L'Appât Du Gain (Partie 03)

BÊTA PUBLIQUE

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C'est alors que la porte de salle s'ouvrit sur Paul qui referma en rentrant dans la pièce.

- La petite oie s'est évanouie, lui dit-il avec un sourire. Pendant qu'ils essayent de la ranimer, moi j'ai trop envie de toi. Tu me fais bander depuis que je t'ai vu.

Clarisse sentit tout son corps frissonner en entendant son hôte vouloir la prendre maintenant. Elle avait sa petite chatte complètement détrempée et ce membre qu'elle ne connaissait pas encore, allait la contenter, elle qui était en manque de sexe.

Elle ne répondit pas, se contentant d'écarter les cuisses pour l'inviter sans dire un mot.

Paul se déshabilla à la hâte, trop pressé de se soulager dans ce corps hors catégorie.

Elle était tellement belle qu'il n'avait pu attendre en sachant qu'elle était allongée dans la salle d'à côté.

Clarisse ne fut pas déçue en découvrant le membre tendu par le désir, qui était presque aussi gros que celui de Philippe.

Elle sentit tout son être frémir lorsqu'il s'allongea sur son corps alangui et que son gland vint se positionner à l'entrée de sa vulve.

Autant elle avait peu gémi lorsqu'ils l'avaient fouettée, autant elle poussa un feulement de plaisir lorsqu'il la pénétra.

Pour Clarisse ce fut du pur bonheur lorsque la queue bien dure glissa entre ses chairs, lui procurant une jouissance immédiate tant elle était surexcitée. D'avoir entendu Virginie hurler l'avait rendue très réceptive et elle recevait l'homme comme une vraie délivrance.

Paul la prit avec vigueur, voyant bien que la jeune femme était déjà partie dans un monde de plaisir. Il piocha dans sa vulve durant de longues minutes, oubliant tout de ce qui l'entourait.

Cette soumise était source de jouissances et son corps était fait pour l'amour. Il en oublia même sa femme qui devait prodiguer des soins à la petite dinde, ne pensant qu'à ce corps qu'il baisait comme un fou.

Clarisse poussait des gémissements à chaque plongée en elle, y trouvant une vraie béatitude alors que l'orgasme était sur le point d'exploser.

Comme par magie, leurs jouissances furent synchronisées et il se déversa en elle alors que des spasmes de plaisir lui arrachaient des cris qu'elle ne sut pas stopper avant de longues minutes.

Une fois ses esprits retrouvés, l'homme se leva rapidement pour rejoindre les autres. S'habillant en vitesse, il quitta la pièce sans omettre de se retourner une dernière fois pour admirer le corps de la jeune femme.

En se retrouvant de nouveau toute seule, elle sentit son stress revenir, ne comprenant pas pourquoi ils restaient avec Virginie alors que son corps était bien plus accueillant.

Cette fois elle ne pensait plus du tout à l'argent mais au plaisir étrange qu'elle pouvait éprouver en étant à leur disposition.

Durant près d'une heure elle resta isolée, n'entendant aucun bruit autour d'elle. Elle commença à avoir peur, se demandant s'ils ne l'avaient pas oublié dans ce sous-sol effrayant.

Elle eut envie de se lever pour aller voir ce qui se passait. Mais pouvait-elle le faire sans désobéir à leurs ordres. Ils lui avaient dit de s'allonger et de ne pas bouger et elle devait les écouter pour ne pas être une insoumise.

Elle décida de rester sur le lit, espérant juste qu'ils reviendraient la voir.

Mais plus les minutes s'écoulaient et plus la panique prenait possession d'elle. Elle était presque sûre d'avoir été abandonnée tant le silence était pesant.

C'est alors qu'elle entendit du bruit dans le couloir et elle fut rassurée en pensant qu'ils venaient la chercher. Lorsque la porte s'ouvrit elle fut heureuse de voir surgir Noël suivit de son fils qui paraissait très perturbé.

- Lève-toi, lui ordonna le septuagénaire, on rentre à la maison.

- C'est déjà terminé? Demanda-t-elle.

En temps normal ils ne lui auraient sûrement pas répondu mais là,le vieux était remonté contre son fils et dit d'une voix pleine de rancune.

- Il a fallu qu'une certaine personne que je ne citerai pas, sodomise avec hargne une jeune femme qui ne l'avait jamais été avant. Il l'a tellement explosé qu'elle a perdu connaissance et on a dû l'emmener aux urgences.

- Putain, j'ai été moins fort qu'avec Clarisse, ce n'est pas de ma faute si elle était fragile. Il ne fallait pas qu'elle nous demande de le faire...

Clarisse, en comprenant que la jeune femme n'avait pas supporté ce qu'elle avait enduré juste avant, fut très fière d'elle. Elle se sentit d'un coup bien supérieure à Virginie mais n'osa pas parler de peur de se faire disputer. Les deux hommes étaient très contrariés et elle ne voulait surtout pas en rajouter.

En se levant, des douleurs revinrent mais elle mit un point d'honneur à paraître normal. Elle voulait montrer aux deux hommes qu'elle n'était pas fragile contrairement à l'autre fille.

Lorsqu'ils quittèrent l'usine ce fut pour retourner directement à leur maison, sans même avoir dit au revoir à Paul et Françoise qui les avaient reçus.

