Un gang-bang qui tourne mal Ch. 01

Informations sur Récit
va-t-elle regretter ses envies ?
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9

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/28/2023
Créé 06/06/2023
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Traduction d'un texte de creativeboyinspring

*****

Mes mains tremblent alors qu'elles agrippent le volant. Il reste une heure avant la nuit, ce qui me permet d'avoir une bonne visibilité en conduisant. Mais j'ai quand même du mal à me concentrer parce que je vais faire quelque chose de stupide. Pas seulement stupide d'ailleurs, mais complètement fou, idiot, dangereux et irresponsable.

Pourquoi fais-je cela? C'est facile à comprendre Michelle! Tu veux vivre ça pour une fois dans ta vie. Tu veux pouvoir te dire que tu as fait quelque chose de fou et d'excitant. Quelque chose que tu pourras raconter aux gens quand tu seras un peu éméchée dans un bar. Pour que tu aies une histoire folle comme tout le monde semble en avoir pendant leurs années d'étudiants. Seulement ton histoire datera de tes trente ans.

Il faut dire que la chose la plus excitante qu'il me soit arrivée dernièrement, c'est quand un serveur m'a demandé ma carte d'identité pour vérifier que j'avais l'âge de boire du vin. Voilà à quel point ma vie est triste, car j'ai été heureuse de ça pendant plusieurs jours. C'est pour ça que je veux faire ça. Pour vivre pleinement au moins une fois dans ma vie.

Mais cela est fou et inimaginable. Je continue de penser que ce n'est pas vraiment réel? Que rien de tout ça n'est vrai et que c'est juste un rêve.

Comment cette histoire a-t-elle commencé? Eh bien, elle a commencé il y a plusieurs mois... Non en vérité je vais être honnête, c'était il y a deux ans. Je vais souvent sur les réseaux sociaux et je suis tombée un jour sur un post « adulte ». À partir de là j'ai exploré beaucoup de posts ne s'adressant qu'à des personnes majeures. Et j'ai commencé à m'intéresser à certaines pratiques sexuelles comme le bondage, le BDSM, les gang-bangs sans parler des humiliations.

J'ai apprécié ces sujets où les gens ne se contentent pas de poster de photos, mais où l'on peut parler de ses fantasmes ou expériences. J'ai rencontré virtuellement des tonnes de gens sympas, mais aussi des pervers vraiment effrayants. J'avais l'impression de faire partie de cette communauté jusqu'à ce que je me rappelle que je n'avais aucune expérience réelle de ces jeux. La seule que j'avais c'était des fantasmes.

Bien sûr, des tonnes de gens voulaient m'écouter raconter mes fantasmes. Tout comme ils voulaient voir des photos de moi. Je n'en ai posté une qu'une seule fois. Elle était assez banale avec mon visage caché, un bikini et les mains menottés. Un commentaire me disait que je ressemblais à une célèbre actrice porno que je ne connaissais pas. En faisant des recherches sur internet, j'ai pu voir une certaine ressemblance entre nous, mais pas beaucoup. Peut-être que plus jeune, je lui ressemblais vraiment. Mais je dois admettre que ce commentaire m'a fait me sentir sexy. La plupart des autres commentaires ne m'ont pas plu. Ils voulaient surtout que je regarde leur virilité. Mais ce seul commentaire agréable m'a donné l'envie d'en faire plus.

Puis aujourd'hui, je suis tombée sur un message qui m'a intéressé, un message qui semble réel et qui a été écrit par quelqu'un qui habite ma ville. Je l'ai lu tellement de fois que je l'ai mémorisé. Le titre était : « Groupe de garçons de Springfield intéressé par organiser un gang-bang avec une femme ». Ce titre a tout de suite attiré mon attention. Il fallait que je lise la suite. J'étais attirée comme par un aimant.

