La Prisonnière du Cartel Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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Moi : « Je vous ramène en voiture »

Hilda : « Je ne veux plus avoir a faire à vous!...si vous ne me laissez pas, j'appelle la police... »

Je lui tend alors ma carte d'agent de la sécurité intérieure.

Hilda est dans ma voiture.

Hilda « Ne me faites pas de mal! »

Moi : « Ce n'est pas mon intention...j'ai besoin de vous Hilda...pour une mission des plus importantes et des plus secrètes....de plus vous serez récompensée de 30 000 dollars! »

Hilda est surprise et ne sait pas quoi penser.

Moi : « Avant de vous ramener chez vous, garons-nous dans un endroit tranquille. Je dois tout vous expliquer! »

Je cache l'identité de La Chiquita mais lui explique que nous devons sauver une femme en la faisant passer pour morte, avec du Pescar. Hilda est infirmière, et a accès à la pharmacie générale, et elle est spécialisé dans la réanimation. Je lui décrit La Chiquita et le poids qu'elle fait.

Hilda : « Il y a un risque important qu'elle ne se réveille pas, a moins d'une piqure d'adrénaline. Et si elle ingurgite trop de pescar, rien ne sera possible »

Moi : « Je suis sure que vous pouvez m'aider. J'ai vu les soins que vous avez apporté à Maria (Chap 1) »

Hilda : « Pourquoi moi? »

Moi : « Vous êtes honnête et savez tenir votre langue! »

Hilda : « Vous m'avez forcé dans l'ambulance... »

Moi : « Je suis désolé.. »

Hilda : « Et si je refuse «

Moi : « Ces 30 000 dollars sont une somme...tous les risques sont pour moi, pas pour vous! »

Hilda accepte d'un mouvement de tête.

L'opération est dans deux jours. J'ai demandé à Hilda de me fournir la bonne dose de Pescar. Pour autant, je ne lui ai pas dit comment La Chiquita allait l'absorber...Hilda devra m'attendre dans une ambulance militaire garée devant la caserne. L'ambulance contiendra de quoi réanimer La Chiquita.

Nous sommes la veille de l'exécution de la Chiquita. Cette dernière est assise en tailleur sur son lit, immobile. Elle porte une longue chemise arrivant a mi-cuisses.

La porte de la cellule s'ouvre. Un soldat est accompagné du Caporal Vinicita, la seule femme de la garnison et officier. C'est une jeune femme a l'allure martiale, qui a du faire ses preuves pour égaler, voir dépasser les hommes. Ses cheveux sont tirés en chignon. Elle est de taille moyenne et semble très bien faite sous son treillis militaire.

La Caporal : « Ce soldat t'apporte ton repas le dernier... (elle sourit) tu as apprécié la douche que je t'ai donné tout à l'heure?... »

Pour éviter que des soldats ne la violent, on avait confié a la Caporal, le soin de laver La Chiquita. En fait, elle avait été exposée nue devant un mur, et la Caporal s'était servi d'un tuyau d'arrosage dont le jet était puissant et glacé.

La Caporal : « Je vois que tu es bien séchée, désormais...il te faudra pourtant mouiller demain et abondamment! »

La Chiquita ne répond pas et a toujours ce regard de défi.

La Caporal : « Pour que les cents hommes te passent dessus, il a fallu faire un tirage au sort. Vois-tu, le soldat Ignicio ici présent, a tiré le numéro 5. Vous êtes content soldat Ignicio? »

Le soldat (sourire) : « Oh oui mon Caporal....et très impatient... »

La Caporal : « Ce soldat, comme d'autres, a de bonnes raisons de te faire souffrir. Tu as tué nombre de soldats... »

La Caporal sort une lampe torche, se baisse et éclaire l'espace vide sous la chemise ou l'on voit une moitié de chatte de la Chiquita. Celle-ci ne cherche pas à la cacher.

La Caporal : « Voyez soldat...demain, elle sera tout à vous! »

Les deux militaires s'en vont après que la Caporal lui ai dit : « Fais de beaux rêves salope! »

La Chiquita est désormais seule, dans la pénombre. Les humiliations de ces militaires ne l'ont pas atteinte. Elle sait qu'elle va souffrir demain, peut-être mourrir. Elle se sent prête, et la peur l'a toujours accompagnée. Elle avait été violée à 14 ans, dans son village Indien. Jamais un homme ne l'avait touché depuis! Elle s'était construite toute seule, grâce à sa force et son caractère, sa rage. Elle sait que La Chiquita est morte. Si elle s'en sort, elle devra changer d'identité. Qui est vraiment Miguel?, peut-elle lui faire confiance?.

