Sans Arrière-Pensée

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Mon fils est malade, et je suis la seule à pouvoir le sauver.
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Rainett
Rainett
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Je savais qu'il était très malade, mais quand j'ai parlé avec l'oncologue ce matin, il m'a dit qu'Ivan ne se battait plus. Pour une raison inconnue, Ivan avait abandonné la lutte.

Ivan souffrait de leucémie myéloïde aiguë (LMA) et il avait suivi plusieurs séances de chimiothérapie ces dernières semaines. Au début, cela semblait fonctionner, mais ensuite il est devenu si faible que les médecins envisageaient de le faire passer à une version moins intensive. C'était un garçon fort, mais c'était comme s'il n'avait plus le courage de se battre.

J'ai passé trois heures avec lui cet après-midi, ce qui correspondait à une dizaine de minutes de conversation. Le reste du temps, il dormait. Finalement, il m'a avoué qu'il ne me dirait pas quel était son problème, mais qu'il le dirait à Tina, sa grande sœur.

Je me suis arrangée pour qu'elle vienne lui rende visite le soir même, et j'ai ensuite eu une conversation très inconfortable avec elle, dont le résultat a été qu'Ivan était convaincu qu'il allait mourir puceau, et que cette pensée l'avait complètement déprimé. Je n'ai pas eu à réfléchir trop longtemps avant de décider que, si c'était ce qu'il fallait pour lui donner une raison de se battre pour vivre, c'était un projet auquel je pouvais faire face.

J'ai reçu beaucoup de regards intrigués lorsque je me suis promenée dans le quartier chaud, à la recherche de la perle rare, et j'ai finalement trouvé une fille qui n'avait pas trop l'air de ce qu'elle était. Je me suis arrêtée et j'ai baissé ma vitre côté passager. Elle avait l'air perplexe en s'approchant de ma voiture.

« Puis-je vous aider, madame? » elle m'a demandé.

« Je ... J'ai une demande inhabituelle »

« J'ai tous les jours des demandes inhabituelles » me répondit-elle avec un sourire las.

J'ai dégluti laborieusement. Ce n'était pas facile à dire.

« Je souhaiterais que tu ... couches avec mon fils »

« Inhabituel, en effet, mais vous n'êtes pas la première »

« Il est malade ... à l'hôpital ... en phase terminale » Les mots avaient du mal à sortir.

« OK, je peux faire ça. Je pense que tu ne veux pas que j'y aille habillée comme ça? »

Brusquement, elle m'était sympathique.

« Ce serait bien si tu pouvais avoir un look d'étudiante » Elle s'assit sur le siège passager.

« Je n'habite pas loin. Je vais te guider. Au fait, je m'appelle Babette. Ce sera cent euros pour moitié-moitié. Est-ce que ça va? Tourne à droite »

« Moitié-moitié? C'est quoi? » J'ai demandé.

« Moitié oral et moitié vaginal. Gare-toi par-là, j'habite juste au coin »

« Ça ira très bien » Elle a souri en me voyant rougir.

Je l'ai attendue dans la voiture pendant qu'elle se changeait. Quand elle est ressortie, j'ai failli ne pas la reconnaître. Elle ressemblait maintenant à n'importe quelle jeune fille d'une vingtaine d'années. Elle m'a suivie jusqu'à la chambre d'hôpital. Je me suis assise sur une chaise dans le couloir pendant qu'elle entrait rejoindre Ivan. Trente minutes plus tard, elle est ressortie.

« Il te veut » Elle m'a dit. Je suis entrée directement, mais il dormait profondément, alors je suis ressortie aussitôt.

« Il dort »

« Ouais, je sais, il dort depuis un quart d'heure, mais avant, il m'a dit qu'il ne voulait pas de moi, il te veut, toi ! »

« Mais... Tu dois te tromper... ça ne se peut pas... » Mon esprit était dans une tourmente absolue, les questions se bousculaient sans que je puisse répondre, je n'arrivais pas à penser clairement, encore moins à formuler mon embarras.

« Pas d'erreur, Madame. Il est un peu difficile à comprendre étant donné sa faiblesse, mais il s'est exprimé très clairement. Tu es la seule femme qu'il désire, qu'il a toujours désirée, depuis qu'il est adolescent. Il sait que c'est sans espoir, c'est pourquoi il ne voit pas d'intérêt à lutter plus longtemps contre cette saloperie »

Je la regardais comme si elle parlait un langage incompréhensible. Ensuite, j'ai fouillé dans mon sac à main pour trouver son argent. Elle a repoussé ma main avec la sienne.

« Pas besoin de me payer pour ça, Madame » Me dit-elle doucement. « Je n'ai fait que lui parler. C'est un garçon sympa, tu devrais réfléchir à ce qu'il demande » Elle me caressa le bras doucement, comme pour me consoler, ou m'encourager, puis elle s'est éloignée.

