Tourisme esclavagiste au Zonga

Informations sur Récit
Jerome joue dangereusement à l'esclave. Et perd!
6.8k mots
4.04
4.4k
3
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
RoxyJJ80
RoxyJJ80
14 Admirateurs

C'était fait! Jérôme venait d'être vendu sous les yeux d'Emilie qui avait vécu un moment particulièrement jouissif! En plein voyage au Zonga, ce petit état africain indépendant et riche à la culture tellement libre et éloignée de la morale occidentale que l'esclavage était une norme tout à fait... normale! Et Jérôme avait voulu profiter de l'occasion pour offrir à son amie un petit kiff qui répondait à un fantasme inavouable!

Après avoir expliqué le contexte qui avait beaucoup amusé l'homme, Jérôme s'était proposé comme « esclave » d'Emilie, auprès d'un marchand local, afin d'être vendu nu, en chaine, à la vue de tous, son petit kiki à la lumière des nombreux locaux et touristes, comme un sous-homme, et même, vu l'issue de la vente, comme un animal! L'esclavagiste amusé par cette demande n'y voyait aucun inconvénient, pourvu qu'il soit payé.

Quant à Emilie, Jérôme lui avait donné RDV sur la place centrale avec une enveloppe qui donnait tous les éléments d'explication : elle assisterait à la vente de son ami comme esclave, sans trop savoir qui allait se positionner, mais en s'assurant qu'avec les 700 € glissés à l'intérieur, Emilie l'achèterait pour en faire son esclave (comme si elle avait besoin de cela, il l'était de fait depuis des années!). En principe, cette somme était très importante pour un esclave, donc il était probable que Jérôme ne soit acheté que pour 300 ou 400 euros... et pourtant, rien ne se passa comme prévu : les prix avaient grimpé au point que la somme limite était dépassée de 200 euros!

Jérôme avait précisé à Emilie qu'elle pourrait verser le complément pour le racheter, et que si jamais, elle ne le souhaitait pas, il accepterait son destin...

Au fond de lui, Jérôme connaissait le risque avec son amie, et c'est ce qui l'excitait : s'il existait une femme capable d'aller au bout de tout, c'était elle! S'être fait baiser par Alain, Ahmed, Youssef, filmé et diffusé, avoir vécu un gang bang avec 5 jeunes blacks bien membrés, sous le contrôle totale de son amie, en avait été la preuve la plus concluante : elle validait tout quand elle-même n'organisait pas sa déchéance!

Pour autant, il pensait que les faibles sommes l'amèneraient à l'acheter si les ventes prenaient une tournure inattendue : donner aussi le pouvoir sur sa vie à Emilie lui avait semblé suffisamment excitant pour qu'elle utilise cette faculté et qu'elle accepte de surenchérir, même si elle lui ferait rembourser avec son cul au centuple.

Quelle erreur!

Emilie avait un autre kiff qui dépassait les questions d'argent : c'était de voir son ami vendu comme esclave, et ce sans intervenir et laisser tout se faire, un véritable Graal! En plus, avec cette mise en scène très tribale d'esclaves exposés les uns après les autres, au bout d'une chaine, et d'une laisse, nus, vendus pour différentes raisons, était incroyable : on se croyait aux temps romains et Jérôme était le seul blanc au milieu de ces pauvres gens, ce qui rendait la scène (et la vente) bien plus intéressante que prévue! Elle pensait au début l'acheter, car c'était amusant de l'officialiser comme esclave d'un point de vue juridique, et ainsi l'humilier, le ramener en laisse nu, sous les yeux amusés voire jaloux des autochtones et des touristes mais les différentes ventes étaient très excitantes et la moiteur entre ses cuisses orientait différemment ses choix : après tout, c'était l'opportunité d'une vie qu'elle se devait de saisir, et il ainsi soit-il : il serait vendu!

En plus, ça lui ferait 700 € dans sa poche sans effort!

