L'Appât Du Gain (Partie 03)

BÊTA PUBLIQUE

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Virginie écarta les lèvres de la vulve, dévoilant une intimité rose des plus appétissantes et tout en maintenant le sexe grand ouvert, elle laissa son mari venir titiller le bouton d'amour pour lui faire prendre plus de volume.

Clarisse en oublia la douleur dans ses bras tant ce fut agréable. D'être ainsi offerte était tellement jouissif qu'elle se mit à gémir lorsque le jeune homme doigta son clitoris.

- Elle aime ça, dit-il tout fier en entendant la jeune femme haleter.

- Vas-y, mets-lui la pince, fais-lui mal, dis d'une voix sadique la gentille Virginie.

L'homme dût s'y prendre à deux fois pour bien serrer le clitoris, faisant gémir de douleur la jeune femme. Cela lui fit très mal surtout que la pince était équipée d'une vis permettant d'augmenter la pression.

Max serra au maximum pour bien emprisonner le petit bout de chair. Clarisse avait très mal mais avait réussi à se taire. Après tout, elle était volontaire moyennant quelques petits billets et elle n'avait pas le droit de les décevoir.

Philippe qui avait une érection de plus en plus douloureuse, décida de s'amuser un peu.

- Vu qu'elle est à la bonne hauteur, je vais me faire plaisir avec son joli petit cul.

Virginie ouvrit les yeux en grand en entendant l'homme annoncer qu'il allait enculer la soumise. Elle ne pensait pas que cela puisse faire partie du BDSM et trouvait cela plus fascinant.

Clarisse commençait à s'habituer à la pince lorsqu'elle entendit qu'elle allait se faire sodomiser. Depuis qu'elle était entre leurs mains, son petit œillet avait souvent été forcé et sans savoir pourquoi, elle éprouva un certain plaisir en apprenant que son anus allait être explosé de nouveau.

Finalement elle avait découvert en elle des penchants de plus en plus étranges et d'être devenu ce jouet sexuel était pour elle une source de jouissances.

Philippe abaissa juste son pantalon et se positionna derrière elle. Virginie, qui regardait la scène, demanda intriguée.

- Vous n'allez pas la lubrifier avant?

Ce fut Françoise qui répondit à la jeune femme, lui expliquant qu'ils n'étaient pas là pour le bien-être de leur esclave. Si Philippe voulait la prendre à sec, et bien qu'il le fasse sans aucune restriction.

Clarisse qui ne pouvait pas bouger, tressaillit lorsqu'elle sentit le gland venir se positionner contre son anus. Elle savait que cela allait lui faire très mal mais elle n'avait pas peur.

Lorsque l'homme se mit à pousser pour la pénétrer, il dût demander de l'aide à Max pour l'immobiliser. Le corps suspendu avait tendance à se déplacer et comme il guidait son membre d'une main, il ne pouvait pas maintenir correctement la jeune femme.

Le jeune homme se plaça devant elle et saisit ses hanches pour bien bloquer le corps. La jeune femme essayait de respirer lentement en sentant le membre aléser son anus. Même si elle s'était déjà fait sodomiser dans la journée, l'être sans lubrifiant était très douloureux et pourtant la queue s'enfonçait inlassablement entre ses chairs serrées...

Max la maintenait fermement mais Philippe, lorsqu'il put lâcher son sexe qui était déjà bien planté entre les jolies fesses, saisit le bassin de la jeune femme pour mieux la pénétrer.

Il fit comprendre à Max qu'il pouvait la lâcher et, avec délectation, il s'enfonça entièrement dans la fille qui poussa un petit cri de douleur.

Virginie, fascinée par la scène, se retourna vers son compagnon pour lui dire à voix basse.

- Tu crois que tu pourrais me faire ça, lorsqu'on sera tous les deux.

L'homme fut surpris en entendant sa femme. Jamais jusqu'à présent elle n'avait voulu se faire sodomiser et là, elle lui offrait son petit trou de façon incongrue. Au sourire qu'il lui fit, elle comprit qu'il était d'accord et elle en frissonna. Pourtant, elle se dit qu'elle serait peut-être moins courageuse que cette femme qui restait silencieuse alors qu'elle se faisait défoncer son anus.

