Franchir Le Pas

BÊTA PUBLIQUE

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''Bonne salope , t'aime ça petite chienne''

Il tirait sur ses cheveux, avec comme objectif de lui asser la Colonne vertébrale à chaque coup de queue.

''AAAAAH OUIIII MON CŒUR, BAISE MOI BAISE MOI BAISE MOI, JE SUIS TA PUTE''

CLAC CLAC CLAC

Leo lui assena une série de fessées cinglantes sur le cul. Elle ne broncha pas et continua juste de gémir de bonheur.

Le lit bouge. Il bouge au rythme de Leo. Mais soudainement il se met à bouger autrement : Jonh est entré en scène, et est en train de se déplacer à genoux, vers la belle bouche de nymphe de Charlène.

Leo ressent une vive excitation.

John soupir de plaisir : il vient de mettre son sexe encore en train de grossir dans la bouche délicate de Charlène, qui s'offre avec plaisir, secouée.

Leo redouble d'intensité devant la scène

'' ah mais t'aimes ça hein? T'aimes ça te prendre deux queues ptite salope?!

-MHHMMHH''

Des bruits obscènes de bouche malmenée commence à se rajouter au fond sonore. Leo deguste des yeux sa femme se faire attraper la tête, la gorge, baver sur cette large queue, s'y abandonner.

Il se retire : derrière lui se tient Pierre, prêt à prendre la relève, son imposante et longue queue dressée et battante de désir.

Leo se pousse et s'installe plus loin sur le lit. De là, il regarde Pierre carresser le cul de sa femme avant de.la pénétrer lentement. Elle gémit longuement, écartée par ce diamètre de sexe envahissant, troublant, dominant.

Le manège reprend.

Leo se délecte de la scène.

Sa douce se fait sauvager par ces deux queues, il les voit rentrer et sortir, trempées, sans effort, quinla souillent sans mercie

''quelle sale pute''

La scène est obscène, elle aime ça cette salope, elle prend son pied avec ces deux mastards.

Il s'approche de sa tête, et s'assoit juste à côté d'elle, invisible, pendant qu'elle se fait souiller en gros plan devant lui.

La queue lui rentre dans la gorge par a coups, ses joues creusées par l'aspiration, une main sur la base du sexe de John, elle le regarde dans les yeux, sous les secousses de Pierre qui maintenant la baise sans ménagement, innarretable.

Leo passe une main dans les cheveux de sa femme. Il la caresse pendant qu'elle suce docilement, bruyamment.

''Oh mon cœur..., t'es tellement belle... T'es tellement belle à sucer comme ça...''

Elle tourne les yeux vers lui, sort le sexe de sa bouche, dégoulinante de fils de salive, reprend son souffle

''je t'aime''

Elle l'embrasse après ces quelques mots, en continuant de branler son amant. Le baiser est très long. Crescendo dans la débauche, leurs langues se mêlent, à quelques centimètres de ce gland imposant et dégoulinant.

Leo saisi la queue de John, à pleine main. Charlène lache prise et se tient à quattre pattes docile, Pierre s'est retiré, et bouffe maintenant la chatte cambrée de la jeune femme.

De son autre main, Leo lui agrippe délicatement l'arrière de la tête, et lui guide sa bouche, grande ouverte, baveuse, vers la queue de John, dressée, affamée.

Leo empale la tête de sa femme, qui femre les yeux, sur ce sexe, e commence à lui faire faire des va et vients, forcés, fermes.

Il lui enfonce d'un coup. Au fond de la gorge. Il la bloque, quelques longues secondes

'' mhhh ouiiiii, comme ça bébé ''

Elle essaie de tousser, sans succès, une bite de 24 cm en gorge profonde.

Leo la maintient.

John râle de plaisir.

Le ventre de Charlène se contracte à plusieurs reprises, étouffée par ce sexe en

elle.

D'un coup, Leo l'arrache de son empaleur

Elle respire une grande bouffée d'air, exténuée, baveuse, détruite

''c'est bien mon cœur ''

Il l'embrasse sur le front pendant qu'elle retrouve encore son souffle

''c'est bien mon amour...''

Toujours la queue dans sa main, il la fait glisser sur le visage de sa femme, haletante, lui tapote les lèvres, les joues, elle crache tout doucement sa bave en gémissant, toujours dévorée par Pierre.