Le message disait alors : « Bonjour à tous! Merci beaucoup de vous être arrêté et de lire notre message. Nous savons qu'il risque d'être un peu long, mais voilà. Nous sommes un groupe d'étudiants de plus de dix-huit ans qui ont fini leurs études et qui ont du temps de libre. Pour en venir au fait, nous voudrions réaliser un gan-bang avec une femme intéressée. Nous sommes des garçons normaux qui savent poser des limites à leurs actions. Nous ne recherchons pas des choses hors norme comme pisser sur quelqu'un ou le battre à mort. Nous sommes surtout intéressés par l'accomplissement de fantasmes de domination/soumission, de toutes demandes que vous pourriez faire si ça reste dans le raisonnable. En termes d'âge et de physique, peu nous importe tant que vous êtes majeurs. Si vous voulez en savoir plus, n'hésitez pas à répondre à ce message. »

Le message était assez clair, mais ce qui m'a frappé c'est la politesse et le niveau intellectuel des propos. J'ai toujours eu l'habitude d'avoir des messages d'hommes qui parlent de la taille de leur bite ou de la manière dont ils vont te baiser pendant des heures. Pour être franche, la plupart des messages d'hommes qui cherchent quelqu'un proviennent de mâles qui ont un égo démesuré et beaucoup trop confiance en eux. Mais ce message était correct et bien écrit.

Bien sûr, j'ai fait des recherches sur ce compte et ce pseudo. Il existe depuis de nombreuses années et le propriétaire partage beaucoup de données personnelles, ce qui m'a mise à l'aise. Il ne s'agissait pas de quelqu'un qui passait juste, mais d'une personne qui discute depuis longtemps par ce moyen. En plus il semble partager les mêmes opinions politiques que moi, d'près ce que j'ai vu dans ses publications.

Alors j'ai répondu. Je n'arrive toujours pas à croire que je l'ai fait, ça ne me ressemble pas du tout. Je ne pense pas que quiconque me connaît puisse croire que j'ai fait une chose aussi folle. Mais je l'ai fait, j'ai répondu à une annonce d'une rencontre pour du sexe.

J'ai reçu une réponse et le gars m'a dit qu'il avait été surpris qu'une vraie femme réponde. Il a continué en disant qu'il avait eu beaucoup de réponses de trolls qui se moquaient de son annonce, sans parler des homosexuels qui voulaient sortir avec lui. Il ne se doutait pas qu'une femme soit intéressée.

Nous nous sommes envoyés beaucoup de messages. Je lui posais des tonnes de questions. Je lui ai dit que nous étions des étrangers et que je n'étais pas complètement rassurée. Nous avons discuté de nos penchants sexuels et de nos limites. Et comme je suis un peu stupide, j'ai été honnête sur mes fantasmes, ce que je voulais endurer : Les gang-bangs, les humiliations et le bondage. Il est resté très poli et même gentil en me répétant plusieurs fois que si je n'étais pas à l'aise, nous n'étions pas obligés de faire quoi que ce soit et que je n'avais pas à partager mes fantasmes avec lui .

Il a admis que c'était la première fois qu'il passait une telle annonce. Avec ses amis, ils avaient étudié pendant de longues semaines pour les examens et ils étaient stressés. Maintenant qu'ils avaient passé les épreuves, ils s'ennuyaient et ont pensé que ce serait un bon moyen d'évacuer le stress avec une bonne partie de jambes en l'air.

Il m'a dit aussi, que de son côté, ils prendraient certaines précautions comme, par exemple, de faire un enregistrement de moi disant que j'étais consentante et que je n'étais pas victime d'un chantage. Il m'a aussi parlé de mots de sécurité pour tout arrêter si nous trouvions que les choses prenaient une mauvaise direction. Il m'a assuré que si l'un de nous était mal à l'aise, nous arrêterions.

Nous avons échangé pendant plus d'une heure. Et comme je me sentais à l'aise avec lui, je lui ai dit que l'un de mes plus gros fantasmes était d'être humiliée du moment où j'arrive jusqu'à ce que je parte. Puis je lui ai donné plusieurs exemples de comment je voudrais être traitée, insultée, qu'ils se moquent de moi, qu'ils fassent des blagues à mes dépens. Je lui ai dit que je pourrais être attachée. De son côté il m'a dit ce qu'ils voulaient, ce qui n'était pas grand choses, principalement qu'ils me baiseraient à plusieurs et que je serais peut-être fessée.

Nous nous sommes mis d'accord et nous avons accepté tous les deux les termes du marché. Nous étions nerveux et excités. Puis il m'a donné l'adresse de leur maison. Et je lui ai dit à quelle heure j'arriverai. Voilà c'était tout, j'allais me faire gang-banguer pour la première fois.

