Franchir Le Pas

BÊTA PUBLIQUE

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Shlop

Il rerentre.

Shlop shlop shlop

Il le baise, le cul en l'air, son cul encore plus ouvert à cause de la position, ses organes internes tombant vers le bas, son trou est tout profond, tout lâche.

Splotch splotch shlop shlop shlop shlop

shlop shlop shlop shlop shlop shlop

C'est parti.

La baise de son cul de salope recommence, obscène, putifié, amoureux de son humiliation sexuelle, il encaisse bruyamment les coups de queue dans son trou élargi et gourmand.

OH BORDEL DE BORDEL DE PUTAIN DE MEEEEEERDE

Leo ressent un plaisir lui envahir tout le corps, la tête, ses veines, sa colonne, son ventre, sa queue.

PUTAIN MAIS TU ME BAISE TELLEMENT BIEN PUTTTTTAAAAAAIIIIIN

Rien ne sert de lutter. Il est a sa mercie. Il n'a aucune idée combien de temps sa maltraitance va durer. Il se faisait abattre comme une chienne de rue. Il adore ça. Il

se voit dans le miroir mural, sauvagé, souillé bestialement, sacrifié à ce sexe mâle si animalement affamé.

Ah .. ah.. ah... Ah... Ah... Ah... Ah oui.. ah oui putain... Ah ... Ah... Ahhhhh... Ahhhh ouiiiiii.... Aïe.... Ah.... Ah.... Ah.....oh bordel .... Ah merde ... Je sui une pute.... Ahh ... Ahh oui... Une ptite pute....

Pierre le viole sans autre forme de procès.

''tieeeeens, voilaaaa, ptite salope, t'es qu'une petite salope

Shlop shlop shlop shlop shlop shlop

T'aime te prendre des bites hein? T'aimes te faire baiser comme une pute hein? Hein ptite chienne?!

Un cri de Charlène déchire l'air, tremblant, puissant.

Elle vient d'inonder le matelas, encore.

John s'enfonce désormais jusqu'à la garde

dans son trou de balle. Elle gicle. Gicle et regicle de plus en plus abondamment.

LEOOOO LEOOOOOOO LEOOOOO PUTAAAAAIN

HAAAAAAAAAA

un long jet de mouille gicle de sa chatte, John se maintient enfoncé dans ses entrailles, et lui branle sa chatte ruisselante, qui n'arrête pas de gicler, de sa grande main, à toute vitesse.

PSSSSSSSSIT

Elle hurle à gorge déployée, comme si elle était seule au monde:

'' AHHHHHHHHHH BEBEEEEEEE

AAAAAAH OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUIIIII '' sa voix s'évanouit dans sa jouissance, à bout de souffle.

PSSIT

Les draps sont souillés, inondés de son plaisir incontrôlable.

John la jette sur le lit

Elle tremble de toute ses jambes, défaillantes, tuée, immolée dans sa mouille.

Au plafond, le miroir leur renvoie leur image.

Essoufflée, inanimée, pâle et encore tremblante, échouée sur les draps en bataille, magnifique, détruite, comblée ai delà de l'imaginable, ses beaux cheveux sur son visage, en petite tenue, à moitié évanouie, shootée au puissant orgasme.

C'est l'heure d'une trêve.

Pierre lâche Leo, en transe, qui retombe, à plat ventre, son cul béant se refermant dans sa chute. Il est essoufflé, un sourire ineffaçable orne son visage lumineux, transpirant, contre le matelas. Il est aux anges, il ne sait pas ce qu'il se passe. Il est juste extrêmement bien. Il a les yeux

fermés et récupère ses esprits, en souriant béatement, le temps de redescendre sur terre.

Il relève sa femme, tout molle, et l'allonge dans ses bras. Il la serre contre sa poitrine. Il tient sa tête et son dos contre lui, et la berce, doucement.

''mon p'tit bébé....'' lui murmure t-il amoureusement à l'oreille.

Elle s'anime, se recroqueville, pour se blottir encore plus contre lui. Elle met son visage dans son cou, il lui caresse et recoiffe les cheveux. Il dépose un ling baiser sur sa tête. Elle se serre encore plus contre lui.

''je crois que je vais avoir des courbatures'' murmure-t-elle

Il rient tout les les deux, quelques instants

Leo continue de bercer sa femme shootée dans ses bras.

'' je t'aime Leo''

Elle n'a pas bougé ni ouvert les yeux.

Il lui embrasse les cheveux.

'' je t'aime petit cœur

Je suis tellement heureux.

