La Prisonnière du Cartel Ch. 04

Informations sur Récit
Suite du chapitre 3.
4k mots
4.42
6.8k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/23/2023
Créé 04/04/2023
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Chapitre 4

Dans le chapitre 3, Térésa, la femme du gouverneur Salama, m'avait confié le viol dont elle avait été la victime lorsque, âgée de 20 ans, elle avait participé a un concours de beauté. Quand à l'infirmière Hilda, elle s'était aussi confiée a Maria, sur un viol ancien commis par des policiers sous le regard impuissant de son mari. Enfin, Camilla, la fille du gouverneur Salama et de Térésa, avait été contrainte à une relation lesbienne avec la redoutable La Chiquita, sa ravisseuse. Camilla avait fini par jouir en criant.

La confession de Térésa et l'image de sa fille, filmée par le cartel, m'avait incroyablement fait bandé. Je sortais des WC du palais après m'être branlé quelques secondes avant de jouir sur les luxueux carreaux.

Les heures suivantes furent déterminantes et je vais tenter de les résumer.

Avec mon appui, Térésa avait supplié son mari d'accepter qu'elle fut échangée contre sa fille. Bon gré, mal gré, le gouverneur Salama finit par accepter. Je fus chargé d'être l'intermédiaire avec le Cartel. Ce dernier finit par accepter mais Salama devait donner un million de dollar pour que cet échange eu lieu. Le Gouverneur était un homme riche.

Camilla et Térésa furent donc échangés sur une route de montagne et désertique. Il n'était pas possible d'intervenir militairement sans mettre en danger la vie des deux femmes. Térésa, les yeux bandés fut emmenée dans une fourgonnette d'ou descendit Camilla, les yeux bandés également. Les deux femmes ne purent échangés le moindre mot.

Comme avait promis Salama au Cartel par mon intermédiaire, aucune intervention n'eu lieu contre le transport de drogue aérien, et l'on attendait désormais que le cartel remplisse sa part du marché.

Camilla attendait sa mère et l'inquiétude commençait à être importante.

Ce n'est que le lendemain matin que fut retrouvé Térésa, dans un village. Elle était descendue d'une fourgonnette, nue sous une couverture. Elle était hagard, les cheveux en bataille, le maquillage fondu. Les paysans avaient appelé les secours.

Hospitalisée et rejoint par Salama et Camilla, j'ai su rapidement qu'elle avait été sauvagement violée. Le gouverneur et sa fille restèrent longtemps à son chevet.

C'était un terrible échec. Une semaine plus tard, je fus convoqué au palais du gouverneur. Je retrouvais Salama dans son salon et le Colonel Machito. Je m'attendais a être vertement réprimandé.

Salama : (souriant) « Asseyez-vous cher Miguel? »

Moi (gêné): « Comment se porte votre épouse? »

Salama : « Elle a beaucoup souffert....et Camilla se culpabilise... »

Moi : « Je suis terriblement désolé. Si je n'avais pas insisté pour cet échange. Je pensais vraiment qu'ils allaient respecter notre accord. Je ne comprends pas... »

Salama s'assoit a son tour ainsi que Machito. Il allume un grand écran et met en marche un lecteur DVD. La première image est un menu ou figure plusieurs vignettes. Je suis soudainement terrassé par la surprise. On y voit Térésa nue, dans plusieurs positions et violée mais aussi les mains suspendus en hauteur et torturée par la Chiquita.

Moi : « Ils ont filmé?.... »

Salama : (sourit) « Oui, grâce à Dieu..ou plutôt grâce à vous... »

Moi : « Je ne comprend pas... »

Salama : « Et bien, vous allez être très surpris mais c'est moi qui ai négocié avec le cartel afin que ma chère épouse soit violée puis torturée par La Chiquita... »

Je suis sous le choc.