J'ai pris un premier verre, suivie immédiatement par un autre. J'étais tellement étonnée que je tremblais littéralement. Moi, la fille un peu ennuyeuse, allait faire une chose un peu folle. J'étais sur le point d'avoir une expérience sexuelle avec plusieurs hommes, plusieurs inconnus. Alors que j'étais assise là à boire, je ne pensais pas que je pourrais aller jusqu'au bout. Dans ma tête l'idée tournait en rond et je me demandais constamment si je devais le faire.

Si bien qu'à la fin j'ai tiré à pile ou face pour décider si je devais monter dans ma voiture et me diriger vers l'adresse donnée. Et maintenant, à chaque seconde qui passe, je me demande toujours si je veux le faire. En vérité je veux le faire, mais je n'arrête pas de penser à tout ce qui pourrait mal tourner.

- Vous avez atteint votre destination! Me dit le GPS.

Je suis surprise. j'ai suivi les instructions de l'appareil sans faire vraiment attention à la route qui me séparait de ma destination. En regardant autour de moi, je vois que je suis dans un quartier de classe moyenne. Il ressemble à n'importe quel quartier tranquille que l'on peut voir à la télévision, avec quelques personnes qui arrosent leur jardin.

Après avoir repéré la maison je passe devant. Tout a l'air normal. Il ne s'agit pas d'un donjon de torture ou une maison délabrée avec des squatters. Il s'agit d'une maison normale avec un beau jardin. j'essaie de voir si des personnes sont à l'intérieur, mais je ne vois rien.

Je me gare alors dans une rue adjacente, devant une maison à vendre. En reprenant mon souffle, je regarde le quartier et je réfléchis à ce que je vais faire. J'ai beau me dire que ce n'est peut-être pas bien, je suis très excitée. Et cette excitation ne ressemble à rien de ce que j'ai ressenti auparavant. La plupart du temps, j'ai l'impression que mon excitation commence entre mes jambes, mais là elle vient de mon esprit, de mon âme.

Puis je me retrouve à l'extérieur de ma voiture. Je laisse dans mon coffre tous mes objets de valeur (portable, portefeuille, clé de maison) afin qu'ils soient en sécurité et enfermés au cas où quelque chose se passerait mal. Je m'approche de la maison à vendre comme si elle m'intéressait. Puis je cache mes clés de voiture dans un pot. Encore une fois, si les choses tournent mal, je préfère éviter que des inconnus aient accès à ma voiture et à mes objets de valeur.

Tremblante je marche sur le trottoir en direction de l'adresse donnée. À chaque pas que je fais, mon cerveau me crie de faire demi-tour. À chaque pas je suis plus effrayée et plus excitée. À chaque pas, je me sens de moins en moins moi-même.

Je passe devant la maison, car je ne suis pas encore prête à aller jusqu'au bout. Je continue à marcher sur le trottoir comme si j'habitais dans le quartier et que je faisais une promenade. J'arrive au bout du pâté de maisons et je fais demi-tour pour passer de nouveau devant la maison. Finalement je me dis que je dois paraître bizarre alors je m'arrête devant . Il ne faudrait pas qu'un voisin appelle la police pour dire que quelqu'un rode dans le quartier.

Mon cœur bat la chamade, car je sais que c'est le moment de vérité. Si je monte les marches et sonne à la porte c'est fini. Je devrais aller jusqu'au bout. Mais je fais demi-tour et rejoins ma voiture, je serais encore en sécurité. En gros, soit je réalise mon fantasme et je risque de passer le meilleur moment de ma vie (ou devenir la victime d'un maniaque) ou je retourne chez moi où je me poserai toujours la question de savoir si j'ai bien fait.

De longues secondes passent alors que je n'arrive pas à me décider. Je sors la pièce que j'ai utilisée plus tôt pour décider de venir. C'est la seule chose que j'ai dans la poche de mon jean. J'ai décidé de ne porter qu'un simple tee-shirt et un jean pour venir. Je lance la pièce en l'air et décide que si elle retombe sur « face » j'irai sonner à la porte.

C'est alors qu'une voix masculine m'interpelle, me surprenant au point que j'oublie la pièce et qu'elle tombe au sol. En regardant la maison, je vois que la porte est ouverte et qu'un jeune homme blanc qui a l'air d'avoir vingt ans me regarde. Il a l'air plein de vie et excité, il m'examine un moment.

