Stratégie Incestueuse

STRATEGIE INCESTUEUSE

Ce texte est la traduction en français adaptée d'un récit en allemand de Placebo 0812 » «Mutters Unterwäsche »

Je fantasme depuis longtemps sur les femmes mûres et plantureuses. Un jour cependant j'ai réalisé que ce qui me faisait surtout bander, ce n'était pas seulement les femmes mûres, mais l'idée perverse que ces mêmes femmes entretenaient des relations incestueuses avec des parents proches, de préférence leurs fils. Souvent, quand je suis en ville, je regarde des femmes dans la quarantaine et je les imagine montées par leur fils dans le lit conjugal quand leur mari est au bureau, en train de sucer la bite de leur progéniture ou se faisant lécher la chatte avant de se faire pénétrer. Et lorsque en plus je les connais plus ou moins, elles et leur fils et que je les vois ensemble dans la rue, c'est l'apothéose absolue!

Comme chacun sait les fantasmes s'intensifient quand ils ne sont pas réalisés. Un jour j'ai pris conscience que derrière les miens, c'était l'image de ma mère que mon inconscient me dissimulait et que je n'avais jamais osé me l'avouer.

Ma mère n'est pas exceptionnellement belle mais elle attire le regard des hommes et est manifestement pleinement épanouie. J'ai très tôt découvert qu'elle aimait baiser. Mes parents ont des rapports réguliers où ma mère joue un rôle actif. Je l'entends souvent prendre l'initiative dans la chambre parentale et se faire monter avant de dormir. Elle sait donc ce que signifie ressentir du plaisir et n'est en aucun cas prude ou frigide.

Mais revenons au fait. Au fil du temps, ma mère est devenue pour moi un objet de masturbation quasi unique et le temps est venu où est né en moi le désir de lui dévoiler mon obsession. Mais quelle était la meilleure façon de procéder? Il fallait que mon coming out soit érotique, pas une conversation "en tête-à-tête" dans laquelle je lui avouerais simplement mon amour filial. Il s'agissait de sexe et de rien d'autre.

Etonnamment, la pensée de mon père ne me posait pas de problème. Sans pouvoir me l'expliquer, j'étais sûr que, même mis au courant par ma mère de ma fixation, il ne prendrait pas les choses au tragique...

J'ai commencé à examiner ses sous-vêtements dans la buanderie pendant qu'elle était à la maison. J'avais une raison de m'y rendre, car ma mère m'avait dit quelque temps auparavant que j'avais maintenant l'âge de laver moi-même mes chaussettes sales étant donné la quantité phénoménale dont je me servais. J'ai donc modifié mon comportement pour lui dire toujours, plus ou moins indirectement, que j'allais laver mes chaussettes. Une fois arrivé à la buanderie, la charge de chaussettes était rapidement mise dans la machine à laver et je pouvais porter mon attention sur ses sous-vêtements accumulés dans le panier à linge. Je sortais une à une toutes ses culottes et ses soutien-gorge et je les respirais avec volupté. L'odeur en était tout simplement merveilleuse et l'idée qu'elle provenait du plus intime de ma mère me faisait bander comme un fou. Je sortais ma bite de mon pantalon et je me masturbais tout en inhalant ce parfum aussi profondément que possible. La simple pensée que ma mère pouvait apparaître à tout moment et me surprendre en train de me branler dans sa culotte me faisait jouir très vite à chaque fois. Pour donner l'impression que je cherchais à cacher ma branlette, j'essuyais la majeure partie de ma giclée. Mais lors du prochain chargement de la machine à laver qu'elle effectuerait, elle ne pourrait que remarquer que certaines de ses culottes étaient raides...

Une fois mon « travail » terminé, je revenais toujours bruyamment dans le salon pour qu'elle finisse par remarquer que je prenais toujours un temps inexplicablement long pour laver mes chaussettes. Un jour, elle me demanda ce que je pouvais bien faire à la buanderie : ce n'était pourtant pas une tâche si gigantesque que de mettre quelques chaussettes dans la machine à laver! Je feignis d'être embarrassé et fis semblant de balbutier que cela me prenait réellement du temps.. Son froncement de sourcils me prouva qu'elle n'était pas convaincue mais elle n'insista pas. Cela me parut de bon augure : elle allait certainement vouloir se rendre compte par elle-même de ce que je pouvais bien faire dans la buanderie...

Et la chose ne tarda pas. Lorsque le jour vint du rituel lavage de chaussettes, après avoir mis en route la machine à laver je fouillai comme à mon habitude dans les sous-vêtements maternels.

Je dois ici ouvrir ici une parenthèse. La buanderie de notre maison a été aménagée au sous-sol de telle sorte qu'on en a une bonne vue depuis le couloir relativement sombre qui y mène. On ne peut donc remarquer que très tard si quelqu'un vient du couloir dans la buanderie, qui, elle, est assez lumineuse. chambre. C'était sue cette disposition des lieux que reposait ma stratégie. Si comme je l'espérais elle descendait en silence pour voir ce que je faisais, je me tiendrais, moi, dans la buanderie bien éclairée, avec ma bite dressée et me branlant dans une de ses culottes, et elle dans le couloir sombre, me regarderait en croyant que j'ignorais sa présence.