Bien sûr, elle ignorait qui serait l'acquéreur, et tout était possible : serait-il acheté comme esclave de compagnie? Son avenir l'amènerait-il à travailler dans les champs en plein air, ou au contraire oublié au fin fond d'une mine? Serait-il la vulgaire bonniche au sein d'une maison? Finirait-il comme eunuque auprès d'une riche héritière? Ou au contraire, comme une vulgaire prostituée d'un bordel pour touristes?? Emilie s'amusait à imaginer sa future destination et prit un malin plaisir à lui envoyer de loin un sourire lui faisant comprendre qu'elle n'interviendrait pas et son excitation était à son comble quand elle voyait les différents gros dégueulasses prêts à acheter son ami! Qui sait, peut-être l'un d'eux serait son mec et le baiserait non-stop?

Quand elle entendit sous quelques applaudissements « adjugé, vendu! L'esclave appartient dorénavant à l'organisateur du banquet de ce soir, chez qui vous pouvez déguster les meilleurs burgers, tacos et kebab de la région! », Emilie se demandait qui était ce restaurateur et se hâta de rencontrer le nouveau propriétaire pour comprendre ce qu'il ferait de Jérôme : si ça lui déplaisait, elle tenterait peut-être de le racheter pour une vente plus... à son goût!

Et ce qu'elle découvrit allait dépasser toute son imagination!

Avant d'aller au restaurant, Emilie récupéra les gains de la vente, soit 900 € moins les 50 % qui allèrent légitimement au Zonga pour lui permettre de toujours mieux prospérer du tourisme, et compta son petit pécule inattendu du jour : 1 150 euros sans effort! Elle en ferait bien son business, c'était bien plus que les quelques dizaines d'euros récupérés par son ami lorsqu'il avait tapiné lors de ses premières rencontres gays! Faut dire que mettre les prix à 2 € la passe, ça n'aidait pas, même si c'était très amusant de lui faire comprendre que c'était une pute low-cost... après tout, elle autorisait régulièrement ses quelques coups d'un soir à se décharger en lui sans capote, donc, c'était juste la dure la loi du marché!

Elle allât discuter autour d'un apéro organisé par le village, avec quelques autres vendeurs et vendeuses en l'honneur, discutant de leurs esclaves respectifs, chacun partageant les petits films pris pour garder ce souvenir inoubliable, avant de s'amuser à les partager le net : le nombre de vues et de like montait à grande vitesse, avec tout un tas de commentaires tantôt indignés, tantôt amusés mais souvent méprisants vis-à-vis de ce « blanc soumis » qui n'avait « aucun amour propre ».

Emilie pianota encore un peu pour informer ses amis sur ce superbe voyage en terre inconnue, consultât quelques sites de shopping, demanda l'adresse du restaurant que quelques convives dépeignaient comme la quintessence de la restauration « junk food », avant de se lever et de partir en promettant de passer les voir au banquet le soir, non sans laisser un pourboire de 8 euros, avant de se raviser, et ne mettre que 2 euros : après tout, il méritait bien ce clin d'œil!

Le restaurant était bien un fast-food classique, mais assez grand et bien tenu, central et bien situé, donc avec pas mal de clientèle hétéroclite, beaucoup de cuisiniers et ça devait tourner 24 heures sur 24! Elle rigolait à l'idée que Jérôme devienne cuisto ou plongeur, ce n'était tellement pas son truc! SI c'était le cas, elle serait un peu déçue et aviserait pour activer une clause de rachat.

Elle demanda à la personne d'accueil qui gérait l'arrivée des clients, une grande blonde souriante probablement russe ou suédoise, de parler au chef car son esclave venait de lui être vendu.

Comprenant de quoi elle parlait, elle se mit immédiatement à lui souvenir et la remercia de permettre, grâce à son esclave, que soit tenu le banquet ce soir. Propos étrangement énigmatiques pour Emilie...

Alors qu'Emilie traversa la cuisine pour rejoindre le chef, elle vit à sa grande surprise dans le cellier attenant, son ami, Jérôme, pieds et mains liés, bâillonné, comme un cochon, allongé sur une table enfarinée, au milieu de différents condiments : elle se retint de ne pas exploser de rire, mais la scène, aussi improbable soit-elle, était étrangement érotique à voir!

Le chef l'accueillit à bras ouverts, la remercia mille fois pour la vente et expliqua qu'un banquet annuel au top de la saison touristique avait lieu chaque année en place centrale du village, avec des centaines de personnes, musiciens, villageois, touristes et tous des clients potentiels pour son restaurant qui avait gagné le concours pour préparer « le grand diner ».

