La Mère de Ma Femme

BÊTA PUBLIQUE

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— Une belle bite... j'en ai rêvé, mon Adrien.

Mais je crois que son audace s'arrêtait là, car elle semblait mal à l'aise. Aller plus loin, c'était s'engager sur une voie sans retour et les remords la rattrapaient sans doute. Alors c'était à moi de prendre quelque initiative. Je me suis penché vers elle, j'ai pris ses deux jolies mains et je l'ai tirée vers moi, elle se laissa faire et dans le même mouvement, sans montrer la moindre opposition, sa bouche vint se coller contre la mienne. D'un œil légèrement ouvert, je vis qu'elle gardait les yeux ouverts pendant deux ou trois secondes, comme étranglée par le doute, puis, quand ma langue vint s'immiscer entre ses lèvres, elle ferma les yeux, ouvrit la bouche et nous échangeâmes le baiser le plus sensuel de ma vie.

Chapitre IX

Pendant que sa langue et la mienne dansaient une valse langoureuse, ses mains avaient pris possession de mon torse. L'audace retrouvée, elle ne perdit pas une minute pour commencer à parcourir mon ventre et le reste. Caressant tout, elle s'arrêta près de l'élastique de mon caleçon puis ses doigts allèrent doucement caresser la bosse que formait mon érection. Le contact de sa main sur ma bite me fit gémir, j'attendais cela depuis si longtemps que j'étais déjà capable de jouir.

Pendant qu'elle m'embrassait, je retirais son chemisier et m'offrais une vue parfaite sur sa poitrine. Voyant mon appétit pour ses magnifiques tétons, elle escalada mon corps et vint se mettre à califourchon sur moi puis se dressa pour que ses seins effleurent mon visage. Ils étaient merveilleux et après quelques secondes à les admirer, je fus obligé de les goûter. Son téton gauche passa sur ma langue puis le droit et son délicat piercing. Ses tétons avaient le goût du désir et sa peau sentait la vanille. Après quelques amuse-bouche, du bout des lèvres, il était nécessaire que ses seins subissent quelques outrages plus rudes et d'une aspiration brève, mais ferme, j'amenai l'intégralité de son sein dans ma bouche, m'étouffant presque avec. Elle ne cessait de gémir et chacune de mes initiatives la poussait à se dandiner en miaulant d'envie.

Quand j'eus suffisamment tiré sur ses tétons en les aspirant, elle glissa le long de mon corps et sa langue passa par ma bouche pour un baiser humide mais furtif, par mes tétons, car elle voulut me rendre la pareille puis le long de mon ventre pour arriver sur mon sexe encore couvert de mon caleçon.

Alléchée par la chaleur qui exhalait de mon érection, elle plaqua sa bouche sur ma bite et je sentis sa langue à travers le tissu. Elle me lécha comme la plus appétissante des glaces pendant que ses doigts allèrent se ficher sous l'élastique de mon caleçon.

Quand tout fut en place, elle me jeta un regard enfiévré et sembla savourer la révélation. Elle tira sur mon caleçon, le fit descendre et ma bite turgescente surgit devant son regard ébahi. Mon sexe n'avait rien de spécial, ni par sa taille ni par sa forme, mais il était l'objet de tous ses désirs. D'ailleurs, quand il fut libre de tout tissu, elle le regarda longuement puis elle approcha son nez, respira ma peau, caressa fébrilement mes couilles puis elle approche plus franchement sa bouche de mon sexe.

— J'ai envie de te vider les couilles, mon chéri !

Elle n'y allait pas par quatre chemins. Où était la respectable mère de mon épouse? Elle était là, toujours respectable, mais ô combien salope ! D'ailleurs, elle était si excitée qu'elle enfonça mon sexe au fond de sa bouche, sans échauffement ni mise en jambe. Ma verge alla si loin au fond de sa bouche qu'elle manqua de s'étouffer et de la salive bouillante coula jusqu'à mes couilles.

— Elle est si bonne ! gémit-elle en me regardant droit dans les yeux.

Je crois qu'il n'y avait plus rien à faire d'autre que la laisser prendre possession de mon entrecuisse. Elle léchait tout, elle sentait tout, elle suçait tout. Elle pompa mon gland en creusant ses joues puis elle lapa goulûment mes couilles avant de frotter mon sexe luisant sur sa joue.

— Tu vas me donner ton sperme, hein?

— Oui, ma chérie...

C'était si libérateur de pouvoir l'appeler ainsi. J'avais eu tant envie d'elle, j'avais tant rêvé d'elle, voilà que mes fantasmes devenaient une véritable baise sensuelle.

