Confidences Téléphoniques

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Découverte d'une Hotwife.
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Rainett
Rainett
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Ce soir, comme tous les soirs lorsque je suis en déplacement, j'attends un coup de téléphone de ma femme. Nous bavardons généralement quelques minutes avant d'aller nous coucher. J'ai un travail de commercial itinérant qui m'envoie sur les routes toutes les semaines, du lundi au vendredi. Parfois, je traîne un peu à la maison le lundi ou le vendredi, mais c'est rare. Alors, le soir, quand les enfants sont couchés, c'est agréable de discuter un moment, et de nous raconter notre journée.

En fait, notre situation est simple, ma femme a 31 ans, moi 34, nous sommes mariés depuis une dizaine d'années, et nous avons 2 enfants. Une fille de 8 ans et un garçon de 5 ans. Comme j'ai une situation confortable, ma femme est mère au foyer. Elle gère l'intendance, les enfants, tout quoi ! Donc, ce soir, ma femme est toute excitée au téléphone. Elle a une confidence à me faire, mais elle a peur que je sois contrarié. Elle finit par m'avouer qu'elle a fait une rencontre au tennis cet après-midi.

Pour situer le contexte, je dois vous dire que c'est moi qui ai eut l'idée du tennis. Au début, elle faisait de la Zumba. Mais, à son cours de danse, il n'y avait que des femmes. Au tennis, au moins, c'est mixte. Et j'aimerais tellement qu'elle fasse des rencontres. Elle est véritablement très jolie. Après ses deux grossesses, elle a presque retrouvé sa ligne de jeune fille. Bien sûr, elle a gardé un peu de ventre, ses hanches se sont arrondies, sa poitrine s'est alourdie, mais tout cela la rend plus émouvante, plus désirable, plus attendrissante.

Il faut bien l'avouer aussi, sexuellement parlant, malgré dix ans de mariage et deux grossesses, ma femme est restée très ingénue, presque innocente, et ne semble pas s'apercevoir des regards concupiscents des hommes quand nous sommes en société. Bientôt dix ans que je lui répète aussi souvent que je le peux que je ne suis pas jaloux, que j'ai l'âme prêteuse, et que nous pourrions adhérer à un club privé, se faire des amis, sans qu'elle soit forcée à quoi que ce soit qui lui déplaise.

Donc, ce soir, au téléphone, ma femme me raconte à mots couverts, en me précisant bien qu'il ne s'est rien passé, que je ne dois pas me fâcher, mais qu'elle a fait une rencontre. En début d'après-midi, après son cours de tennis, comme tous les lundis, elle a cherché une partenaire pour échanger quelques balles. N'en trouvant pas, elle hésitait sur la conduite à tenir, lorsqu'elle a été abordée par ce monsieur. Elle le connait de vue, un monsieur très chic, proche de la cinquantaine, très courtois, bien sous tous rapports.

Ils ont échangés quelques mots, puis quelques balles, et il lui a infligé une sérieuse défaite, deux sets secs, sans qu'elle puisse lui prendre un jeu. Pour la consoler, il lui a offert un verre au clubhouse, et ils ont passé l'après-midi à discuter de tout et de rien. Il est très agréable, très romanesque, très raffiné, le contraire de moi. Je suis surpris qu'elle me traite de rustaud, mais je la laisse continuer son récit. Donc, ils ont pris une table en terrasse, et ils ont bavardé tout l'après-midi.

Bien, c'est un bon début, il est très gentil, elle a le béguin pour lui, mais pourquoi est-elle si émue? Parce qu'il l'a invitée au restaurant, demain soir ! Le temps de s'organiser, prévenir la nounou pour elle, déplacer un rendez-vous pour lui. Demain soir, il l'emmène dîner dans un bon restaurant, et elle me racontera tout, après ! J'ai mis longtemps avant de m'endormir. Je ne dois pas m'emballer, imaginer des trucs, fantasmer. Ce n'est qu'un repas, peut-être que ça ne donnera rien de spécial, mais j'attends le coup de fil du mercredi soir avec impatience.