Je suis rentrée dans la chambre d'Ivan, et je me suis assise sur une chaise, l'esprit embrouillé. Je suis sa mère. Je l'aime plus que tout, d'une manière inconditionnelle. Je ferais n'importe quoi pour lui, prête à tout pour le sauver. Je donnerais ma vie pour sauver la sienne. Une mère qui a élevé un enfant pendant une vingtaine d'année ne peut pas accepter de le perdre sans se battre. Mais là... c'était insensé, une folie, c'était anormal. Une mère ne peut pas céder aux désirs sexuels de son fils, c'est contre nature.

Et de toute façon, quelle alternative pourrait vraiment lui donner une raison de penser que la vie valait la peine d'être vécue, et qu'il doit se battre? Je n'arrivais pas à réfléchir en étant dans la même pièce que lui, alors je suis rentrée chez moi. J'avais désespérément besoin de me remettre les idées en place, en plus d'une douche et de vêtements de rechange.

Je me suis déshabillée dans ma salle de bain pour me regarder dans le grand miroir en me demandant comment un gamin de vingt ans pouvait vraiment me trouver attirante. Mes seins pleins et lourds n'étaient plus assez fermes, mais ils ne pendaient pas trop. J'ai examiné mes fesses et j'ai été heureuse de constater qu'il n'y avait que quelques fossettes de cellulite. J'avais un buisson de poils pubiens indisciplinés que j'ai taillé avec une paire de ciseaux. C'était mieux mais encore très touffu.

J'ai pris un rasoir, et pendant ma douche, je me suis rasée, ne laissant qu'un ticket de métro. De retour devant le miroir, c'était beaucoup plus joli. J'imaginais me dénuder devant mon fils, et j'ai ressenti un petit picotement d'excitation, mais il a été instantanément submergé par des sentiments d'embarras et d'anxiété. Toute mon éducation judéo-chrétienne rejetait l'idée que je puisse commettre l'impensable, cette faute suprême qu'est l'inceste.

J'ai renforcé ma détermination, j'ai enfilé mes plus jolis sous-vêtements et j'ai fini de m'habiller. Je n'étais toujours pas sûre de pouvoir y parvenir, mais au moins maintenant, j'avais pris ma décision et je me sentais prête. Je devais tout tenter pour sauver mon fils, rien d'autre ne comptait. De retour dans sa chambre d'hôpital, il dormait encore profondément, alors je me suis assise à son chevet pour le contempler, pendant que mon cerveau tournait à vide.

Il était trois heures du matin lorsqu'il ouvrit les yeux. Je me suis assise sur le lit, j'ai pris sa main dans la mienne, et je lui ai souri. Le petit et faible sourire qu'il me rendit me brisa le cœur.

« Tu as parlé avec Babette aujourd'hui » Lui dis-je doucement, et il hocha la tête.

« Ce que tu lui as dit, est-ce vrai? » Ses yeux s'ouvrirent un peu plus grand et il hocha la tête.

« Si... » Commençais-je, mais ma voix s'étrangla dans ma gorge. J'ai respiré profondément pour me calmer.

« Si je devais faire ça... » J'ai fait une pause et, pour la première fois depuis des jours, j'ai vu briller une petite flamme dans ses yeux. Avant de changer d'avis, j'ai repoussé la couverture et j'ai glissé ma main dans la braguette de son pyjama. Son pénis était mou, et je l'ai caressé de toutes les manières que les hommes aiment, utilisant ma science acquise au fil des années et des partenaires.

Je commençais à penser que la petite étincelle d'espoir que j'avais laissé entrer dans mon cœur allait être inutile, mais ensuite, lentement, il a commencé à s'ériger. Je lui ai souri d'un air encourageant et il a posé sa main sur ma cuisse. Je me suis penchée sur lui pour l'embrasser sur la bouche, et j'ai immédiatement senti sa langue sur mes lèvres, cherchant l'entrée. C'était plus intime et plus sensuel que ma main qui caressait son membre, ou que sa main qui cherchait son chemin entre mes cuisses.

Cela me semblait la chose la plus naturelle du monde d'ouvrir ma bouche pour accueillir sa langue. Au bout d'un moment, il a rompu le baiser pour murmurer quelque chose que je n'ai pas saisi. J'ai rapproché mon oreille de ses lèvres pour comprendre.

