Histoire de Laurence: Suite

BÊTA PUBLIQUE

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J'ai adoré qu'il me demande çà. Ca prouvait qu'il voulait que je sois séduisante, que je sois femme vis-à-vis de lui. En revanche, il a maintenu la règle des cinq kilos.

Le soir même, j'ai commencé mon régime de pain, de chocolat, de purée et de pâtes. J'ai vraiment réalisé que j'aimais être sa soumise, que c'était ma nature le lendemain soir en me préparant pour l'accueillir.

Toute la journée, j'avais été habillée comme un sac. Ca ne me dérangeait pas, puisque je n'avais envie de plaire à personne. Mais le soir, si. J'ai aimé me mettre pieds nus, choisir la plus courte de mes jupes, mon string, un tee-shirt court extra-moulant, me maquiller, mettre un bracelet à ma cheville et une bague à un doigt de pied pour seuls bijoux.

Je me préparais pour le retour de mon homme, de mon maître. Je l'attendais. J'espérais lui plaire. Je voulais qu'il me désire, qu'il me saute. Il s'était révélé bien plus dominateur que Frédéric. Lui, c'était avant tout un baiseur, qui tenait les femmes avec sa queue.

Avec mon mari, c'était plus cérébral, plus permanent. Je lui appartenais à tout moment de la journée, même quand il était absent, avec mon plug dans l'anus et en étant habillée exactement comme il l'avait décidé. Quand il est rentré, j'ai vu à son regard qu'il me désirait. Ca m'a immédiatement rendue humide. Je l'ai vérifié en passant un doigt. J'étais trempée. Je le lui ai dit. Il me tardait que les enfants aillent se coucher. Je me frottais contre lui, je me sentais chatte, câline.

J'aimais les sensations que me procurait mon plug.

Même si j'avais encore mal aux fesses, j'avais envie de son sexe en moi, de ses mains et de sa bouche sur moi. J'avais aussi envie d'être sa servante dans les tâches domestiques, puisqu'il me fallait encore attendre pour l'être au lit.

Je n'ai pas voulu qu'il mette la table, ni qu'il la débarrasse. Mon homme et maître allait me prendre. J'étais gaie, j'étais heureuse. Même en mangeant, car je me disais qu'une fois les cinq kilos pris, il me suffirait de faire un régime pour retrouver mon poids.

Quand je me suis enfin retrouvée nue contre lui dans le lit, mon clitoris était dur. Il m'a pris avec sa bouche, j'ai joui très vite, très fort. Après, il m'a fait l'amour, assez doucement à cause des marques que j'avais sur les fesses, mais profondément. C'était très bon, mais je n'ai toujours pas joui. Je ne voulais pas faire une fixation là-dessus. Je me disais que ça reviendrait un jour, naturellement.

Je n'en avais pas fini avec les conséquences de mon " mensonge ".

Encore une fois, l'idée ne venait peut-être pas de lui, car elle est venue une semaine après la reprise en mains, mais mon mari m'a annoncé un soir puisque j'avais accepté de faire à nouveau une pipe à Frédéric, il allait me punir par là où j'avais voulu fauter : je devais sucer quinze hommes différents, et jusqu'au bout, dans la même boite échangiste où nous étions allés le soir du chauffeur de taxi.

Pourquoi quinze? Un par jour de retard entre le moment où Frédéric m'avait rappelée, et le moment où j'en avais parlé à mon mari. Ca m'a paru bizarre. Si mon mari avait envie de me faire faire des fellations à la chaîne, il lui suffisait de me le demander. Il n'avait pas besoin de justifications. Quinze, ça me paraissait énorme, insensé. Je ne pourrais pas rester bouche ouverte si longtemps, ou avaler tant de sperme. Mais l'idée m'a plu. J'ai simplement demandé à mon mari d'être là, tout le temps. Je voulais bien le faire, mais pour lui, pour aller plus loin dans la soumission.

Le soir venu, il m'a installée sur un tabouret de bar comme la première fois, jambes écartées tournées vers la salle afin que les hommes sachent que j'étais disponible.

Un homme est venu. Mon mari lui a parlé. Nous sommes partis nous asseoir au fond de la salle. J'ai enlevé mon chemisier et mon soutien-gorge, je me suis agenouillée face à lui, j'ai sorti son sexe, et j'ai commencé.

