La Prisonnière du Cartel Ch. 05

Informations sur Récit
Suite du Chapitre 4.
4.9k mots
4.45
5.8k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/23/2023
Créé 04/04/2023
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Pour le lecteur qui n'a pas lu les chapitres précédents, et pour éviter qu'il ne soit un tantinet perdu, je fais un rapide résumé du chapitre précédant dans chacun d'entre eux. Dans le chapitre 4, le gouverneur Salama avait invité le Colonel Machito et Miguel a regarder le viol filmé de son épouse, Térésa. Violée par de nombreux hommes mais aussi par la cruelle La Chiquita. La jeune Camilla pensait toujours à La Chiquita et découvrait son gout pour la soumission. Quand à Miguel, Salama lui avait donné une mission : capturer la Chiquita en échange de 500 000 dollars. Le gouverneur avait aussi promis a sa femme qu'elle assisterait à l'exécution de La Chiquita, violée jusqu'a ce que mort s'ensuive par cent soldats d 'une garnison.

La chambre luxueuse d'un hôtel moderne du centre-ville de Bogota.

Nues, La Chiquita et Camilla sont tête-bêche en position du 69. Elles se lèchent, se sucent avec passion, Leurs chattes sont lisses et brillantes de bave, de mouille. La Chiquita est vorace, violente. Camilla lèche avec amour, passion mais tendresse. La Chiquita donne une grande gifle sur les fesses de Camilla, qui gémit.

Camilla : « Ouiiiiiii »

Soudain, la porte de l'hôtel se retrouve défoncée avec fracas. Apparait alors, Miguel, le pistolet à la main, suivi de trois autres hommes, en tenue militaire.

Camilla tombe du lit en hurlant, protégeant ses seins et sa chatte. La Chiquita se redresse, une cuisse écartée et défie Miguel du regard.

Quelques jours plus tôt.

Deux mois s'étaient écoulés depuis la libération de Térésa. Elle avait quitté la clinique et regagné le palais du Gouverneur. Elle consultait un psy chaque semaine.

Quand à moi, le gouverneur Salama m'avait promis 500 000 dollars, pour capturer La Chiquita. Or, je n'avais aucune piste. Le Colonel Machito me pressait et Salama s'inquiétait.

La Chiquita, dans la nature, était un danger réel , surtout avec la vidéo du viol de Térésa.

J'avais interrogé mes contacts, mes indics, mais La Chiquita, fidèle à sa légende, était un fantôme. Peut-être était-elle partie à l'étranger?. J'avais interrogé Térésa pour savoir si elle n'avait pas relever des détails particuliers durant sa captivité. Au fond de moi, en face d'elle, je bandais en imaginant toutes ces bites la saccageant et si elle avait apprécié le gout de la chatte de La Chiquita qu'elle avait été contrainte de lécher. Elle me parlait avec confiance, sans savoir que je l'avais vu nue, se faire défoncer, et que j'avais joui plusieurs fois des outrages qu'elle subissait.

Puis, j'avais vu Camilla. Elle m'avait reçu des ses appartements. Cette jeune fille sage et gracieuse ne se souvenait de rien de particulier. Elle disait avoir été bien traité malgré l'épisode ou elle fut attachée, les seins à l'air, les cuisses écartés, avec juste une fine culotte de dentelle pour cacher son con. Camilla trahissait, tant bien que mal, une certaine compassion pour La Chiquita. Cela m'intrigua, et puis en la quittant, mon regard fut attiré par un petit carton près de l'ordinateur de la jeune fille. Dessus figurait un crocodile.

Mon intuition me disait qu'il y avait quelque chose à fouiller là. Je me résolu a filer Camilla. Elle quittait trois fois par semaine le palais, avec son chauffeur, pour les essayages de sa robe de mariée, puis rentrait au palais. Le mariage de Camilla avec le jeune et prometteur officier Fabrizio avait lieu dans un mois.

Ce Mardi après-midi, même si je commence a me demander si je ne fais pas fausse route, je la file a nouveau. Son chauffeur la dépose devant la boutique de luxe ou ont lieu les essayages. Au bout d'une heure, lorsqu'elle sort, au lieu de monter dans la voiture, elle dit quelques mots au chauffeur puis s'en va à pied.

Je descends de voiture et la suit à distance. Nous sommes dans le quartier luxueux de Bogota. Camilla marche d'un pas rapide, puis entre dans un hôtel. Elle salue la réception et monte aux étages.

Je me dirige vers la réception.

