Franchir Le Pas

BÊTA PUBLIQUE

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Pourtant parfois il se prend à imaginer donner Charlène en pâture à un mâle,

devant lui, et la voir se faire prendre, par une autre queue, pour prendre un plaisir different, comme volé. Il s'imagine le plaisir qu'elle aurait à se faire laisser aller si basiquement, si bestialement. Elle aurait de l'appréhension au début, mais guidée, il est sûr qu'elle prendrait goût à ce scénario, qui restera un autre scénario kink de leur couple et non un adultère en douce.

Charlène veut goûter à ce jeu.

''ca va toi?"

S'aventure Charlène, tandis que le couple grimpe les escaliers de l'hôtel, silencieux.

"Oui mon cœur, vraiment. Et toi?

-J'ai un peu le trac...

mais j'avoue que le vin de ce soir m'aide beaucoup haha''

La chambre d'hôtel est immense. Il y a

deux pièces et une grande salle de bain. Du plafond affleurent de magnifiques poutres apparentes auxquelles est accroché un immense miroir dans la chambre. Le mur de la chambre est également orné d'un autre miroir tout aussi grand.

Les lumières sont tamisées.

Leo et Charlène le savent, déjà deux personnes sont dans la suite d'hôtel.

Ce sont deux hommes, la trentaine, que l'on appelera les fornicateurs : ils ont été recrutés soigneusement sur le site, et sont là pour jouer le jeu: ils ont reçu des instructions très précises sur le scénario. Leo à tout répété avec eux, une véritable chorégraphie est à l'œuvre.

Leo et Charlène sont d'autant plus silencieux, le trac les gagne. Ils sont visiblement seuls, mais ce n'est qu'une

impression, leurs invités sont cachés, dissimulés dans l'appartement, prêts à rentrer en scène au signal.

Charlène s'asseoit sur le lit, Leo ouvre une bouteille, et mets de la musique sur la sono de la chambre.

Il lui sourit, pour la rassurer, s'assied à côté d'elle et lui tend un verre : '' tout va être délicieux tu va voir''

il l'embrasse. Le vin est délicieux, effectivement. Charlène ne lésine pas et passe son trac en levant un peu le coude.

Elle se sent partir un peu, Léo lui caresse la cuisse en l'embrasse, longuement, il passe une main électrique sous sa robe, et la caresse, si délicatement et adroitement comme il sait si bien faire.

Charlène se sent rassurée. À l'aise même. Les secondes passent, elle se sent

carrément excitée,

'' tu vas tellement te faire baiser''

Le cap est passé. Elle lâche prise. elle laisse tomber son verre vide, et enlace brusquement son cou pour l'embrasser.

Il enfonce sa langue dans sa bouche, ses mains se perdent sous sa jupe, se cheveux, il lui embrasse le cou, les oreilles, durant quelques minutes torrides.

.

Il arrête.

Il la met debout, et se rasseoit.

Le fornicateur s'approche, masqué, silencieux, immense, rasé, en sous vêtements, musclé. À peine douché, il sent bon d'ici.

Charlène paraît si frêle à côté de lui, si pâle.

Elle reste plantée là, encore en train de regarder son homme qui lui, assiste à cette scène hors du temps.

Le fornicateur saisit Charlène par la taille, et dans le même mouvement, sans prévenir, il l'embrasse langoureusement, une main sur sa nuque.

C'est un choc.

Il est en train de rouler une pelle à sa chérie.

''c'est en train de se passer', ça y est' pense-t-elle.

Pierre, l'autre fornicateur, apparaît de la seconde pièce, et les rejoint.

Charlène se retrouve, sans même réaliser encore ce qu'il se passe, dans les bras de

son nouvel amant. Ses amants.

Elle n'a pas eu le temps de bien les voir. Ils sont là uniquement pour ce qu'elle imagine, il n'y a pas eu besoin de s'attarder sur eux. Elle sent juste que le premier à de gros bras, une belle mâchoire, un large dos... Et franchement sa large bouche a un goût délicieux.

Les papillons volent dans son ventre, déroutés.

Elle lâche un peu plus prise.

Elle passe ses bras autour de lui, toujours en l'embrassant, elle ose s'aventurer un peu plus.

Sa tête tourne un peu. Est-ce le vin?