-oh moi aussi. T'es incroyable.''

Elle ouvre doucement les yeux et le regarde, des étoiles dans les yeux. Bleus profond, remplis de nuances et de petites tâches grises et bleues azur, Leo tombe amoureux à chaque fois.

Il saisit son visage a deux mains et dépose ses lèvres sur les siennes, tout doucement, dans un souffle. Ils s'aiment par les lèvres quelques instants, hors du temps, comme deux jeunes amants.

Le petit groupe boit son verre d'eau sur le lit, ils rient, ils font connaissance, les masques sont tombés, ils ont tous remis des vêtements, ou un sous-vêtement. Ils

échangent, discutent, l'eau fraîche coule à flots.

Les fornicateurs se révèlent éminament sympathiques, et absolument pas sombres et durs comme ils laissaient le présager dans leur rôle, joué à merveille.

Ils restent là, libres de leur temps, à discuter et se raconter des histoires, à rire aux éclats.

'' bon et bien on approche de minuit, si on veut manger il faut se dépêcher ! Dit Leo

Vous voulez vous joindre à nous?

-ah mais carrément ! Réponds un John souriant, affamé.

-À fond haha! Confirme Pierre en levant un pouce, j'ai la dalle !''

Le dîner livré, ils se mettent à table dans la salle à manger, avec de la musique, brisant la dernière glace autour d'un bon repas

chaud.

'' en vrai, entre nous... vous êtes sacrément endurants non?" S'enquiert Leo, la bouche pleine

Ils rient. John est du genre à remplir tout le volume sonor quand il rigole, et c'en est contagieux

''ah bah la oui! En fait l'envie est là, le scénario est bon, perso c'est la première fois que je fais un truc aussi chaud quoi!

-c'est ça en fait, je n'ai pas non plus un max d'expérience dans le libertinage de couple, mais en général c'est genre décousu, sans préparation, au feeling. Alors c'est cool et tout, mais le fait de jouer '' une pièce '', une chorégraphie, ouaah, c'est vraiment excitant à mort : les tenues, les positions, les enchaînements. Et puis (excusez moi hein) vous êtes sacrément beau gosses tout les deux!"

Le couple rit et se regarde, à moitié gêné du compliment, Charlène attrape la main

de Leo et la caresse dans ses doigts.

'' on aime bien faire les choses c'est vrai, répond Leo dans un charmant sourire, et là on voulait soit ça, soir rien. C'était ça, sinon c'était tant pis. Et je confirme c'est réussi, vous êtes vraiment parfaits, merci encore.

- pas besoin de nous remercier s'esclafa en riant John, c'est nous hahaha! la la, quel pied putain! C'était vraiment trop bon de vous.. enfin de vous baiser quoi haha!

Papillons dans le ventre de Leo.

Papillons dans le ventre de Charlène.

En souriant poliment, il se regardent.

Ils communiquent sans parler.

Mais putain. Pourquoi ils ont encore envie. Le feu revient. Ils avaient presque oublié à qui ils parlaient pendant cette pause, mais l'envie se remet à couler dans leurs cœurs.

Il se regardent.

Leo arrête de sourire

Elle aussi

Une tension à 120 000 volts se crée dans leur regard qui leur paraît infini.

Léo lui saisit la gorge, la soulève. Il l'embrasse de toute sa bouche, lui presse le cul.

Elle respire fort, l'adrénaline reprend, elle perd instantanément le contrôle de ses sens cette fois.

Il la retourne, devant ses invités, choqués, encore en train de finir leurs plats, et fait valser tout ce qu'il y avait sur la table, dans un fracas de vaisselle

''ah t'en veux encore hein?!''

SLAPPPP

il lui retourne une volée sur le cul en lui soulevant sa robe d'été.

HAAAN

Charlène crie de douleur/plaisir, allongée sur la table.

''oh putain oui'' dit-elle entre ses dents.

Il se colle contre elle violement, faisant trembler le reste des couverts. Sa queue est déjà dure, battante.

Il lèche ses doigts.

Ils humecte son gland.

Il se présente.

Il la pénètre d'un coup.

De toute sa longueur.

Aaaaaaarhhhhhhgggggggg

Charlène grogne de plaisir bestial.

Slpaf spaf slpaf spaf spaf spaf spaf spaf

Il commence à ma pilloner.

Il saisit brutalement une poignée de ses cheveux.

''tiens petite pute, prends ça! Prends ça dans ta chatte de petite salope!"