Moi : « Dans quelle chambre est montée cette jeune femme? »

L'employé : « Je n'ai pas le droit de vous informer, Monsieur »

Je lui tends alors une carte de la sécurité intérieure, a mon nom. C'était une des cartes dont je me servais pour entrer n'importe ou faire pression sur les gens. Le Colonel Machito m'avait donné toutes les accréditations possible pour mon enquête.

L'employé : « Chambre 320...une autre femme est montée avant... »

Moi : « Décrivez la moi! »

L'employé : « Petite, de type Indien, les cheveux longs! »

Je me met a sourire. Mon coeur bat. Je retourne dehors pour contacter mon équipe d'intervention.

Retour dans la chambre d'hôtel.

Je n'en crois pas mes yeux. La Chiquita est devant moi. Nue, une partie de ses longs cheveux noirs descendent sur sa poitrine. Sa chatte présente encore des traces de mouille et de léchouilles. Un de mes hommes se précipite vers elle et la tire par les cheveux. Un autre s'approche et plaque violemment sa main gantée sur sa chatte lisse, enfonce un doigt, puis deux.

La Chiquita grimace de douleur et serre les dents.

Moi: « Stop...arrêtez!! »

L'homme : « Mais.... »

Moi: « Je sais que vous avez tous une bonne raison de vous occupez d'elle mais vous n'en ferez rien....amenez la à la base, dans la cellule de sécurité qui a a été prévue. Personne ne devra y toucher, la brutaliser, sinon vous en répondrez devant le Colonel Machito!. Es ce compris! »

Miguel regarde tous les hommes, qui opinent de la tête

La Chiquita s'habille. Elle porte un jean et un simple tee-shirt. Les hommes l'emmènent, non sans avoir confisqué le pistolet qui était posée sur la table.

Quand les militaires sont partis, Camilla se rhabille rapidement. Elle porte une robe d'été qui lui arrive a mi cuisses. Elle est ravissante et s'assoit sur le lit.

Moi : « Pourquoi Camilla? »

Camilla : « Je...je ne sais pas »

Moi : « Après tout ce que cette femme a fait subir a votre mère? »

Camilla : « Oui...j'ai honte...je m'en veux «

Moi : « Dites-moi la vérité! »

Camilla me raconte comment la Chiquita avait abusée d'elle durant sa captivité. Je la force à me décrire le moindre des détails.

Moi : « Et vous avez joui?, n'es ce pas? »

Camilla : « Oui.... »

Je bande fort.

Moi : « Il semble qu'elle se soit attachée a vous et ai pris de gros risques ... »

Camilla : « Je l'aime...que va lui arriver? »

Je ne réponds pas.

Camilla (hautaine) : « Ne dites rien à mes parents...il ne doivent rien savoir »

Moi : « Vous avez beau être la fille du gouverneur, ce n'est pas de vous que je reçois des ordres....quand votre père et surtout votre mère apprendront ce que j'ai vu, ils auront le coeur brisé! »

Camilla : « Non...je vous prie!!! »

Elle se met à genoux

Camilla : « Je vous donnerais de l'argent! »

Après un silence, je souris

Moi : « Ce n'est pas votre argent qui m'intéresse.... »

Camilla comprends très rapidement et souffle .

Moi : « Mets toi debout...retire tes vêtements encore une fois, je veux te voir nue »

Camilla hésite puis baisse la tête, enlève sa robe, ses sous-vêtements. Elle est désormais a poil.

Moi : « Pose tes mains sur ta tête et tourne toi lentement! »

Cette position humiliante me permet de jauger ce qui m'est offert. Camilla n'a pas les formes plantureuses de sa mère mais son aspect juvénile, ses traits fins et son allure de petite bourgeoise en font une marchandise de premier choix.

Moi : « Reste là, en face de moi et écoutes moi.......Tes parents ne sauront rien, tu as ma promesse mais en échange, tu devras accepter d'être.... ma pute à moi!. Je vais te baiser de bien des manières. Tout ton corps sera à moi, et même quand tu seras mariée. Je te baiserais quand bon me semble, quand l'envie me prendra. Tu rappliqueras comme une chienne!. Acceptes-tu? »

Camilla : (souffle entre deux sanglots) « Vous ne direz rien à mes parents!!! »

Moi : « Je te le jure! »

Camilla fait oui de la tête, sans un mot.

Moi : « Répètes après moi : je suis ta pute, soumise, je t'appartiens! »

Camilla répète.