- Hé les gars, la pute est là! Crie-t-il en direction de l'intérieur de la maison.

Instantanément je rougis, car il a parlé si fort que les gens du quartier ont dû l'entendre. C'est aussi la première fois de ma vie que l'on me traite de pute. Enfin que l'on me le dit en face.

- Viens ici la pute! Demande-t-il en me faisant signe d'approcher.

Mon cerveau me dit de m'enfuir, mais mes pieds commencent à marcher vers l'entrée de la maison. Mon cerveau me donne l'alarme en me disant que ce jeune n'a aucun respect, mais mes sentiments repoussent cette idée en me disant que c'est ce que j'avais demandé : que je sois humiliée et dominée du moment où j'arrivais au moment où je partirais.

Sur des jambes tremblantes, je me dirige vers la porte. Le jeune homme s'écarte et me fait signe d'entrer. Au moment où je passe devant lui, il me claque les fesses en riant. Cette fois encore je rougis violemment, car je me sens rabaissée. Bien sûr on m'a déjà claqué les fesses, mais de la façon dont il a fait ça lui, me fait sentir comme un simple objet. Ce sentiment est tellement fort que je m'arrête un instant pour y penser.

Puis j'entre dans la maison. Dans mon esprit j'avais imaginé que ce serait un endroit en désordre, un endroit horrible rempli de canettes de bière vides et de boites de pizza, avec l'odeur épouvantable qui va avec. Mais ce n'est pas le cas. l'endroit est très lumineux, presque joyeux. La porte d'entrée donne directement sur un grand salon qui est très propre. Le sol est carrelé et il y a deux canapés placés devant une télévision fixée au mur à ma droite. Derrière les canapés, il y a une table avec de nombreuses chaises autour. En jetant un coup d'œil, je suis très surprise, car je ne pensais pas qu'un groupe de mecs garderait les lieux aussi propres.

C'est alors que les commentaires excités commencent à fuser. Je vois alors cinq étudiants dans la pièce. Trois sont sur les canapés et deux sont sur la table, devant des ordinateurs portables. Il y a un mélange de blancs, de noirs et d'hispaniques. Ils applaudissent bruyamment en me voyant. Dans leurs yeux, je vois des regards affamés qui m'effraient et qui m'excitent à la fois. Puis ils commencent à crier en tapant du pied :

- Pute! Pute! Pute!

- Tourne-toi et montre-nous l'autre côté! Dit celui qui tenait la porte.

Les autres approuvent avec des cris. Me mordant la lèvre, je m'immobilise avant de tourner sur moi-même. En regardant le mur en face de moi, je me dis que ce n'est pas comme ça que j'imaginais la scène. En vérité je pensais qu'en entrant dans la maison, je serai libre et que je m'amuserai, que ce serait comme dans un porno. Les sensations que je ressens restent quand même les mêmes qu'auparavant : peur, excitation, et inquiétude.

- Ça aurait pu être mieux! Dit l'un d'eux.

Je me retourne presque pour le traiter de connard alors qu'il se moque de la taille de mon cul. Mais je ne le fais pas. Principalement parce que les autres rient de sa remarque, envoyant une autre vague d'humiliation dans mon esprit, ce qui, bizarrement, me rend plus excitée. Je ne sais pas pourquoi, mais le fait qu'ils se moquent de moi est une chose puissante. Je suis très intimidée.

- Retourne-toi et mets tes mains sur la tête! Tu dois être habituée à cette pose de toute façon. Ordonne l'un d'eux.

Certains semblent râler. J'en déduis que les noirs prennent cette réflexion pour une offense raciste, car moi aussi je suis noire bien que j'ai la peau très claire. Mais ils rient tous de cette blague.

J'obéis et je me retourne. Tout en le faisant, je lève les mains et je les pose sur le dessus de ma tête. C'est étrangement humiliant de faire ça. Je l'ai déjà fait pour me relaxer ou m'étirer, mais le faire devant eux est différent. En plus je sens ma poitrine se soulever quand je le fais.

- Maintenant sois une bonne petite pute et répète après moi : « Je veux me faire gang-banguer encore et encore », ok? Me dit celui qui a ouvert la porte.

