Hugo et Wendy 01: Mise en Selle

« Le vendeur, se ressaisi, réussi à arracher son regard de ma chatte exposée. Le rouge lui monte aux joues. Il me demande, en n'osant à peine me regarder si je veux son aide pour me lever. Je lui adresse un sourire que je crois aguicheur et lui tend la main. Une fois debout, je tire sur ma jupe en m'exclamant : qu'est-ce qu'ils sont bas vos fauteuils! Je fais quelques pas, je me rassieds en le regardant droit dans les yeux. Genoux serrés, je lui demande de m'aider à enlever les bottines. À peine est-il de nouveau à mes pieds que je remonte ma jupe et écarte mes jambes. je n'en reviens pas moi-même mais sa gêne et le pouvoir que je semble avoir sur lui me donnent des ailes.

— Putain! J'ai l'impression que t'es allé un peu plus loin que prévu non? »

Re-claque sur la bite, mais cette fois pas pour le surprendre, pour lui faire, un peu, mal.

« Aïe!

— Je fais tout ce que tu me dis, comme convenu quand j'accepte une mission. Tu ne m'as pas dit de ne pas aller plus loin. À ton tour d'assumer et de m'écouter. Le gars m'enlève mes chaussures. Ses yeux passent de mes pieds - pour voir ce qu'il fait - à ma chatte - que j'imagine luisante - à mes yeux. Cette fois je lui adresse un franc sourire et je lui dis que je voudrais essayer la taille au-dessus. »

J'ai repris la bite d'Hugo en main et je ne le ménage plus. Je le branle vite et fort. Il n'a plus l'air de se plaindre.

« Le gars acquiesce, se lève pour aller chercher une autre boîte tout en tenant la précédente devant lui. Je l'arrête et lui demande de me la laisser pour l'instant. Je le vois rougir de plus belle. Il n'a plus rien pour cacher son érection et je regarde alternativement la bosse incongrue dans son pantalon et son visage pourpre. Je lui dis que c'est mon tour en faisant un peu ma salope et en passant ma langue sur mes lèvres. »

Je vois les couilles d'Hugo commencer à se contracter, sa respiration changer, sa bite se tendre et je l'abandonne à son éjaculation. Il donne quelques coups de bite dans le vide et décharge lamentablement sur son ventre.

« P..p..pourquoi? demande-t-il penaud et un peu déçu.

— Je ne sais pas vraiment, j'avais envie que tu restes un peu sur ta faim malgré un très bon moment. Un peu comme moi.

— Je ne vais même pas avoir le droit à la fin de l'histoire?

— Si quand même! Le petit vendeur est parti me chercher l'autre paire de chaussure avec une démarche amusante vue la gaule qu'il avait. Je suis sortie de la boutique, j'ai foncé dans la voiture que j'avais garée dans un sous-sol à proximité et je me suis branlée comme une folle. J'étais excitée par tout : la trouille et la honte que j'avais ressentis, la prise de pouvoir sur le jeune homme, l'excitation dans laquelle je l'avais mis et les suppositions que je faisais sur sa déception en revenant avec sa boîte de chaussures. Maintenant je vais aller me mettre en chemise de nuit sans culotte pendant que tu te nettoies, me mettre au lit et j'aimerais que tu me lèches sans un mot en revenant te coucher. »