''mmmm bonne fille''

Leo lui rentre la queue dans la bouche, la ressort, seul maître de sa pénétration. Elle subit les assauts et les caresses de cette queue énorme, Leo la biffle avec, dans un bruit mouillé, joue avec sa bouche, ses lèvres, sa bave...

D'un coup il lui écrase la tête contre la

queue de John.

Elle se retrouve empalée, soumise guturalement à ce membre qui la souille.elle reste là, convulsée, ouverte, remplie, souillée, à s'étouffer sur ce manche à plaisir sordide et divin.

HHHHHHHHHHHHH

Elle reprend son soufle, et crache, son maquillage coulant sur ses joues, essoufflée, elle tend aussitôt la langue et rit légèrement, prête à relever le défi une nouvelle fois, docile

''c'est bien, bouffe cette bite, bonne pute, voilaaa... T'aimme ça être une bonne pute à bite hein '' John lui biffle la langue, prêt à la souiller dès qu'il le souhaite

''-oh oui putain

-t'aimes ça sucer hein? T'aime ça sucer comme une bonne salope hein?!

-ouiiii put-"

Leo la laisse en proie avec son amant, qui se remet à lui baiser gentilment la bouche, à sa mercie, et se rapproche maintenant de Pierre, qui lui devore la chatte depuis de longues minutes.

Il se redresse, il lui ecarte le cul. Il se remet en elle, et lui baisse sa chatte, qui fait des bruits obscènes, éprouvée par ses précédents va et vients.

Le temps, Leo pose sa tête sur le cul de sa petite femme, baisée, juste devant le ventre de pierre, qui va et vient dans sa chatte. Il reste là, bercé par les coups de reins, son nez qui touche de temps en temps le ventre de pierre qui tronche sa femme.

Il passe sa main sous elle, qui cherche quelques instants, la caresse, la griffe, avant de lui frotter la chatte, de la branler vigoureusement pendant qu'elle se fait baiser par son deuxième amant

Il sort d'un coup.

Shlop.

La chatte de sa femme est trempée, elle goutte.

Leo ouvre docilement la bouche, sans bouger, et ferme les yeux, tout en continuant ses mouvements agiles sur le clitoris de sa femme.

Gros, large, le gland rentre dans sa bouche, lui écarte un peu plus les mâchoires, leo replace ses lèvres pour ne pas mettre ses dents. La queue fait son passage, au goût de Charlène, énorme, veineuse, sur sa langue, son palais, ses joues, sa glotte, et commence à le baiser doucement.

Il sent la main chaude de Pierre se poser à plat sur le côté de son visage pour lui plaquer la tête.

Leo gémit.

Il sent cette queue lui souiller le visage, la bouche, et forcer le fond de sa gorge par à coups, affamée.

Il reste là quelques secondes, offert, la tête posée sur le cul de sa femme qui suce

goulûment, à se faire farfouiller la bouche par cette grosse queue.

Puis Pierre se retire.

Leo ouvre les yeux, de la salive coulant le long du cul de sa chérie, et voit Pierre replonger en elle, la labourer, à quelques centimètres de lui. Son visage touche le ventre de Pierre à chaque à-coup.

Il ressort.

Il pénètre sa bouche, sans délicatesse.

Il la baise , bruyamment maintenant.

Leo est désemparé, il essaie de ne pas etouffer sur ce membre qui le souille, et se concentre à ouvrir sa gorge, ne pas mettre les dents et branler sa douce.

Il ressort.

Respiration de détresse.

Pierre rerentre dans sa femme.

Il continue son manège lubrique à baiser cette belle femme puis la bouche de son

homme, à fleur de peau, excités comme jamais, offerts, complices, amoureux....

Charlène gémit de plus en plus, se tortille, perd le contrôle, les assauts de cette queue et de cette main experte sur sa chatte vont avoir raison d'elle.

Elle gémit très fort, avec cette queue dans la bouche, se met maintenant à trembler des jambes, à serrer les draps dans ses poings, puis s'immobilise d'un coup, dans le bruit de sa baise et des frotis mouillés de sa chatte

PSSSSITT

elle gicle.

MMMMRRRHHHHH

elle râle de plaisir bien trop grand pour tenir encore à quattre pattes.

Les hommes la tiennent en place.

Pppppsssssssiiiittt

Elle re gicle, innondant les draps.