Je le regarde, un peu abasourdie. Il a un sourire diabolique sur le visage, montrant qu'il aime dominer. Les autres arborent des sourires similaires quand je leur jette des regards. J'ai du mal à les fixer dans les yeux, mais le regard de ce gars est intense.

- Je... Je...

Je commence à parler, mais je ne suis pas sûre de pouvoir dire une telle chose. Je n'ai rien dit d'aussi vicieux dans ma vie. Et là, on s'attend à ce que je le dise devant une bande d'adolescents excités, un groupe de mecs avec qui je pourrais finir par avoir des relations sexuelles.

- Je veux... me faire... Gang-banguer... Encore et encore! Dis-je d'une voix douce et surprise alors que mes mains sont toujours sur ma tête.

En disant cela, je sens mes mains trembler et ma voix ne ressemble pas à ma voix habituelle, elle me semble faible et effrayée au lieu d'être confiante et adulte. Je suis étonnée d'avoir pu dire ça. Bien sûr ils se moquent tous de moi après. Rire n'est même pas le bon mot, ils hurlent presque.

Je me sens vraiment penaude comme ça. Je garde les mains sur la tête et je dois avoir l'air stupide. Je me dis que je ne dois pas avoir l'air sexy comme ça et j'aimerai me rouler en boule pendant qu'ils rient tous.

- Dis : « Je veux une bite qui baise ma chatte pendant qu'une autre bite baise ma bouche » Dit le même gars.

La chaleur qui se dégage de mon visage lorsque je rougis est si forte que je me demande si elle pourrait brûler quelqu'un. Je me demande aussi si cette déclaration qu'ils veulent me faire dire est pire que la précédente. j'envisage pendant un temps de ne rien dire, mais je me dis qu'ils ne font que ce que j'ai demandé, c'est-à-dire m'humilier.

- Je veux... Une bite qui baise... ma chatte pendant... qu'une autre bite baise ma bouche. Dis-je en me balançant d'une jambe sur l'autre.

Je commence à me sentir dépassée. De nouveau, les rirent fusent et l'un des gars me montre du doigt, comme s'il ne croyait pas ce qu'il entend. Et je me sens vraiment dépassée par leur nombre et par la situation., comme une étrangère dans un pays étranger.

- Hé bien, puisque tu es pressée que ça arrive, pourquoi n'as-tu pas encore enlevé tes vêtements? T'es idiote ou quoi? Dit encore le gars.

Les autres éclatent de rire. Ils rigolent comme des étudiants ivres, ce qui me rend à la fois furieuse et sombrement excitée. Mais ma colère n'est pas aussi forte que l'intimidation face à cette situation.

Je commence à me demander si celui qui me demande tout ça n'est pas le chef du groupe. Les autres ne disent pas grand-chose, alors je me demande s'ils ne l'ont pas choisi pour diriger. Ou peut-être est-il juste le type de personne qui prend le contrôle dans n'importe quelle situation?

- Alors? Demande-t-il en tapant du pied.

Bon, c'est le moment. Mes fantasmes sont sur le point de devenir réels. Et si j'obéis je ne pourrais pas vraiment reculer. Bien sûr, je peux encore m'enfuir, mais si j'enlève un de mes vêtements, il n'y aura pas de retour en arrière. Je serai dedans jusqu'à la fin.

Je prends une profonde inspiration et j'enlève mes tongs pour me retrouver pieds nus. Je sens le froid du carrelage et je frissonne. Comme j'avais peur de perdre mes chaussures, j'avais décidé de prendre quelque chose dont je ne me souciais pas. Si mes tongs disparaissent, ça ne me fera rien.

Ensuite, mes mains tremblantes déboutonnent mon jean. Pendant que je le fais, j'aurais aimé qu'ils ne me fixent pas. D'un autre côté j'aime cette attention. Ces jeunes hommes me fixent comme si j'étais une vraie star de porno.

Je baisse mon jean, révélant mes jambes nues et ma petite culotte noire. Je me sens nue comme ça, même si je ne montre pas plus que quand je suis en maillot de bain. La photo que j'ai prise en bikini pour les réseaux en montrait plus que ça. Je commence à enlever mon jean en le passant d'abord par le pied droit, puis le gauche.

trouchard
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