Hugo et Wendy 01: Mise en Selle

Informations sur Récit
Hugo entraîne Wendy sur le chemin d'une sexualité débridée.
4.2k mots
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 05/08/2021
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« Mais qu'est-ce que je fais là, sapée comme ça?? »

Je crois que, ce jour-là, j'ai dû me répéter cette phrase au moins une dizaine de fois en descendant la rue commerçante. On était début mai, le soleil avait enfin commencé à réchauffer l'atmosphère et les gens en semblaient particulièrement ravis car la rue était très animée. A ce moment-là je ne savais pas vraiment ce qu'Hugo avait en tête, ça me semblait plutôt être une lubie soudaine mais de toute façon je m'étais engagée.

Reprenons, les choses depuis le début. Je m'appelle Wendy et, bien que ce soit dur à admettre, j'ai 40 ans. Ce cap est vraiment difficile à passer pour moi. C'est plutôt bateau mais les 15-20 dernières années de ma vie ont été bien remplies entre la place à se faire au boulot, les enfants à élever et à aimer et un couple à faire exister je n'ai jamais pris le temps de penser à tout ça. Mais, là, on dirait que tout redescend d'un coup : la vie professionnelle est stable, les enfants sont de plus en plus autonomes, ma relation avec Hugo est devenue un train-train rassurant mais pas très excitant et puis, surtout, ce corps qui commence à partir en vrille. Mes seins ne sont plus si fermes (même si bien excités ils peuvent encore pointer fièrement, mais ça n'arrive pas si souvent), le ventre s'est aussi ramolli suite aux deux grossesses et à un peu de négligence de ma part. C'est sûr que je n'attire plus les regards, même ceux d'Hugo! J'en fini par regretter l'agacement que je ressentais à l'époque où il ne cessait de me peloter dès qu'il en avait l'occasion et de se coller à moi pour que je sente sa queue, que je sache qu'il avait envie de me baiser.

Cette légère déprime, il a dû la percevoir car un jour il m'a dit : « Wendy, il faut qu'on parle! ». J'ai un peu flippé sur le coup (« Il me trompe? » ; « Il me quitte? »). Mais en fait, non. Il voulait savoir ce qui n'allait pas, et je lui ai tout balancé. Il n'en revenait pas. Particulièrement de ma vision de mon corps mais aussi des regrets que j'exprimais sur notre sexualité. J'ai bien vu que ça l'a travaillé quelques jours et puis il s'est lancé.

-Tu sais Wendy, j'ai pas mal réfléchi à notre discussion de l'autre jour et je crois que j'ai une idée.

-Ah bon? Qu'est-ce que c'est?

-Il va falloir que tu me fasses confiance.

-C'est-à-dire?

-Et bien, pour pimenter un peu notre vie, je vais te donner des missions. L'idée serait que tu joues le jeu à fond.

-Pfff, je ne suis pas très motivée pour partir dans un trip dominée/dominant.

-Ce n'est pas du tout ce que j'ai en tête. Tu pourras refuser chaque mission. Les seules contraintes sont : si tu refuses, je te ne la re-proposerai jamais, si tu acceptes, tu dois aller jusqu'au bout. Et une fois réalisée, il faudra que tu me racontes comment tu l'as vécue.

-Ok! C'est quoi la première?

-La première sera vraiment facile, elle ne compte pas vraiment. Je te le dirai demain.

Sans oser le lui avouer, sa proposition m'a tellement intriguée que j'ai eu du mal à dormir. En plus, sur la fin de la discussion, il avait un petit sourire coquin qui ne me laissait pas indifférente.

Le lendemain soir, il l'a jouée mystère en me laissant la « mission » dans une enveloppe. Mais finalement, à la lire, je restais plutôt sur ma faim car il me demandait dès le lendemain de me rendre chez une esthéticienne chez laquelle il avait pris rendez-vous et d'aller faire un peu de shopping. A vrai dire, il était assez précis sur le shopping : il voulait que j'achète une jupe droite, ajustée, légèrement fendue arrivant au plus bas au-dessus du genou mais elle pouvait monter jusqu'à mi-cuisse. Il souhaitait également que j'achète des chaussures avec pour seule contrainte qu'elles aient des talons de 1 à 2 cm DE PLUS que ceux que je porte d'habitude. Enfin, je devais acheter des bas allant avec la jupe. J'étais autorisée à acheter un chemisier mais je pouvais aussi bien me contenter de ce que j'avais dans mon armoire. Évidemment, j'ai accepté la mission immédiatement. Tu parles! Une mission shopping!! Le lendemain on était vendredi et j'avais mon après-midi pour la mener à bien. Le rendez-vous chez l'esthéticienne était à 17h30.