Elle s'agrippe partout maintenant, perdant le contrôle de ses membres.

Ses amants la tiennent fermement, l'immobilisent de force.

Elle jouit.

Elle ne fait plus de bruit.

Elle se débat, possédée par l'orgasme, retenue par ses détracteurs, qui ne s'arrêtent pas de la.baiser et de la frotter énergiquement

''AH TU JOUIS HEIN?!

VAZY SALOPE JOUIS, JOUIS COMME UNE SALOPE''

Charlène convulse, désemparée, impuissante, incapable de sortir des bras de ses tortionnaires.

Puis ils la lâchent, tremblante, essoufflée, inanimée, sur les draps froissés et

mouillés.

Léo s'allonge contre elle.

Il la serre dans ses bras.

Il l'embrasse sur les cheveux, et la berce un moment.

Les fornicateurs s'allongent eux aussi fatigués, de chaque côté du couple.

Tous reprennent leur souffle.

Après quelques instants, un grosse queue métis apparaît dans le champs de visions de Leo. John s'est allongé tout près d'eux, encore affamé.

Il lâche doucement sa femme, qui se relève, péniblement, fourbue, la tête dans les nuages.

Pierre se rapproche également d'eux, et pose une main sur la hanche de Charlène.

Quelques moments après, le couple a pris place .

Chacun allongé, ils sucent l'un à côté de l'autre, leur queue respective, langoureusement, amoureusement.

Ils se regardent, montant et descendant sur ces verges épaisses et dures. Ils les branlent, les yeux dans les yeux, bavent dessus, comme pris au jeu de qui sucera le mieux. Ils sucent, bruyamment, rapidement, la tête de Charlène monte et descend, faisant voler ses cheveux, sa gorge déployée. Leo se délecte, le moment est magique, cristalin, si excitant.

''oh bébé ''

Lâche-t-il entre deux lampée sur le frein de Jonh, avant de sucer fortement et profondément

''mon cœur je t'aime ''

Lui répond sa femme qui branle Pierre, dégoulinant de sa salive, sa petite main serrée sur l'imposant diamètre.

Ils tendent le coup pour s'embrasser,

tendrement, un instant, amoureux, puis reprennent leur festin phallique.

La dégustation dure quelques minutes,

Puis, reprenant son souffle après une longue gorge profonde,

Leo se voit soulevé pour être mis debout, dans la chambre d'hôtel, une claque sur la fesse qui lui arrache un petit cri.

Pierre l'accompagne par la nuque et le guide fermement face à une table, le plaque contre celle ci, le forçant à se pencher et prendre appui sur ses bras.

Il lui embrasse le dos. Encore et encore.

Leo ferme les yeux et déguste l'instant :

Son amant le caresse, le ventre, les épaules, le dos, la poitrine, le griffe, descend sur se hanches, électrique, ses cuisses. Leo se met instinctivement sur la pointe des pieds et se cambre, comme marabouté par la sensation qui l'envahit.

Il sent les larges mains glisser sur sa peau, baladeuses, il sent le souffle sur la peau

de son dos, qui descend, descend, sur ses lombaires, puis ses fesses, Leo respire rapidement, sous adrénaline.

Ses fesses rebondies et douces sont écartées délicatement, une sensation de fraîcheur le gagne, il se cambre un peu plus, ferme les yeux, il sent ce souffle l'eplorer de très près.... Coup de langue.

Éclair dans tout le corps. Pierre lui embrasse les fesses, les masses, les claque. les embrasse de toute sa bouche, les lèche, les pince.

Puis, écartant le petit cul de sa proie abandonnée à ses envies, il lèche vers la petite fleur rose et lisse, invitante et lubrique de Leo.

Il trassaille. Il soupire et gémit de plaisir. C'est si bon. Sa langue commence sa fouille insolente. C'est divin.

Elle passe, repasse, dure et mobile, humide et chaude, sur son petit trou serré qui commence déjà à se détendre et se

contracter de temps en temps. Les fesses écartées, sur la pointe des pieds penché sur la table, Leo savoure le moment, yeux clos, le visage contracté de plaisir, la mâchoire ouverte, reflet de son lâcher prise face aux assauts de cet homme qui le désire ardemment et patiemment.

