande, fini de glander, va falloir y aller maintenant ».

J'aurais voulu ensuite changer mon haut plein de foutre, mais visiblement Vincent était pressé., il m'installa dans son van, et se dirigea vers l'ouest....

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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4 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 5 mois

Je relis cette histoire avec toujours autant de plaisir

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
welcome

coucou

merci pour cette histoire en espérant que les suivantes seront toutes aussi croustillantes..

trouchardtrouchardil y a plus de 3 ans
Bienvenue

Bienvenue sur ce site et merci pour ton récit.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Excellente mise en bouche, j'ai beaucoup aimé.

Piercings et tatouages dès le premier jour .... Cela présage-t'il d'autres transformations physiques ? (Augmentation mammaire, épilation définitive, piercings génitaux, tatouages sur les fesses ...)

A lire une suite prochainement.

Rudy

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