Salama : « Ma femme joue depuis longtemps le rôle d'une femme très pieuse, et peu portée sur le sexe mais c'est tout l'inverse. Voyez-vous j'aime ma femme, mais j'ai découvert il y a peu, qu'elle avait plusieurs amants depuis plusieurs années Elle aime faire l'amour, mais avec des hommes plus jeunes, et aime les dominer. Agé de 60 ans, j'ai désormais des problèmes d'érection et je ne peux satisfaire ma femme comme avant. Disons plutôt, que j'ai besoin d'une forte stimulation.. Ma femme vous a raconté le viol dont elle avait été victime dans le passé, et je l'avais aidé à reprendre confiance en elle. Je pensais qu'elle aurait eu confiance en moi en m'avouant ses pulsions. Et bien non!...elle se comporte comme une vraie salope!... Savez-vous sa perversion?...sodomiser de jeunes hommes avec un gode ceinture.....quand, par amour pour sa fille, elle a proposé cet échange, j'ai su que je pourrais avoir enfin ma revanche. Depuis quelque temps déjà, je me branle sur le viol qu'elle avait subie jeune. A l'époque, il m'avait dégoûté, mais maintenant, il me provoque une érection....J'ai payé le cartel pour que ce viol soit filmé et soit le plus rude possible....je meurs d'impatience de voir cela...c'est le Colonel Machito qui m'a confié que vous aimiez comme lui...le plaisir que nous pouvons éprouver a forcer toutes ces salopes! »

Moi : « Je suis honoré par votre confiance Gouverneur.. »

Salama : « Et bien...si nous passions désormais un bon moment?...je dois vous dire aussi que l'état de mon épouse fut déplorable lorsqu'elle a été hospitalisée : chatte et cul très irrités, du foutre séché sur son corps, des marques et des zébrures sur ses chairs délicates...allons-y maintenant... »

Salama et Machito sortent leurs queues a demi bandés. Je découvre a coté, sur une petite table, des pilules sexe.

Salama : « Cette séance dura environ cinq heures mais La Chiquita a réalisé un montage de deux heures. J'espères en avoir pour mon argent. »

Il est difficile de décrire tout ce que j'ai vu sur cette vidéo. Tout était réalisé dans une espèce de hangar. Le tournage était très professionnel. Une caméra filmait des gros plans, une autre des plans d'ensemble. Tous les hommes portaient des masques et étaient nus. La Chiquita était la chef d'orchestre. Masquée elle aussi, elle portait simplement un string noir. De petite taille mais avec un corps sculpté par une belle musculature. Sa poitrine volumineuse avait la couleur de sa peau Indienne. Elle tenait à la main sa longue baguette.

Durant tout le visionnage, Salama nous fit part de ses commentaires, de son bonheur. Il jouit plusieurs fois grâce aux petites pilules, que pris Machito aussi. Je dois confesser que mon foutre fut gaspillé lui aussi. Térésa est une femme si belle et classieuse. Elle fut ravagée et ses cris et gémissements accentuaient notre terrible excitation.

Salama : « Mon épouse à une très belle voix...elle fait parti d'une chorale....humm, écouter là crier... »

Voici ce que je vis et entendis dans l'orde, d'après mes souvenirs : allongée, nue sur un matelas, elle a du branler a genoux des hommes et en sucer d'autres. La Chiquita lui donnant des petits coups de baguette dans les recoins sensibles de son corps pour qu'elle obéisse avec célérité et motivation. Térésa pleurait. Ensuite, vinrent de multiples pénétrations.

Salama : « Remarquez comme sa chatte a été soigneusement rasée!!! »

Baisée et défoncée, elle dut supporter des doublettes chatte et cul, mais aussi triplette, chatte, cul et bouche. En levrette, couverte d'insultes et de consignes, la Chiquita frappa plusieurs fois son dos pour l'obliger à se cambrer. Ils la plaquèrent sur une petite table, seins écrasés. Elle était baisée et devait sucer. Puis chacun des dix hommes, a tour de rôle, s'est allongé sur le dos. C'est Térésa qui devait monter et descendre sur les pieux. Térésa ne le faisait pas bien et La Chiquita la frappa plusieurs fois sur les fesses, le ventre et les seins pour qu'elle s'applique. Salama déchargea en voyant cela.

Salama ; " Voilà qui est excellent pour travailler la force de ses cuisses!"

Il faut bien préciser qu'une caméra filmait en gros plan toutes ces bites et leurs va et viens dans la suppliciée mais aussi le visage de Térésa, abimée par la douleur et l'humiliation. La prise de son était remarquable. On entendait les petits ou grands gémissements ainsi que les cris, et les souffles.

