Hugo et Wendy 02: Au Pas

Informations sur Récit
Hugo entraîne Wendy sur le chemin d'une sexualité débridée.
3.4k mots
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 05/08/2021
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Note aux lecteurs éventuels : ceci est le deuxième épisode de la série Hugo et Wendy, pour une meilleure compréhension du contexte et donc une meilleure immersion, il est vivement conseillé de lire le premier épisode intitulé « mise en selle ».

***

Cette dernière soirée nous a un peu retournés je crois. Tout s'est bien fini, Hugo a fait ce que je lui avais demandé. Il m'a fait jouir deux fois et nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre. Cependant, la situation a semblé nous échapper à tous les deux. Non seulement il n'a pas contrôlé la soirée comme il le pensait mais ma propre transformation commence à m'intriguer. Hugo a imaginé tout ça pour que je retrouve une certaine confiance en moi. Je me découvre finalement non seulement un réel pouvoir sur les hommes mais aussi un goût pour ... l'allumage? Je me demande si je suis une salope? Et je me demande aussi si Hugo ne va pas prendre peur. D'ailleurs je n'ai pas reçu de nouvelle mission depuis quatre jours et nous avons fait l'amour hier soir, comme d'habitude en quelque sorte. Peut-être a-t-il décidé d'arrêter?

On est vendredi, il rentre un peu plus tôt du boulot et me dit :

« Habille-toi un peu sexy pour moi, on sort!

— Sexy comment?

— Normalement, pas trop on va juste se faire un resto/ciné

Sexy pour Hugo ça veut dire une jupe un peu courte, des talons un peu hauts et un décolleté... un peu plongeant. Pas trop dur!

Il nous emmène dans un petit resto sans prétention, une jolie terrasse sur une place animée sur laquelle donne un cinéma de quartier. C'est charmant et nous passons vraiment un bon moment.

Au dessert, il sort de sa poche intérieure une enveloppe. Évidemment, je reconnais immédiatement les enveloppes qu'il utilise pour les « missions». Je réagis intérieurement au quart de tour : je suis soudainement surexcitée, mon pouls s'accélère, ma bouche s'assèche, je sens la pointe de mes seins se dresser et mon vagin s'humidifier. Je n'ai même pas encore ouvert l'enveloppe!! Comme si j'étais hyper conditionnée.

« Cette fois je serai avec toi» dit-il.

C'est donc ça! Je lui ai fait peur et il n'ose plus vraiment me lâcher à la rencontre d'autres hommes.

« Tu ne l'ouvres pas? Tu ne veux plus "jouer"?

— Si, si bien sûr. »

Et je m'exécute, je lis le texte, assez court, et je n'en reviens pas de ce qu'il me demande. J'en suis paralysée d'appréhension.

« Ce soir? lui dis-je abasourdie

— Et même maintenant, c'est pour ça qu'on est là » me répond-il dans un sourire en faisant signe au serveur d'apporter l'addition.

Nous nous dirigeons vers le ciné, la séance qu'il a choisie ne commence que dans une demi-heure ce qui nous permet de nous installer dans le hall en observation. Au moment de rentrer dans la salle, Hugo semble tout à fait sûr de lui. De mon côté, je marche avec peine, je suis comme engourdie. Je le suis docilement un peu perdue. J'ai le cœur qui bat la chamade et je sens quelques gouttes de sueur perler dans mon dos.

Nous entrons, hésitons un peu sur la rangée dans laquelle nous installer quand Hugo m'en indique une, plutôt au fond bien sûr, au bout de laquelle, contre le mur, est installé un homme que j'avais vu dans le hall. C'est un homme dans la trentaine, pas très grand, peut-être magrébin, bien rasé et qui semble assez musclé. Pas mal malgré sa taille, il semble un peu timide ou renfermé? Je m'installe juste à sa gauche et Hugo vient se mettre à la mienne. Le jeune homme n'a pas l'air ravi mais ne fait aucun commentaire.