Il lui crache sur le cul, de rage sexuelle.

Slpaf spaf spaf spaf spaf, il la pillone de plus en plus vite

Ooooh ouiiiii oh putaaaain ouiii baise moi

Slpaf spaf spaf spaf spaf spaf spaf

Baise moii ouiiiiiiiiiii

Il accélère, et lui donne 4 coups de queue par seconde, de toute sa longueur

CLAAAC

CLAAAAAC

Il la fesse de toute ses forces. Le reste des couverts tombe de la table qui se fait secouer dans tout les sens.

''T'AIMES ÇA HEIN?! hurle Leo

T'AIMES ÇA TE FAIRE BAIIISEER, BAISER COMME UNE PUTE!! T'ES QU'UNE PUTE!!

- OH OUIII OH OUIIII CHUI TA PUTE, CHUI TA PUTE, FRAPPE MOI-''

CLACCCC CLACCCCC

elle n'a pas le temps de finir quelle reçoit deux formidables fessées sur son cul, qui fait des vagues dans tout les sens, tant les coups de reins contre elles sont diaboliquement forts .

Les fornicateurs les regardent, lache des commentaires sur elle, l'insulte sexuellement, lui parle comme à une pute

'' aaaaaah alors, on aime ça se faire baiser hein? Brave fille , brave fille, tu va nous satisfaire maintenant hein? On va te monter en l'air, ma puce, on vate faire voir''

Leo s'arrache d'elle, il lui tire les cheveux et la guide, entièrement nue maintenant hormis ses bas, ses talons et ses bijoux.

''vient là, vient laaaa''

John est allongé par terre, posé sur ses coudes.

Leo la guide par les cheveux comme une chienne.

Han!!

Elle tombe à genoux au dessus de John, et se ratrappe en s'appuyant sur sa large poitrine.

Il lui attrape la gorge.

Elle se cambre.

Son visage se crispe de désir.

Il guide son cul vers sa queue.

Il l'empale dessus. Sèchement. Jusqu'au fond.

RaaaaAAAAAAAAAAA

Charlène râle de détresse et de plaisir abject, élargie si soudainement, remplie de cette verge epaisse et démesurée.

Une poigne lui saisit la nuque, par dessus la mais de Jonh sur sa gorge.

C'est Pierre, dernière elle

Elle est étranglée désormais, par les deux en même temps, une main chacun sur son cou et sa gorge.

Oh oui. Pense-t-elle

Oh .... Oui.....

Elle sent le froid du lubrifiant couler subitement sur son dos.

Il coule.

Elle se tortille sur la queue de John. Elle essaie de reprendre le dessus et de le baiser, les yeux dans les yeux, sa gorge dans sa poigne, se mordant la lèvre.

Elle sent l'inévitable arriver.

Devant son homme, Pierre pénétre le cul de sa femme, au ralenti.

Charlène se fige.

Qu'est ce qu'il se passe encore?!

Mais d'où?!

D'où c'est possible de ressentir autant de plaisir dans des choses aussi crades??

Elle se rend compte quelle est en train de sourire de toute sa bouche, grande ouverte.

Ok la c'est chaud.

Pierre s'est assis derrière Charlène, qui va chevaucher maintenant deux sexes.

Elle laisse échapper un petit rire pour accueillir cette nouvelle situation, déstabilisée.

Son gland est rentré dans son cul.

Énorme.

Elle n'ose pas bouger .

Elle est si remplie.

C'est si gros.

Elle est littéralement ancrée, harponnée à eux.

Elle est si pleine.

Si pleine de queues putain.

Les va et vient commencent.

Fatals.

Exotiques.

Elle sent ses trous élargis se faire remplir, son ventre bouger de l'intérieur, par ces masses chaudes et dures, trempées.

Elle reste figée, le regard perdu dans le vide.

Quelle salope je suis putain, pense-t-elle.

On entend seulement les légers grognements des fornicateurs, et le bruit lubrique de ces queues larges sui travaillent dans ses trous trempés et visqueux.

Leo s'approche.

Elle ne bouge toujours pas, paralysée par l'instant, la situation, désemparée face à cet empalement, que, irrésistiblement, elle sent qu'elle commence à kiffer.

Et merde je cède encore. Putain mais quelle salope je suis. J'adore ça. Oh oui j'adore tellement.

Leo est debout devant elle.

Sa queue est tendue vers le ciel.

Il lui caresse la joue, secouée encore doucement, par ses baiseurs imbriqués en elle.

Elle est ailleurs. Très très haut dans le ciel... Ou l'enfer.