Philippe, après avoir vaincu le cul de la jeune femme, s'était mis à la prendre avec rage. Il donnait des grands coups de reins, faisant très mal à Clarisse qui mettait un point d'honneur à rester silencieuse.

Françoise et le jeune couple étaient comme hypnotisés par cette scène incroyable ou la jeune femme se faisait exploser l'anus sans un mot. Tous se rendirent alors compte qu'ils avaient vraiment touché le gros lot avec elle et que les heures qui s'annonçaient allaient être exceptionnelles.

Philippe était impressionné par le courage de la jeune femme même si ce mutisme avait tendance à l'énerver, l'obligeant à piocher en elle avec beaucoup de sauvagerie. Il voulait entendre les cris de souffrance qui flatteraient sa virilité mais là c'était le silence qui accroissait sa frustration.

Heureusement pour Clarisse, il finit par éjaculer, inondant ses entrailles de semence.

Elle avait vraiment eu très mal mais son honneur était sauvé en démontrant à tous qu'elle était courageuse.

- Il est temps qu'on passe aux choses sérieuses, dit Paul qui s'exprimait pour la première fois.

- Oui, oui, passons aux choses sérieuses lui répondit Virginie de plus en plus excitée par ce qui se passait.

Alors que Philippe se rhabillait, le corps de Clarisse tournait lentement tel un mobile de décoration. Françoise sourit en constatant que son mari prenait un martinet à longues lanières. Elle aurait préféré le fouet mais pour commencer c'était mieux car légèrement moins douloureux.

- On va immobiliser son corps et le flageller un peu. Qui veut commencer?

- Moi, je veux bien être la première, j'ai trop envie de le faire depuis qu'on est arrivé.

Vu que Virginie avait été la plus rapide pour répondre, c'est tout naturellement qu'il lui tendit l'instrument.

- Je dois fouetter quelles parties du corps.

- Celles que tu veux tant que ça reste en dessous du niveau des épaules.

- Même les seins?

- Oui, si tu en as envie.

Tout le monde s'écarta pour lui laisser la place alors que Clarisse était étrangement excitée en sachant qu'elle allait être flagellée. Elle essaya de contrôler sa respiration pour ne pas être surprise lorsque le cuir viendrait cingler sa chair. Le problème est que sa tortionnaire prenait son temps, tournant autour d'elle en se demandant quel endroit elle devait fouetter.

Lorsque la main de la jeune femme se baissa pour frapper, ce fut entre les omoplates que les lanières s'abattirent, lui faisant mal. Pourtant elle s'attendait à pire et réussit à rester silencieuse.

- Tu devrais frapper plus fort la prochaine fois, l'encouragea son mari qui voulait entendre crier Clarisse.

La jeune femme vexée de n'avoir pas pu tirer le moindre gémissement de l'esclave se plaça devant elle. Au regard qu'elle lança, Clarisse sut qu'elle allait morfler car il n'y avait plus aucune compassion dans ses yeux mais juste un désir sadique de faire mal.

Cette fois, lorsque le cuir vint cingler sa poitrine, marquant ses seins de stries bien rouges, elle ne put s'empêcher de gémir tant la douleur était cuisante. Virginie poussa un cri de victoire en voyant que cette fois elle avait été la plus forte.

Du coup, juste pour entendre d'autres plaintes de souffrances, elle frappa de nouveau les seins, prenant beaucoup de plaisir à torturer cette femme.

Cette fois Clarisse poussa un râle plus fort tant elle fut surprise par la violence du coup. Son corps suspendu n'avait aucun moyen d'échapper à cette femme et pourtant, malgré la douleur qui irradiait de sa poitrine, elle était excitée d'être ainsi sans défense.

Virginie allait frapper de nouveau lorsque Françoise la retint.

- Normalement la douleur doit faire place à de la douceur. Tu viens de la fouetter deux fois au même endroit, maintenant ce serait bien que tu la caresses un peu là ou le cuir a mordu.

Si elle s'était écoutée, elle aurait flagellé le corps jusqu'au sang mais elle était invitée et ne connaissait rien au BDSM. Voulant montrer qu'elle était une élève assidue, elle donna le martinet à son compagnon pour mieux s'occuper du corps pendu.