La salle s'assombrit et le film commence. Je n'arrive pas du tout à me concentrer sur le film : je ne le regarde pas et je ne l'écoute pas. Je sens le regard d'Hugo régulièrement sur moi. Il finit par se pencher vers moi et me murmure d'un ton sans appel : « Maintenant! »

Pétrifiée, mais finalement soumise à sa volonté, je tends ma main droite vers mon voisin et la pose directement sur son entre-jambe (je n'avais pas arrêté d'y réfléchir et avais fini par décidé d'être directe plutôt que de risquer un malentendu). Le jeune homme sursaute, se raidi (le corps!) et j'essaye immédiatement de détacher sa ceinture. Il semble indécis, mais sous ma main qui s'échine maladroitement sur sa ceinture, je sens la toile du pantalon se tendre. Je cesse mon combat et l'encourage en caressant ce début d'érection au travers de celui-ci. Il se penche un peu avant et je crois l'apercevoir du coin de l'œil regarder Hugo. Je lâche son pénis et le repousse au fond de son siège, puis je défais sa ceinture. Je reprends le contrôle de la situation, je m'apaise et maintenant ça m'excite complètement. Je déboutonne le pantalon et je glisse ma main dedans, la bite semble prête à faire exploser le caleçon, je la malaxe un peu mais je n'y tiens plus : il faut que je la sorte. Je tire sur le haut du caleçon, mon gentil voisin m'aide un peu et il libère sa queue que j'attrape à pleine main. C'est la première fois en plus de vingt ans que je touche une autre bite que celle d'Hugo. C'est incroyable, elle chaude, elle palpite dans ma main, elle est très grosse. Je commence à la branler doucement, pour prendre mon temps, je m'aperçois alors qu'elle n'est pas très longue. Ça m'amuse intérieurement car je me dis qu'elle ressemble à son propriétaire : court et costaud! Tout ça m'excite de façon incroyable, il faut que j'en profite pour aller lui caresser les couilles un peu mais là, je ne note pas de différence à part peut-être la pilosité. C'est dingue, j'ai presque envie de le sucer. Presque seulement car je ne le connais pas et ne suis pas complètement rassurée. N'empêche que j'en ai l'eau à la bouche. Je lui reprends la queue, bien décidée à lui secouer à fond quand je réalise qu'il est circoncis, ce à quoi je ne suis pas habituée mais je me dis qu'il faudrait un peu lubrifier. J'essaye de récupérer un maximum de salive dans ma main et que je recommence à le branler je sens le jeune homme s'abandonner et je l'entends sa respiration se modifier. Je mouille de façon incroyable, il faut que je me touche aussi. Je passe ma main sous ma jupe et j'entends d'un coup : « Ça va? »

C'est Hugo, j'avoue que je l'avais complètement oublié. Je suis au ciné avec lui, j'ai une main sous ma jupe et la bite d'un autre mec dans l'autre. Je le regarde, mais je continue consciemment à branler mon voisin. J'en ai des frissons dans le ventre. « Carrément! » je lui réponds et je retourne à ma besogne en feignant de regarder le film. Mais Hugo attrape ma main gauche et la pose sur sa queue qu'il a dû extraire de son jean.

Je branle DEUX bites en même temps. Une fine, une grosse, une longue, une courte, une "complète", une "coupée". Je les sens vibrer sous mes mains, je m'amuse à les branler de façon tantôt synchronisée tantôt alternée. Je me rends compte que Hugo a en fait carrément baissé son froc pour se libérer complètement. Je le vois jeter des coups d'œil discret vers mon voisin, je pense qu'il essaye de voir MA main sur l'autre bite.

D'un coup je sens que la bite de droite n'en a plus pour très longtemps, le petit homme halète, se raidit, je continue le va-et-vient et la queue enfle, se contracte, et gicle une énorme salve sur le dossier du fauteuil de devant, je la redresse un peu et les jets suivants, moins puissants mais assez abondants atterrissent essentiellement sur son caleçon et sur ma main. Je lui caresse les couilles et la bite pendant une minute. Je me rends compte que j'ai toujours celle d'Hugo, raide comme une baguette, dans l'autre mais que j'ai abandonné toute action. Je me lève, enjambe Hugo en lui disant « On y va! », je laisse les deux gars, la queue à l'air et je sors de la salle. Hugo me rejoint dans le hall avec une démarche compliquée et une gaule incroyable qu'il ne peut cacher sous son pantalon.

« Cette fois je n'aurai pas besoin de te raconter, je crois que tu sais ce qui s'est passé. C'est moi qui conduis, ok?