Camilla : « Je suis ta pute, soumise....je t'appartiens"

Moi : « Bien, va t'allonger sur le lit, cuisses ouvertes! »

Je me déshabille lentement et plie mes vêtements.

Moi : « A part Fabrizio, ton fiancé, tu a gouté à d'autres bites? »

Camilla : « Non... »

Moi : « Bien... tu as trompé ton connard avec une chatte. Il te reste a finir le travail avec une queue »

Je bande déjà fort. Je monte sur le lit.

Moi : « Comment la trouves- tu?»

Camilla : « Elle est plus grosse....j'ai peur... »

Elle ne finit pas sa phrase que je lui saisi le visage et lui demande de me sucer.

La petite n'a pas beaucoup d'expérience mais j'en ferais une bonne élève. J'en profite pour lui palper, les seins, le ventre, les cuisses, la chatte. Sa peau est douce, souple.

Quel bonheur de réaliser que je baise la fille de Térésa et Salama. Ajoutons les 500 000 dollars promis pour la capture de La Chiquita. Je me crois roi du monde.

Je baise Camilla dans de nombreuses positions. Cette fille est très souple. Elle trop facile. Je la baise avec dureté. Camilla est totalement soumise, n'oppose aucune résistance. Je me décide de lui prendre son petit cul pour l'humilier davantage.

Moi : « C'est la première foi? »

Camilla : « Oui...sauf que »

Moi : « Sauf que quoi? »

Camilla : « La Chiquita m'a enfoncé un bâton.. »

Camilla est allongée sur ventre. Je m'enfonce lentement dans son rectum.

Moi : « Et tu as aimé? »

Camilla ne réponds pas. Je la siffle

Camilla : « Oui...j'ai aimé.... »

Moi : « Tu es maso, n'es ce pas, une vraie! »

Camilla grimace quand je m'enfonce un peu plus.

Camilla : « Je ne sais pas...je...oui, continuez »

Moi : « Tu aimes quand je t'encule! »

Camilla : « Ouiii... »

Moi : « La Chiquita t'a raconté ce qu'elle a fait à ta mère, dis moi la vérité... »

Camilla : « Oui... elle m'a tout raconté...avec tous les détails... »

Moi : « Ça t'a excitée d'entendre ce que ta mère avait subi, n'es ce pas? »

Camilla ( se livre) : « Oui....j'aurais aimé être a sa place!!! »

Moi : « Tu es une vraie maso, petite salope, chienne »

Camilla : « Vous croyez? »

Moi : « Petite hypocrite , va, je vais accélérer....( je la fesse en même temps )... qu'es ce qui t'a plu dans le viol de ta mère? ... »

Camilla halète ; « J'ose pas... »

Moi : « Tu peux tout me dire, tu es à moi, laisse toi aller! »

Camilla sombre dans le délire de l'excitation. Cet homme la possède. Elle n'est plus qu'une chose et elle aime cela, plus que tout.

Camilla : « Toutes ces queues...j'en veux aussi. Je veux être défoncée comme elle. Par devant, par derrière, en même temps, sucer et boire du sperme....La chiquita m'avait promis de m'occuper de mes nichons, d'écarter ma chatte, de me fouetter....comme avec ma mère...quand elle la frappait sur le ventre, quand elle se faisait prendre.... »

Entendre la fille relater le viol de sa mère en rêvant d'être a sa place me met au bord de l'implosion.

Moi : « Jusqu'ou tu peux aller salope.... »

Camilla ( trop excitée, proche de l'orgasme) : « Me faire mettre par un chien, elle me l'avait promis!!! »

Nous jouissons tous les deux ensemble!.

Quelques minutes plus tard, Camilla est habillée, assise sur le lit. Je m'assois auprès d'elle, l'embrasse à pleine bouche, tout en lui caressant doucement l'intérieur de sa cuisse.

Moi : « Je te félicite. Tu es une merveilleuse petite soumise...tu vas retrouver le palais, tes parents, ton fiancé, faire comme si rien n'était, compris?. Tu joueras la surprise quand tu apprendras la capture de La Chiquita, okay? »

Camilla : « Oui....que va t'il lui arriver? »

Moi : « Elle sera amenée dans une garnison ou 100 hommes la violeront jusqu'a ce que mort s'ensuive... »

Camilla : « Mais c'est horrible!!! »

Moi : « Je sais! »

Camilla baisse la tête.

Moi : « Fais l'amour avec ton fiancé, sois la jeune femme que l'on attend de toi... »

Camille opine de la tête

Palais du gouverneur.