Je dois dire que j'ai passé un super après-midi et je me suis dit qu'il savait vraiment y faire pour me redonner le sourire. Même si le sourire a eu du mal à tenir le coup lorsque l'esthéticienne m'a appris qu'il avait payé pour une épilation intégrale. J'ai eu droit aux jambes, aux aisselles, au maillot intégral (aïe! je n'avais jamais fait ça!) ce qui inclut l'épilation entre les fesses. Cette partie-là a ajouté la honte de me faire écarter les fesses par une inconnue à la douleur! Mais je me suis dit qu'il fallait souffrir pour être belle et que probablement c'était la contrepartie qu'il s'octroyait pour ma mission shopping. J'imaginais que ça allait être ma fête ce soir et j'étais presque excitée comme pour un premier rendez-vous quand je suis rentrée à la maison. On a quand même dû attendre que les enfants soient dans leur chambre le soir avant de pouvoir aborder le sujet.

Il m'a demandé si j'avais trouvé ce qu'il fallait et de lui montrer. J'ai enfilé les vêtements dans la chambre, je crois bien que je mouillais un peu, et me suis présentée devant lui. Il était assis dans un fauteuil du salon, j'ai fait le mannequin en défilant devant ses yeux pétillants. Il a souri, et m'a dit : « Très bien pour les vêtements, et tu n'as rien d'autre à me montrer? ». Je savais ce qu'il attendait de moi, j'ai rougi comme une collégienne, et j'ai lentement relevé ma jupe jusqu'à la taille, lui dévoilant une pauvre culotte en coton à laquelle je n'avais prêté attention jusqu'à ce moment-là. Il tendit les mains vers mes hanches et me disant « Je peux? » et baissa ma culotte jusqu'aux genoux. Ce n'était pas vraiment la première fois qu'il me voyait culotte baissée, mais là j'étais vraiment à nu : pas de poils du tout, je sentais l'air parcourir ma vulve comme ça ne m'était jamais arrivé. Soudain, j'ai remonté ma culotte, baissé ma jupe, mal à l'aise.

-T'avais dit que ce ne serait pas dominant/dominée mais ça y ressemble là. T'es tranquille, assis dans ton fauteuil et moi je suis à ta merci, la culotte sur les talons et la chatte à l'air!

-T'as raison chérie, je me suis un peu laissé emporter, c'était trop excitant! On va calmer le jeu. Assied-toi à côté de moi et raconte-moi ta journée.

Je m'exécutai en remarquant qu'effectivement il bandait un peu et que la petite séance précédente ne l'avait pas laissé de marbre. Je lui racontai le shopping et la difficulté à marcher avec les *magnifiques* bottes que j'avais trouvées mais surtout la honte que j'avais ressentie en me faisant épiler le cul! Il semblait boire mes paroles quand il me demanda « Prête pour la prochaine mission? ». Il se leva et, d'une démarche un peu perturbée par sa queue qui semblait tenter de sortir de son jean, il s'avança vers la table du salon, y déposa une enveloppe et parti se coucher.

Wow! Il soufflait le chaud et le froid. Je venais de me retrouver tour à tour excitée, sexy, presque humiliée et maintenant abandonnée mais piquée de curiosité pour cette enveloppe.

Évidemment je n'ai pas résisté! A peine ai-je été certaine qu'Hugo s'était bel et bien endormi que j'ai filé ouvrir l'enveloppe.

« Dès le prochain jour de beau temps, je veux que tu mettes la tenue achetée aujourd'hui, sans culotte mais avec un soutien-gorge push-up. Tu devras détacher un bouton de plus que d'habitude à ton chemisier pour dévoiler ton décolleté. Ainsi habillée, je veux que tu ailles en ville et que tu parcoures sans te presser les rues commerçantes. La mission consiste à adresser un franc sourire à tous les hommes que tu verras te mater les seins. »

Bizarre!? Mais ça semble faisable, alors j'ai pris mon rouge à lèvres pour lui écrire « ok » sur le papier de la mission et je suis allée le rejoindre au lit. Il dormait à poings fermés sans sembler se soucier de mon acceptation!