Est-ce ce sentiment de faire quelque chose d'interdit, mêlé de plaisir? C'est dur de chasser complètement sa conscience. ''je suis en train d'embrasser un autre

homme. Devant mon homme.''

Elle s'y était préparée, mais le fait d'y être, c'est si étrange. C'est comme elle devait faire pencher la balance entre '' arrête, c'est de la folie, on s'est trompé, on ne se rendait pas compte'' et ''let's go, baise ce beau métis, montre à ton homme comment tu sais t'envoyer en l'air avec ce mec''

Elle sent, invariablement, une dureté contre son ventre.

''je crois qu'elle est sacrément belle '' pense-t-elle, non sans une once d'excitation encore coupable, en sentant cette bosse large et chaude contre elle.

Elle a un flash de ce qui pourrait s'y cacher.

Papillons dans le ventre.

Dans l'espace d'une seconde, par réflexe, elle réprouve cette pensée.

Puis elle réalise '' je suis là pour ça, je dois me lâcher. Oh et puis merde, Charlène arrête de penser!''

Elle embrasse son amant encore plus fort, en lui caressant les fesses, se serre contre lui, elle respire fort, l'adrénaline monte, le moment est fou, elle ne réfléchit plus.

La balance penche.

Leo regarde les deux éphèbes peloter sa femme, qui, de plus en plus excitée, se tortille.

Ils lui soulèvent sa robe, la touchent, l'embrassent partout.

Elle respire fortement, s'accroche à leurs cous, se colle à leurs paquets.

La scène lui fait tourner la tête.

Charlène est en proie aux deux fornicateurs.

Son cœur bat fort, c'est son nouveau

comme excitation, ça se passe devant lui, c'est surréaliste.

Puis, doucement, elle se met à genoux, et regarde Leo. Elle caresse un de ses convoiteurs, les cuisses, le ventre, elle pose sa tête à côté de son intimité, déjà visiblement grosse sous son boxer.

Elle les caresse à travers le fin tissu, ces bosses dangereuses, à plein main, tu bout des ongles elle les griffe, les pinces délicatement, les jauges, les soulève.

Puis elle s'agrippe à l'élastique du boxer de Jonh, l'un des fornicateurs, qui attend patiemment, sa grande main sur la tête de cette femme toute pâle. Métis, 1m93, musclé, il porte un masque noir, aux allures de soirée incognito.

Charlène glisse ses doigts par dessus

l'élastique, sa bouche embrasse le membre à travers le caleçon, elle le sent bouger, elle le mordille, s'y frotte, l'embrasse encore, et commence à baisser délicatement le sous vêtement.

Léo observe, le cœur battant, troublé par ce qui est en train de se passer : des papillons d'adrénaline parcourent son ventre.

C'est bien en train de se passer, ça y est. La scène est hors du temps.

Il est fasciné, il se laisse porter dans la pente de cet étrange plaisir. C'est lubrique.

John caresse la tête de Charlène pour la rassurer, d'une main bienveillante mais intentionnée. Elle, continue de baisser son boxer.

L'aine se dévoile, la base de la queue se dessine, veineuse, large et sombre.

Charlène regarde de près son geste.

Le membre se dévoile, nu, enorme, gonflé, au fur et à mesure qu'elle descend le caleçon.

Tout son appareil est à nu, et quand elle le dévoile complètement, la queue saute dans sa position normale, libérée, encore en train de se gonfler, près du visage de Charlène.

Il est si gros. Si inconnu. Si troublant. Il fait plus de 20 cm c'est sûr, et le gland est large comme 3 doigts.

Des milliers de pensées cherchent à émerger dans sa tête. La balance.

Leo se touche. Il doit se toucher.

Cette expérience, on ne peut pleinement l'apprécier que si la bascule se fait en soi, il doit lâcher prise, passer un cap, et là, on rentre dans un monde exotique de plaisir

si intense. Il doit passer cette porte pour entrer dans ce multivers où sa femme se fait baiser devant lui pour leur plus grand bonheur. Alors, lentement il glisse et lâche prise, c'est comme s'il était sous l'emprise d'une drogue dont il commençait à sentir les effets.

Voir le précieux visage de sa femme, si proche d'un membre viril, aussi gros et insolent, le rend tout chose, tout excité.

'''quelle salope''

ça y est, il ne réfléchit plus lui non plus, il cède à l'excitation coupable, et se touche, lentement, devant cette scène obscène, absolument jouissive pour tout son être.