J'ai toujours aimé faire des pipes. C'est un exercice où j'ai toujours été à l'aise. C'est bon de prendre le contrôle d'un homme, rien qu'en mettant la bouche sur son sexe, de le sentir vibrer, monter. Et je sais, parce que plusieurs hommes me l'ont dit, que beaucoup de femmes ne savent pas assez se servir de leurs mains quand elles sucent un homme : pour leur caresser l'anus, leur serrer les testicules.

La copine de mes jeunes années m'avait enseigné une technique qui marchait à tous les coups : mettre une main à plat sous les testicules de l'homme, et le branler de l'autre tout en le suçant. Comme ça, les testicules sont légèrement écrasées entre la main à plat, et la main qui branle chaque fois qu'elle descend.

C'est une question de dosage. Si la main descend fort, elle peut faire un peu mal. Si je l'arrête avant qu'elle ne cogne les testicules, la pression donne du plaisir. Mais l'homme, quand je lève la main en le branlant, ne sait jamais si je vais abaisser la main jusqu'à comprimer ses testicules ou non, s'il ne va avoir que du plaisir ou une légère douleur en prime.

Il ne peut pas m'échapper puisqu'il est déjà dans ma bouche, mais cette incertitude ajoute à sa dépendance. Cette technique, mon mari la connaissait bien. Je la lui avais fait découvrir aux premiers temps de notre histoire, quand je voulais l'avoir physiquement pour qu'il rompe avec sa femme. Ensuite, je l'avais beaucoup utilisée pour prendre le contrôle de nos relations sexuelles et le rendre passif.

Là, je voulais qu'il soit fier de sa soumise, et lui montrer le plaisir qu'elle savait donner aux hommes en les suçant. J'ai rapidement baissé le pantalon et le caleçon du premier homme pour mieux le travailler. Je regrettais juste de ne plus avoir les ongles longs, c'est mieux pour agacer l'anus. Il a complètement ouvert ses jambes, il grognait de plaisir quand la main s'abattait sur ses testicules, il a crié en jouissant. J'étais fière d'avoir montré à mon maître ce que sa soumise pouvait faire..

Les hommes se sont succédé. Pour les trois premiers, j'ai mis tout ce que je savais faire avec un sexe dans la bouche. Après, ça a été plus dur. J'avais mal aux muscles des mâchoires, mal aux reins, mal aux genoux aussi à force d'être à genoux sur le sol.

Progressivement, les hommes ont commencé à se branler dans ma bouche en me tenant la nuque, car j'étais de moins en moins active. J'aimais çà aussi. J'étais un objet sexuel.

La soumise à genoux et bouche ouverte au fond de la boîte, dans laquelle les hommes viennent mettre leur sexe. Pour moi, ce n'était pas une punition. C'était un plaisir. Après le 9e homme (je les comptais), mon mari m'a dit de me relever.

J'ai vu qu'il n'y avait plus d'autres candidats autour de nous. De toutes manières, je n'aurais pas pu aller beaucoup plus loin. Un ou deux peut-être, mais pas davantage. J'avais trop mal aux muscles des mâchoires, je ne pouvais plus ouvrir la bouche.

Mon mari m'a dit qu'il était fier de moi. C'est peut-être idiot, mais ça m'a fait plaisir. C'était pour lui que j'avais sucé des hommes pendant près d'une heure, sans m'arrêter, en les avalant tous, pour lui montrer que sa femme était une bonne suceuse, prête à tout de surcroît pour lui obéir

Il m'a baissé mon string, m'a fait asseoir à côté de lui sur la banquette, m'a écarté les jambes en me relevant les genoux, et il m'a fait jouir en me caressant de la main.

J'étais face à la salle, sans le poids et la présence du corps d'un homme pour protéger mon sexe ouvert au regard des autres. Je me sentais complètement exposée, impudique. J'ai joui en lui disant des mots d'amour. Je commençais à trouver mon nouvel équilibre, ma nouvelle vie, ma nouvelle place auprès de mon mari.

J'étais heureuse de me laisser guider par lui. J'essayais de ne plus penser au passé, à ce qui nous avait séparé. Je lui étais infiniment reconnaissante de m'avoir sauvé du gouffre dans lequel j'avais sombré sans m'en rendre compte avec Frédéric, et surtout, d'avoir tenu bon, lui, dans l'épreuve que nous lui avions faite traverser.

