Franchir Le Pas

BÊTA PUBLIQUE

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Il lui attrapa les cuisses pour les ecarter en l'air. Il lécha grassement sa chatte se toute sa langue.

''Ahhhhhhhhh.....'' Charlène se laissa

tomber en arrière, en proie à son amant.

La table était secouée doucement.

Le bruit visqueux de Pierre dans Leo perçait le silence. On entendait seulement le souffle du jeune homme.

Son cul était tout étiré autour de l'imposante queue de son amant, qui rentrait et sortait, à mi longueur.

Léo gémit à chaque re-rentrée.

C'est tellement bon.

Je me fais baiser, pensa-t-il.

Pierre grogna de plaisir.

Pour la première fois, il s'insèra plus profondément dans le jeune cul.

''Aaahhhhhhh puttttaaain '' gémit Leo

''oh ouiiiii daddy, oh ouiiii

-t'aimes ça te faire baiser?!

-oh ouiii

-dis le!

- oh oui j'aime ça....

CLACCCC

-dis le en entier

- Oh oui j'aime ça me faire baiser

-t'es une bonne salope hein

- oh oui Daddy

CLAAAC

-dis le!!

- putain chui ta salope Daddy

- mmmh ouiiii, qu'est ce que c'est bon de baiser un bon cul de salope, ton petit cul au bout de ma queue, tu m'excutes bébé

-MhMh?! Interogea Leo en se mordant la lèvre

CLACCC

- AAH ouiiii, j'adore ton cul, putain qu'est-ce que t'es bonne

- OH OUI?!

CLAAAAAC

Les coups de reins s'emplifièrent, profonds, invasifs.

-oh oui t'es une bonne petite pute, avec ton corps de salope. Jvais le baiser ce ptit corps de salope

-Oh oui baise moi

CLAACC

-J'ai pas entendu !!?

-BAISE MOI

CLAAACC

BAISE MOI!! BAISE MOI LA CHATTE! CHUI TA PUTE DADDY, BAISE MOI OH OUI

-TIENS SALE PUTE

CLACCC

TIENS DANS TON CUL DE PUTE, T'AIMES ÇA PRENDRE DES BITES HEIN?

-OH OUI DADDY

-T'AIMES ÇA TE FAIRE BAISER SALOPE, T'AIMES LES BITES DANS TON CUL DE PUTE

-PUTAAAAIN OUIIIII

Leo était maintenant secoué abondamment, il gémissait très fort, sa voix comme au bord des larmes, mais de plaisir, du plaisir de salope qu'il prenait par derrière. Sa queue battait sous la table, son gland mouillé de désir.

Ses couilles étaient frappées par celle de

son beau baiseur, au rythme de sa sodomie, chaudes et lisses, goutants de lubrifiant. Des petits fils se creeaient à chaque contact pour s'étirer et se rejoindre dans un petit bruit humide au milieu des claquements répétés de son cul.

Pierre lui attrapa les bras, par les coudes, pour le tirer en arrière, le laissant penché au dessus de la table, sans la toucher.

Il le tirait contre ses coups de reins, et s'enfonçait maintenant jusqu'à la garde dans son petit cul.

''AHHH AHHH AHH AHHH HHHH HHH AHHH AHHH AHHHH HHHH''

Leo, violenté, impuissant dans la prise de son fornicateur, criait de plaisir à chaque coup. Cette grosse queue lui avait ouvert le cul, et allait et venait maintenant sans effort, bizn profondément en lui. Il sentait ce membre le souiller, bouger son ventr de l'intérieur, le pénétrer sans relâche, comme un bout de viande.

-OH PUTAIN TA QUEUE, TA QUEUE DADDY PUTAIN

-AH TON CUL DE SALOPE BÉBÉ, QU'EST-CE QU'IL EST SERRÉ, QU'EST-CE QUZ C'EST BON DE LE BAISER BÉBÉ

-OH OUI DADDY, TU ME BAISES, TU ME BAISES LE CUL

-TON PETIT CUL DE PUTE LÀ

CLAAAC

-OH OUIIIII JE SUIS TA PUTE, T'AIMES ÇA BAISER CE CUL HEIN?!

CLACCC

-OH OUI PETITE CHIENNE, T'ES TROP BONNE, T'ES TROP BONNE À BAISER, TU M'EXCITES GRAVE

-BAISE CE CUL DE PUTE DADDY, PÈTE MOINLE CUL, JE VEUX TE FAIRE JOUIR AVEC MA CHATTE"

Pierre ne le menagea pas. Aggripé à ses bras, il lui Pétait le cul contre la table, et il aimait ça.