Il se tortille. Il accentue les passages de cette langue sur sa fleur intime, qui vient maintenant se presser grassement, bougeautant par ondulations contre son intimité. Il sent un doigt glisser à plat le lond de sa petite raie. Il glisse, si agréablement, si chargé d'envie et de promesses. il titille sa petite chatte humide, en même temps que Pierre lui embrasse ses belles fesses. Le doigt téméraire prend lentement de l'angle. Il le sent se presser. Se presser contre son petit trou fermé. Il coulisse imperceptiblement, lui enfonce sa fleur.

Pierre laisse couler de la salive sur son

doigt, toujours en présentation devant l'orifice convoité. Lui écartant le cul de l'autre main, il presse son doigt. Il s'enfonce. Tout doucement. Léo le sent rentrer, millimètres par millimètres.

Hhhhhhhhhhh

Il laisse échapper un soupir de plaisir soumis, en sentant les phalanges passer sa porte de derrière. C'est délicieux. C'est si coupable.

Le doigt est rentré. Chaud. Dur. Épais.

Léo se tortille contre son gré, pour mieux sentir cette pénétration.

Pierre se retire. Pui re rentre. Doucement il le doigte, il bouge son doigt et le plie dans les profondeurs accueillantes de ce jeune cul.

Leo râle de plaisir. Il adore ça. Il se sent envahi, offert, et le mieux, c'est que ça n'a même pas encore commencé. Les yeux fermés il se concentre sur ce qu'il se passe en lui, il savoure.

Un deuxième doigt se présente.

Baveux, il fraie son passage en enfonçant et écartant sa petite fleur qui commence à s'élargir, docile, fébrile.

''oh putain..''

Leo se laisse peser sur la table, immobile, soumis à son élargissement en cours.

La sensation le gagne de se faire écarter de l'intérieur. Ça fait un peu mal au début, puis ça se transforme en sensation étrange. Ces deux gros doigts en lui. Qui se plient et se déplient, jouent avec son intimité intérieure, ça y est. Ça devient bon. Pierre sent que Leo se relâche encore plus.

Il le doigte, et verse du lubrifiant sur ses doigts, qui s'enfoncent en lui et prennent contrôle de son trou serré.

Pierre est debout. Il plonge ses doigts dans le jeune homme, qui ne lutte plus, abandonné à son amant, possédé par le plaisir.

3 doigts.

Dans un bruit visqueux, les phalanges écartent le trou agrandi de Leo qui gémit, et se mort la lèvre, annonçant le début de la fin.

Il sent que Pierre enlève se doigts. Soulagement temporaire.

Chaud, veineux, glissant, il sent une colonne se poser, dressée, entre ses fesses. C'est incroyable comme sensation. Elle lui écarte les fesses et se presse au fond de sa raie, à la verticale, si large et épaisse.

Pierre le tease, il fait glisser sa queue sur le cul parfaitement lisse et candide de Léo, qui lui, accompagne souplement ses mouvements en faisant onduler son bassin de manière à amplifier les frottements.

''Oooooh ouiiii.... Oh putain ouiii ''

Le jeu continue, hors du temps, Leo est à fleur de peau, des papillons lui parcourent le ventre, cette queue , cette queue si large

contre lui, contre lui si salope, il est tellement en position délicate, et ce salaud joue avec lui, il le fait vriller. Leo sent une main lui saisir la hanche.

CLAAAC.

L'autre vient de lui asséner une fessée bien sonore sur le cul, qui lui arrache un cri de surprise.

Pierre l'attrape maintenant à deux mains oar les hanches, contre la table, et se presse fortement contre lui, pour entamer des collés serrés contre son cul luisant de lubrifiant. Sa queue est encrassée contre Leo.

Leo n'en peut plus. Il respire fort. Son corps se tortille tout seul. Ça fait plusieurs minutes maintenant. C'est insoutenable.

''Pierre..... Souffle t-il

-Daddy. Le corrige ce dernier.

-Daddy.... S'il-te-plaît.. ''

Il a le souffle court, appuyé les coudes sur la table, son beau corps svelte est cambré,

ses jambes élancées tendues, son cul en l'air, ses courbes féminines attrapées par ces belles grandes mains qui le serrent contre son assaillant, affamé, patient, immense.

Leo grimace de désir et de plaisir.

''Daddy je t'en prie...

-oui? Tu veux me dire quelque chose ma belle?

-Putain...