Elle regarda un instant les seins marqués par le fouet, magnifiés par les anneaux accrochés aux tétons et, voulant faire preuve de douceur, elle posa sa main à leur base pour les masser un peu.

Elle fut surprise en entendant la respiration de la soumise devenir plus forte, dévoilant involontairement qu'elle appréciait cet attouchement. Finalement elle découvrit un certain plaisir à caresser cette femme, ne s'y attendant vraiment pas.

Elle cajola un instant la poitrine avant de vouloir jouer un peu avec les bijoux de tétons.

Lorsqu'elle tira sur l'un d'eux, Clarisse poussa un gémissement qui n'avait rien à voir avec un cri de plaisir.

Tout le monde observait attentivement ce qui se passait et en voyant comment réagissait leur jeune soumise, Noël ne put s'empêcher de commenter

- Ses mamelons n'ont été percés que cet après-midi, c'est pour cela qu'ils sont très sensibles et que c'est douloureux.

- Ils sont magnifiques.

En sachant que les piercings étaient tout récents, Virginie, par pur sadisme, ne put s'empêcher de rejouer avec, faisant grimacer Clarisse qui essayait pourtant de résister au mal.

- Et si tu laissais ta place à Max maintenant? demanda Françoise qui voyait le jeune homme impatient

- Pas encore, juste encore un peu.

- On l'a pour toute la nuit, tu pourras t'amuser avec elle un peu plus tard

Avec regret elle se poussa alors que Max, le martinet toujours en main se positionna rapidement.

- Non, pas tout de suite lui dit Françoise. On va un peu travailler son corps avant. Pour ce qui est de la flagellation, il ne faut jamais en abuser.

Le garçon qui voulait entendre claquer les lanières sur la peau de l'esclave, fut frustré mais resta silencieux. Après tout, ils étaient là pour apprendre et, préférant ne rien dire, il alla reposer le martinet sur une des dessertes.

- Comme ses mamelons sont très sensibles suite au piercing récent, on va accrocher aux anneaux des poids pour les étirer en permanence. La douleur qui va irradier de ses tétons devrait être sympathique.

Même s'il la connaissait depuis longtemps, Noël ne put s'empêcher de sourire en admirant le sadisme de cette femme.

Clarisse ne réagit pas vraiment en entendant la femme. Elle avait mal dans tout son corps mais pour elle c'était presque normal. Que ce soit dans les bras et les épaules étant donné sa position, dans son clito pincé de façon excessive ou dans son dos et sa poitrine, là où le cuir avait mordu, elle n'était que douleur et pourtant pas un moment elle ne pensa à arrêter.

Elle avait accepté de venir moyennant une belle somme d'argent et pourtant ce n'était plus cela qui guidait tous ses actes.

Elle était de plus en plus excitée d'être ainsi exposée et offerte aux caprices de ces gens. Même si cela pouvait être douloureux, elle arrivait à avoir du plaisir lorsqu'elle se surpassait et restait silencieuse. Elle devait être folle ou était-ce par fierté, mais de voir tous ces gens admirer son courage était pour elle une source de jouissances.

Quand la femme alla chercher deux poids assez volumineux suspendus à une chaînette qui se terminait par un petit mousqueton, elle frissonna d'avance. Elle allait encore démontrer qu'elle était digne de ce sous-sol en résistant au mal.

Lorsqu'elle les accrocha aux anneaux de tétons, Clarisse se mordit la lèvre pour ne pas se faire entendre. Ses mamelons fraîchement percés, devinrent très douloureux et en plus d'être étirés méchamment vers le bas, ils se mirent à saigner légèrement.

- Ça se voit que le piercing et vraiment récent dit Françoise en s'amusant à agiter les poids pour augmenter la souffrance de la jeune femme.

Mac qui regardait la scène, était de plus en plus excité et n'en pouvant plus, il demanda.

- J'aimerais moi aussi la sodomiser, je peux?

- Bien sûr. Comme tu es plus petit que Philippe, je vais la descendre de quelques centimètres.