Et c'est comme ça que je me suis retrouvée là, le samedi 4 mai en début d'après-midi, en haut de cette rue animée, sous un soleil de printemps éclatant juchée sur des talons un peu hauts avec les seins qui me faisaient l'effet de vouloir bondir hors de mon chemisier trop ouvert. Il faisait très doux mais l'air qui parvenait à s'engouffrer sous ma jupe me paraissait frais lorsqu'il me caressait la chatte nue. Mais, une mission est une mission, je me suis mise à déambuler un peu gauchement au début mais j'ai fini par prendre confiance et ça m'a permis d'observer les passants. Les jambes galbées, les reins cambrés, les seins en avant et la tête haute j'ai fini par remarquer que je ne passais pas inaperçue pour tout le monde. Et puis je me suis lancée. Le premier homme était petit et bedonnant et me matait droit dans les seins mais je n'ai pas pu lui sourire car il n'a jamais levé les yeux sur moi. Ça m'a un peu frustrée car j'avais réussi à me motiver à lui sourire et finalement je passais à côté de l'objectif de ma mission. Mais, avec ce genre de « timides», j'ai fini par trouver la parade : lorsque l'un d'entre eux me croisait, je me retournais une seconde après son passage et en général c'était pile le moment où lui-même se retournait pour me regarder le cul. Surpris, il levait les yeux vers et je pouvais lui adresser mon plus beau sourire!

Bien sûr, la plupart des hommes rencontrés regardaient mon décolleté à un moment ou l'autre. Jusqu'à ce jour, j'avais toujours considéré ce comportement comme un signe de « bestialité » des hommes, le signe qu'ils considéraient les femmes au mieux comme des bouts de viandes, au pire comme des proies. Mais après avoir croisé leurs regards ce jour-là, leur avoir souri, avoir -- très souvent - reçu un sourire en retour suivi d'un regard plus détaillant, je crois désormais qu'ils aiment la beauté du corps des femmes et sont ravis de pouvoir en profiter tout simplement.

La semaine suivante, ça s'est un peu corsé! Rien de si méchant à première vue mais il a fallu que je me force pour honorer le marché. Mais vu les efforts que déploie Hugo, je ne pouvais pas baisser les bras si tôt. En plus, jusque-là, je suis revenue plutôt satisfaite de ces « expériences ».

Quand je suis rentrée après ça, je n'étais vraiment pas certaine de l'accueil que me réserverait Hugo. Mais j'aurais dû lui faire confiance, il m'a accueillie avec un large sourire empreint d'incrédulité mais aussi, peut-être, d'une certaine admiration.

« J'ai reçu la photo ..., a-t-il dit

— J'espère ...

— Je n'en revient pas! Il faut vraiment que tu me racontes!

— J'ai fait comme tu m'as demandé. Je dois avouer que j'ai eu beaucoup de mal à me lancer. Et puis j'ai décidé d'aller faire du shopping pour me détendre. Et dans ce magasin de fringues, il y avait vraiment pas mal de trucs sexy qui me tentaient pas mal. Et j'ai eu l'impression que le vendeur, ça lui plaisait aussi alors je me suis sentie en confiance. J'avais ce chemiser cintré noir, le soutien-gorge push-up qui faisait pigeonner mes seins. Je me suis approchée du vendeur -- sans doute un étudiant - plutôt mignon mais un peu timide et je lui ai glissé à l'oreille « Mon mari n'a pas trop le moral en ce moment, j'aimerais bien lui faire plaisir. Seriez-vous d'accord pour me prendre en photo pour lui envoyer? ».

Le type, gentil, m'a dit oui tout de suite. J'ai rajouté « On va faire ça dans la cabine, je voudrais être sexy mais je n'ai pas envie que tout le monde me voit ». Il a rougi jusqu'aux oreilles et je dois avouer (j'ai un peu honte de te dire ça) que ça m'a sacrément excitée. Je suis rentrée dans la cabine, j'ai tiré le rideau en laissant le gars à l'extérieur. Je me suis préparée et j'ai rouvert. Je me suis assise sur la chaise dans la cabine, jambe serrées, poitrine ressortie, tête redressée le fixant du dessous avec les mains tenant l'échancrure du chemisier.

« Vous êtes prêt?

— Vous ne m'avez pas donné votre téléphone madame.