Il expliqua qu'ils étaient en manque de viande, et grâce à la vente du « grand porc », il pourrait assurer sans aucune difficulté les festivités culinaires du soir!

Emilie resta bouche bée : d'abord abasourdie, elle finit par exploser de rire sous les yeux hagards de son ami, qui écoutait la conversation car lui-même ignorait tout de son avenir!

Bien qu'elle commençait à deviner ce qui se tramait, Emilie demanda le rôle précis de « l'animal » dans ce banquet, et le chef lui donna l'ensemble des détails : Emilie écoutait très attentivement, tantôt souriant, tantôt dubitative, alors que Jérôme commença à très sérieusement s'inquiéter, d'autant qu'Emilie semblait captivée... il espérait qu'elle le rachète, même si au fond de lui, cette situation ne le laissait pas indifférent : humilié, rabaissé, ignoré comme le sac de patates qui était au même moment déposé entre ses jambes dans l'indifférence générale, sans qu'Emilie elle-même n'y prête une attention particulière. Comme si tout était « normal » pour elle, se dit-il!

Le chef expliqua qu'avec les 30 kg de viande qu'il tirerait, il préparerait un méga plat qui cuirait pendant 3 heures dès 18H00 sur la place publique, et qu'il allait justement préparer le « porc » pour qu'il soit parfaitement farci et prêt à cuire.

Jérôme, encore sous le choc, espéra qu'Emilie allait mettre un terme à cet échange, et celle-ci se tourna vers lui, nota son regard implorant, mais elle remarqua que ses yeux brillaient d'autre chose, et que sa petite bite était en parfaite érection... Elle le savait : il était excité! S'il n'avait pas été trahi par ses sens et son désir profond, peut-être qu'Emilie aurait choisi une autre option que celle qu'elle allait prendre.

Elle se tourna vers le cuisinier et lui exprima son désaccord! Jérôme eut une lueur d'espoir qu'Emilie acheva dans l'œuf : elle expliqua qu'elle avait en horreur la souffrance animale et ne voulait en aucun cas que l'animal souffre avant d'être consommé, sinon elle annulait la vente!

S'il avait pu, Jérôme aurait crié d'arrêter la folie... mais étrangement, pas même un cri étouffé ne sortit de sa bouche... il avait donné sa parole et il le savait : il avait joué une fois de plus avec Emilie, peut être une fois de trop, mais il avait lui-même scellé son sort. « Parfois je gagne, parfois je perds... mais Emilie gagne toujours... ».

Le chef ne semblait pas très content de ces paroles d'écolo occidentale qui défend la souffrance animale. Aussi, il appela un jeune commis de cuisine noir et lui donna un ordre en Zongais. Celui-ci acquiesça et se mit à mettre un peu d'huile sur l'anus de Jérôme, inséra deux doigts épais pour l'attendrir, avant d'enfoncer lentement une patate particulièrement large, comme demandé par son chef, dans le cul du porc qui, surprit, sentit une douleur vive le prendre avant une sensation bien connue d'enculade qu'il a tant appréciée plus d'une fois, de sorte que le seul son qui sortit de son bâillon fut un petit cri de plaisir qui donna un sourire de satisfaction au chef :

- Vous voyez, l'animal aime ça : être farci, c'est le sens de sa vie, il le sait, donc il ne souffre pas.

Emilie s'en amusa et rétorqua que malgré tout, il devait lui assurer que ça se passe bien.

Elle se mit à discuter plus discrètement mais de façon très animée avec le chef : il ressemblait à un marchand de tapis qui tentait de convaincre une cliente méfiante, et Emilie à une touriste qui ne voulait pas être prise pour le pigeon de service! Heureusement que l'entente était très bonne entre eux, de sorte qu'à plusieurs reprises, ils rirent chaleureusement, se serrant plusieurs fois la main comme pour valider des deals inconnus de Jérôme.

- On a donc un accord, chef! Et je peux gérer « l'autre » comme je veux ce soir?

- Oui oui madame! Tant que vous me le rendez à l'heure, je respecte ma parole, aucune souffrance tant que la bête est avec moi, je vous promets que j'en prendrai particulièrement soin! Vous serez bien placée près de lui toute la soirée pour vous en assurer, selon nos termes! Vous êtes redoutable en affaire!