Le mercredi soir, elle me raconte : « Nous avons bien discuté, et il est vraiment très gentil. Il sait que je suis mariée, et je lui ai dit que tu pars toute la semaine. Il n'est pas marié, mais il n'est pas vraiment libre, je pense. Il n'a pas précisé sa situation, mais il a une copine. Ou plusieurs. Quoi qu'il en soit, j'ai passé une soirée très agréable. Il n'est pas insistant, lourdaud ou quoi que ce soit, et il m'a dit qu'il comprend si je me sens mal à l'aise. »

J'ai voulu en savoir plus, mais elle tenait d'abord à me raconter sa journée. Depuis qu'elle avait quitté le club, elle avait couru partout, fait ses courses, l'esthéticienne, la coiffeuse, etc... J'ai voulu blaguer un peu et me moquer d'elle, mais elle m'a rembarré en me disant que ce n'était pas facile d'obtenir des rendez-vous du jour au lendemain, et qu'elle avait dû se résoudre à faire quelques concessions. Même si ce n'était qu'un dîner amical, elle devait faire bonne figure. Elle a proposé un supplément à la baby-sitter, au cas où elle devrait rester tard, mais la fille lui a dit que, si elle pouvait amener son copain, elle lui ferait une ristourne, ce que ma chérie a accepté.

« Toute la journée, je n'ai pensé qu'à ce que je devais porter, comment je devais me tenir, et ce qui pouvait arriver si je rencontrais une connaissance. Tout le temps, je fredonnais en pensant à lui. Pas une seule fois, j'ai pensé à toi. Tu m'en veux? Tu es trop chou, mon chéri, je me sens mal en pensant à toi, et à tout ça ! J'ai décidé de porter la tenue que tu aimes tant, celle que je mets quand nous sortons, ma petite robe noire avec mes escarpins. Tu dis toujours que j'ai l'air sexy et que je vais faire des ravages avec cette robe trop courte et trop décolletée. Je portais mon collier de perles et mes boucles d'oreilles, et je dois admettre que j'étais pas mal ! »

« Serge m'attendait au restaurant quand je suis arrivée. Il buvait un cocktail et m'a convaincu d'en prendre un avec lui. Comme tu le sais, je suis vite pompette, mais c'est une soirée spéciale, alors j'ai accepté ! Un dîner excellent, il est si charmant, et il parle facilement ! Quoi qu'il en soit, j'ai un peu picolé et je me sentais plutôt détendue. Je pensais que tu m'avais toujours poussé à faire des rencontres, et que j'avais été idiote de refuser. Je suppose que la boisson augmente mon excitation. »

« Oui, tu m'as toujours encouragée à me dessaler, à répondre favorablement aux demandes des messieurs qui voulaient danser avec moi, même un peu plus si besoin, tu disais ! Tu voulais que j'essaye de me faire des amis, de flirter, tu disais qu'on s'amuserait mieux si on se mélangeait. Tu m'as pressée d'essayer le sexe hors mariage, donc tu ne peux pas te plaindre si quelque chose m'arrive ! »

« J'avais quand même un peu l'appréhension qu'il me demande de terminer la nuit chez lui ou à l'hôtel, mais quand la conversation a bifurqué dans cette direction, il l'a fait très adroitement. Effectivement, tandis que le serveur apportait la note, Serge m'a demandé si je voulais visiter son appartement tout neuf. Il habite ces nouveaux immeubles construits le long du parc. Il a un balcon dans un étage élevé avec une vue splendide sur le parc, surtout de nuit, a-t-il ajouté. »

« La façon dont il m'a demandé ça était juste si délicieuse et attentionnée, il m'a dit qu'il ne voulait pas que je me sente mal à l'aise, ou quoi que ce soit. Tu aurais dû voir son visage quand j'ai dit oui ! Je l'ai suivi jusqu'à son appartement, il est magnifique, tu sais, vraiment très sympa ! Oui, c'est de l'appartement que je parle, t'es bête de plaisanter avec ça ! Il m'a rempli un verre de liqueur, tu sais ce truc à la menthe sucrée que j'adore? J'étais assez pompette, et je n'avais vraiment pas besoin de cela. Mais il m'a dit que cela me ferait digérer. »

« Nous sommes allés sur le balcon, admirer la vue. Franchement, ça vaut le coup d'œil. J'ai bu une grosse gorgée de liqueur, et j'ai eu un frisson. Serge a cru que j'avais frais, alors il m'a prise dans ses bras pour me réchauffer. J'étais bien dans ses bras, l'endroit était plaisant, côté alcool j'avais ma dose, je suppose que tu sais où ça nous mène, bébé? Toute son approche était si lente, si douce, avec les lumières tamisées et la musique d'ambiance. Nous sommes restés dans les bras l'un de l'autre pendant un moment. J'ai fermé les yeux, j'étais si bien. C'est le contact de ses lèvres sur les miennes qui m'a ramenée à la réalité. »