— Je sais, je l'ai oublié à la maison. Vous en avez sûrement un?

— euh, Oui mais ...

— Prenez le vôtre, ça vous fera un souvenir en plus! »

Tu vois, exactement ce que tu voulais Hugo! Le gamin a sorti son téléphone, m'a cadré. Je lui ai dit qu'il fallait qu'il prenne la photo exactement au moment où il dirait « trois! » car je voulais être parfaite, je n'aurais pas le courage de recommencer. Il a compté, et lorsqu'il a dit « deux! » j'ai tiré sur les pans du chemisier, j'ai craqué tous les boutons et il a pris la photo au moment où mes seins nus étaient délivrés du chemisier. Le vendeur était bouche-bée. Je lui ai dit, en me recouvrant, « Ne vous inquiétez pas je vais payer le chemisier. Je vous donne le numéro de mon mari pour que vous la lui envoyiez? ». J'ai vérifié qu'il le faisait et je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer sa forte érection au travers de son jean moulant! Ça ne devait pas être très confortable.

« Pas trop jaloux?

— Je suis à la fois jaloux, impressionné et très excité par ce que tu as fait, a-t-il répondu. Je crois que tu commences à te prendre au jeu, je me demande si c'est lié au shopping ... »

Dix jours plus, je reviens assez chamboulée mais finalement pour pas grand-chose. Je m'installe dans notre canapé de confession et je dis à Hugo :

« Là ça a été dur, j'ai commencé à ...

— Non, attend, m'interrompt-il

— Quoi? Tu ne veux plus que je te raconte? Lui dis-je d'une voix que j'essaye de faire coquine.

— Si, mais pas maintenant et pas comme ça. On fera ça ce soir. »

Nous passons notre fin d'après-midi à vaquer à nos occupations habituelles, nous dînons comme si de rien n'était. Je ne sais pas dans quel état d'esprit il est mais moi je bouillonne. Je tourne en boucle l'après-midi que je viens de vivre. Je dis l'après-midi mais la totalité de mon « aventure» n'a sans doute duré qu'une heure en comptant mes hésitations mais ça m'a sacrément occupé la tête. Je crève d'envie de partager ça avec Hugo et lui, il me fait patienter!

Mais ça valait le coup.

Un peu plus tard il me demande de le rejoindre dans notre chambre. Il est déjà dans le lit, nu. Assis contre son oreiller et exposant son torse ciselé parsemé d'une légère toison sombre dans laquelle commence à apparaître quelques poils blancs en écho à sa chevelure fournie mais déjà poivre et sel. Il est beau et je peux voir qu'il est déjà un peu excité par la bosse dans le drap que créé son érection naissante.

« Maintenant, c'est le bon moment, dit-il dans un sourire. J'ai envie que tu te mettes à côté de moi et que tu me donnes tous les détails en me branlant. »

Je m'approche de lui, je lui caresse la queue au travers du drap sans rien dire pendant quelques instants. Je le sens grossir sous mes doigts. Je retire soudain le drap, j'expose sa magnifique bite. Je dis « magnifique » parce que l'adore et que je suis flattée que ma seule présence ait pu le mettre dans cet état mais elle n'a rien d'exceptionnelle. Je dirais que c'est un pénis élégant, assez long mais fin et des couilles proportionnées. Sans doute pas parfait pour ma chatte mais dans ma bouche, ma main et mon cul, il n'est vraiment pas mal!

Bref, il se trouve en quelques sortes à ma merci. Je suis encore en jupe et chemisier, assise au bord du lit. Lui est à poil, semi allongé et la queue dressée. Nous nous faisons face et je lui attrape la bite et commence à le branler très lentement, je le regarde droit dans les yeux et je lui raconte ma « journée ».

« Comme tu le vois en partie, j'ai suivi tes instructions vestimentaires. J'ai mis cette superbe jupe crayon vert sombre fendue sur le côté. Vues tes recommandations je n'ai pas réussi à assumer d'être jambes nues alors j'ai mis des bas. Mais je n'en ai pas cinquante paires, seulement des paires de bas très sexy pour les fantasmes de monsieur. Bas auto-fixant, noirs très fins surmontés d'une bande en dentelle qui contraste sur ma peau blanche. Et, comme convenu, pas de culotte. En haut j'ai mon chemisier noir cintré fétiche dans lequel mes seins sont soutenus par le soutien-gorge acheté pour une mission précédente. Je suis partie faire du shopping ... à 100 km!