C'est alors, en regardant le tableau de bord du véhicule qu'elle se rendit compte qu'il était plus de trois heures du matin. Pourtant, elle était en pleine forme et n'avait pas sommeil. Elle aurait dû avoir les yeux qui se ferment tout seuls mais son excitation était tellement élevée que son corps refusait tout endormissement.

Lorsqu'ils garèrent la voiture devant la grosse demeure, Clarisse espéra qu'ils s'occupent un peu d'elle avant d'aller dormir. En se rendant compte des pensées qu'elle avait, elle fut un peu choquée. Mais pourquoi voulait-elle subir encore quelques tourments sans être pour autant obligée.

Essayant de se calmer, elle sortit de la voiture et suivit les hommes sans un mot. Tout son corps était douloureux et elle en voulait encore.

Lorsqu'ils rentrèrent dans la maison, elle réalisa qu'elle n'avait pas de chambre. Pourtant, une petite voix lui dit qu'elle n'en aurait pas besoin n'étant plus qu'une esclave dédiée à leur plaisir.

Elle se rendit compte qu'elle avait raison lorsque Noël dit à son fils.

- Je la garde pour le restant de la nuit. Je n'ai pas envie de voir celle-là finir aussi à l'hôpital.

- Arrête! Je t'ai dit que je le regrettais. De toute façon Clarisse est bien plus résistante que l'autre mais vu que tu la veux, je te la laisse.

Philippe les abandonna sans même leur dire bonne nuit, toujours énervé par la façon dont cette soirée s'était terminée. Il se serait bien défoulé sur Clarisse mais son père en avait décidé autrement. Elle lui appartenait et voulait la garder pour le reste de la nuit.

Elle fut surprise lorsque le vieux lui prit la main mais ne résista pas. S'il avait envie de l'emmener jusqu'à sa couche de cette manière, il en avait le droit. Elle trouvait ça presque romantique, surtout avec ce qu'elle avait vécue ces dernières heures.

Jamais encore elle n'avait visité la chambre de son maître et fut surprise de constater que cette dernière était moderne. Ne sachant pas comment se comporter, elle resta debout à côté du lit en attendant qu'il se déshabille.

- Tu as été irréprochable, je suis assez content de toi, lui dit-il en enlevant ses vêtements.

L'homme, même s'il avait une bonne condition physique et un sexe encore viril pour son âge, avait tout de même le corps marqué par les années. Malgré la peau ridée, la jeune femme lui trouva un certain charme et attendit qu'il soit allongé pour venir le rejoindre.

Noël lui sourit et lui dit d'une voix calme.

- Tu ne vas pas t'endormir sans me faire une petite fellation avant. Tu es ma petite chienne et c'est normal que je t'offre un petit bâton de chair pour te récompenser.

L'homme, qui aimait que l'on s'occupe de son sexe s'était mis sur le dos, attendant que Clarisse vienne déguster sa verge. Cette dernière, en entendant Noël lui ordonner de le sucer, ne pensa pas une seule seconde à lui désobéir.

Elle trouvait naturel d'obéir à ses ordres et vint immédiatement se positionner pour le faire.

Avec gourmandise, elle lui décalotta le gland qu'elle emprisonna aussitôt dans sa bouche. Il l'avait achetée et elle obéissait même si elle ne se rendait pas compte qu'elle n'était plus la même.

Tout en s'appliquant à bien le faire grossir en massant le membre entre sa langue et son palais, elle pensa à Dylan, imaginant être avec lui.

Elle aurait bien voulu que cette queue soit la sienne ou que ce soit lui qui lui donne tous les ordres. Elle se rappela du plaisir qu'elle avait eu avec lui et de son membre épais qui l'avait pénétré.

C'est alors qu'elle se rendit compte que ce n'était pas à son fiancé qu'elle pensait mais au barman qu'elle connaissait à peine.

Pourtant ils devaient se marier et fonder une jolie famille et elle ne comprenait pas pourquoi il n'était pas présent dans ses envies de sexe.

Elle faillit s'étouffer lorsque le septuagénaire éjacula sans prévenir. Elle dût déglutir rapidement pour vider de sa bouche le sperme âpre du vieux. Une fois le sexe tari, elle le nettoya le plus consciencieusement possible, voulant montrer qu'elle était la meilleure.

Lorsqu'elle libéra le membre, elle avait le sentiment d'un travail bien fait et était contente d'elle.

- Bonne fille, se borna-t-il à dire tout en se retournant, laissant Clarisse dans ses pensées et ses doutes concernant sa vie.

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Anonymous
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11 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Texte bien écrit, c'est agréable.

Une suite ?

Plaisirs54Plaisirs54il y a 6 mois

Deux jours, c’est effectivement un peu ‘’court’’ pour passer du simple jeu de l’argent facile à la révélation des plaisirs masochistes... Pour autant, l’histoire rend formidablement bien cette évolution et on se prend rapidement à s’imaginer à la place de Clarisse oscillant au bout de ses chaînes, à ressentir avec elle les tourments infligés à ses bourgeons sensibles. Impatience donc d’accompagner Clarisse dans l'évolution de ses doutes.

Bitland91Bitland91il y a 7 mois

J'adore, j'attends la suite

dicordobadicordobail y a 7 moisAuteur

Je reconnais que la dépravation va très vite mais vu que l’histoire est censée se passer sur deux jours, je suis un peu obligé de ne pas faire traîner.

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Il y a de bonnes choses mais elle se deprave trop vite je trouve. Bonne continuation pour cette histoire !

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