Je me suis donc placé de manière à ce qu'elle puisse me voir de côté et qu'elle puisse aussi avoir la possibilité de s'éclipser rapidement au cas où elle serait trop choquée par mon exhibition. Après tout, je ne voulais pas pour l'instant de confrontation directe, mais plutôt qu'elle puisse me voir me branler. J'ai fait aller et venir ma bite très lentement dans ma main droite en tenant devant mon nez une de ses culottes et en inhalant son odeur.

À un moment donné, j'ai entendu des pas furtifs. Elle s'était décidée à descendue, elle arrivait!!! Ma stratégie avait réussi!! Le léger bruissement de pas dans le couloir avait cessé et tout à coup j'ai senti un léger courant d'air, puis le silence est tombé. Il n'y avait pas de doute possible, ma mère se tenait devant la porte de la buanderie et me regardait...

Je me suis mis à gémir intentionnellement et à murmurer sur un ton suffisamment audible :

« Oh, Maman, oui, écarte les cuisses, laisse-moi te sentir.... Montre-moi ta chatte.... Oh Maman, si tu savais comme tu m'excites!. Regarde comme je suis raide! Oh oui, Maman, ouiiii!!! Je suis sur le point de gicler! "

Elle voyait son propre fils se masturber dans une de ses culottes, elle l'entendait confesser ses pensées incestueuses! L'incertitude où je me trouvais devant la réaction de ma mère diminuait à

chaque seconde. Elle n'avait pas fait irruption dans la buanderie comme elle l'aurait pu ou même dû, bouillante d'indignation. Au contraire, elle restait immobile dans la semi-obscurité du couloir. Je me suis senti encouragé à poursuivre mon monologue :

« Oh maman, tu sens si bon. J'aimerais tant voir ta chatte, te regarder te branler debout devant moi comme moi en ce moment, voir Papa te baiser.... Oh te voir le sucer, le voir, lui, te lécher la chatte... Oh Maman, montre-moi tes nichons! " J'ai senti mon jus monter lentement dans ma queue et du coin de l'œil j'ai perçu un léger mouvement dans le couloir. C'était tout simplement merveilleux de gicler devant ma mère et de lui faire savoir que c'était pour elle que je giclais!

Une fois soulagé, j'ai commencé à nettoyer les traces de ma jouissance, en prenant mon temps pour laisser à ma mère celui de se retirer sans faire de bruit. Je suis monté à l'étage aussi bruyamment que les dernières fois. Ma mère était occupée dans la cuisine et me tournait de dos. Je ne pouvais donc pas voir sa réaction à ce qu'elle venait de vivre. Mais le simple fait qu'elle ne soit pas entrée en trombe dans la buanderie m'indiquait qu'elle n'y avait pas été insensible. J'étais impatient de voir ce qui allait se passer ensuite.

Le soir et les jours qui ont suivi, le comportement de ma mère à mon égard a quelque peu changé. Elle ne me regardait jamais directement dans les yeux et rosissais parfois quand je la frôlais comme par inadvertance. Bien sûr, je faisais comme si je ne remarquais rien.

Son attitude cependant m'incitait à passer à une seconde étape. Pour ce faire, j'ai recherché quelques histoires torrides d'inceste mère-fils sur Internet, sous Literotica, je les ai imprimées et placées dans ma chambre, négligemment « cachées » de façon à ce qu'on ne puisse faire autrement que de les découvrir.. Comme je savais que ma mère entrait et sortait régulièrement de ma chambre pour ramasser les affaires que je laissais traîner ou mettre le linge propre dans mon placard, j'étais sûr qu'elle trouverait mes imprimés.

Je vérifiais régulièrement mes cachettes pour y déceler tout changement. Quelque temps plus tard je m'aperçus qu'un de mes textes avait été déplacé. Il s'agissait d'une histoire dans laquelle le père et la mère d'un garçon discutaient de ce qu'ils devaient faire après avoir découvert leur fils en train de se masturber dans les sous-vêtements de sa mère. Cela avait débouché sur un jeu de rôle dans lequel le père jouait une fois sur deux celui du fils qui baisait sa mère. La fois suivante, c'était la mère qui jouait celui de la fille qui se faisait sauter par son père.

Ma mère, cependant, a fait comme si de rien n'était, mais il m'a semblé que les activités s'étaient intensifiées dans la chambre de mes parents...

Quand j'ai dû laver à nouveau mes chaussettes, ma mère m'a surpris en me demandant de descendre à la buanderie endre le panier à linge dans leur chambre. Ce que, bien sûr, j'étais heureux de faire, dans l'espoir d'y trouver quelques "produits chauds". Je ne fus pas déçu! Sur le dessus du panier se trouvait une culotte en satin bordeaux humide et chaude qui devait avoir été portée tout récemment. Une odeur intense s'en dégageait et on voyait distinctement des traces claires de cyprine dans l'entrejambes. J'avais commencé à me masturber en la portant à mes narines quand j'entendis des pas étouffés qui s'approchaient. J'allais avoir de nouveau une spectatrice muette qui ne se doutait pas que j'avais décelé sa présence.... Cette fois encore, je me branlai en me plaçant de manière à ce que Maman ne perde rien du spectacle.

Quand ce fut terminée et que Maman se fut éclipsée silencieusement, je suis re monté bruyamment à l'étage, comme d'habitude. Maman était assise sur le canapé, visiblement absorbée dans la lecture d'un magazine qui avait l'air de la passionner. Je souriais intérieurement... Le rouge qui avait envahi son visage était suffisamment parlant. Je n'allais pas à avoir attendre longtemps avant d'atteindre mon but...