- Parfait, ça me fait un peu bizarre de passer du temps avec un animal d'élevage, généralement j'aime bien les animaux de compagnie, et même s'il a pu en fait l'être un peu parfois pour moi quand je l'utilisais comme repose pieds ou que je l'enfermais, attaché comme un petit rat dans ma cave humide, j'avoue ne jamais avoir fait ça avec... un porc? Ni même l'avoir envisagé!

- Au Zonga, vous êtes libre avec vos esclaves! Profitez-en, que ce soit un objet ou de la viande, personne ne jugera ce que vous en faites! Certains propriétaires gardent même la peau pour en faire de la très bonne toile de parapluie ou de parasol, bien plus résistante et efficace que le tissu habituel! Et le soleil tape fort ici.

- Ha ha, amusant ça! Pourquoi pas, je n'ai pas pris de crème solaire et je compte aller à la plage demain! S'amusa Emilie.

Tout sourire et sur son petit nuage, Emilie quitta la pièce en pensant à la tenue qu'elle mettrait ce soir, sans se retourner vers ce gars qui n''était plus vraiment un homme à ses yeux, tandis que le chef donna un ordre à ses commis, qui détachèrent Jérôme. Après l'avoir rudement lavé, ils l'emmenèrent dans une salle privée en bas d'escaliers sombre...

Emilie l'y attendait depuis quelques instants, assise, tout sourire, affichant une satisfaction totale car à sa grande surprise, cette salle ressemblait à une cave aménagée de façon rudimentaire, avec ses murs de pierre, une absence totale de fenêtre, un canapé fatigué, des aliments et vieux sac entreposés à même le sol, mais aussi des ustensiles de cuisine et des outils de bricolage plus inquiétants, entre scies électriques, casseroles et couteaux, ce qui laissait imaginer que tout un tas de choses avaient pu se passer ici...

Et surtout un vieux lit au matelas qui avait tellement vécu qu'il n'avait rien à envier à ce qu'on trouverait dans une prison colombienne! Elle adressa un sourire complice à Jérôme en désignant le matelas, lequel compris aussi vite l'allusion à « Bogota »... la perversité d'Emilie qui s'affichait dans son sourire qu'il ne connaissait que trop bien eut un effet immédiat sur lui.

Emilie remarqua l'érection de Jérôme et s'en amusa à haute voix : « voilà une jolie petite knaki qui aurait adoré passer des années sur ce vieux matelas à servir des clients : il est à croquer! Enfin, plutôt à griller... ».

Emilie regarda les commis s'affairer autour de Jérôme : ils le mirent à genoux sur une table métallique, écartèrent ses cuisses et commencèrent à saucissonner son pénis et ses testicules coupant presque totalement la circulation sanguine... son pénis bandait dur grâce à l'effet cumulé de l'excitation et des fines cordelettes!

Une fois le travail réalisé, les commis quittèrent la salle et laissèrent Emilie avec son ancien esclave.

Féline, elle s'avança lentement vers lui, arborant toujours ce sourire si doux pervers, et commença à caresser le corps de son ami comme pour mieux apprécier sa valeur. Elle se positionna entre ses jambes et manipula le pénis afin d'être sûre qu'il ne jouirait pas : les cordes coupaient la circulation entre les testicules et le pénis, le gonflant comme jamais, lui donnant une couleur rouge violacée tel un petit roastbeef appétissant : il aurait suffi de serrer un peu plus fort pour couper net en 3 ses organes!

Tout en se déshabillant avec lenteur et volupté, elle lui expliqua que la prochaine heure serait consacrée à une baise d'enfer mais qu'il ne jouirait pas, sinon elle lui couperait les couilles directs! Jérôme ne savait pas si sur ce point elle était sérieuse, mais, par expérience, rien ne l'amenait à croire le contraire, surtout pas tous les outils dans la pièce! De toute façon, il était subjugué par le corps de son amie, qu'il voyait dorénavant comme une parfaite vestale, une déesse...

