La Prisonnière du Cartel Ch. 06

Informations sur Récit
Suite du chapitre 5.
4k mots
4.44
6.4k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/23/2023
Créé 04/04/2023
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La Prisonnière du Cartel, chapitre 6

Dans le chapitre 5, nous avions assisté à la capture de La Chiquita. Mais aussi de l'odieux chantage que Miguel allait exercer sur Camilla pour qu'il ne la dénonce pas auprès de ses parents.Térésa souhait assister au viol de la Chiquita par 100 soldats. Hilda était contrainte par Miguel de l'aider à sauver la Chiquita grâce à un poison qui simulerait la mort de la condamnée...

Caserne de Bascara, quelque part en Colombie. Fin d'après-midi. Des rayons du soleil couchant traversent les vitres du hangar ou La Chiquita va subir son châtiment.

Cents hommes, ni plus, ni moins, se tiennent en rang. Devant eux, des tapis de gymnastique collés les uns aux autres et formant un carré.

Le gouverneur Salama et son épouse font leur apparition. Salama est vêtu d'un costume officiel, et Térésa porte une robe bleue mettant en valeur la beauté de ses formes et l'élégance de sa silhouette.

Les hommes se mettent au garde à vous sur les ordres du Colonel Machito.

Moi, Miguel, je suis a ses cotés.

Machito : « Repos... Soldats, vous êtes réunis ici pour réaliser une exécution...bien particulière...sous le regard de notre gouverneur et de son épouse...je vous demanderais un comportement exemplaire. Vous avez tous été tirés au sort. Certains d'entre vous seront plus chanceux que d'autres en passant les premiers. Vous devrez obéir au Caporal Vinicita... »

Le Caporal Vinicita, qui est une femme ( Chap 5) fait son apparition. Elle tient une longue laisse en corde. A son bout La chiquita attachée par le cou, qui apparait entièrement nue. La Chiquita est petite mais son corps est très bien proportionné mais aussi musclé.

Tirée par la Caporal, elle se retrouve bientôt au milieu du carré de tapis. Elle garde la tête droite, le regard dans le vague.

La Caporal enlève la laisse La scène est impressionnante. La Chiquita se tient debout et nue devant cents hommes. Sur le coté, Salama et Térésa sont concentrés.

Machitto : « La Chiquita sera violée jusqu'a ce que mort s'en suive. Ses trois orifices devront être souillés. Vous aurez le choix des entrées. Cette salope devra aussi utiliser ses mains pour vous branlez...donc au maximum, vous serez cinq sur cette puta...Le Caporal Vinicita donnera le rythme et les consignes, et pour la battre si elle n'obéit pas...ne passez pas trop de temps dans ses trous, pensez aux autres (se tourne vers moi)...Miguel Ostente est le héros qui l'a capturé... (souriant) c'est à lui que revient l'honneur d'ouvrir le bal!, ...Miguel, quand vous voulez... »

Je ressens les regards sur moi. Je m'approche de La Chiquita.

Moi : « A genoux! »

Elle hésite puis s'exécute. Je sors ma queue qui est a demi bandée.

Moi : « Branles moi! »

La Chiquita prend ma queue dans sa main et donne de lents mouvements. Elle me regarde. Je sens aussi le regard de Térésa sur ma queue, et cela m'excite.

Moi : « Dans ta bouche, suces! »

Elle approche sa bouche et fait entrer doucement ma queue. Elle me suce en grimaçant.. J'ai normalement mis la bonne dose de Pescara sur ma queue, selon les indications de Hilda ( chap 5).

Je sens la langue de la Chiquita. C'est excitant. Je me retire et lui demande de se mettre a quatre pattes. J'ai décidé de la baiser en levrette. Sa chatte est serrée. Elle est bonne. Je fais semblant d'être brutal car si elle survit, la Chiquita sera bientôt ma complice. Je suis le premier homme a baiser cette Indienne depuis fort longtemps. Je ne tarde pas à l'agripper par les hanches et jouir dans son con. Je me retire. La caporal fait signe aux cinq premiers soldats de s'approcher.

La Caporal : « Elle est a vous! »

La suite est des plus bestiales. Au début, la Chiquite tente bien de serrer les cuisses, de ne pas sucer, de ne pas branler, mais ses cuisses sont écartés de force. Elle reçoit des gifles, on tord ses seins, on la griffe.

Néanmoins, elle reçoit les premiers assauts avec courage. Elle ne crie pas, ne gémit pas. Elle veut montrer qu'elle est une guerrière.