Ce fut Virginie qui ouvrit grand ses yeux en entendant son homme. Il ne l'avait jamais fait avec elle et là, il allait enculer la soumise. Pourtant, elle n'était pas jalouse mais juste très étonnée. Pour elle, Clarisse n'était pas vraiment une femme et elle n'avait aucune raison d'en vouloir à son petit mari.

Elle la considérait juste comme un objet qui permettait d'assouvir les fantasmes, même les plus abjects. Elle était trop belle pour vraiment être humaine et elle ne pensait même pas qu'elle puisse avoir une vie en dehors des donjons.

Max se positionna derrière Clarisse, tout excité par ce qu'il allait faire. Françoise l'avait descendue de quelques centimètres pour qu'elle soit à la bonne hauteur. De tous les gens présents, c'était Virginie la plus attentive à ce qui se passait, s'imaginant être à la place de leur soumise, attendant d'être sodomisée tout en ne pouvant bouger.

Clarisse quant à elle était tout excitée en pensant à la queue qui allait de nouveau pénétrer ses entrailles. Lorsque le sexe força son anus, elle poussa juste un léger gémissement, ayant beaucoup moins mal que lorsque Philippe l'avait sodomisée.

Le jeune homme n'eut pas trop de difficulté à forcer son œillet déjà élargi peu de temps avant

Pourtant, pour Max, ce fut comme un exploit et tandis qu'il s'enfonçait entièrement dans Clarisse, il se mit à regarder sa femme pour lui montrer qu'il était un vrai homme.

. -- Vas-y mon chéri, défonce-lui le cul comme tu le feras bientôt avec le mien

Le jeune homme ne reconnaissait plus sa femme et de l'entendre parler ainsi, une joie énorme l'envahie.

Cette soirée avait changé Virginie, ce qui était très surprenant. À force de voir cette soumise si docile alors qu'ils avaient tous les droits sur son corps, elle se sentait bizarre.

Cela lui donnait presque envie d'expérimenter sur elle des pratiques qu'elle s'était refusée jusqu'ici.

Mais là, subjuguée par ce corps suspendu, elle exhortait son mari en s'imaginant être cette femme.

Sous les encouragements de son épouse, Max saisit fermement Clarisse par les hanches et se mit à l'enculer avec hargne. Pour la première fois de sa vie, il se sentit tout-puissant en prenant cette femme incapable d'échapper à son sexe. Il avait l'impression de tout pouvoir lui faire sans que personne ne puisse s'y opposer et c'était fantastique.

Clarisse avait ouvert la bouche pour respirer au rythme des coups de reins. Malgré la douleur dans tout son corps, elle aima se faire prendre sans pouvoir rien y faire et se laissa aller au plaisir de cette sodomie.

Elle était à eux et quoi qu'il lui fasse, elle ne voulait pas qu'ils arrêtent.

Pas une seconde elle ne pensa à l'argent qui l'attendait, oubliant la raison principale qui l'avait emmenée ici. Elle aimait juste être cette soumise qui subissait leurs caprices pervers et qui offrait son corps à leurs pulsions sadiques.

Elle gémit lorsque le sperme inonda son fondement, la remplissant telle une poupée gonflable qu'ils se prêteraient sans état d'âme.

Son clito compressé et ses mamelons étirés diffusaient dans son corps une souffrance presque jouissive et elle se demanda si elle était normale.

C'est lorsque ses pieds touchèrent le sol qu'elle réalisa qu'ils étaient en train de la décrocher. Elle avait tellement mal qu'elle ne s'était pas rendu compte que le jeune homme s'était retiré de son cul maltraité.

Philippe et Noël l'encadrèrent pour la soutenir alors que Françoise retirait la barre d'écartement au niveau de ses chevilles. Lorsqu'ils ôtèrent la chaîne du crochet, elle se serait sûrement effondrée sur le sol si les deux hommes ne l'avaient pas retenus.

Clarisse se demanda ce qui se passait et pourquoi ils la libéraient. En avaient-ils fini avec elle alors qu'il lui semblait qu'ils venaient juste de commencer.

La jeune femme gémit tout de même de bonheur lorsque la pince qui compressait son clitoris fut retirée. Elle était complètement perdue, se demandant pourquoi la séance prenait fin. Elle avait pensé subir mille supplices et elle était frustrée d'être déjà détachée.