Tel un roi captif, qui regarde sa reine se faire violenter par deux golgoths, et y prendre du plaisir. C'est le plaisir paradoxal, dur à atteindre, pervers et si délicieux.

Charlène se lance en saisissant une queue dans sa main délicate. Sa main blanche ne fait pas le tour de l'engin, sombre et massif sous ses doigts.

Les yeux clos, au ralenti, elle approche sa bouche, mi ouverte. Elle gobe tout doucement en gémissant ce gland large.

Elle goûte cette queue, nouvelle, irréelle, fruit défendu plus défendu.

Leo a une nouvelle bouffée de papillons dans le ventre.

Charlène branle ses interlocuteurs maintenant, et les suce, de plus en plus bruyamment, accroupie.

C'est elle qui mène la danse.

Elle ne met pas longtemps à oublier son

mari, et fixe John et Pierre dans les yeux à mesure qu'elle suce de plus en plus profondément.

Il la regarde sucer deux queues, longuement, se délecter, elle fixe les fornicateurs dans les yeux et prends tout son plaisir à offrir sa bouche, sa bave, sa gorge, ses seins.

Ses cheveux au carré se balancent sous ses va et vients, ses bracelets tintent, le collier en forme de cœur que Léo lui a offert se balance sous sa gorge et cet appareil masculin, innocent, contrastant avec la scène.

Elle fait du bruit en suçant, elle aspire, s'empale profondément, tousse, crache, gémit, en bougeant sa tête dans des mouvements calculés pour un maximum d'effet avec sa bouche fraîche au goût de vin.

Leo se lève.

Il s'approche, regarde de plus prêt, comme invisible, ce film porno dans lequel sa femme joue, joue le rôle de salope.

Il la regarde, ses si beaux yeux, ses précieuses lèvres qui épousent les contours de cette large queue, ce beau visage qui se souille en se pénétrant sans ménagement d'un membre obscène.

Elle est satisfaite, de surcroit. Elle aime ce qui se passe, elle grogne de satisfaction.

Elle lèche, bave, gobe, suce, branle

Elle passe de l'un à l'autre, déchaînant toute ses compétences, à en faire grogner ses amants de délice. Parfois elle les branle en même temps, colle les glands pour les suçoter ensemble, puis reprends ses gorges profondes.

Sa délicatesse s'en va, ses manières de princesse s'évanouissent pour se défouler dans cette scène porno à laquelle elle

abandonne toute pudeur.

Il se joint à elle.

Lentement il s'agenouille pour rentrer dans le film.

Timide, le cœur battant, il commence par tenir la tête de sa femme par les cheveux pour la faire sucer. Elle se plie à l'exercice.

Les bruits de sa gorge sur ces bites l'excite. La voir s'abandonner à la luxure la plus basse l'excite doublement. Il voit ces membres veineux s'enfoncer sauvagement dans sa belle bouche délicate, sa salive commence à les inonder, à couler, tomber, elle tourne sa langue autour, elle s'empale la gorge, elle gémit, elle suce bruyamment. Elle aime ça putain. Qu'est-ce ça l'excite.

Puis elle prend une pause, respire un grand coup, un épais fil de salive la liant à la

dernière bite qu'elle vient d'enfoncer dans sa gorge.

Elle regarde Leo, lui attrape le visage tout doucement. Ses mains sont trempées, légèrement parfumées.

Elle l'embrasse, toute baveuse :

"je t'aime..

-je t'aime mon cœur''

Le baiser est long, dégoulinant, les langues ne tardent pas à se mêler, Leo goute le petit goût de ce qui a abusé de la bouche de sa femme, et qui va bientôt abuser de lui. Décidément il enchaîne les nouvelles expériences, et l'adrénaline danse la java dans son ventre, sa tête. Tout va si vite. Tout a cette saveur si étrange de plus en plus excitante. ''Putain mais c'est vraiment en train de se passer.''

Il se replace à côté d'elle, le petit groupe se reforme autour d'eux.

Charlène, une queue à la main, lui prend la main et la pose sur celle-ci.

C'est chaud, c'est gros, pense-t-il. Un léger dégoût le traverse un instant.

Puis, en le regardant, elle sucote le bout, quelques secondes, et ferme les yeux.