— À 100 km? Pourquoi?

— J'avais trop peur qu'on puisse me reconnaître.

— Personne ne pouvait savoir que tu n'avais pas de culotte n'exagère pas!

— C'est plutôt pour la suite. J'ai cherché le magasin de chaussure adéquat et j'ai fini par repérer le vendeur qu'il fallait : homme, la trentaine et plutôt beau gosse je dois dire.

— Ah! Bah je vois que madame se fait plaisir!

— C'est toi qui la voulu! »

À ces mots je sens sa bite se contracter dans ma main et pourtant je le branle toujours aussi lentement et je ne serre pas fort. Ma chatte s'humidifie instantanément, je ne suis pas sure de comprendre ce qu'il se passe mais je crois que je bascule dans son jeu. Mon cœur s'accélère, je passe ma langue sur mes lèvres et je continue.

« C'est une boutique de chaussures tout à fait ordinaire, une vendeuse, deux vendeurs dont ma proie. À travers la vitrine, je fini par remarquer que mon vendeur est le seul à ne pas être occupé avec un client, alors je rentre et commence à regarder les bottines. En moins de cinq minutes il est déjà sur moi - rien de sexuel je te rassure » dis-je avec un clin d'œil.

« Bref, il vient me voir pour me demander si je cherche un truc en particulier et je lui réponds que j'ai repéré une paire de bottines que j'aimerais bien essayer en 36-37. Il me dit qu'il va les chercher et me propose de m'assoir.

— Wow, je sais qu'il ne s'est rien passé encore mais ça devient super chaud. J'anticipe à fond.

— Oui je vois ça, attend je vais t'aider à redescendre un peu »

Je lui lâche la bite, j'entends sa respiration courte, je vois son sexe pulser. Il est à fond dans mon histoire. Son regard passe de mes yeux à ma main vide, cherchant à savoir si je vais reprendre.

« Non, continue », dit-il mais sa voix est moins assurée qu'auparavant.

« Maintenant c'est mon histoire, c'est moi qui décide, lui dis-je, et je vais y aller à mon rythme ». Je fais glisser mon index le long de sa queue en transe, l 'espèce de pouvoir que je ressens m'électrise le corps et je reprends :

« Je m'installe sur un de leurs petits fauteuils, plutôt confortables mais tellement bas. J'enlève mes chaussures, je remonte un peu ma jupe sous mes fesses pour qu'elle ne m'entrave pas et attends le jeune homme qui ne tarde pas à revenir ... »

« Il s'agenouille devant moi. »

Je griffe tendrement torse d'Hugo de bas en haut et poursuis le geste en frôlant sa bite.

« Il sort la première bottine et j'écarte légèrement les cuisses pour lui tendre mon pied.»

Je caresse une cuisse d'Hugo et remonte ma main jusqu'à ses couilles. Son souffle semble se suspendre et je crois que je commence à tâcher ma jupe.

« Il m'enfile ... la chaussure et quand je repose mon pied au sol, ma position ainsi que la taille du talon font que cette fois il ne pourra pas louper le spectacle. Mais c'est un professionnel. Il fait exprès de ne pas regarder, il lève la tête rapidement et en me fixant dans les yeux il me demande si je trouve que ça me fait un beau pied »

Petite claque sur la bite d'Hugo qui sursaute, puis je la lui attrape, la serre bien fort et recommence à l'astiquer lentement. J'ai un sacré coup de chaud.

« Je réponds au jeune que je voudrais bien mettre l'autre pour pouvoir marcher et il s'exécute. Cette fois, avant qu'il ne redresse la tête, je remonte ostensiblement ma jupe sur mes cuisses et les écarte explicitement en reposant le pied au sol. Il ne peut s'empêcher de regarder. Et je dois t'avouer qu'à ce moment j'en frémis de honte et de plaisir mêlés. »

J'accélère les va-et-vient sur sa queue pour l'entendre haleter puis je stoppe net avec ma main enserrant son membre, appuyant sur ses couilles. Il est décalotté, son gland violacé, gorgé et palpitant. Il est vulnérable, dans un état second. Je le tiens quelques secondes comme ça, Je le regarde intensément, pleine de mystère. Son regard est suppliant, je lui souris férocement et le lâche. Désarrois sur son visage et je reprends le récit.

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