Elle ne laissa pas la température redescendre et sa langue s'échappa de mes couilles pour glisser plus bas. Quel goujat aurais-je été si je n'avais pas levé les jambes pour lui laisser toute la place pour ses cochonneries? Les pattes en l'air, la bite dressée et les couilles luisantes de salive, j'offrais désormais à Claire une vue dégagée sur mon cul. Et comme c'était là une aventure que mon épouse refusait, je fus bien heureux de voir que sa mère se jetait à corps perdu entre mes fesses pour permettre à sa langue de s'ébattre contre mon anus sensible. Elle lécha sans s'économiser, fouillant mon cul avec le bout de sa langue, remontant parfois jusqu'au bas de mes couilles puis déposant quelques baisers mouillés sur mes fesses. Quand ma bite lui manqua, elle revint à ma vue et s'empara à nouveau de mon sexe bandé. Et pendant qu'elle le tenait en main, elle passa une main dans sa culotte, sembla toucher sa chatte puis sortit deux doigts trempés pour me les montrer.

— Tu vois ce que tu me fais, chéri? J'ai envie que tu me défonces !

Les termes étaient clairs, les volontés aussi, alors nous n'avions aucune raison d'arrêter là, peu importe la gravité de nos actes.

Alors je me suis levé et j'ai attrapé ma belle-mère par les fesses. D'une main dans le dos, je l'ai poussé à se pencher sur le fauteuil puis elle posa ses genoux et se trouva à quatre pattes, le cul bien offert. Elle me laissa tirer sur sa culotte et son magnifique cul se révéla. Quelle beauté ! Elle était divinement belle et rien sur son corps ne semblait vouloir écorner ma béatitude.

Avec deux doigts, j'ai écarté ses fesses et à mon tour, j'ai été déposer ma langue contre son anus qui frémissait d'envie. Chaque gémissement confirmait mes gestes et mes initiatives. Elle se dandinait, comme pour offrir à ma langue des recoins encore inexplorés. Mais j'avais incroyablement envie de connaître le goût de sa mouille. Alors fermement, je l'ai saisie par les hanches et je l'ai retournée pour qu'elle se retrouve allongée sur le dos et les cuisses écartées. Seulement, quand elle fut ainsi, offerte à ma vue, je ne retrouvai pas seulement sa toison brune qui me donnait follement envie de m'y aventurer, mais aussi un piercing au clitoris.

— Un piercing? Ici? m'étonnai-je, en me penchant vers son entrejambe.

— Ça décuple le plaisir, et crois-moi, ça me fait jouir comme une folle quand je me masturbe !

C'était là le principal, me direz-vous, mais j'étais étonné de voir que cette discrète mère de famille pouvait avoir non pas un piercing, mais deux, car celui près de son téton, que j'avais gobé au début de nos ébats, me regardait depuis son perchoir.

Quand la surprise fut passée, quand ma concentration revint, je déposai ma langue dans les plis humides de son intimité. C'était salé, indubitablement, peut-être un peu acide aussi, mais c'était surtout enivrant au plus haut point. Les odeurs, les goûts et les sensations se mélangeaient et me transportaient dans un nirvana érotique. Ma langue entrait doucement en elle puis je titillai énergiquement son clitoris en contournant son piercing. Quand elle sembla s'habituer à mes assauts, je décidai de la surprendre. La bouche plaquée sur son clitoris, j'aspirai son piercing et le faisais vibrer entre ma langue et ma lèvre supérieure. Son vagin entra en éruption et un filet de mouille plus chaude commença à inonder mes lèvres et coula sur mon menton. L'ivresse d'un cunnilingus, le lâcher prise d'un préliminaire, je fermais ma bouche et j'offrais ma langue dévouée à son plaisir.

— Doigte-moi en même temps, mon chéri ! grinça-t-elle entre deux gémissements.

J'aimais qu'une femme m'aiguille, qu'elle me guide vers ses zones les plus sensibles. Alors je profitai de l'humidité totale de ses lèvres et sans précaution, j'entrai en elle. Deux doigts fermement enfoncés dans la chatte, remuant désormais au rythme de mes coups de langue. Un petit coup sur le clitoris, un grand coup sur les petites lèvres puis mes doigts battaient la mesure en pénétrant vigoureusement ma belle-mère.

— Tu aimes ça, salope?

Ça m'avait échappé. Je retins mon souffle.

— Oh ! défonce-moi, putain ! Baise-moi ! Remplis-moi, c'est si bon d'être ta pute !