Pourtant, un soldat ayant une queue d'un diamètre impressionnant finit par faire hurler l'Indienne en lui violant le cul. Salama et Térésa ont du mal a cacher leur émotion.

Puis Térésa se lève et s'approche de la suppliciée, baisée en missionnaire, avec une bite dans la bouche. La Caporal : « Madame? »

Térésa : « Continuez, faites comme si je n'étais pas la.. »

La caporal opine du chef et dit au soldat qui défonce la chatte de la pute : « Dépêche-toi, crache ton foutre...d'autres attendent... »

Térésa lève son pied. Elle porte une chaussure a talon pointu. Elle le pose doucement sur le bord du téton d'un sein de l'Indienne, puis appuie, comme pour écraser le sein et le téton.

La Caporal, comprenant, tient alors fermement La Chiquita qui veut bouger. Térésa tourne son talon dans la chair de la suppliciée comme si elle voulait le visser. La Chiquita gémit.

Elle finit par retirer son pied en se mordant la lèvre. Elle se tourne vers la Caporal.

Térésa : « Serais-t'il possible qu'elle soit prise en doublette...et en triplette! »

La caporal : « Bien sur Madame »

Térésa rejoint son époux, qui lui sourit tendrement.

Désormais, la Chiquita est donc prise soit chatte avec cul, ou chatte/cul et bouche. La motivation des soldats est grande. La Chiquita ayant tué de nombreux soldats mais aussi a cause du manque de femmes dans une caserne éloignée d'une grande ville. Les queues sont de diamètre et longueur différentes et les pénétration sont parfois brutales et rapides, pour d'autres rythmés, savourés..

La Chiquita a cédé. Elle gémit d'une manière continuelle parfois des soubresauts de petits cris ou grognements lorsque la pénétration est trop intense.

La Caporal Vinicita, même si elle est une femme, assiste a cet horrible viol sans aucune compassion. Elle est un soldat avant tout, et reste concentrée.

La Caporal : « Crachez maintenant, d'autres attendent...va plus vite...ca va venir!...casse lui le cul! »

Pour les soldats, entendre les encouragements de leur supérieur, mais surtout d'une femme, les excite davantage.

Trois minces filets de sang coulent de son anus.

La Caporal : « Elle saigne du cul!!!, continuez ..faut faire couler la chatte maintenant! »

Je regarde ce spectacle en masquant mon impatience. Quand le Pescara va faire son effet?. Puis tout d'un coup, La Chiquita a un un soubresaut et s'évanouit.

Les deux soldats la prenant chatte et cul sur le coté ne baisent plus qu'une poupée inerte. La Caporal donne quelques gifles puis

La Caporal : « Un seau d'eau, vite! »

Un grand sceau d'eau est balancé sur le corps et le visage de La Chiquita. Elle ne se réveille pas. Je m'approche rapidement, et lui prends le pouls.

Moi : « Elle est morte! »

Dépités, les deux soldats sortent des orifices de la puta.

Machito fait un signe d'agacement. Térésa et Salama se lèvent.

Salama : « Combien d'hommes l'ont violés! »

La caporal : « 32 avec ces deux derniers! »

Salama : « Qu'ils terminent le travail si ils le souhaitent! »

La caporal : « Soldats, allez-y, elle doit être encore chaude! »

Les deux soldats ne se font pas priés sous le regard envieux et déçus de ceux attendant leur tour. Ils baisent La Chiquita avec encore plus de sauvagerie.

Machito (vers salama et Térésa) : « Je suis désolé, le spectacle ne fut pas assez long.. »

Salama : « Ne le soyez pas...32, c'est déjà pas mal...qu'en penses-tu ma chérie? »

Térésa : « Oui..et elle a eu ce qu'elle méritait..qu'allez-vous faire du corps? »

Machito : « Miguel s'est porté volontaire pour le ramener dans son village natal ,a quatre heures de route »

Moi : « Un petit village Indien, occupé par des fermiers. C'était sa volonté »

Les deux soldats, l'un après l'autre jouissent dans les deux orifices de La Chiquita. Pour la dernière fois du sperme s'écoule, mélangé a du sang.

Miguel vient poser un drap sur le corps de la suppliciée.

Térésa : (à Miguel) : « J'ai une faveur a vous demander... »

Moi : « Je vous écoute... »

Térésa : « Lorsque vous serez arrivés, pouvez-vous attachez ses mains a la branche d'un arbre et lui enfoncer dans le vagin et l'anus...un manche de pioche ou de pelle?, et faire une photo? »

Tout le monde sourit est acquiesce.