-avec ton ptit cul là, hein?

-Mhhh oh oui...

-il est beau ce cul là, je le le tapperai bien

-Daddy putain....

-tu veux me dire quelque chose? Répéta Pierre, penché sur un Leo se tortillant,à fleur, sa queue glissant fortement dans sa raie.

-je... J'en peux plus..

-t'en peux Plus de quoi? Hein?

-je ... Je ...

-je quoi?! Tu veux te faire baiser?

-hhhhh...

-j'ai pas bien compris, dit-il en se pressant encore plus contre lui, le saisissant fortement.

-je te veux....

- ahhh, mais encore? Tu veux quoi?

-je... Je veux ta queue...''

À ses propres mots, Leo senti une nouvelle vague de papillons dans son ventre, des frissons lui parcoururent le corps, son cœur battait maintenant à toute allure dans sa poitrine.

"Tu veux ma queue hein? Tu veux que je te la mette hein?

-oh oui putain!...

-tu veux que je te baise hein?!

-putain Daddy oui

- je vais te baiser le cul ma salope, dit-il en entamant des petits coups de reins contre son cul, qui firent des petits claquement humides.

-oh oui putain-

-je vais t'attraper et te baiser comme une salope, baiser ton petit cul de pute qui me fait de l'oeil depuis la première fois que je t'ai vue, salope.

-je suis à toi... Leo parlait avec une petite voix, sa tête lui tournait, c'était surréaliste, divin.

-tu vas te prendre une bonne queue dans ta petite chatte

CLACCCC

-HAAN''

Sans tarder, le fornicateur saisit sa queue dure et dressée, et la pressa contre la fleur de Leo.

C'était large. Chaud. À souhait.

Plus il s'appuyait, plus c'était démesurément large.

''putain il va me baiser'' pensa Leo, immobilisé contre la table, ce large calibre progressant contre son petit trou.

Il s'appuya encore, innarretable. Il n'était

pas encore dedans. Il senti la petite chatte s'ouvrir tout doucement.

Leo se senti ouvert de l'intérieur, soudainement, envahi, écarté.

Son gland était en lui.

Leo, la bouche grande ouverte, se tenait une fesse écartée pour faciliter son invasion intime. Il respira fort en riant légèrement de surprise, de soulagement et je bonheur quand ce gland qu'il pensait trop gros le baisa pour la première fois.

Puis Pierre s'enfonça en lui

''ouuuuuuuuuuuuhh.....'' soupira Leo

C'était énorme, dur et chaud, mais qu'est ce que ça glissait bien. C'est si remplissant. il sentit cette masse en lui, intrusive et délicieuse, lui masser grassement l'intérieur.

''oh Daddy

-ahhhh c'est bon d'être dans ta chatte ma petite pute

-oh oui, lança Leo en se retournant pour le regarder docilement dans les yeux,

planant, transporté, ailleurs, comme sur une autre planète .

-voilaaa bébé, c'est bieeen.

-putain tu me baises

-oui je te baise, je te baise le cul ma douce, maintenant cambre toi plus petite salope.''

Pendant ce temps Charlène était en train d'embrasser John, élancée dans ses bras musclés, elle prenait son temps, longuement, elle savourait ses baisers, passait ses mains sur son visage, ses cheveux, son large dos.

"Mhhh t'es tellement belle'' lui murmura t-il

''t'es si douce bébé

-oh John ...

-c'est quoi ces seins d'amour là... Dit-il en pressant l'un d'eux. Elle l'embrassa tendrement.

-oh John, oh oui...

Elle se tortillait contre lui, à fleur de peau.

-t'es une sacrée petite femme toi... J'ai

terriblement envie de te faire du bien..

-... J'ai envie de toi....

Il se regardèrent dans les yeux, pui s'embrassèrent, langoureusement, respirant fort, leurs mains se perdant sur leurs corps...

John la souleva pour l'allonger sur le lit et lui écarta les jambes.

Il se pencha sur elle, et l'embrassa de nouveau, pour descendre sur son cou, ses sein, qu'il lécha et titilla quelques instants, les pressant dans sa bouche, puis continua ses baisers sur son ventre et poursuivit sa descente.

''-oh bébé... Oh bébé... Oh bébé.... Oh oui''

Lui souffla Charlène, qui commençaient à sentir des frissons d'excitation dans tout le corps.