L'Appât Du Gain (Partie 02)

BÊTA PUBLIQUE

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C'est à ce moment-là que Dylan fit son apparition pour leur dire qu'il avait mis au four des pizzas surgelées.

En le voyant, Noël lui proposa de boire un verre avec eux pour arroser leur rencontre. Lorsqu'il vit sa bouteille à moitié consommée, il n'osa rien leur dire et ne voulant pas les vexer, il prit un verre pour les rejoindre.

S'asseyant en face de la jeune femme, il lui sourit niaisement comme un jeune de quinze ans l'aurait fait avec la fille qu'il aime. Philippe, à qui cela n'échappa pas, s'empara d'un des seins de Clarisse qu'il se mit à caresser le plus naturellement du monde.

Cette dernière fut gênée de se faire palper juste devant le garçon et pourtant elle resta immobile, ne voulant pas déplaire à son propriétaire.

Ce fut Dylan qui marqua plus le coup en voyant la poitrine de la fille, tripotée devant lui. Il était amoureux de la belle et en voyant Philippe jouer avec ses seins, il eut une boule au ventre.

Ce dernier prenait du plaisir à la caresser, s'amusant parfois à insérer son doigt dans un des anneaux qu'il tirait légèrement, provoquant des douleurs dans tout le mamelon. Clarisse pourtant ne disait rien, se contentant de grimacer lorsque son téton était mis à mal.

Le barman était partagé entre deux sentiments. D'un côté il était subjugué par la poitrine offerte et d'un autre, il rageait de voir le fils malmener les seins de celle qu'il aimait.

Pourtant il savait qu'il n'avait aucun droit sur cette femme même si elle lui avait chaviré le cœur.

Le regard que lançait le jeune homme sur la poitrine de Clarisse n'échappa pas à Noël qui, pour enfoncer le clou, lui demanda.

- Comment trouvez-vous notre petite esclave, elle est belle n'est-ce pas?

- Heu... oui...très...

- Et vous verriez comment elle suce, c'est un pur régal.

Là, le garçon devint tout pâle et préféra ne pas répondre.

Clarisse, mal à l'aise elle aussi, porta son verre à sa bouche et faillit s'étouffer tant la boisson était forte.

Finalement, Dylan prétexta qu'il devait surveiller les pizzas pour s'éloigner du trio, ne pouvant plus supporter de voir les seins de sa belle, maltraités par le fils.

Clarisse fut un peu soulagée car étrangement, elle préférait qu'il n'assiste pas aux humiliations que les hommes aimaient lui infliger.

Lorsque quelques minutes plus tard, le garçon vint les chercher pour manger, ils se rendirent dans la grande cuisine ou la table était dressée. En voyant quatre assiettes, la jeune femme espéra que cette fois elle allait pouvoir manger.

Pour elle ce fut un vrai bonheur lorsqu'ils la laissèrent s'attabler et elle se régala lorsqu'elle put se restaurer sans aucune contrepartie. Le repas ne dura pas très longtemps et lorsque Noël et Philippe voulurent prendre congé, le barman insista pour qu'ils restent dormir.

- C'est gentil mais on a prévu quelques petites choses pour ce soir.

- Mais, il fait encore jour et ça peut être dangereux pour Clarisse.

Noël sourit en constatant qu'il l'appelait par son prénom.

- Elle adore le danger mais pour qu'il n'y ait pas d'émeute, on va peut-être attendre ici que la nuit tombe un peu.

La jeune femme aurait bien aimé dormir ici car le garçon ne la laissait pas indifférente, surtout depuis le baiser, puis elle se rappela de Julien et se dit que de telles pensées n'étaient pas dignes d'elle alors qu'elle vivait avec son fiancé.

En annonçant leur départ prochain, Noël avait remarqué à quel point Dylan avait l'air déçu et une idée lui traversa l'esprit.

- Vu que l'on doit attendre et que vous avez été très gentil avec nous en nous invitant alors que vous ne nous connaissiez pas, pour vous remercier, je vous la laisse une heure.

- Hein! comment?

- Comme vous avez été sympa, si ça vous dit, vous l'emmenez dans une chambre pour la baiser, on la récupère dans soixante minutes

Le cœur de Clarisse s'était mis à battre plus fort. Elle avait envie du jeune homme et espérait qu'il accepte la proposition.