« Sans que je ne m'en rende compte, progressivement, il m'avait amenée là où il voulait aller ! Il sentait bon, il me caressait les seins, je me suis blottie dans ses bras et j'ai ouvert la bouche pour répondre à son baiser. Il embrassait bien, ses mains couraient sur mon corps, pétrissaient les endroits les plus réceptifs, et j'avais de plus en plus de difficultés à rester froide. Et puis, je me suis rappelée ce que tu dis tout le temps. Rendre la pareille. Alors, j'ai commencé à frotter sa bite par-dessus son pantalon. »

« J'ai été surprise. Il est grand, très grand même. Ne te vexe pas, mais il est beaucoup plus grand que toi. C'est sans commune mesure, parce qu'il est aussi beaucoup plus épais, plus fort. J'ai été troublée, mais aussi attirée par ce membre gigantesque. Ma curiosité était stimulée, et tu me connais, quand j'ai envie de quelque chose... Bref, il m'a entraînée dans sa chambre, m'a ôtée ma robe, et voilà ! »

Et voilà? Comment ça, et voilà? Elle ne va pas arrêter son récit à ce moment-là? Je l'ai pressée de continuer son récit, ce qui l'a fait rire.

« Est-ce que tu es excité, mon cochon? Je savais que tu n'aurais pas sommeil ! Il se tenait derrière moi, il a lentement défait ma robe, et l'a laissée tomber sur le sol. Je l'ai enjambée et jetée sur un fauteuil. Serge était collé contre moi, ses bras m'enlaçaient, et ses mains caressaient mon corps, de mes seins jusqu'à mon ventre. Je portais cet ensemble noir et rouge que tu aimes tant. J'étais si ardente, grâce aux boissons, à la musique douce et aux lumières tamisées. J'étais comme de la pâte entre ses mains expertes ! »

« Il se tenait toujours derrière moi, sa bouche me bécotait dans le cou, juste sous l'oreille. Tu sais à quel point je suis sensible quand tu me fais ça, Bébé ! Mais lui, il me le faisait tellement bien ! Ne te vexe pas, mais ce gars, c'est un véritable artiste ! Tout est conçu dans sa garçonnière pour que l'on se sente bien. C'est un véritable piège à filles ! »

« Et je n'arrêtais pas de penser, réciproque, réciproque! Alors qu'il me tripotait par derrière et que nous nous balancions un peu avec la musique, j'ai glissé la main derrière moi pour palper son membre. Vraiment, la taille de son engin me troublait et m'émoustillait. J'avais hâte qu'il me le présente. Il a défait mon soutif et l'a fait glisser. Serge pressait et roulait mes mamelons entre ses doigts. Que c'était bon ! Il m'a retournée, et s'est penché pour embrasser mes seins. J'ai profité du fait que je lui faisais face pour déboutonner sa chemise. »

« Son torse est hâlé et musclé, il a un corps tonique, il doit faire beaucoup de sport. J'ai caressé sa peau si douce, je lui ai enlevé sa chemise, et je l'ai jetée sur le fauteuil, avec ma robe et mon soutif. J'ai embrassé sa poitrine et sucé ses tétons. J'étais dans un état ! S'il m'avait refusé ce que j'espérais, je crois que je l'aurais violé ! Serge a enlevé ses chaussures et ses chaussettes, et j'ai défait sa ceinture pour faire glisser son pantalon. C'est moi qui lui ai ôté son pantalon. Après, quand nous nous sommes retrouvés en slip et en culotte, il m'a enlacée, m'a embrassée, et il m'a déposée sur le lit. »

« Il est tellement adorable, si prévenant, si gentil, il m'a demandé encore une fois si j'étais d'accord, etc... J'étais tellement exaltée que je serais partie pour rien au monde ! Il s'est penché sur moi et m'a embrassée sur tout le corps. Il a fini par s'arrêter à la fourche de mes cuisses, et comme nous étions en position pour un 69, j'ai attrapé son membre, je l'ai sorti de son boxer, et je l'ai embrassé et léché. Ce machin est si gros qu'il n'y a aucun moyen que je puisse le mettre dans ma petite bouche. Il a eut l'air d'apprécier le peu d'attention que je lui ai donné. »

« Allongés sur le lit, nous nous sommes caressés et embrassés pendant un moment. Il a prêté beaucoup d'attention à ma poitrine, pas comme toi, mon chéri ! Au bout d'un moment, il s'est installé entre mes jambes, il a enlevé ma culotte et s'est penché pour embrasser ma minette fraîchement épilée. Chéri, tu désirais tellement que cela se produise, je suppose que tu dois être content ! Couché entre mes jambes écartées, il m'a léchée et sucée lentement. Il prenait tout son temps, pas comme toi, bébé, qui ronchonne quand je te demande d'en faire un peu plus ! »