Car s'il avait lâché prise à l'époque, où serais-je aujourd'hui, comment seraient nos enfants? Je ne peux pas dire exactement qu'elle était la part de ma profonde reconnaissance à son égard, de mon goût pour la soumission, et de ses talents de dominateur, dans l'attitude que j'avais désormais vis-à-vis de lui. Un peu des trois, sans doute. Mais je n'avais pas à me forcer, ou à faire semblant.

C'était devenu naturel en moi : sexuellement, je me considérais comme étant à sa disposition. Parfois, il me faisait prendre des postures de soumission au lit, ou m'attachait les mains. D'autres fois, il me faisait l'amour plus tendrement, par devant ou par derrière. Parfois, il se souciait de mon plaisir et me faisait jouir avec sa bouche ou ses mains. D'autres fois, non.

J'ai aimé qu'il me demande progressivement de reprendre mes caresses d'avant, les pipes avec des glaçons et du thé chaud, ses jambes bloquées en position largement ouverte pour que je lui mettre des doigts dans l'anus. J'y voyais comme une marque de confiance en moi retrouvée.

Mais je ne les faisais que lorsqu'il me les demandait. Je n'ai jamais poussé mon avantage, je ne lui disais rien d'autre que des mots d'amour quand je le voyais s'abandonner au plaisir, je n'ai jamais plus utilisé le godemichet sur lui

Ces barrières, je ne voulais plus les franchir, car je savais ce qu'elles pouvaient évoquer en lui. J'ai été très heureuse le jour où j'ai pu lui montrer sur la balance que j'avais pris les cinq kilos. Ca m'avait coûté, vraiment. J'avais pris des joues, à la taille, en haut des cuisses. Je les ai reperdus en deux mois, à force de régime et de gymnastique. Mais je me fichais de m'habiller de manière informe la journée. Les autres hommes ne m'intéressaient plus, pas même leur regard. Je n'étais plus disponible.

Je voulais juste être belle et qu'il me désire le soir quand il rentrait. Il m'a dit un soir qu'il me réservait une dernière épreuve, beaucoup plus forte que les autres. Il ne l'a pas caché : il voulait se venger de ce que Frédéric et moi lui avions fait l'été passé. J'ai considéré cette punition comme légitime. J'avais confiance en lui. Je l'attendais.

Un samedi soir, il m'a demandé de m'habiller sexy pour sortir, et la baby-sitter est arrivée vers 22h30, une fois les enfants endormis. Je savais ce que ça signifiait. Il allait sans doute me ramener dans la boite d'échangistes. Je ne lui ai pas posé de questions. C'était son droit. Mais il a pris sa voiture et nous avons quitté Paris.

Nous sommes allés à environ 100 km de là, dans une sorte de grand moulin transformé en boîte de nuit et baptisé le Donjon. Dès que nous sommes entrés, j'ai compris ce qui m'attendait. L'ambiance était beaucoup plus dure que dans la boîte échangiste.

Beaucoup de vêtements de cuir noir, de bottes, de femmes ou hommes avec collier clouté autour du cou. C'était une boîte SM. J'avais l'air complètement déplacée avec ma jupe blanche courte, mes sandales à talon haut et ma petite chaîne à la cheville. Je n'étais plus dans ma catégorie. Même si j'avais confiance en mon mari, je n'étais pas rassurée. Je l'ai regardé. Il ne semblait pas l'être non plus.

Un couple s'est approché de nous. L'homme, pas très grand, cheveux courts, lunettes, très mince, a parlé à mon mari. Sa femme avait l'air plus souriante. Elle était plus ronde, environ 45 ans aussi. L'homme nous a guidés dans une salle au sous-sol, comme une cave, et a fermé la porte.

Il y avait des anneaux au mur et au plafond, des cordes qui pendaient. Je n'ai pas tremblé, mais j'étais contente que mon mari soit resté dans la pièce. La femme m'a entièrement déshabillée, y compris les sandales. Elle m'a bandé les yeux. J'ai senti qu'elle mettait mes mains dans une espèce de noeud coulant. La corde s'est tendue, très fort. J'étais suspendue presque sur la pointe des pieds, bras en l'air au-dessus de la tête. Je me suis raidie.

Je craignais des coups de martinet. J'ai été surprise quand j'ai senti un coup léger sur le côté de mes seins, puis sur l'autre. Les coups étaient feutrés, comme si le bout de l'objet avec lequel l'homme me frappait (je ne savais pas que c'était lui, mais je le devinais) était matelassé. Un coup est venu plus fort et m'a fait gémir un peu, mais plus de surprise que de douleur.