Salama, le Colonel Machito, Térésa et moi même levons nos verres.

Salama : « Salute! »

Nous répétons a notre tour.

Salama : « Bravo Miguel pour la capture de cette criminelle »

Moi : « Le Colonel Machito m'a procuré les moyens de la débusquer »

Machito : « Elle avait une planque en ville. Cette idiote s'est jeté dans la gueule du loup! »

Térésa : « Quand aura lieu son?... »

Salama : « Le plus vite possible mon aimée; Je sais que vous êtes impatiente...êtes-vous toujours sure de vouloir y assister »

Térésa (le regard dur) : « Plus que jamais....vous me l'avez promis! »

Salama : « Bien sur, ma chérie! »

Térésa : « Maintenant, excusez-moi, je dois informer Camilla. Je pense qu'elle sera plus qu'heureuse ».

J'opine du chef, bien qu'intérieurement, j'espères qu'elle jouera parfaitement la comédie. Je la tiens et ne veux pas la perdre.

Térésa quitte le salon.

Salama : « Nous avons un problème....je m'étais trop avancé en proposant à Térésa d'assister au viol mortel de La Chiquita...elle va vouloir lui parler, lui dire que j'ai commandité son viol, et la vidéo.... »

Machitto : « Nous sommes face à une difficulté...mais nous ne pouvons pas priver votre épouse de sa vengeance »

Salama : « Voir cette Indienne se faire mettre par cent de nos soldats m'excite au plus haut point »

Machitto : « Il en va de même pour moi »

Moi : « Il n'est pas question de rater cette fête....j'ai une idée...je vous demanderais simplement une simple faveur... »

Cellule sécurisé a la base de Baracada.

L'endroit est petit, avec un simple lit et une chaise. La Chiquita est assise, le dos contre le mur. Son jean et son tee-shirt moule un corps entrainé

J'entre et je m'assois sur la chaise, à califourchon, en face d'elle.

Moi : « La Chiquita... »

La Chiquita : « Tu es Miguel...l'homme qui navigue entre les cartels et nos maitres, nos gouvernants. Tu te vends comme une pute! »

Moi : « Tu es La Chiquita, celle qui vend ses services au plus offrant. Qui est la pute? »

La Chiquita : « Nous deux alors! »

Je souris. Cette femme a une force incroyable, une sorte de magnétisme.

Miguel : « Pourquoi avoir pris autant de risques pour retrouver Camilla? »

La Chiquita : « Cette petite est trop bonne à baiser. Cette conne était amoureuse de moi. La fille du Gouverneur était un atout. J'aurais pu en faire mon jouet et jamais une fille ne m'a aussi bien léchée »

Miguel : « Sache que j'ai baisé Camilla, en échange de mon silence....je l'ai défoncé, même son petit cul...elle est désormais à moi...je vais bien m'en occuper... elle n'est pas encore une bonne suceuse, mais ça viendra »

La Chiquita : « Tu es aussi pervers que moi. Je lui ai déjà pris son cul avec un bâton...je voulais recommencer avec une grosse matraque. Quel dommage! »

Miguel : « Son idiot de futur mari profitera de ses progrès... »

La Chiquita: « Pourquoi es-tu là? »

Moi : « J'ai joui plusieurs fois avec la vidéo de Térésa. Nous étions réunis Salama, Machitto et moi »

La Chiquita : « Ce salaud a pris du plaisir a voir sa femme défoncée? »

Miguel : « Plus que tu ne le crois...mais l'enregistrement de cette vidéo est une terrible menace pour lui. Tu aurais du t'en douter. Ou se trouve t'il? »

La Chiquita : « Tu ne le sauras jamais! »

Moi : « Je suis sure que tu ne parlerais pas, même sous la torture.... Du reste, ce n'est pas très important au vu de ce qui t'es réservé! »

La Chiquita : « Moi disparue, plus de problèmes n'es-ce pas? »

Moi : « Exact!

La Chiquita : « Fusillée, pendue? »

Moi : « Oh non, trop facile...tu vas être violée par 100 hommes de la garnison... »

Le visage de La Chiquita se décompose, puis elle retrouve son aplomb.

La Chiquita : « Le dernier mec qui m'a baisé, je l'ai tué! »

Moi : « Térésa sera là. Elle veut te voir souffrir et mourir de toutes ces bites... »

La Chiquita : « Oeil pour oeil, cette salope de Térésa a raison, et j'aurais du la faire disparaitre.