— Oui, comme tu veux. T'es quand même dure de me laisser dans cet état-là.

— Je n'ai pas l'intention de te laisser dans cet état-là. Une fois dans la voiture, je veux que tu baisses ton froc comme au ciné et que tu te branles pendant que je conduits. Je veux te voir gicler avant qu'on ne soit chez nous sinon c'est abstinence pendant un mois »

Et comme la fois précédente, Hugo a obtempéré. Je l'ai vu astiquer son long manche avec le caleçon au niveau des genoux. Je l'ai vu se presser les couilles en rougissant de malaise. Je l'ai vu essayer de se cacher aux feux rouges. Je l'ai vu haleter, se contracter, se demander dans quoi il allait éjaculer.

« On verra ça après, jouis! ».

Je l'ai vu éjaculer sur le tableau de bord, sur son pantalon, dans son caleçon.

« Reste comme ça jusqu'à la maison »

J'ai vu son pénis se recroqueviller lentement, tout en continuant à écouler un petit filet poisseux de sperme sur ses cuisses.

« J'ai bien aimé le rituel de la dernière fois : tu nettoies le bordel que tu as mis et tu me fais passer un bon moment quand tu me rejoins au lit »

***

Nous n'en avons pas reparlé et je pense que nous avons tort. Cette soirée ma rendue folle. Je rêve de bites. Même dans la journée. Ça ne m'était jamais arrivé avant, en tout cas pas du tout dans ces proportions et pas du tout avec cette intensité. Car j'ai découvert que ces rêves pourraient être réels! Si je veux sucer une bite ou me faire baiser je n'ai presque qu'à choisir. C'est incroyable. Je me demande ce que cette histoire va faire à notre couple. C'est vrai que ça me donne envie de tromper Hugo quelque part mais d'un autre côté je suis en train de retomber amoureuse de lui. Il m'offre une liberté et une découverte de moi-même fantastiques. D'ailleurs j'ai été après lui toute la semaine. C'était à la fois pour tenter d'apaiser le feu qui me brûle la chatte mais aussi parce que je voulais lui montrer ma reconnaissance. Je l'ai sucé au réveil, pendant son café, devant la télé. On a baisé pendant sa douche, lorsqu'il est rentré du boulot, avant de se coucher ou au milieu de la nuit ou le matin avant de se lever. J'ai même été lui rendre une petite visite au bureau avec un prétexte bidon et je l'ai laissé m'enculer dans les chiottes. Lui, de son côté, j'ai l'impression qu'il en a bien profité. Il n'a pas reparlé de ses petites missions. Pour une fois que c'est de lui que je m'occupe! Je me demande même s'il n'essaye pas de changer un peu les missions car là il m'a demandé d'aller me prendre une douche (il est 20h!) et de l'attendre nue et mouillée dès que j'ai finie.

Je mets le chauffage car j'ai un peu peur qu'il me fasse attendre, Je me douche rapidement, je sors en épongeant mes cheveux pour qu'ils ne dégoulinent pas trop et j'appelle Hugo. Celui-ci entre, me dévore des yeux. Il n'est pas très glamour car il est en chemise, caleçon et chaussettes! Mais bon, le caleçon tendu genre "toile de tente" ça m'excite. Il se colle à moi, pressant sa queue tendue contre mon ventre, il m'embrasse à pleine bouche en me saisissant les fesses. Mmm c'est bon de le sentir prendre les choses en main. Tout à coup, ça sonne à la porte d'entrée.

« Ah! oui, dit-il, j'ai commandé une pizza. Vas ouvrir

— Quoi comme ça?

— Tu peux t'enrouler dans une serviette, répond-il en m'en tendant une petite.

— Mais c'est ridicule ...

— Quoi? Il te faut une enveloppe? »

Ok, c'est une mission. Elle me prend de court mais bon maintenant, je sais que je peux. J'attrape la serviette, je m'enroule tant bien que mal dedans. Elle m'arrive au ras des fesses mais bon... Je vais ouvrir et je découvre un jeune homme, type étudiant, le teint mat avec une barbe très courte, bien taillée et très noire. Il doit mesurer un peu plus d'1m80. On devine un corps souple et ferme sous son uniforme de livreur sur lequel est inscrit « Manuel ».