Il se penche juste à côté de son visage, l'embrasse délicatement sur la joue, et lui sussure:

"t'es magnifique. Magnifiquement pute. Tu va prendre si cher avec toute ces queues. Tu va être notre jouet. On a tellement envie

de te baiser, de profiter de ton corps d'ange, mon amour de salope, et ce soir ce corps sera celui d'un ange déchu, tellement tu donneras de plaisir à tes bourreaux affamés de toi. Tu vas tellement jouir de nos queues. Tu ne peux pas y résister. Tu le sais. Tu aimes ça. Tu aimes la bite. Tu aimes te faire baiser amoureusement comme une chienne. Cède au plaisir, lâche prise mon cœur''

Impuissante, elle ouvre la bouche, docile.

Il se relève.

Il sent son souffle sur sa queue. Son petit souffle adorable, parfumé.

Il pose sa queue sur la langue de sa femme, possédée, remplie.

Le contact est torride.

Elle lève les yeux vers lui.

Ils se regardent.

Elle s'appuie sur ses cuisses.

Elle le suce.

Leurs regards ne cèdent pas.

Ses joues creusées par la succion de sa queue, elle le fixe, ses yeux divins entre deux mèches de cheveux qui lui tombent sur le visage.

Il la recoiffe.

Elle gémit gravement maintenant en honorant le sexe de son homme, soulevée par John qui la baise proprement dans sa chatte, et Pierre qui va et vient lentement dans son cul serré.

Ce n' est même plus bon.

C'est carrément hautement adictif.

Il lui attache les cheveux en deux queues de cheval courtes derrière sa tête. Il adore, ça lui donne un air toute coquine à cette suceuse.

Il les attrape. Elle le regarde fixement, inflexible, comme restant digne et forte sur ces queues monstrueuses qui la souillent, le suçant sagement.

C'est là que Pierre lui attrape les poignets vers l'arrière.

Position très délicate.

Je vais me faire sauvager.

Ils sont fous, ils vont me casser là.

Elle n'a même pas peur.

Elle en veut, même.

Elle se livre.

Leo lui manipule la tête par les nattes, et s'enfonce à volonté dans sa gorge, elle bouge désormais beaucoup plus amplement, son corps parcourus de secousses, elle performe sur ces queues.

Elle prend de l'amplitude sur ses mouvements de baise, plus profonds, plus longs, plus francs, de partout.

Les bras bloqués en arrière, une main autour de sa gorge, sa tête tirée vers l'avant, elle est suspendue, tiraillée par ses bourreaux d'amour.

La musique joue toujours en arrière plan,

elle l'entend, par dessus le bruit de sa gorge baveuse qui va et vient sous le contrôle de Leo, le claquement de sa précieuse chatte contre John qui la monte en l'air à chaque coup de bassin, et les petits bruits de son cul dont Pierre entre et sort sans glamour, huilant régulièrement ce trou jouissif, tellement excitant.

Léo la lâche.

Elle le regarde, essoufflée, la tête haute, rebondissant sur son plaisir maintenant dompté, salivant sur ses seins avec lesquels John joue fermement.

Son homme lui attrape la gorge.

Il la gifle.

''petite salope va''

Il lui tient le menton de l'autre main.

Elle ne bronche pas.

Elle lui attrape deux doigts avec sa bouche, et joue avec sa langue.

Il se rapproche encore d'elle.

Lentement, il lui crache dans la bouche.

Sa goute de salive s'écrase sur la commissure de ses lèvres.

Il lui étale tout autour de la bouche, toujours les yeux dans les yeux. elle grogne adorablement de jouissance.

Il la regifle.

De l'autre côté.

Des cheveux viennent se coller sur son visage trempé, soulevés par la claque.

''Dis que tu aimes ça.''

Elle s'executa aussitôt

''putain j'aime ça'' dit-elle dans un râle débauché.

Gifle.

''j'aime ça !''

Gifle.

''J'AIME ÇA !! ''

Gifle

''PUTAIN J'AIME ÇA !"

il lui attrapa soudainement la gorge et pressa sa tête jusqu'au bout de sa queue et la maintena en butée dans sa gorge

Il l'etrangla.

Encore plus fort.

Encore .

Les veines saillaient de son cou.

Ses yeux ne tinrent plus le regard.

Les cheveux sur son visage rougi, sa queue enfoncée jusqu'aux couilles, dégoulinantes, secouée maintient sèchement par en bas, les bras bloqués en arrière, ses trous envahis et chamboulés, son ventre secoué au milieu du plaisir.