Puis les coups sont redevenus plus doux, réguliers, avec de temps en temps un coup plus fort. Ca durait longtemps. Là, je commençais à être inquiète. Parce que je ne comprenais pas où cet homme voulait en venir. Et j'aurais aimé être certaine que mon mari était encore dans la pièce, même si je n'avais pas entendu la porte s'ouvrir ou se fermer.

J'ai senti mes seins devenir progressivement sensibles aux coups. Je commençais à tressaillir à chaque coup, à redouter les coups plus forts. Et j'avais du mal à me tenir debout sur la pointe des pieds. Mon corps était de plus en plus lourd, de plus en plus tendu. Je gémissais, je me tordais, je criais même quand les coups étaient plus forts.

Ils n'étaient pourtant pas plus violents qu'au début. Mais c'était leur répétition, aux mêmes endroits, sur les côtés de mes seins, qui me rendait de plus en plus sensible à la douleur. Je lui ai demandé d'arrêter. En vain.

Les coups continuaient, au même rythme, avec toujours de temps en temps un plus fort qui me faisait crier puisque je ne le voyais pas venir. C'était insupportable. A la fois à cause de la douleur, et surtout de l'appréhension du coup plus fort. Là, j'ai senti quelque chose se briser en moi, dans ma tête. Je l'ai supplié d'arrêter.

J'étais prête à tout pour que ça s'arrête. Je n'avais plus aucune volonté, je ne pensais qu'aux coups, je me tordais pour essayer de les amortir, de les éviter. A un moment, j'ai senti deux doigts rentrer dans mon sexe. J'étais trempée. Je ne m'en étais même pas aperçue. La tension sur la corde a disparu. Je me suis écroulée au sol, comme une marionnette dont on a coupé les fils. J'étais incapable de dire combien de temps ça avait duré.

La femme a enlevé le noeud coulant de mes mains, et mon bandeau. Son homme était face à moi, il tenait une cravache. C'était donc cet instrument qui m'avait mise dans cet état, rien qu'avec de petits coups.

La femme m'a emmenée dans une sorte de cabinet de bains attenant à la pièce. Elle m'a fait mettre à quatre pattes. J'étais incapable de réagir. J'ai senti qu'elle me glissait un tuyau dans l'anus. Il est rentré facilement. Après j'ai senti un liquide chaud entrer en moi. J'ai compris qu'elle me faisait un lavement.

J'en avais entendu parler. Mais je n'en avais jamais eu. Après, elle m'a dit d'aller me vider aux WC, et de m'essuyer. Quand je suis revenue, elle a recommencé, et je me suis à nouveau vidée. Elle m'a ramenée dans la pièce où étaient son homme et mon mari. Elle m'a remis à quatre pattes face à eux, elle m'a pénétré l'anus avec les doigts, puis m'a enfoncé un godemichet.

Entre l'eau chaude et le port du plug, il est rentré facilement. Je suis restée comme ça cinq minutes, sans bouger. Eux, ils parlaient de l'autre côté de la pièce, comme si je n'avais pas été là.

Ensuite, elle m'a enlevé le godemichet, et m'a mise debout. Elle m'a attaché les mains dans le dos, mis un collier autour du cou, accroché une sorte de laisse au bout et l'a donnée à son mari. Il m'a ramenée ainsi dans la grande pièce du rez-de-chaussée.

J'avais peur. Je me sentais complètement ouverte, de partout. Physiquement comme moralement. Je me sentais aussi complètement passive, pire, inerte, incapable de réagir ou de dire non.

J'avais peur de cet homme, qui m'avait détruit avec ses petits coups de cravache sur les seins, sans dire un seul mot. Il avait l'air glacial, inhumain même. J'avais peur qu'il aille trop loin, de choses sado-masochistes. J'avais envie de regarder mon mari, pour me rassurer, mais il était derrière moi et avec la laisse qui tirait, je ne pouvais pas me retourner.

J'avais peur aussi d'être l'attraction générale là-haut, en arrivant nue au bout d'une laisse, mains attachées dans le dos. Mais l'ambiance avait changé dans la grande salle. Beaucoup de gens étaient nus. Il y avait des femmes, et mêmes des hommes, attachés membres écartés à des anneaux au mur, de face ou de dos. Certaines avec des bandeaux sur les yeux, ou des pinces sur le corps. Une femme se faisait fouetter.

A suivre...

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

Toujours aussi passionnant... merci Andrerp95

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