« C'est bien ici la 4 froma... » Il s'arrête bouche bée devant le spectacle que je lui offre, je le vois hésitant. Mais moi, je prends de l'assurance comme d'habitude et je lui dis en tendant la main pour attraper la boîte à pizza :

« Oui c'est ici, je te dois combien? » J'ajoute un grand sourire que j'espère charmeur et ne peux m'empêcher de guetter son érection mais je suis déçue. Soit je ne lui fais pas d'effet soit son jean est trop épais pour que ça se voit. Ou alors il a une petite bite. Et cette dernière idée m'affole. Je m'imagine déjà suçotant un petit pénis, comme un bonbon. Voir son propriétaire entre le plaisir et la honte d'exhiber son petit membre. J'en suis presque surprise quand je l'entends dire d'une voix peu assurée :

« Vingt euros madame

— Ah, attends. Entre, je vais les chercher. »

Et je rajoute avec un clin d'œil dans sa direction : « Je ne les ai pas sur moi ».

Je m'éclipse hors de sa vue, je rejoins Hugo et je lui dis :

« Tu as les vingt balles? »

Il glisse sa main sous la serviette, entre mes jambes, insère deux doigts dans ma chatte et me dit :

« Tu m'as l'air de bien l'apprécier le livreur! Il est comment?

— Il est vraiment pas mal, je lui réponds dans un gémissement.

— Dans ce cas tu vas aller lui donner ses vingt euros mais sans la serviette cette fois!

— Quoi? Mais il va croire que c'est une invitation!

— Dans ce cas, laisse-toi porter par le moment ... »

Il tire sur la serviette, me donne le billet et me pousse hors de la salle de bain.

Je retourne vers le jeune homme, à poil, le rouge aux joues. Ce dernier écarquille les yeux en me découvrant ainsi, il en baverait presque. Je lui tends le billet, il le saisit lentement et parvient à redresser son regard vers mes yeux, je passe ma langue sur mes lèvres, lui attrape la main qui tient le billet et la pose sur mon sein. Il le pétrit, je sens ses longs doigts qui malaxent mon sein, qui commencent à en titiller la pointe. Je prends sa tête à deux mains et la presse sur ce sein qu'il se met à embrasser, lécher, sucer, téter goulument. C'est enivrant, sa barbe un peu rêche me gratte la peau sans ménagement. Je l'enserre entre mes nichons, il commence à se sentir à l'aise j'ai l'impression. Hugo m'a dit de me laisser porter mais je ne sais même pas ce que je veux et j'ai carrément peur d'aller trop loin et de regretter. Mais sa bouche descend le long de mon ventre, irritant ma peau tendre, il m'empoigne les fesses à deux main, commence à embrasser ma fente, puis je sens sa langue me parcourir les lèvres. Je mouille comme une folle. Hugo me lèche souvent, et j'aime ça. Mais là, il y a l'excitation de la nouveauté en plus. Il n'a même pas encore effleuré mon clito que je suis dans tous mes états. J'écrase sa tête sur ma chatte, sa langue s'insinue entre mes lèvres et remonte vers le clito. Je tressailli dès qu'il l'atteint. Je m'adosse au mur et je lève une jambe (qu'il m'aide à tenir) pour lui dégager le passage. Je peux profiter de ses talents. Il est plutôt doué pour un gamin putain, il me lape littéralement la chatte de bas en haut alternant les phases rapides et lentes. Il se mets à genoux, glisse ma jambe levée sur son épaule ce qui lui permet maintenant de concentrer ses coups de langue sur mon clito et de me masser vigoureusement la chatte avec sa main libérée. Je sens que je vais jouir, la vague monte, je tourne légèrement la tête et j'aperçois Hugo qui matte la scène à l'angle du couloir, bite à la main. J'explose en hurlant au moment même où Manuel m'enfonce directement deux doigts dans la chatte. Mon vagin se contracte violemment autour de ses doigts et ma mouille doit lui couler le long de la main. Il fait de petits va-et-vient pendant que je me remets de mon orgasme puis je lui dis en fixant Hugo du regard : « Et toi? T'as rien à me montrer? »

Manuel se relève et commence à déboutonner son jean.