- Je vais t'expliquer ce qui va t'arriver dans le moindre détail... mais à mesure que je te parle, tu vas utiliser ta langue et me faire un bon petit cuni des familles... Commence par lécher mes tétons avant...

Profitant d'un confortable canapé, Emilie s'allongea sur le dos et écarta les cuisses, laissant « l'autre » obéir, sentant son corps se frotter au sien, la regarder une dernière fois comme avant... elle l'embrassa sauvagement, profitant de sa bouche, ses petites lèvres tendres et du désir qui brûlait en lui... l'embrassade était fougueuse, et elle imaginait étrangement le gout ses lèvres, avec une envie de les « dévorer », ce qui la faisait une nouvelle fois sourire vu ce qui attendait son petit animal...

Elle orienta le visage de Jérôme vers sa poitrine opulente, et son ami se saisit des seins plein et gonflés de sa maitresse pour les prendre à pleine bouche, les lécher, les gober, les aspirer, les malaxer de ses mains excitées, tout en titillant les tétons durs de sa langue, tel un puceau trop empressé, ce qui amusa et excita Emilie... Elle ferma les yeux et voyait en lui cet instinct bestial qui lui allait si bien en ce moment : un « animal » docile tout à son service...

Puis, son visage s'approcha de l'entre jambe humide de son amie : il leva alors les yeux vers elle qui lui renvoya un sourire entendu : obéis-moi, donne-moi du plaisir, tu n'es rien pour moi, même plus une pute, même plus un animal, juste un esclave lambda assez faible pour accepter d'être volontairement vendu, qui n'a d'utilité que temporaire afin de servir sa maitresse.

Et il plongea sa bouche sur la chatte trempée, léchant les grandes lèvres comme l'on dévore un festin en étant affamé... sauf qu'il n'en avait pas encore totalement conscience, mais c'est lui qui serait le festin... et elle allait se faire un plaisir de lui expliquer tout en le baisant! Hmmm une baise très prometteuse!

- C'est bon ça, « petit porc » hmmm alors sache que ce soir, tu seras la star du banquet hmmm et je serais assise au 1er rang... voilà, joue avec ta langue, tant que tu en as une.... Hmmm... tu seras a priori servi avec d'autres animaux, des poulets, des veaux, du bœuf, je crois... mais tu seras placé avec les porcinets car ils veulent vraiment qu'il y ait une thématique par viande! Et chez les porcs, tu seras le plat de résistance, car il en faudra pour nourrir tout ce monde! Ooooh c'est bien ça, enfonce bien ta langue, fais-la rouler en moi hmmm...

Jérôme écoutait, sa bite devenait dure comme le bois, souffrant des liens serrés, excité et effrayé, tentant de donner autant de plaisir que possible à sa maitresse, ne sachant pas le sérieux et toute la véracité des propos... jeu ou pas, il aimait l'entendre parler ainsi, et elle tenait son rôle de dominatrice hypnotisante encore une fois parfaitement...

- Le chef proposait de te « préparer » vivant car ça améliore la qualité de la cuisson, mais ce n'était pas acceptable hmmmm je déteste la souffrance animale, tu le sais, et si je me fous que tu en baves, je déteste voir ça! Et savoir ça, ça me gâcherait tout ce si beau voyage! Alors, j'ai négocié pour ton bien-être. Hmmmm oui, c'est çaaaa, fais plaisir à ta maîtresse qui pense à toi hmmmm...

Emilie eut un délicieux 1er petit orgasme, qui nécessita quelques instants de repos pour récupérer... son adorable petit porc n'avait pourtant pas cessé de doucement téter son clito et sa chatte trempée, ce qui l'excita de nouveau rapidement...

Elle se redressa et ordonna à son animal de se mettre sur le dos sur le vieux matelas : allongé, Jérôme savait que son amie allait le chevaucher, et au moment d'ouvrir la bouche pour lui dire qu'il l'aimait plus que tout, elle le fit taire!

- Je te rappelle que tu n'as plus grand-chose d'humain, non seulement légalement puisque tu es officiellement de la viande animale pour la soirée, mais aussi psychologiquement car tu obéis comme un animal... et ça me plait bien! D'ailleurs, j'ai envie de tenter un truc, comme ils font d'habitude...

RoxyJJ80
RoxyJJ80
14 Admirateurs
12