John dit son apparition.

Pierre lui céda la place, en se retirant d'un coup du trou maintenant un oeu béant de Leo, qui respirait bruyamment.

John s'enfonça. Sans prévenir.

''HHHHHHHHH''

sa queue était un peu plus épaisse.

Son gland était large, et sa queue faisait le même diamètre que lui à son extrémité, puis s'amincissait légèrement en revenant vers son pubis. Une allure de matraque. Une belle matraque de 24 cm, pour 5 cm de diamètre à son bout.

Circoncis, le membre était lourd, sombre, avec cette forme insolite, où le gland, au pourtour acéré, était quasiment plus petit que le milieu de la queue.

Il glissa en lui. Il l'ouvrit un peu plus, en faisant sortir l'air dans un bruit obscène.

''Oooooooohhhh.... Ooh putain...''

Il glissa encore, encore, lentement, dans son intérieur. Il paraissait infini. Il le poussa de l'intérieur, plus profond que

jamais. Jusqu'à la garde. Ça faisait presque mal dans le fond. Il sentait qu'il lui touchait le fond. C'était un enfer de jouissance absolu.

Il commença ses va et vient, indulgent, à mi longueur, lubrifié à fond.

Il lui tirait les deux mains, avec une seule poigne, et lui tenait le cul de l'autre, agrippé sur sa hanche.

Pierre se branlait à côté, pour se maintenir en forme, rapidement rejoint par Charlène qui s'agenouilla, souriante, pour lui prêter main forte. Elle englouti et gémissant le gros gland de l'homme au gout de son chéri, pour le pomper bruyamment, mains dans le dos.

Leo planait.

Il était hors du temps.

Il prenait son pied comme une salope.

Yeux clos, il sentit que l'on lui changeait son partenaire. Une autre queue le pénétra, sans mercie. Il reconnu le bâton droit de

Pierre, son gland large et dessiné l'honorant de l'intérieur.

''t'es vraiment une bonne pute à bite, t'es adorable.''

Il subit les assauts, de ses baiseurs, qui le baisaient en relais, pour ensuite se reposer dans la bouche experte de sa femme qui s'en donnait à cœur joie.

Il sentit une main sur sa queue, qui ballotait sous la table. Une main frêle. C'était Charlène. En dessous, sans pouvoir le voir, il sentit son petit souffle. Elle venait de boire un verre d'eau fraîche, il le senti à la froideur de la bouche qui se mit à le sucer.

''oh putain putain putain putain putain''

Ses mains lui caressaient les cuisses, les fesses, le griffaient légèrement, pendant qu'il se faisait baiser adroitement le cul.

C'était su délicieux, si frais, si mouillé, si tendre de se faire sucer sous la table par

sa petite femme venue le soulager.

La table bougea.

Pierre était monté dessus.

Il lui saisit le menton, délicatement, Leo le regardait dans les yeux, secoué avec douceur par John, dans sa chatte. Toujours les bras bloqués en arrière, Leo lui lécha le pouce, le suça.

''ouvre la bouche, mon beau''

Leo, sans détourner le regard, s'executa.

Sous la table Charlène lui suçait le gland, délicatement, cruellement.

Il accueilla la queue dans sa bouche, au ralenti. Il ferma les yeux.

Il tourna sa langue autour, lui lécha rapidement et longuement le frein, le suça fortement.

Pierre s'enfonça dans sa petite gueule.

''Aaaaaaah, râla t-il, tu suce bien toi aussi hein? J'adore tes pipes.''

Leo gémit, approbateur, la bouche pleine.

Il savoirait le moment.

Baisé, envahit par cette BBC dans son

jeune cul, les couilles frappées par celle de son mâle, sa femme qui le suçait suavement sous la table, dévouée, au rythme des coups de reins, il suçait goulûment ce sexe profanateur du peu de dignité qu'il aurait pu lui rester. Quelle salope je suis putain, se répétait il, quelle chienne à bite.

Il n'en pouvait plus. Se faire baiser, se faire sucer et sucer cette queue comme une pute l'excitait au delà de l'imaginable. Il sentit l'orgasme frapper à la porte, lointain. Croissant.

''je.... Je.... Je..... Je vais... Je vais jouir''

Parvint il à articuler sous les coups sec de son baiseur, tressaillant de plaisir avec une queue sur les lèvres.

Charlène s'activa.

Ça montait.

Il sentait que c'était déjà très très fort comme orgasme, mais il sentait que ça

n'était pas prêt d'exploser encore, aussi crescendo qu'il put être.