Moi : « Bien sur... »

Térésa : « Merci beaucoup... »

Salama s'approche de Machito

Salama : « Pour tous les hommes qui n'on pas pu la baiser, faites venir un camion d'une vingtaines de putes de Bogotta, sur mes frais! »

Machito : (sourit) « Les soldats ne vous en seront que plus reconnaissants! »

Salama et Térésa s'éloignent accompagnés par Machito.

C'est la nuit, Miguel conduit un van noir sur une route de montagne. L'intérieur est aménagé comme une ambulance. La Chiquita est allongée inconsciente sur un brancard. Hilda est a ses cotés et lui injecte le contenu d'une seringue.

Moi : « Comment vas t'elle? »

Hilda : « Elle devrait se réveiller avec ce composé d'adrénaline... (Hilda soulève le drap)...vous êtes tous des sauvages! »

Moi : « Il n'y avait pas d'autre choix... »

Hilda : « Je dois la nettoyer...et lui injecter aussi un antalgique quand elle va se réveiller... dans combien de temps arrivons-nous? »

Moi : « Environ deux heures! »

La Chiquita ouvre les yeux et murmure.

La Chiquita : « Je suis vivante? »

Hilda lui sourit.

Hilda : « Oui...il faut maintenant vous reposer. Je vous administre de quoi ne plus ressentir des douleurs...reposez-vous! »

Je me tourne vers Hilda, avec un grand sourire. La Chiquita est vivante. Mon plan a fonctionné. Nous serons bientôt près d'un village dans les montagnes, ou j'ai une planque, une maison isolée près d'une rivière.

Térésa et Salama sont assis a l'arrière de leur voiture officielle, escortée par des motards. Salama remonte la vitre opaque qui les sépare du chauffeur. Il sert à Térésa une coupe de champagne.

Salama : « Ta vengeance est accomplie »

Térésa : « Oui, même si cela aurait mérité d'être plus long. »

Salama : « Je suis d'accord...»

Térésa remarque la bosse entre les cuisses de son époux.

Térésa : « Tu bandes ... »

Salama : « Oui.. »

Térésa : « Montres-la moi...s'il te plait... »

Salama, ému, ouvre sa braguette et sort une queue de taille moyenne mais dressée.

Térésa : « Cela fait tellement longtemps... »

Salama : « Oui ma chérie. »

Térésa se soulève puis rabat la bas de sa robe sous ses fesses puis écarte ses cuisses. Un string de couleur bleu, comme sa robe, apparait.

Salama : « Tes cuisses sont toujours aussi belles, magnifiques....mais dis moi, ton string semble mouillé.. »

Térésa : « Oui... »

Salama : « Ce viol t'a excité n'es ce pas?; tout comme moi... »

Térésa : « Je voudrais punir tous les violeurs...mais là...je suis perdue... »

Salama prend la main de Térésa et la guide vers son sexe. Elle se met à le branler doucement. Salama pose sa main sur le string humide.

Salama : « Pourquoi m'avoir trompé avec tous ses hommes jeunes que tu sodomisais? »

Térésa : « Pardonnes-moi...tu ne bandais plus pour moi...j'avais besoin de sexe, et je voulais punir les hommes en même temps. »

Salama : « Ma chérie, tu pourras torturer des prisonniers si tu veux... »

Térésa et Salama approchent leurs bouches, leurs lèvres se joignent.

Térésa : « Oh, mon amour, tu m'as tellement manqué! »

Salama caresse désormais la chatte de son épouse sous le string.

Salama : « Quel bonheur de voir ta tortionnaire défoncée de toutes parts! »

Térésa : « Ma chatte était trempée, j'aurais voulu la violer moi même! »

Salama : « Nous nous retrouvons mon amour, nous partagerons désormais ensemble nos perversions... »

Térésa : « Oh oui, soyons des monstres! »

Salama jouit dans la main de Térésa.

Salama : « Allonges toi mon amour, je vais te boire... »

Petit matin, maison dans les montagnes. Une rivière coule en contre-bas. La Chiquita est allongée, puis se réveille. Elle se redresse lentement. Elle est en pyjama. Elle se dirige vers la salle de bain, se regarde dans le miroir. Elle sourit. Elle déboutonne la veste du pyjama et découvre des marques sur ses seins, puis baisse son pantalon. Elle observe toutes les traces de rougeur autour de sa chatte lisse.