« Me montreras-tu? »

Je me levais et calais la chaise sous la poignée de la porte. Puis je suis venue près du lit en tremblant de tous mes membres. J'ai ouvert ma jupe et je l'ai jetée sur la chaise. Ses yeux se sont écarquillés en voyant ma culotte en dentelle. J'ai défait mon chemisier et l'ai jeté sur ma jupe. J'ai regardé ses yeux me contempler de haut en bas de mon corps, puis il a prononcé un seul mot : « Plus »

J'ai détourné mon regard en enlevant mon soutien-gorge et ma culotte. Je ne pouvais plus supporter son regard brûlant. L'envie de me couvrir de mes mains était presque irrésistible. Je me suis forcée à me montrer devant lui complètement nue, et j'ai vu un léger sourire sur ses lèvres.

Il a fait tournoyer son doigt et docilement, je me suis tournée lentement sur place, me montrant sous toutes les facettes. J'étais toujours extrêmement mal à l'aise, mais voir l'étincelle de joie dans ses yeux et sa semi-érection en valait vraiment la peine. Encore une fois, il murmura quelque chose et je dus me pencher sur lui pour l'entendre.

« Voudrais-tu te caresser pour moi, s'il te plaît maman? »

J'ai pris et caressé mes seins pour lui, et j'ai fait rouler mes mamelons entre mes doigts jusqu'à ce que mes tétons s'érigent. Je pouvais dire qu'il aimait ce qu'il voyait, mais ses yeux continuaient à descendre plus bas, vers mon sexe. Ma main tremblait beaucoup en descendant vers ma chatte.

J'écartais mes grandes lèvres, et c'est à cet instant que quelque chose s'est métamorphosé en moi. Je croyais être capable de faire n'importe quoi pour lui mais j'ai soudain compris que, même si cela ne lui donnait pas la raison de vivre que j'espérais, cela lui permettrait de vivre les fantasmes qu'il nourrissait depuis des lustres.

C'était comme si les vannes s'étaient ouvertes en moi, et je savais que je n'avais plus besoin du lubrifiant que j'avais apporté avec moi dans mon sac à main. Pendant que j'étalais ma mouille le long de mes lèvres jusqu'à mon clitoris, le tremblement de mes mains, ce n'était plus de l'inquiétude, ou du moins pas seulement cela. Il s'est léché les lèvres tandis que son regard perforait mon sexe, et il m'a fait signe avec son doigt si éloquent de me rapprocher de lui.

Je me tenais juste contre son lit, ma chatte proche de sa tête, et je le regardais prendre de profondes inspirations pour humer ma fragrance. J'ai écarté mes grandes lèvres pour glisser deux doigts à l'intérieur de ma chatte et j'ai été étonnée de voir à quel point j'étais mouillée. Il s'humecta de nouveau les lèvres avec sa langue et me dévisagea avec espoir.

J'ai sorti mes doigts très mouillés de ma vulve et je les ai placés doucement sur sa bouche. Il a ouvert la bouche pour sucer mes doigts avec une intense satisfaction, puis il m'a lancé de nouveau ce regard de chiot excité. Pendant que je lui permettais de sucer le jus de ma chatte, je regardais son érection s'ériger et je savais que c'était le bon moment.

J'ai abaissé les barrières de chaque côté du lit en faisant attention de ne pas accrocher les fils ou les tuyaux qui l'alimentaient, et j'ai grimpé sur le lit pour l'escalader. Je l'ai chevauché. Sa bite touchait les lèvres de ma chatte et je savais que c'était le point de non-retour. Je l'ai dévisagé, les yeux dans les yeux, et le mélange d'amour et de désir que j'y ai lu ne m'ont laissé aucun doute sur le fait que je faisais bonne route.

Je me suis abaissée lentement et j'ai saisi son sexe que j'ai promené entre mes lèvres pour l'humidifier. Puis je l'ai placé à l'entrée de mon vagin et je suis descendue doucement. J'ai senti l'érection de mon fils combler la convoitise de ma vulve. Son visage reflétait une expression de joie, un mélange d'émerveillement et d'extase. J'étais toujours inquiète à cause de son mauvais état de santé, alors je l'ai chevauché très lentement. J'ai pris sa main libre, celle qui n'avait pas le goutte-à-goutte, et je l'ai posée sur mon sein. Avec mon aide, il a réussi à me caresser doucement et même à pincer mon mamelon dressé.

Mes jus coulaient vraiment maintenant et, incroyablement, je me sentais émoustillée. Je sentais naître une chaleur sexuelle dans mes reins. J'ai déplacé lentement la main de mon fils, depuis mon sein jusqu'à mon clitoris. Lorsque ses doigts frôlèrent mon petit bouton, j'ai reçu une petite secousse de plaisir.

Je l'ai entendu rire faiblement. Il ne m'en fallait pas plus. J'ai commencé à jouir, les parois de mon vagin se sont resserrées autour de son membre, pendant que chaque merveilleuse convulsion secouait tout mon être. Ensuite, c'est moi qui ai exulté pendant que son sexe palpitant me remplissait de sperme chaud. Je me suis allongée sur lui pour l'embrasser amoureusement sur les lèvres, et il m'a rendu mon baiser avec la même passion.