« Attend, c'est pas ça que je veux pour l'instant » et j'enlève son haut d'uniforme avec son super badge. Wow, le corps qu'il a! Tout en finesse et en muscle. On voit tout : les pectoraux et les abdo mais rien d'énorme. Je passe ma main sur son torse, lisse, glabre, ferme. Mon index effleure l'un de ses tétons. Je viens y poser ma bouche. Je le sens durcir mais c'est tout petit, difficile à mordiller. Ma main descend et caresse son ventre chaud et ferme puis je la glisse dans son pantalon, j'attrape sa queue. Elle est dure mais engoncée. J'enlève ma main, m'agenouille et le déboutonne. Que vais-je faire? Et puis merde, j'en ai trop envie. Je sors sa bite. Finalement elle n'est pas si petite, j'ai presque envie de dire qu'elle est "normale". Depuis le mec du ciné, je n'ai qu'une obsession : sucer une autre bite que celle d'Hugo, alors je me lance. Je la lui gobe directe, putain je ne sais pas si c'est bon - sans doute pas vraiment - mais ça m'excite. Je me caresse en même temps et je le pompe. Tout y passe, j'essaye de saliver un peu, je lui lèche la bite, je l'aspire en le branlant, je fais des va-et-vient avec les lèvres le plus serrées possibles. Je sens son membre m'emplir la bouche, je le sens palpiter, je peux déjà sentir un début de sperme sortir de sa queue, je lui masse les couilles. J'essaye de ne pas le mordre alors que je suis moi-même au bord de l'orgasme. Tout est vraiment comme avec Hugo avec ce petit piquant en plus. Oh, ça y est, ses couilles se contractent, il me tient la tête par les cheveux et accompagne mon mouvement. Et il éjacule, une grande giclée chaude et gluante me fouette la bouche. Je lui enserre la bite avec me joues et ma langue tout en lui pressant gentiment les couilles. À chaque spasme de sa queue je reçois un peu plus de semence. Je n'ai pas envie de l'avaler alors je laisse tout ça déborder, dégouliner le long de mon menton, jusqu'au sol. Une fois qu'il semble avoir fini, je me redresse tout en lui remontant le froc pour qu'il comprenne qu'il faut y aller. Il se rhabille, prends son billet et se tourne vers la porte pour partir en disant avec un grand sourire :

« Putain, c'était super merci, je reviens quand vous voulez!

— J'espère que la pizza sera bonne en tout cas! »

Il s'en va.

Je me retourne vers Hugo et je me demande quel spectacle je lui offre. J'ai les cheveux mouillés mais aussi un peu collés de sueur, j'ai du sperme sur le menton et de la mouille qui me coule sur les cuisses. Je m'aperçois qu'il n'est pas plus glorieux. Il a le caleçon au niveau des genoux mais encore sa chemise, il tient toujours sa queue à la main mais il est en train de débander et du sperme s'en écoule. À ses pieds, il y a les traces de sa giclée.

Je passe près de lui, lui attrape la queue d'une main (j'ai un faible pour les demi-molles. Je ne sais pas pourquoi, ça m'excite) et la tête de l'autre et je l'embrasse à pleine bouche pour qu'il sente le goût du sperme de Manuel. Puis je le lâche en lui disant :

« Je suis bonne pour une nouvelle douche. On fait comme d'habitude : tu nettoies et tu prépares la pizza

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3 Commentaires
lexdepennylexdepennyil y a plus de 2 ans

Comme dit NuhNuh, pas mal. Un début qui promet, bien écrit et bien dosé. Par la suite une petite déception. Écrivain moi-même, je sais qu’on ne peut pas plaire à tout le monde, surtout, je vous préviens dans « Loving wives ». Il y en a qui ne lisent ces histoire-là que pour se déchaîner sur l’auteur (dit-il en connaissance de cause!). Si vous avez envie de discuter, laissez-moi un message.

Francis dit lexdepenny

NuhNuhNuhNuhil y a presque 3 ans

Pas mal. Mais ce serait « bête » que cette histoire vrille trop en ressemblant à d’autres récits. Le coup des missions à faire qui faisaient monter la pression étaient plus originales que la plupart des autres histoires. Après c’est votre histoire !!

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