L'apothéose vint avec le numéro de la Chiquita. Salama et Machito crachèrent leurs foutre, bouche bée durant les meilleurs moments et ils furent nombreux. Les mains de Térésa étaient attachés et tirés en hauteur. La femme du gouverneur était donc debout, les cheveux défaits, des traces de foutre un peu partout. C'est alors que la Chiquita nous montra tout l'art de sa baguette. La musique des cris de Térésa était des plus excitante. La Chiquita s'amusait a varier le rythme de ses coups et aussi l'endroit ou la baguette s'abattait. Térésa ne pouvait rien deviner à l'avance, si ce n'est se tortiller, impuissante et ridicule. Puis la Chiquita posa sa baguette et vint monter deux pinces métalliques sur chacun des seins de la salope, autour de chaque auréole.

La Chiquita : « Ta fille a d'adorables petits nichons mais les tiens sont celles d'une femme mure, et ont besoin d'être traités comme les pies d'une vache »

Térésa : « Non...s'il vous plait... »

Puis elle installa deux gros poids fixés par une chaine. Térésa se mit à gémir.

Salama : ' Oh, regardez, comme cela les tire... »

La Chiquita s'amusa a les tirer doucement puis par petits coups, rythmé par les gémissements de sa prisonnière.

La Chiquita disparue quelques instants puis vint vers Térésa avec un godemichet noir d'une dimension bien supérieure aux queues qu'elle avait du accueillir. Et ce godemichet avait une particularité, des petites boules ressemblant a des épines le couvraient entièrement.

Térésa eu une expression de peur.

La Chiquita : « Je pense que j'auras déchiré le con étroit de ta fille avec...par contre, toi, bien élargie et tout le foutre comme lubrifiant, tu devrais jouir... même si les petites boules vont t'électriser conasse »

Térésa : « Non...par pitié...je n'en peux plus!!! »

La Chiquita approche le gode de la bouche de Térésa.

La Chiquita : « Avale et suce..lubrifie-le! »

Térésa finit par obéir sous la menace d'un tirage de nichons.

La Chiquita rit puis enfourcha une culotte spéciale ou elle vissa le godemichet, puis elle alla se positionner derrière Térésa. Elle s'enfonça lentement dans sa chatte en lui tenant les hanches, comme un amant. Les gros plans étaient incroyables et je crachais mon foutre sur le tapis du salon, en écoutant les cris de la salope. La vision du gode entrant et sortant, avec ces petites boules était prodigieuse.

Salama ; « Pensez-vous que sa moule va saigner? »

Puis le rythme s'accéléra. Non seulement, La Chiquita la baisait mais s'amusait aussi a tirer sur les poids qui meurtrissent ses seins, sous les hurlements de sa captive.

La Chiquita se retira et Térésa croyait en avoir fini quand sa tortionnaire lui retira les poids et les pinces de ses seins rougis et étirés. Mais deux hommes, désormais habillés, vinrent soulever chacun une cuisse de Térésa de chaque coté en les écartant. La Chiquita vint ensuite se positionner a la bonne hauteur.

La Chiquita : « On va baiser ma chérie! »

Térésa : « Oh, nooon »

La Chiquita entra dans la chatte et se mit a la pistonner a coups de gode sur un rythme régulier. Elle lui suça les seins en les mordillant, provoquant des petits cris de la suppliciée.

La Chiquita : « Donne moi ta bouche et ta langue ... »

Térésa s'y refusa mais après quelques gifles, elle se laissa emballer.La Chiquita lui bouffait la bouche, pelottait violemment ses seins, et la pistonnait avec force. Cette Indienne avait la musculature pour.

Dans le salon, nos trois queues étaient au garde a vous!

La Chiquita finit par se retirer car Térésa venait de s'évanouir.

Salama : « Oh, non pas déjà »

Les hommes de la Chiquita jetèrent un seau d'eau glacé sur Térésa qui se réveilla en sursaut. Le cauchemar n'était pas fini.

La Chiquita : « Détachez-là! »

Nous étions proches de la fin. Térésa, allongée sur le dos, les cuisses écartés par deux hommes.

La Chiquita : « Allez-y! »

Ils levèrent les pieds de Térésa, lui plièrent les jambes pour que ces cuisses soient parallèles a son ventre et écartés. Elle avait ainsi sa chatte et son cul dilaté à l'horizontal. La Chiquita avait retiré son string et on découvrait une chatte lisse et le tatouage d'un crocodile. Face au con et cul de Térésa, elle s'assoit tout près de la bouche de la violée.