Ce dernier était tellement surpris par l'offre du vieux qu'il ne savait plus quoi répondre. C'est vrai qu'il avait envie de la jeune femme mais là, ce n'était plus du tout romantique.

Ils la considéraient comme un morceau de viande ou un objet qu'ils pouvaient lui prêter sans qu'elle n'ait le moindre mot à dire.

Voyant qu'il hésitait, Noël renchérit.

- Elle n'a pas l'air de vous intéresser mais nous n'avions qu'elle à vous offrir pour vous remercier.

- Heu... non... oui elle m'intéresse...d'accord si elle le veut aussi...

Le vieux éclata de rire.

- Mais elle n'a pas son mot à dire. C'est oui ou c'est non, à vous de voir.

- D'accord... je la veux...

Clarisse essaya de ne pas sauter de joie. Elle allait se faire baiser pas ce garçon tellement gentil et elle était vraiment heureuse.

- Très bien, avec Philippe on retourne au bar, on a une bouteille de whisky à finir.

Lorsque Dylan se retrouva seul avec la jeune femme, il hésita un moment, ne sachant pas comment s'y prendre de peur de l'offenser. Ce fut elle, qui, en voyant la gêne du garçon, fit les premiers pas.

- Et su tu m'emmenais dans ta chambre, une heure ça passe vite.

- Oui, bien sûr.

Et sans en dire plus il lui prit la main pour la guider chez lui.

La chambre n'était pas très grande et était plutôt désordonnée mais Clarisse s'en moquait. Une fois la porte refermée, il l'a pris dans ses bras pour l'embrasser de nouveau.

Ce fut encore meilleur que lors de leur premier baiser et ils eurent du mal à se séparer. Pourtant, Dylan savait que le temps était compté et qu'il ne pourrait profiter de la jeune femme que durant une petite heure.

Clarisse ne résista pas lorsqu'il la mena jusqu'au lit et, fébrile, elle s'allongea sur le matelas alors que le garçon se déshabillait à la hâte.

Une fois nu, il vint la rejoindre, nerveux, et après l'avoir embrassée de nouveau, il fit courir sa main sur le corps de la belle.

- Tu es merveilleuse, je n'avais jamais vu de femme aussi parfaite que toi... je peux te poser une question?

- Oui.

- Depuis combien de temps tu fais ça?

Clarisse ne se voyait pas lui dire que ce n'était que depuis quelques heures, aussi, préférant éluder la question, elle glissa vers le bas du lit pour s'occuper du membre déjà en érection.

En voyant ce que la jeune femme s'apprêtait à faire, Dylan crut rêver tant cela était impensable. Il allait se faire sucer par cette fille irréelle qu'il ne connaissait pas deux heures auparavant.

La jeune femme approcha sa bouche du membre qu'elle trouvait magnifique. Pour faire plaisir à l'homme, elle se mit à lécher le gland déjà gonflé de sang.

Dylan, ne put s'empêcher de gémir lorsqu'il sentit la petite langue venir parcourir son bourgeon, le léchant du sillon au méat.

Il y avait bien longtemps qu'il n'avait plus de copine, trop occupé à travailler toute la journée pour ne pas couler son commerce. Là, la sensation était sans précédent et il ferma les yeux pour se laissait aller au plaisir de cette fellation.

Clarisse, qui voulait être irréprochable, abandonna le gland pour lécher langoureusement la hampe jusqu'aux testicules. À la respiration du garçon, elle savait qu'elle s'y prenait très bien aussi continua-t-elle durant de longues minutes à le déguster tel un bâton de glace.

Dès qu'elle estima le moment opportun, elle le prit dans sa bouche pour le plus grand bonheur du garçon déjà bien excité.

Lorsqu'elle emprisonna le gland entre sa langue et son palais, le jeune homme se crispa un peu plus, ouvrant en grand la bouche pour mieux s'oxygéner.Avec une lenteur presque exaspérante, Clarisse se mit à faire des va-et-vient jusqu'au fond de sa gorge, augmentant le plaisir du garçon presque à son paroxysme.

Elle savait qu'elle ne devait pas aller jusqu'au bout si elle voulait prendre elle aussi du plaisir. Préférant libérer le membre de sa bouche elle remonta à son niveau pour lui glisser dans le creux de l'oreille.