''AH T'AIMES ÇA SALOPE HEIN?''

Cria Leo au dessus d'elle, son ventre contre son front, enfoncé jusqu'à la garde.

''T'ES UNE PUTE, SALOPE, CHIENNE A BITES, T'ADORE ÇA HEIN?! TIENS -il donna des coups de reins pour enfoncer encore plus son gland dans sa gorge

TIENS! TIENS PUTE! BOUFFE MA BITE! JE SAIS QUE TU KIFFES, TU KIFFES ÊTRE UNE CHIENNASSE!!

Charlène avait les yeux revulsés, la gorge et le front parcourus de veines gonflées, elle sentait qu'elle voulait tousser, respirer, mais elle n'y arrivait pas.

Tout son corps s'innonda du plaisir de sa sodomie et de sa baise, maintenant efreinées, sonores. C'était indescriptible. Elle se faisait détruire, mais dans le bon sens du terme. Elle sentait tout son corps se hérisser d'une jouissance atomique.

Des papillons puissance dix.

Un orgasme si intense dans sa chatte et son ventre.

Un orgasme inconnu et paralysant rayonnait dans tou son cul et sa colonne vertébrale jusqu'à sa tête.

Elle pouvait mourir de plaisir là. C'était inhumain.

Ça ne s'arrêtait pas.

Ça s'emplifiait, comme des vagues d'orgasmes qui broyaient son corps.

Son cerveau était éteint.

Impossible de penser.

Elle ressentait juste.

Son existence n'était qu'un orgasme intégral.

Leo la lâcha.

Sa tête retomba.

Haaaaaaaannnn.

Putain il s'est passé quoi.

Elle prit laborieusement une immense inspiration.

Je suis où déjà?!

Ses baiseurs la relachèrent.

Elle se serait écroulée sur le sol si Leo ne l'avait pas rattrapée.

Il s'allongea avec elle sur le tapis.

Elle toussait encore un peu.

Il la recoiffa en la regardant, dans ses bras,

occie.

''chhhhhhut, tout va bien, je suis là mon cœur

- bb.... bébé..... Aahhh bébé...''

Elle tremblait de tout ses membres.

''fait... Fait moi un câlin''

Sa voix était à peine audible.

Il l'enlaça tendrement, pressa son étreinte.

Il l'embrassa sur la tête.

Qu'est-ce qu'il l'aimait...

''petit chou....

-oh mon cœur.... J'ai tellement joui.. bébé c'était quoi ça

-j'ai cru voir ça oui haha, tu étais tellement excitante t'as pas idée.

Elle repris ses esprits

- mon cœur je te jure un moment j'ai perdules pédales je ne savais même plus où j'étais !!

-oh mon cœur...

-nan mais t'es ouf.

- je t'aime mon amour.

- je t'aime, grand fou!!''

Ils s'embrassèrent tout amoureusement, comme ils adorent le faire.

''aller, à la douche!"

Ils terminent cette soirée en douceur, éreintés, saluent leurs fornicateurs forts aimables, et se glissent sous la couette, touts propres, tout hâtifs de se faire un gros câlin pour s'endormir.

Ils sont là, enlacés, jambes emmêlées, fourbus, Charlène le visage dans le cou de son amoureux.

Il la caresse, dans les cheveux, la nuque, et, comme à son habitude après une grosse journée, il chante tout bas, pour l'endormir, dans les graves comme il aime le faire.

Charlène se serre encore plus contre lui. Elle sent sa poitrine parfumée vibrer au gré des notes graves, la mélodie la berce, elle sent ses doigts lui caresser les cheveux, ses bras l'encerclent.

C'est le bonheur.

Elle est dans dans le meilleur endroit du monde.

Elle se laisse glisser dans celui des rêves.

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Leo transpirait abondamment.

À quattre pattes devant lui, Charlène se faisait baiser bruyamment, et criait de plaisir comme elle le faisait si bien.

Léo resserra sa poigne autour de sa ceinture, qu'il avait passé sous le ventre de

sa promise, et tirait maintenant violemment vers ses coups de reins ce cul asservi.

''oh ouiii putaaain '' rale t-il de plaisir, pendant que les oourds claquements emplissent la pièce et se mêlent aux gémissements de sa femme.

Il lâcha une prise, et approcha une main de la tête de Charlène tout en la baisant : il enroula ses cheveux autour de sa poigne, et commença à tirer dessus au rythme de ses coups de reins