La Chiquita : « A mon tour de jouir....montre-moi! »

Térésa n'avait jamais léché la chatte d'une femme. Par rapport a ce qu'elle venait de vivre, elle se dit que ce n'était pas le pire.

Mais au moment ou elle commençait son léchage, un troisième homme vint avec une grosse bougie d'un bon diamètre. La Chiquita la prit et la planta dans la chatte de Térésa.

Térésa : « Oh, non, par pitié... »

La Chiquita : « Lèches...tu verras comme c'est bon la chaleur!"

Puis on lui donna une autre bougie d'un diamètre inférieur que La Chiquita enfonça dans le cul de la salope.

La Chiquita alluma avec une grande allumette les deux bougies.

La Chiquita : « Appliques toi ou je te frappe les seins... vois tu, ces deux bougies ne vont pas tarder à produire une cire brulante qui coulera sur les rainures que l'on a ajouté....( La Chiquita caresse le visage de Térésa qui pleure)....hummm, elle va bientôt descendre réchauffer les lèvres de ta chatte de pute et inonder ton cul »

Salama : « Oh mon Dieu....regarder la cire coule.... »

Les hommes tenaient Térésa lors des premières brulures car elle se débattait.. On donna a La Chiquita deux autres bougies et elle fit fait couler la cire sur les tétons de la malheureuse.

Salama, Machito inondèrent le tapis de leur foutre. Je les suivi une dernière fois.

La Chiquita finit par jouir sur le visage de Térésa qui tentait de se débattre.

Quelques minutes plus tard, Térésa était recroquevillée.

La Chiquita : « J'espères que tu as aimé belle puta...mets toi sur le dos et écartes... »

De la cire de bougie trainait sur ses seins, son ventre mais aussi sur sa chatte dont les abords étaient rouges. La Chiquita prit sa baguette et frappa sur chaque endroit, avec l'aide de quatre hommes qui écartelaient la belle suppliciée.

La Chiquita : « Il faut que tu sois propre pour rentrer chez soi! »

Voilà en gros. Salama, Machito et moi même étions épuisés par deux heures de branlette et de jouissance.

Machito : « J'ai rarement vu un spectacle aussi excitant »

Moi : « Votre épouse a été héroïque! »

Salama : ( sourit) « Et que dire du talent de cette Chiquita...cette vidéo me fera longtemps bander... »

Machito : « Croyez-vous qu'elle s'en remettra? »

Salama : « Difficile à dire...je pense qu'elle aura besoin de toute mon affection. J'espères qu'elle saura me la rendre. Il me suffira de repenser a son viol pour que ma queue retrouve une jeunesse... »

Moi : « Merci de m'avoir honoré de votre invitation. J'ai passé un moment des plus plaisants... »

Salama : « Cher Miguel...j'aurais besoin de vous pour une prochaine mission...

Moi : (intrigué): « Oui? »

Salama : « La Chiquita est la témoin de mon forfait. Elle est devenue dangereuse, pourrait me faire chanter, vous comprenez?... »

Moi : « Oui, bien sur.... »

Machito : « Mais Miguel, le Gouverneur la veut vivante ....»

Salama : « Elle doit payer pour le viol abominable de ma femme.... »

Machito : « Il se trouve que la garnison de Trésarca possède 100 hommes. Ils sont le plus souvent privés de femmes, si ce n'est de prostituées.... »

Salama : « Le Colonel Machito a eu cette merveilleuse idée de faire violer La Chiquita par toute la garnison. Qu'en pensez-vous? »

Moi : « Après tous les crimes qu'elle a connu, cela ne serait que justice »

Machito : « Chatte, bouche et cul....déchirées par 100 hommes »

Salama : « Et filmé!...elle mourrait de ce viol incroyable!!! »

Moi : « Cela sera très difficile de la capturer. »

Salama : « Vous serez largement récompensé, avec en plus un bonus...

Je regarde avec interrogation le Gouverneur.

Salama : « Vous serez invité au viol de Camilla auquel je pense depuis fort longtemps ....elle n'est que ma fille adoptive...je l'aime bien sur....mais la vidéo de son enlèvement m'a profondément troublé...ses tétons, ses cuisses écartées....pour tout vous dire, je rêve de la violer et de la partager...qu'en pensez-vous Miguel? »

Moi : « Je suis honoré...elle est aussi belle que sa mère mais possède en plus une candeur... »

Salama : « Oui, et une grande sensualité....