- Prends-moi... fais-moi l'amour...

Sans un mot, elle se mit sur le dos, écartant bien les cuisses pour l'accueillir en elle. Dylan était tellement excité qu'il vint immédiatement s'allonger sur son corps et d'un coup sec, il s'enfonça en elle.

Pour les deux jeunes gens, ce fut un vrai délire et la jouissance fut tout de suite là.

Dylan, déjà chauffé à mort lors de la fellation, donna de grands coups de reins dans la vulve de la fille. Aucune de ses anciennes copines n'avait une chatte d'une telle texture qui accueillait son membre tel un écrin fait pour lui.

Clarisse gémissait sans aucune retenue en sentant le membre la fouiller, piochant en elle avec violence.

Le coït ne dura pas longtemps mais fut d'une rare intensité et la jeune femme eut un orgasme en même temps qu'il se déversait en elle.

Alors qu'il restait bien au chaud dans son intimité, il vint de nouveau l'embrasser, sentant l'amour pour elle, augmenter encore plus.

C'est alors qu'il réalisa qu'elle appartenait aux deux hommes et qu'il ne pourrait pas l'avoir. Que jamais il ne pourrait la tenir dans ses bras sans leur autorisation.

L'amour fit place à du désespoir et, la repoussant gentiment, il lui dit d'une voix morne.

- Tu devrais les rejoindre, et vous devriez partir

- Hein! mais on ils nous ont laissé une heure et on a encore du temps devant nous.

- S'il te plaît, vas-t'en, laisse-moi...

La jeune femme, un peu perdue, se leva en constatant que le jeune homme ne voulait plus d'elle Elle sortit de la chambre sans voir que le propriétaire des lieux avait des larmes aux yeux.

Elle se demanda ce qu'elle avait bien pu faire ou dire mais préféra ne rien demander.

Au rez-de-chaussée, les deux hommes rigolaient en parlant de Clarisse. Noël avait vraiment eu du nez en l'accostant ce matin, surtout qu'elle dépassait de loin toutes leurs espérances.

En voyant la fille émerger dans la salle, ils furent très étonnés, pensant qu'ils seraient même obligés d'aller la chercher une fois l'heure écoulée.

- Il veut que l'on s'en aille, se contenta de dire la jeune femme

- Mais qu'est-ce que tu as fait?

- Rien, tout se passait très bien et d'un seul coup il m'a demandé de partir.

Noël, qui pensa connaître la raison de ce revirement, se leva en souriant, faisant signe à Philippe de lui remettre sa laisse.

- On va monter le rideau qu'à moitié j'ai vu quel bouton il fallait actionner

- On ne dit pas au revoir au patron

- Je ne pense pas qu'il en ait envie.

En septembre les jours étaient plus courts et lorsqu'ils se retrouvèrent dehors, la nuit était déjà tombée. C'est dans l'obscurité et en silence qu'ils regagnèrent la voiture et malgré quelques badauds qui regardèrent étonnés la jeune femme attachée à la laisse, le corps complètement nu, le trajet se fit sans encombre.

Dans la voiture alors qu'ils retournaient à la demeure, Noël qui était installé sur le siège passager se retourna, un sourire lubrique sur le visage.

- J'espère que jusqu'à présent, tu as passé une bonne journée car les choses sérieuses vont vraiment commencer.

À la façon dont l'homme la regarda, Clarisse eut froid dans le dos. Elle ignorait ce qu'ils avaient prévu pour elle mais compris à ce moment-là qu'elle n'allait sûrement pas aimer.

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7 Commentaires
allan87allan87il y a 4 mois

c'est un peu irréel, promener une femme nue en laisse, mais très érotique

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

J'ai bien aimé cette suite. Dommage que le barman est stoppé le public lorsqu'ils avaient pris Clarisse.

Vivement la suite (bien hard)

JB

dicordobadicordobail y a 8 moisAuteur

Merci pour les commentaires. Concernant la suite, elle risque d'être douloureuse pour Clarisse mais je n'en dis pas plus.

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Toujours aussi bien ecrit, j'attends la suite avec impatience en espérant que cela soit dur pour elle, car l'argent ne fait pas tout.

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

J’adore cette histoire, j’attends la suite avec impatience. Le barman va-t-il participer à sa déchéance ou la récupérera- il pour lui déclarer sa flamme?

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