Pendant ce temps au palais, le Gouverneur Salama, enfermé dans son bureau, un casque sur les oreilles , regarde le dvd ou sa femme est forcée de lécher la Chiquita, pendant qu'elle lui verse de la cire brulante sur le con. Salama a sorti sa queue et se branle lentement la bouché bée.

Dans ses appartements, Térésa se confie au Docteur Wilson. Cette psychanalyste américaine réputée fait un séjour exceptionnel en Colombie et richement rétribuée, pour aider Térésa a surmonter le traumatisme de son viol. Janice Wilson a la quarantaine, véritable blonde, a style bcbg assumé, avec ce sourire américain caractéristique de ceux qui ont réussi, et qui sont des influencers. Il n'y a pas de divan et Térésa est assise en face de Janice.

Térésa : « Le viol de tous ces hommes fut horrible bien sur mais c'est surtout quand ce fut une femme...plus cruelle que les hommes... »

Janice : « Elle vous obsède n'es ce pas? »

Térésa : « Mes mains étaient attachés en hauteur...elle avait un gode ceinture et m'a violé par derrière dans mon vagin. Elle était brutale... »

Janice : « Le fait que ce soit une femme vous était plus odieux? »

Térésa : « Oui...surtout quand elle m'a prise devant. Deux hommes avaient soulevés mes cuisses et les écartaient....elle m'a violé...en me disant qu'elle me faisait l'amour...(hésitante) ...elle m'a obligée a l'embrasser, avec la langue, elle prenait mon visage... »

Janice : « Vous ne pouviez éviter le viol de votre bouche? »

Térésa : « Non...j'avais essayé mais elle me tordait le bout des seins. »

Janice : « Elle vous possédait comme un homme? »

Térésa : « Elle donnait de grands coups au fond de moi ou elle demandait a ses complices de me balancer vers elle....elle me disait alors...

Janice : « Oui? »

Térésa : « Tu me baises et tu aimes cela, n'es ce pas? »

Térésa pleure.

Janice lui sourit avec compassion en l'encourageant a pleurer encore pour évacuer le trauma. Janice croise ses jambes, car au fond d'elle, une sourde excitation humidifie sa culotte. Janice est une lesbienne, pourchassée par des perversions, que seule un psy peut reconnaitre....

Camilla, dans sa chambre, est allongée sur son lit. Un tee-shirt et une petite culotte de coton. Elle pense à la Chiquita, celle qui lui a fait découvrir des plaisirs insoupçonnées et sa vraie nature. Ses yeux se mouillent en pensant que demain, son initiatrice mourra. Quelques minutes plus tard, Camilla, sans culotte, se caresse le clito mais surtout fait coulisser une bouteille de coca vide dans son anus, puis des vas et viens de plus en plus rapides. Elle repense a la première fois ou elle avait revu la Chiquita. Celle-ci lui avait attaché les mains dans le dos et enfoncer un bâton de bois dans les fesses.

L'infirmière Hilda est en chemise de nuit et suce la queue de son mari, comme pratiquement tous les soirs. Il ne baise plus souvent Hilda, se contentant après une journée de labeur, de la bouche experte de sa femme. Hilda est une suceuse incroyable. Elle sait branler et en même temps, s'occuper des bourses, utiliser sa langue en rythme. Elle ne pense plus beaucoup à son plaisir mais celui de son mari. Lorsqu'elle avait du sucer le Colonel Machito puis Miguel dans l'ambulance ( Chap 1), elle avait eu droit à des félicitations. Plus lointain aussi, le souvenir de son viol par des policiers alors qu'elle était jeune mariée et mère (chap 2), revenait parfois avec ses paroles : « Jamais connu une nana aussi bonne ». Elle avait vieilli, avait un petit ventre, ses seins petits s'étaient un peu affaissés, et pourtant, il semble qu'elle procurait beaucoup de plaisir aux hommes. Son mari jouit, comme d'habitude dans sa bouche puis s'endort rapidement.

Miguel, quand a lui, est sa fenêtre et regarde l'agitation de ville en contre-bas. Il se parle à lui même.

Moi : « Je joue gros demain... au mieux, elle survit et cette association me profitera....au pire, tant pis mais je l'aurais bien baisé avant! »

A suivre!

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3 Commentaires
APVapvAPVapvil y a 11 mois

Magnifique. Une histoire haletante avec de l'érotisme. Merci

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