« J'étais aux anges, tu penses bien ! Il a mis deux doigts dans ma chatte trempée, à la recherche de mon point G, et il a sucé mon petit bouton qui se dressait. Il n'a pas été souvent à pareille fête, ces dernières années ! Il m'a fait venir facilement, mais il ne s'est pas arrêter ! Il a continué de me manger, jusqu'à ce que je lui demande de passer aux choses sérieuses. Quel amant merveilleux ! »

« Le meilleur, c'est qu'il m'a demandé encore une fois si j'étais toujours d'accord, et si je n'allais pas le regretter ! Il s'est allongé sur moi, j'étais prête mais un peu anxieuse. Je te l'ai déjà dit, mais il est quand même beaucoup plus puissant que toi. Il a frotté son gland un moment dans la fente de ma chatte, et j'étais tellement impatiente que je l'ai attrapé par les hanches pour le faire rentrer en moi. Oh mon Dieu, ça m'a fait un effet ! Il m'a remplie toute ! Dieu merci, il a été doux. »

« Il a commencé à aller et venir, s'enfonçant un peu plus à chaque pénétration. Son gland en forme de champignon écartait mes chairs au passage. Je n'ai pas pu me contenir, j'ai gémi et j'ai supplié. Il est allé jusqu'au fond, la sensation était incroyable, je me sentais étirée, possédée, conquise. Tu sais, il m'a tenue longtemps, et il m'a fait toucher les étoiles plusieurs fois. A la maison, je ne peux pas m'exprimer, à cause ses enfants qui dorment dans leur chambre au bout du couloir. Il me besognait lentement, s'arrêtait quand je jouissais, et reprenais son rythme quand mes cris se calmaient. »

« Je ne savais pas que l'on pouvait jouir autant. Je ne te reproche rien, note bien, je sais que c'est moi qui ne voulait pas suivre tes conseils. Devine quoi, je ne sais même pas combien j'ai eu d'orgasmes ! Il m'a gardé longtemps en extase. J'étais perdue, éprise de plaisir, et c'est quand il est venu en moi que je me suis aperçue que j'avais totalement oublié de lui demander d'enfiler un préservatif ! Tu m'en veux? »

Non, bien sûr que non, je ne pouvais pas lui en vouloir. Je venais d'éjaculer sans m'être caressé, comme un adolescent, et j'en avais partout. Je me débattais avec le rouleau de PQ pour essuyer mes saloperies. Mais ma femme n'attendait pas de réponse à sa question. Elle continuait son monologue.

« Je ne pense pas m'être déjà sentie aussi heureuse ou satisfaite après un rapport sexuel. C'était comme une révélation, ou quelque chose de divin, sérieusement. Je pense que je suis amoureuse ! Tu avais raison, tu es une sorte d'amant imparfait, mon chéri. Je ne veux pas te blesser, mais faire l'amour avec Serge m'a ouvert les yeux. C'est comme renaître. Tout est nouveau, tout est différent. Un envoûtement, une faveur. Je suis restée blottie dans ses bras longtemps. Il me parlait et me câlinait. »

« Il ne s'est pas retiré. Il a attendu de retrouver un regain d'énergie pour me refaire l'amour. Lentement, tendrement, passionnément. Il m'a dit de ne pas me sentir coupable. Il m'a dit que j'étais plus que jolie, que j'étais merveilleuse. Il ne s'est pas endormi après avoir tiré son coup rapidement comme toi, mon chéri. Je suis rentrée à la maison au milieu de la nuit. Il m'a demandé si l'on pourrait se revoir. J'ai dit oui. Ça ne te dérange pas, chéri? On en parlera plus tard. »

« Il m'a même demandé si j'avais besoin qu'il m'escorte jusque chez moi ! C'était tellement génial, je ne peux pas imaginer de ne pas le refaire avec lui. S'il te plaît, ne prends pas de décision hâtive. On en reparlera ce week-end. Peut-être que je le reverrai cette semaine, avant que tu rentres. Mais tu vois, je te raconte tout, pour te plaire. Alors, reste fair-play, mon amour. C'est tout pour ce soir, j'espère que tu es heureux comme ça, je pense que c'est ce que tu voulais ! Ta petite femme est une bête de sexe ! Je t'aime, chéri, bonne nuit ! »

Ça, c'était le mercredi soir. Le jeudi soir, je l'ai eu au téléphone.