''oh putain

Oh putain

Oh putain''

Il se raidit.

L'orgasme ne venait toujours pas, mais continuait de monter, titanesque.

Charlène lâcha prise.

Elle voulait le faire monter, mais pas trop, pour qu'il jouisse sans elle.

Pour qu'il jouisse sans qu'elle lui touche le sexe.

Pour qu'il jouisse du cul.

secoué et pénétré par ce large membre avide.

Elle voulait le faire jouir, mais jouir comme une salope, pas comme un garçon.

''OH BORDEL DE BORDEL DE BORDEL DE MEEEEEERDE PUTAAAAIN ''

John s'echinait. Il lui Pétait le cul. Tout bougeait en lui. Il sentait le plaisir

continuer de monter, sa queue fouettant l'air devant le visage de sa promise, patiente.

Pierre lui baisait la bouche doucement, pleinement :

''allez, jouis salope, jouis du cul bébé, jouis sur cette queue, prend ton pied sur cette bite, kiffe te faire baiser vas-y ! Jouis de ta petite chatte, Vas-y !!"

Putain ça vient, ça vient, mais d'autre part.

Ça vient de dedans, c'est le plaisir de mon cul qui a pris le relais dans l'élévation de l'orgasme au ciel.

Je kiffe du cul, pensa-t-il

Je vais jouir de la chatte.

Ça monte, si exotiquement, possédé par les coups de bite dans son intérieur électrisé de plaisir obscène.

''putainputainputainputainputainputaibébéeeeeeeeeeeeeee''

Quelques gouttes jaillirent, désordonnées, du bout de sa queue dure comme le bois.

L'orgasme n'était pourtant qu'à quelques pas.

Il juta dans la bouche de sa femme

Orgasme.

1200000 de volts.

Terrible.

Général.

Universel.

Terrassant.

D'un autre monde.

John s'était immobilisé au fond de sa chatte, énorme.

Pierre lui parlait, en lui maintenant la tête en gorge profonde.

Leo avait les yeux revulsés, il était téléporté ailleurs.

''mmhhhhh bonne salope, tu jouis hein, tu jouis grâce à une bite hein? Mhhh t'es délicieuse, t'es merveilleuse.''

Leo ne sentait plus rien.

Il n'était qu'orgasme.

Tout était flou. Il sentait seulement la queue battante, vaguement localisée en lui, familière, le gland dans le fond de sa bouche se retira, baveusement, et une langue électrique lui lécha la fin de son orgasme abondant, qui le fit sursauter.

John se retira, dans une flatulence coquine de petit trou éprouvé, rose, béant, qui clignait à répétition comme pour essayer de retrouver sa petitesse perdue.

Souffle sur son visage.

C'était celui de sa femme.

Elle l'embrassa.

Longuement.

Il sentit sa salive couler dans a bouche.

Beaucoup de salive.

Beaucoup trop de salive.

Ça avait un goût.

Ce n'était pas de la salive.

Il ouvrit les yeux d'un coup.

Surprise Leo.

Elle lui versa en bouche à bouche tout son sperme dans sa bouche désemparée. C'est salé, épais, métallique, obscène, dégueulasse. Jouissif.

La bouche ouverte, il accueilla le dernier cracha de son jus d'amour de la bouche de sa femme, complice de sa douce punition.

Garlgl.

''allez, suce''

Pierre avait plongé sa bite dans sa bouche

Il toussa, en faisant couler le liquide en un long fil baveux le long de la verge qui le souillait sans pitié.

''suce j'ai dit''

Sans le sortir, sa femme saisit le large membre et le branla.

Il toussa encore, lubriquement.

''oh mon cœur, t'es si sexy''

La voix de Charlène était si douce. Si belle.

Si chaude.

Il suça la bite qu'elle lui tenait dans la bouche.

Il s'y enfonça. Sans réfléchir.

Il voulu tousser. Sa femme lui déposa un baiser sur la joue.

Pierre se retira d'un coup.

Il cracha par reflexe, en panique, il toussa.

Puis il pris vite une grande respiration, essoufflé, à moitié noyé dans le liquide qu'il venait de cracher.

Sa douce pris la relève, dévouée, habile, féminine, ses bracelets tintant au rythme de ses va et vient baveux.

Elle tapota le membre dégoulinant de bave sur les lèvres de son homme.

Elle joua avec.

''Oh bébé, tu suces une queue, tu aimes ça mh?

-spt, cracha t il sur le gland, oh oui mon cœur.''