Moi : « Je ferais tout pour réussir cette mission et capturer La Chiquita »

Je rentrais dans l'appartement du centre ville, et malgré les Klaxons du dehors, je m'endormais comme une souche. J'étais épuisé. Je dormis jusqu'au lendemain matin.

Je me réveille. Je repense a cette vidéo terrible du viol de Térésa. Je réalise combien Salama est pervers et que sa richesse doit aussi être liée a sa relation ambiguë avec les Cartels.

Je suis fatigué de cette violence et me demande comme je vais attraper cette maudite Chiquita. Je l'ai vue nue mais son visage est inconnu. Aucune photo. Nous savons seulement qu'elle est Indienne.

Je n'ai pas envie de sexe violent mais de tendresse, simplement. J'appelle ma cousine Manuela. On s'est connus adolescents. Elle fut ma première femme. Je fus son premier homme. Mariée et mère de trois enfants, elle n'a jamais cessé de m'aimer, et de cocufier son mari. Quand je l'appelle, elle sait immédiatement de quoi j'ai besoin et accoure.

Manuella n'est plus vraiment mignonne. Elle a pris du poids mais est toujours aussi douce. Je suis nu allongé sur mon lit. Elle se déshabille en souriant et s'assoit auprès de moi.

Elle prend ma queue dans sa main et me branles doucement, avec tendresse.

Moi : « Hummm, comme tu sais y faire.... »

Je n'ai jamais rien cacher à Manuella. Elle connait mes activités et mes perversions. Je lui raconte la vidéo que j'ai vu.

Manuela : « Tu as joui plusieurs fois? »

Moi : « Oui, grâce aux pilules »

Manuela se courbe, approche sa bouche de ma queue et donne des petits coups de langue sur le gland.

Manuella : « Tu sais...tu peux me violer si tu veux... »

Moi : « Jamais ma chérie... »

Manuella : « D'autres peuvent me violer devant toi et me torturer si tu veux... »

Elle me suce les couilles puis prends ma queue dans sa bouche.

Moi : « Entre nous, c'est différent, tu le sais bien... »

Manuella : « Je t'aime Miguel...tu peux faire de moi ce que tu veux...je ne suis plus aussi mignonne qu'avant mais mon corps t'appartient...je suis a toi...je laisse mon connard de mari me baiser mais c'est mécanique... »

Manuella vient s'installer a califourchon sur ma queue et me baise avec amour. Cela me détends, me repose.

Manuella : « Si un jour, tu as besoin d'argent...je ferais la pute pour toi... ».

Me connaissant bien, après cette baise, elle vient me reprendre dans sa bouche et me fait jouir. Elle me regarde en avalant mon foutre.

Seul dans mon appartement, je fais quelques pompes, m'assoit et me serre un verre.

Moi : « Comment vais-je trouver La Chiquita? »

Pendant ce temps, dans une clinique privée.

Térésa est allongée sur un lit, dans une chambre luxueuse décorée par de nombreuses fleurs. On frappe a la porte.

Térésa : « Entrez! »

Salama entre et sourit à Térésa qui le lui rend.

Térésa (sourire fatigué) : « Encore des fleurs... »

Salama : « Il n'y en aura jamais assez pour toi! »

Salama dépose le bouquet et vient s'asseoir auprès de son épouse, après lui avoir baiser le front.

Térésa : « Tu as croisé Camilla?...c'est un ange »

Salama : « Oui, dans les couloirs, elle rentrait.. »

Térésa : « Je sais qu'elle se culpabilise...mais ce n'est pas de sa faute....imagine ce qu'ils lui auraient fait... »

Salama : « Je ne veux pas l'imaginer mon amour! »

Térésa : « Je ne sais pas si je pourrais te décrire un jour ce que j'ai vécu...

Salama : « Tu n'as pas besoin de le faire...tu es maintenant en sécurité...avec l'amour de ta famille, de tes proches... »

Térésa : « Je n'ai été qu'un morceau de viande..(traumatisée) ...ils ont joui de ma souffrance... »

Intérieurement, Salama jouissait de ses paroles, lui qui savait tout de ce qu'elle avait subi en ayant vu la vidéo.

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