« Serge est passé ce matin. En fait, nous avons passé toute la journée ensemble, et il vient de partir, juste avant que les enfants ne rentrent de l'école. Il travaille dans les assurances. Courtier, ou quelque chose comme ça. Il a des horaires assez flexibles. Il a appelé avant de passer, pour savoir si la voie est libre, et je lui ai demandé de se garer sur la placette, au bout de la rue. On ne sait jamais avec nos voisins fouineurs! C'est drôle, j'ai l'impression de le connaître depuis longtemps, alors que je le connais à peine, et je me sens vraiment à l'aise avec lui. Je ne t'ai pas demandé, mon chéri, mais qui ne dit mot consent, alors je suppose que tu veux que j'entretienne une relation suivie avec Serge, si tu veux entendre tous les détails de nos péripéties. »

« Il a sonné à la porte d'entrée juste avant 9 heures, et je l'ai fait entrer. J'avais enfilé ce déshabillé de soie verte que tu m'as offert. Je ne me rappelle pas si je l'ai déjà porté pour toi? Avec mes mules à talons dorés, et rien d'autre! A en juger par la réaction de Serge, il a aimé ! Bien sûr, j'avais retouché mon maquillage. Tout de suite, il m'a prise dans ses bras, et m'a embrassée langoureusement. Il était en costume-cravate, car il était supposé être au travail. Tu sais l'effet que me fait un homme en costume, chéri ! »

« Je l'ai emmené dans la cuisine pour lui faire couler un café. En attendant, j'ai desserré sa cravate et défait son col de chemise. Il était assez émoustillé, il me caressait en me disant à quel point je suis désirable, et tu sais que j'aime entendre ça ! Il m'a soulevée, et m'a assise sur le comptoir ! Je me suis penchée en arrière en écartant les jambes pour qu'il puisse commencer à m'embrasser et à me lécher tu sais où ! Après plusieurs minutes passées à m'exciter, il m'a aidée à descendre du comptoir et nous avons bu notre café. »

« Puis il a ôté sa veste de costume, et l'a jetée sur le dossier d'une chaise. Il m'a installée de nouveau sur le comptoir de la cuisine. Je suppose que cela lui facilite l'accès à ma chatte, et il aime vraiment ça ! Notre première soirée de sexe avait été ravissante et délicate, mais cette fois nous étions tous deux d'humeur coquine, comme si nous étions pressés de nous aimer ! Il m'a enlevé mon déshabillé, l'a jeté sur la table de la cuisine, et je me suis restée assise sur le comptoir, avec juste mes mules dorées ! Il s'est déshabillé devant moi, et je n'avais pas assez d'yeux pour le regarder. »

« À présent, tous les deux nus, nous nous sommes embrassés et caressés. Je suis encore surprise par la taille de son sexe ! J'ai laissé tomber une de mes mules sur le sol, et je l'ai caressé avec mes orteils tout le long de sa queue. Il aime ça ! Appuyée sur mes coudes, il a mis mes jambes sur ses épaules pour me manger la minette. En fait, c'est assez confortable ! Serge est vraiment doué avec sa bouche et ses doigts en moi. Il n'a pas mis longtemps avant de me faire jouir. Puis, de la poche de sa veste, il a sorti un préservatif. Il m'a demandé de lui mettre. Ça ne te rappelle rien, au début de notre mariage? »

« J'ai repris l'exercice pour lequel j'étais assez bonne. Accroupie devant lui, j'ai déroulé le caoutchouc sur son sexe avec ma bouche. Il m'a soulevée de terre, je croyais qu'il voulait me remettre sur le comptoir, mais non, il m'a lentement abaissé sur sa bite, alors qu'il était debout ! Tu ne m'as jamais fait ça ! J'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et j'ai verrouillé mes chevilles derrière ses reins, mes bras agrippés autour de ses épaules. Cette position est plutôt agréable, je le sentais profondément en moi. »

« Nous sommes restés comme ça un moment, en nous embrassant, pendant qu'il bougeait un peu ses hanches. Avec les enfants absents et les fenêtres fermées, j'ai pu crier et gémir autant que je voulais ! Il a marché jusqu'au salon, avec moi toujours empalée sur sa bite. Je tanguais fortement des hanches, prise d'une passion frénétique. Il m'a allongée sur la table basse et posé à nouveau mes jambes sur ses épaules. Ça devient ma position préférée, bébé ! Il m'a baisée comme un fou, bébé, c'était vraiment énergique et grisant. »

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