Elle le biffla

''hhhhhhh

-oh oui suce le maintenant ''

Il ouvrit la bouche et suça bruyamment, goulûment le membre viril.

Longuement.

Très longuement.

Il suait.

Il ne s'arrêtait pas.

Reprenant sa respiration de temps en temps, il enfonçait et branlait avec sa gorge cette grosse queue. De temps en temps il la ressortait, dégoulinante, sa salive faisait des bulles, il les crachait sur la bite de Pierre, aux anges, grognant de plaisir, pour la re sucer sans aucune modération.

Charlène le caressait, lui pinçait les tétons, lui griffait les cuisses, le dos.

Leo le voulait.

Il voulait le faire jouir.

Il voulait le faire céder, le maîtriser dans sa

bouche, faire lâcher prise à ce mâle qui le baisait, l'affaiblir d'un puissant orgasme.

Il sentait qu'il avait le dessus.

''Ahh...

Aahhh... Ouiii...''

Il entendit pierre gémir.

Il le sentit se crisper.

Il sentait dans sa bouche inondée d'une salive visqueuse que sa bite se contractait à plusieurs reprises.

Il y était. Il le tenait.

''oh oui bébé, suce moi, suce moi bien''

Il s'activa, habile sur son membre, la salive coulait partout. Sa femme le regardait, amoureuse, l'embrassait, lui tenait la tête.

'' oh oui bébé. Fais le jouir. Fais le jouir dans ta bouche ''

Dans ma bouche?! S'indigna t il?

L'indignation ne s'évanouit aussitôt.

Il était trop excité.

Il ne savait pas si il le ferait.

Si il accepterait de se faire jouir du foutre

dans la bouche.

C'était flou maintenant .

Il suçait de toute sa gorge.

''Aaaaah putaiiiin''

Pierre, maintenant à genoux, se laisse sucer par Leo en totale maîtrise, accompagné, parrainé par sa femme qui lui murmurait à l'oreille.

''bebe t'es si sexy, suce encore, suce cette queue, fais le jouir comme je te fais jouir quand je te suce...''

Pierre serrait les dents:

"Oh putain ta bouche, c'est trop bon. tu suces bien, tu me suces tellement bien c'est ouf....''

Sans prévenir.

Averse de sperme dans sa bouche.

Brûlant.

Fluide.

Salé.

N'y pense pas.

Il donna quelques derniers coups de bouche. Pierre tressaillit et grogna de plaisir. Le sperme continuait de gicler par a coups.

Il coulait le long de la verge tétanisée.

Leo cracha le liquide qui ruissela tout le long, innondan les couilles de Pierre.

Il adopta un suçage doux. Réparateur. Attentionné. Délicat, sur ce membre viril en transe.

Pierre se replaça, assi au borde de la table.

Léo senti sa queue toucher la sienne. Électrique. Elle se croisaient. Il les branla ensemble. C'était surréaliste. Délicieux. Réconfortant.

Charlène lui saisit la mâchoire, et l'embrassa de toute sa bouche. En branlant distraitement la queue de Pierre, Leo sentit la langue de Charlène lui fouiller amoureusement la bouche, il sentit sa

texture, ses ondulations, il la sentit s'en aller, recommencer, faisant circuler le reste de salive et de jus dans leurs bouches.

Elle embrassa Pierre. S'agrippa à son coup, descendit pour lui embrasser le torse sous le regard attentif de son homme essoufflé.

Elle était en bas, penchée sur la table.

elle lécha le sperme dégoulinant des couilles de ses hommes.

Leo inspira de surprise et de plaisir.

La femme le regardait d'en bas, il la vit souriante, saisir lentement les deux sexes.

Elle les frotta ensemble, bout à bout, visqueux, doux.

Leo tressaillit.

Elle suça les deux glands, alternativement, les pressa tout deux dans sa bouche, s'étirant les joues. Les deux hommes lui caressaient la tête, reconaissants, attendris, shootés de leurs orgasmes.

Elle nettoya les deux membres avec soin, longuement, oasis de sérénité après toute

ces émotions.

Après quelques minutes dans le bruit de succion et de respirations buccales de sa soigneuse femme, Leo la releva.

Il se regardèrent dans les yeux.

Elle sourit

Il sourit.

Il l'embrassa tout délicatement.

''je t'aime'' lui murmura telle '' je t'aime à la folie mon amour

-t'es l'amour de ma vie mon cœur ''

Il se laissèrent tomber sur le lit, enlacés.

A suivre....

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

Merci pour cette histoire très eroptique, j'attends la suite avec impatience et j'espère que leur jeu vont allé encore plus loin dans le plaisi.

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