Puis il a arrêté de m'embrasser et pendant un instant j'ai paniqué, puis j'ai vu le mouvement de sa poitrine qui se soulevait au rythme de sa respiration. Il était épuisé et s'est endormi avec son pénis en train de se mollir en moi.

Je me suis séparée de lui aussi doucement que possible, et je l'ai nettoyé avec les lingettes qui se trouvaient sur sa table de chevet. Je l'ai recouvert avec ses couvertures, remis les barrières du lit en place, puis je suis allée dans la salle de bain pour me donner une apparence décente. Finalement, j'ai retiré la chaise qui coinçait la porte et j'ai vérifié qu'il dormait paisiblement. Je me suis allongée et blottie tout contre lui, ma tête posée sur son épaule et mon bras sur son ventre.

Lorsque je me suis réveillée, il faisait jour, Ivan était réveillé et il me regardait en souriant.

« Comment te sens-tu bébé? » Lui ai-je demandé tendrement. En réponse, il se pencha sur moi et nous nous embrassâmes langoureusement.

« Je me sens un peu mieux » dit-il en souriant simplement.

Je suis allée me faire couler un café à la machine, puis je me suis assise sur la chaise et je l'ai regardé dormir pendant la majeure partie de la matinée. Le médecin qui faisait sa tournée quotidienne ne m'a rien dit quand il l'a ausculté. Mais il m'a regardée en haussant les sourcils. Je lui ai souri candidement, et il m'a lancé un regard évasif comme pour dire « peut-être, pas sûr »

La nuit suivante, quand le calme fut revenu, j'ai de nouveau bloqué la porte et je me suis dirigée vers Ivan qui était éveillé mais semblait fatigué.

« Tu as l'air fatigué » Lui dis-je en fronçant les sourcils.

« Je vais bien maman, franchement » Dit-il, essayant d'avoir l'air plus guilleret, mais sans succès.

« Que dirais-tu d'une petite pipe rapide, et ensuite tu dormiras? » Suggérais-je. Son petit visage qui s'illuminait de bonheur m'a donné envie de rire.

« Nous pourrons refaire l'amour demain soir, si tu es en forme » Rien de tel qu'un petit stimulant, ai-je pensé. Lui donner un objectif et une récompense pour le motiver, pour qu'il se batte.

Quand je l'ai pris dans ma bouche, il était petit et mou, et ce fut agréable de le sentir s'ériger, grandir et grossir dans ma bouche. Il y avait quelque chose de merveilleux dans le fait d'être si complices et, quand il a joui dans ma bouche, j'ai eu une envie folle et intense de lui faire l'amour tout de suite, mais une fois de plus, il s'est vite endormi.

Je me suis blottie à nouveau contre lui cette nuit-là, le caressant doucement en l'écoutant respirer.

Le lendemain matin, après sa visite quotidienne, le médecin m'a pris à part.

« Je ne sais pas comment vous avez fait, Mme Rivière, mais il y a une nette amélioration à la fois dans sa motivation que dans sa réaction à son traitement »

« C'est une merveilleuse nouvelle, Docteur, absolument merveilleuse »

Il m'a regardée d'un air dubitatif, mais n'a pas insisté.

Cette nuit-là, et pendant les nuits suivantes, tout au long de la semaine, je lui ai fait l'amour. Un amour charmant, tendre et paisible, mais magnifique, avant de s'endormir blottis dans les bras l'un de l'autre.

Chaque jour, il devenait visiblement plus fort, jusqu'à ce que le médecin nous dise qu'il pouvait continuer son traitement à la maison, à partir du lendemain.

Il était encore un peu faible, alors je l'ai soutenu pour monter les escaliers qui mènent à ma chambre.

« Euh, maman? Je ne vais pas dans ma chambre? » Il avait l'air confus.

« Je ne veux pas te laisser sans surveillance, tu dormiras ici avec moi dorénavant » Lui dis-je en le déshabillant. Je lui ai ôté son slip, et il a protesté :

« Mais il n'est que quinze heures. Je ne veux pas dormir maintenant ! »

« Qui te parle de dormir? » Dis-je en me penchant pour prendre son pénis dans ma bouche.Haut du formulaire

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Anonymous
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5 Commentaires
luc1234_luc1234_il y a 3 mois

Texte superbe... qui m'a mis dans l'état que l'on peut imaginer...

Yokebed83Yokebed83il y a 3 mois

Merci j'ai adoré

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

superbe, le sacrifice de sa mère à porter ses fruits, et en plus la mère est de plus en plus addicte.

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Merveilleux

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Quelle belle histoire ! Merci Rainett

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