C'est alors qu'elle comprit ce qui se passait en entendant le couple parler.

- Tu es sûre de vouloir le faire, demanda Max un peu inquiet mais également excité à l'idée de voir sa femme accrochée au plafond

- Oui, j'ai trop envie d'essayer. Faites-moi tout ce qu'elle a eu.

- Nous, on va l'emmener dans la salle d'à côté et on revient pour participer.

Clarisse, qui aurait dû être soulagée d'être un peu mise de côté, fut au contraire jalouse.

Comment pouvaient-ils s'occuper de cette fille alors que c'était elle qui devait assurer le spectacle. Comment cette petite dinde pouvait-elle lui voler la vedette de la nuit en l'écartant de la sorte.

La frustration laissa alors la place à de la colère et elle se mit à détester cette fille.

Pourtant, elle ne résista pas lorsque, aidée par les deux hommes, elle quitta la salle de torture pour se rendre dans la pièce d'à côté.

En fait, il s'agissait d'une chambre basique avec un vieux lit de 90, une armoire métallique pas très fraîche et un lavabo d'époque fendu sur un côté.

Elle se rappela que le sous-sol avait été construit après la guerre pour être un abri anti-aérien et la chambre devait sûrement dater de cette période.

Ils l'allongèrent sur le matelas et l'abandonnèrent ainsi, comme s'ils se débarrassaient d'un jouet usagé. La seule chose qu'ils lui dirent était de ne pas bouger et d'attendre leur retour.

Elle resta sur le dos et commença alors à se masser les parties endolories de son corps. Lorsqu'elle passa les mains sur ses seins encore marqués par les lanières de cuir, elle trouva du plaisir en sentant la douleur se réveiller un peu.

Elle ne sut pas pourquoi ses doigts vinrent se saisir des anneaux qui ornaient le bout de ses mamelons et elle se mit à les tirer sans vraiment sans rendre compte.

Ses tétons lui firent mal mais elle n'arrêta pas, trouvant de la jouissance en se faisant souffrir.

C'est alors qu'un cri presque inhumain traversa la cloison et une vague de plaisir envahit la jeune femme lorsqu'elle réalisa que c'était Virginie.

Contrairement à elle, elle hurlait de douleur et plut beaucoup à Clarisse qui se sentit plus forte.

Le deuxième cri ne tarda pas et elle comprit qu'ils la fouettaient comme elle l'avait été peu de temps avant.

De la savoir entre leurs mains à subir les mêmes tourments fut vraiment jubilatoire. Sans s'en rendre compte, elle était venue caresser son clito encore tuméfié tout en tirant de l'autre main un de ses anneaux de tétons...

Le troisième cri fut pour Clarisse la plus douce des musiques et elle imagina le corps de Virginie pendu et marqué par de nombreuses stries rouges. Elle espéra qu'ils avaient flagellé sa poitrine en frappant aussi fort qu'elle l'avait fait sur elle.

D'un seul coup, tout en se caressant et en se faisant mal, elle se rendit compte qu'elle aurait bien aimé fouetter le corps de celle qui avait pris sa place. Elle aurait adoré endosser le rôle de tortionnaire et affliger des supplices à cette fille qu'elle abhorrait vraiment.

À chaque cri que poussa la jeune femme, Clarisse en retira un plaisir malveillant, se rendant compte que son intimité mouillait de façon anormale tant elle aimait la savoir torturée.

Lorsque les hurlements furent remplacés par des plaintes continues, elle sut que la flagellation avait laissé la place à un Philippe impatient d'en découdre.

Elle imagina ce dernier se placer derrière elle pour exploser son anus inviolé. Il avait dû lui casser la rondelle en forçant bestialement afin d'enfoncer son chibre entièrement dans son cul.

En entendant la voix de Virginie, transformée par une douleur non feinte, elle aurait pu penser être à côté d'un abattoir. Clarisse ne pensait pas prendre autant de plaisir au malheur d'une autre fille mais là elle l'avait mérité.

Lorsque le silence se fit d'un coup, Clarisse fut presque déçue en pensant qu'ils avaient arrêté de jouer avec elle. Elle aurait bien aimé qu'ils continuent longtemps juste pour la punir d'avoir osé prendre sa place.