Moi : « Salama craint que tu révèle à Térésa l'enregistrement. On pourrait te couper la langue, mais tu en auras besoin pour les pipes! »

La Chiquita : « Tues moi s'il te plait! »

Moi : « Toutes ces bites te font peur?...fini la douce langue de Camilla.. J'ai obtenu une faveur de Salama...j'ai gagné 500 000 dollars avec ta capture mais en plus, c'est moi qui te baisera en premier! »

La Chiquita : « Je te couperais la queue en deux avec mes dents! »

Moi : « Pourquoi tu ferais cela?...alors que je t'offre la vie »

La Chiquita ne comprends pas.

Moi : « Tu connais le Pescar, n'es ce pas? »

La Chiquita : « Evidemment, c'est un poison Indien... »

Moi : « J'en mettrais sur ma queue, juste assez pour que tu tombes dans les pommes au bout de 30 minutes. Je constaterais alors ta mort; d'un arrêt cardiaque... »

La Chiquita : « Je ne comprends pas... »

Moi : « Je te propose de devenir mon associée. Il serait dommage que tu disparaisses avec tous tes talents. Tous les deux, nous pourrions être des plus ambitieux. Je n'ai plus envie d'être un larbin... »

La Chiquita réfléchit puis.

La Chiquita : « J'ai toujours travaillé seule, libre... »

Moi : « Tu seras bientôt un vrai fantôme, un souvenir du passé, sauf si tu me fais confiance... »

La Chiquita : « Ton plan est risqué...comment sauras-tu le bon dosage? »

Moi : « Oui, c'est risqué mais je connais quelqu'un qui m'aidera...mais avant que le produit fasse de l'effet, tu vas être défoncée par de nombreuses bites. »

La Chiquita : « Ma chatte et mon cul ne reçoivent plus de bites c'est serré, ce sera un enfer! »

Moi : « J'ai dit a Salama que tu ne dirais rien si ton corps est rapporté dans ton village natal de Culiacian...c'est moi qui l'amènerais, mais tu seras déjà réveillée »

La Chiquita : « Je n'ai pas d'autre choix...et si après, je me barre ou je tue? »

Moi : « Cette confiance doit être réciproque...nous avons tout a gagner tous les deux! »

La Chiquita opine de la tête.

La Chiquita : « Je te préviens....tu ne me baiseras qu'une fois...et plus jamais après... »

Moi : « Bien sur...mais je profiterais de cette unique fois...n'oublies pas de me sucer avec application... »

Chambre luxueuse.

Depuis la fin de sa captivité, Camilla avait refusée tout contact physique avec son fiancé, prétextant le traumatisme légitime d'une telle épreuve. Son fiancé, Fabricio, avait respecté ce choix et était d'une attention touchante envers sa future femme.

C'est un doux soir d'été, et pour la première fois depuis deux mois, Camilla et Fabrizio refont l'amour. Camilla s'était décidée, obéissant à l'injonction de Miguel. Fabrizio est délicat. Dans la position du missionnaire, ses mouvements sont lents. Il embrasse sa promise, lui lèche les seins, caressant son corps. Camilla apprécie la douceur de Fabrizio dont le corps maintenant transpire. Il avait du être patient, se retenir. Enfin, il pouvait a nouveau toucher, embrasser ce corps, le pénétrer.

Pourtant, malgré les attentions de Fabrizio, Camilla n'était pas vraiment présente et elle n'était que peu excitée. Encore une fois, elle culpabilisait puis céda au plaisir en repensant à La Chiquita. Comme elle lui bouffait bien la chatte!. Puis ce Miguel, la prenant par derrière, lui tirant les cheveux et la traitant de chienne. Camilla se met à gémir. Fabrizio pensant en être l'inspirateur, ne peut se retenir et jouit sur le ventre de Camilla, qui pousse un cri, alors que les images de La Chiquita et de Miguel terminent d'envahir son esprit.

Clinique de Bogotta.

Je suis sur le trottoir en face de l'entrée principale. Elle sort. On m'avait bien renseigné sur ses heures de travail. C'est Hilda, l'infirmière. Vous vous souvenez? (chapitre 1 et 2).

Je viens vers elle et l'accoste. Elle est surprise et n'est pas rassurée.

Moi : « Bonjour Hilda »

Hilda : « Que me voulez-vous? »

Moi : « Je dois vous parler »

Hilda : « Je n'ai pas le temps. Je dois rentrer! »

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