La Chiquita : « Je suis en vie... »

Je suis dans le salon. Une baie vitrée nous offre une belle vue sur les montagnes. Je suis confortablement assis sur un fauteuil. Hilda est nue, a genoux, et me suce. Je lui ai dit que je voulais la baiser avant de la ramener à Bogotta. Elle n'avait pas le choix.

Moi : « Je ne connais pas de meilleure suceuse que toi. »

Hilda ne réponds pas.

La Chiquita apparait dans le salon, une bière à la main.

Hilda, affreusement gênée, s'arrête de me sucer.

Moi : « Comment vas-tu? »

La Chiquita : « Bien, très bien, a part que j'ai eu très mal en allant pisser...ma chatte est en feu! »

Hilda (gênée) : « Prenez les comprimés que j'ai laissé sur votre table de nuit. »

La Chiquita : « Merci ma jolie...continue de le sucer... »

Moi : « Oui, reprend dans ta bouche! »

La Chiquita (vers Miguel) : « Ou sommes-nous? »

Moi : « Près de Culiacan, mais suffisamment éloigné. Ici, on sera tranquilles »

La Chiquita : « Ces montagnes me rappellent chez moi (regardant Hilda)....elle est bonne?

Moi : « Une suceuse incroyable... »

La Chiquita sourit et s'assoit près du couple.

La Chiquita : « Tu aimes sucer Hilda? »

Moi : « Réponds... »

Hilda : « Heu...je le fais souvent à mon mari... »

Moi : « Ah c'est pour çà... Il te baise aussi? »

Hilda : « Bah.... »

La Chiquita : « Ça n'a pas l'air... »

Moi : « Allez, lèves-toi, penche toi sur la table, je vais te prendre.... »

Hilda grimace quand je m'enfonce dans sa chatte par derrière.

La Chiquita , vers Miguel « Merci... tu m'as sauvé la vie »

Moi : « C'est surtout grâce à cette petite salope que je suis en train de baiser »

La Chiquita : « Merci Hilda... »

La Chiquita s'approche du visage d'Hilda, le prend dans ses mains et pose ses lèvres de force contre les siennes, et les lèche avec sa langue. Hilda est dégoutée.

Moi : « Trop excitant! »

La Chiquita : « Si je n'avais pas la chatte aussi irritée, je t'aurais demandé de me lécher...tu as déjà bouffer une chatte? »

Hilda fait non de la tête. La Chiquita se recule et apprécie les grands coups de bite que je donne a Hilda.

La Chiquita : « Tu vas la finir dans sa chatte? »

Moi : « Avec sa bouche de rêve, je ne crois pas.. »

Je me retire du con de l'infirmière et lui saisit les cheveux.

Moi : « Reprends en bouche! »

Au bout d'à peine 30 secondes, j'inonde l'intérieur de sa cavité en tenant fermement son visage.

Moi : « Quel délice... »

La Chiquita : « Et bien, t'as pris ton pied avec cette nana »

Moi : « C'est pas un canon... mais elle est bandante. On a envie de la baiser. Rhabilles-toi, on va y aller.... »

Hilda se rhabille sans un mot, en se sentant humiliée.

La Chiquita : « Et si elle nous dénonçait? »

Moi : « Je ne le crois pas...elle ne cherche pas les ennuis, n'es ce pas Hilda? »

Hilda : « Oui..jamais, je ne parlerais... »

La Chiquita, vers Miguel « Tu en es si sur? »

Je sors alors de ma poche une photo et la tends à la Chiquita.

Hilda : « Oh non... »

Moi : « Je l'ai prise dans son porte-feuille »

La photo montre une adolescente en tee-shirt et short, toute souriante.

La Chiquita : « Quelle adorable ado, et de très jolies cuisses! »

Moi : « Une poitrine aussi, on dirait »

Hilda : « S'il vous plait, rendez la-moi »

La Chiquita rend la photo à Hilda qui la cache dans son porte-feuille.

Moi : « Quel âge a t'elle? »

Hilda : « 16 ans... »

Moi : « Ce serai dommage qu'il lui arrive quelque chose »

Hilda a les larmes aux yeux.

La Chiquita : « Juste le bon âge pour un viol en bande »

Moi : « Il ne lui arrivera rien, tant que l'on reste amis, n'es ce pas? »

Hilda hoche la tête.

Moi : « Va à la fourgonnette, je te rejoins. Tu sais que l'on a encore quelque chose a faire.. »

Je me retrouve seul avec la Chiquita

Moi : « Je suis désolé, mais je vais te demander une dernière épreuve.. »

La Chiquita : « Quoi? »

Moi : « Térésa m'a demandé une chose, une fois ton corps rapporté dans ton village.. »

La Chiquita interroge du regard Miguel.