Elle avait aimé. En expirant bruyamment un air longuement retenu, l'air froid projeté sur son clitoris la fit frémir et un orgasme surgit des profondeurs de son être. Ne contrôlant plus rien, laissant aller son plaisir et ses fluides, un léger clapotis vint inonder le fauteuil et de la cyprine éclaboussa ma langue.

— Oh, mon chéri ! gémit-elle en s'agrippant les seins.

Je crois que c'était un signal. Elle débordait assurément et son envie d'être baisée n'était plus un mystère. Alors je me suis relevé, j'ai attrapé ma bite et je me suis penché vers elle pour présenter mon gland contre ses lèvres trempées.

« Ding dong ! »

— Vous attendez quelqu'un?

Je me redressai à nouveau, les yeux écarquillés, mais la bite toujours en main.

— Comment veux-tu que je sache? me répondit Claire en se levant à son tour.

Elle se rua sur ses vêtements, enfila le chemisier qu'elle boutonna à la hâte puis elle sauta dans sa culotte et s'approcha de la porte de la véranda. De là, elle aperçut un homme à la porte.

— Je me rhabille? demandai-je, l'air un peu bête.

— Bien sûr ! Dépêche-toi !

Elle sauta de l'autre côté du couloir, passa par la salle de bain, enfila maladroitement une jupe en trébuchant plusieurs fois puis elle se coiffa avec ses mains pour avoir l'air présentable. Et enfin, elle alla ouvrir pendant que j'enfilais mes vêtements dans la véranda.

— Monsieur Guimet !

— Bonjour, Madame Verneuil. Excusez-moi de venir vous déranger ainsi, mais je voulais savoir si vous pouviez me prêter cette perceuse dont vous m'aviez parlé l'autre fois?

Le coup de la perceuse? Un voisin qui vient emprunter une maudite perceuse? Voilà ce qui interrompait la réalisation de mon plus grand fantasme. Mais Claire allait sans aucun doute bondir jusqu'au garage, trouver ce satané outil, le tendre à ce Monsieur Guimet et le congédier bien aimablement pour que dans quelques minutes, elle soit assise sur ma bite à crier mon prénom.

Pendant que je terminais de nouer ma ceinture, sans la moindre conviction, car j'attendais son retour avec le même appétit sexuel qu'avant cette interruption, Claire passa devant la porte et descendit au garage. Elle en remonta effectivement avec la perceuse et l'offrit au voisin, mais avant que celui-ci ne parte, il ajouta :

— J'espère ne pas vous avoir dérangé, surtout...

— Pas du tout, j'étais occupée en cuisine, baratina Claire, habilement.

— Ah oui ! Vous devez recevoir votre fille !

— Euh... non... enfin, pourquoi?

— Je l'ai croisé au village, elle a l'air de venir vous visiter, alors je pensais que vous lui prépariez un bon repas.

Anna? C'était l'alerte rouge, Anna arrivait, le fauteuil sentait la mouille, mon visage aussi et je lui avais dit être à la salle de sport. Nous étions foutus.

N'hésitez pas à noter cette histoire et surtout à la commenter.

Vos avis, positifs comme négatifs, sont précieux et me donneront envie d'écrire la suite.

Car une suite est possible, dites-moi si vous en avez envie et ce que vous imaginez pour la suite de la relation entre Adrien et sa superbe belle-mère Claire.

Nous pouvons également échanger via mon adresse mail : sachalang.aut@gmail.com.

Merci à tous et à très vite !

Sacha Lang.

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  • COMMENTAIRES
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4 Commentaires
Diablo1diabloDiablo1diabloil y a 4 mois

Excellent merci beaucoup.

Pour la suite, Anna a des doutes qui la torturent, se met à espionner et finit par découvrir la liaison de son homme avec sa mère.

En crise elle menace Adrien de le quitter mais celui-ci et Claire la soumettent peu à peu de manière perverse pour qu'elle devienne leur esclave à tous les deux, et pourquoi pas aussi au voisin inquisiteur...

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Une suite avec claire en sous-vêtements sexy prise par Adrien et "espionné" par Mr Guimet qui la ferai "chanter " pour avoir ses faveurs toujours en sous-vêtements sexy (bas porte jarretelles talons hauts.,.,) cela pourrait être intéressant ? Vivement une suite à ce récit...

Assas78Assas78il y a 7 mois

Superbe histoire.

Ne nous faites pas attendre trop longtemps pour connaitre la suite.

La mère et la fille vont se partager Adrien ?

Un coup monté par les 2 ou par sa femme ?

AurailiensAurailiensil y a 7 mois

Un avis ? Mais c'est excellent si bien raconté et décrit. Merci

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