Moi : « Elle veut une photo de toi, avec un manche de pelle ou de pioche dans ta chatte et ton cul... »

La Chiquita : « Putain... »

Moi : « Tu dois aussi avoir les mains attachés à une branche d'arbre »

La Chiquita : « Quelle pourriture! »

Moi : « On va faire ça très vite. J'ai demandé à Hilda de te les enfoncer. Je fais juste quelques photos. »

La Chiquita : « Je me vengerais, crois moi... »

Moi : « Oui.. »

La Chiquita : « Dis moi quand je suis tombé inconsciente, es ce que je me suis fait baisé?.... »

Moi : « Les deux qui étaient sur toi ont continué et ont joui en toi... »

La Chiquita : « Les fumiers! on ne baise pas une morte »

On est dehors. La Chiquita est nue. J'ai attaché ses mains à une corde, puis je l'ai tiré sur une solide branche d'arbre. Les genoux de la Chiquita sont au sol.

La Chiquita, regarde Hilda : « Commences par la chatte! »

Hilda saisit un manche en bois.

Hilda : « Je l'ai désinfecté et graissé... »

Elle l'approche de l'entré du con.

La Chiquita : « Vas y! »

Hilda l'enfonce doucement et avec dégout.

Le manche se fiche dans la chatte et pour y rester, la Chiquita doit être genoux au sol.

Moi : « Bien...l'autre maintenant... »

Hilda prend un deuxième manche et l'enfonce délicatement dans le cul de l'Indienne qui grimace.

Moi : « Tombe la tête, ferme les yeux... »

Je prends plusieurs photos.

Moi : « Voilà, parfait! »

La Chiquita, vers Hilda : « Retire moi ça, tout de suite!!! »

Hilda s'exécute

Je la détache. La Chiquita rentre nue dans la maison, sas un mot.

Moi, vers Hilda : « Attends dans la fourgonnette, j'arrive »

Dans la maison.

Moi : « Ca va? »

La Chiquita s'est habillée.

La Chiquita : « Oui... La Chiquita n'existe plus»

Moi : « Je retourne a Bogotta...je reviens dans trois jours. On parlera... »

La Chiquita : « Okay »

Moi : « Tu as tout ce qu'il faut ici, de la nourriture, du bon vin.... »

La Chiquita : « Je t 'attendrais pour la bouteille! »

Palais du Gouverneur.

Térésa me reçoit en jogging, avec un sourire. Je lui remets une clef usb.

Moi : « Les photos sont dessus »

Térésa : « Merci Miguel...comment cela s'est passé?... »

Moi : « Bien, après les photos, les paysans sont venus la détacher et ils l'ont enterrer »

Térésa : « Me trouvez-vous cruelle? »

Moi : « Non Madame, votre désir de vengeance était légitime »

Térésa : « Appelez-moi Térésa, s'il vous plait....dites-moi, j'ai une question délicate... »

Moi : « Je vous en prie... »

Térésa : « Qu'avez-vous ressenti quand vous...la preniez...vous aviez l'air...si excité... »

Moi : « Puis-je être franc avec vous? »

Térésa : « Bien sur »

Moi : « J'ai peur de vous choquer.. »

Térésa : « Non! »

Moi : « J'ai la faculté d'avoir une érection pratiquement sur commande. C'était mon devoir, et je l'ai accompli.... »

Térésa (gênée) : « Vous n'avez pas eu de plaisir?.. »

Moi : « Si aussi, c'est tellement bon de... (gêné)

Térésa : « Je comprends... »

Moi : « Je dois y aller... »

Hilda est rentré chez elle. Elle avait prétexté une astreinte importante à l'hôpital pour expliquer son absence. Elle regarde sa fille de 16 ans, Lila, habillée en jeans et petit haut sexy.

Hilda : « Ou vas tu? »

Lila : « Avec Alberto et Salma... »

Hilda : « Je trouve ta tenue trop osée... »

LIla : « Mais non Maman! »

Le Mari, Alfonso : « Laisse la un peu...elle a 16 ans, a besoin de liberté... »

Hilda souffle : « Comment s'est passé cette première semaine de stage? »

Lila : « Génial, je te racontes demain, promis... »

Alfonso , souriant : « Depuis qu'elle a commencé son stage au palais de Gouverneur, elle nous prend de haut!'

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