Quand elle les rouvre, elle s'adresse à Leo

: ''prends ton temps mon cœur '' dit-elle en léchant toute la longueur de cette verge.

Leo se lance.

Son cœur bat fort.

Il hésite.

Son cœur balance.

Le veut-il vraiment?

C'était cool de faire ça avec des godes, mais là c'est si réel, c'est des gens, de vrais gens, des vraies queue.

Je vais sucer une queue.

Charlène lui saisit délicatement la mâchoire : ''fais le pour moi, avec moi.''

Leo approche, bouche fermée, il n'ose pas regarder en haut. Le gland est tout proche, énorme, luisant, battant de désir.

Un coup de langue.

Puis deux.

''C'est bon ...''

Il se lance, son cœur bat à toute vitesse.

Il sucote le bout.

Il se saisit de la verge et s'enfonce de toute sa bouche.

'' ohhh bébé....'' Charlène est fière de lui..

Il prends plaisir, c'est bon, il est lâché, il se délecte, il joue avec adresse avec sa langue, le cœur encore battant, la tête qui tourne, il se donne, pense à ne pas mettre

les dents et bien aspirer. Il se sent de plus en plus à l'aise. Les premiers bruits de succion surviennent. John grogne de plaisir.

Il redonne la main à sa femme et passe sur l'autre queue. Cette fois il regarde Pierre dans les yeux. Ça y est. Ça l'excite. Enfin il suce un bonne queue, une vraie, pas un gode en plastique. Il la goûte, il la lèche dans sa bouche, il l'enfonce dans sa gorge: une fois. Deux fois, puis il la presse bien au fond, pour qu'elle rentre vraiment dans sa gorge, quelques secondes.

''bordel je suis en train de sucer''

Elle l'accompagne, le regarde, lui parle tout bas pendant son offrande, le caresse, lui ramasse sa salive, l'aide à branler, le biffle, suce avec lui, durant de longues minutes.

Puis il se met à quatre pattes, John s'allonge jambes écartées, pour se faire sucer par Leo.

Charlène lèche la chatte toute prête et lisse de son homme cambré qui gémit, qui se tortille, qui bande mouillé: se faire lécher le rend complètement folle, il lache prise, il n'en peut plus de désir, sa raison l'abandonne: c'est parti.

L'autre fornicateur Pierre lèche la chatte de Charlène, grassement, puis, après l'avoir bien goûtée, prend la relève, de sa grosse langue, et lèche Leo encore et encore, Leo n'en peut plus, il sent cette langue et ce souffle sur son cul pendant qu'il suce.

C'est un rêve éveillé, la culpabilité et l'appréhension se noie dans le plaisir le plus intense qu'il ait connu.

Un doigt s'avance, s'appuie contre son

trou, impatient. Il le pénètre dans un éclair de soulagement intense, puis ressort pour s'enfoncer dans la bouche de Charlène, puis deux doigts, au fond de sa gorge, elle tousse, elle bave, elle crache lorsqu'il les enlève.

Leo se fait doigter, délicatement, Charlène saisit le lubrifiant réchauffé préalablement, et approche la bouteille de la chatte de son homme. Elle appuie longuement pour le remplir de liquide chaud et visqueux, dans un soupir de plaisir intense...

Pierre se présente, dur, doux, déterminé, et presse son gros gland contre le trou de Leo qui lui, se tortille pour l'aider, il a arrêté de sucer, concentré sur ce nouveau plaisir qui le prend.

Il tremble, il hésite, son cul resiste, le lubrifiant coule de son trou qui se contracte et se relâche, il sent les gouttes chaudes couler le long de ses couilles.

Pierre le tient fermement d'une main, et guide son membre de l'autre, vers son entrée pudique.

Quel sensation si agréable et perverse de sentir ses mains sur ses hanches, fermes, mal intentionnées.

Il sent l'organe glisser entre ses fesses, chaudement, si facilement, c'est à devenir fou. De temps en temps il retente une entrée sur sa petite fleur rose, patiemment.

Son cul cède au ralenti.

il rentre.

Il est en lui.

Chaud.

Dur.

Large.

Si Vivant.

Leo a la bouche grande ouverte dans ce moment hors du temps, ou il devient soumis pour de bon, et où ses sens

explosent.

Charlène vient le complimenter tout bas et le rassurer pendant les premiers va et vient.

Il sent le membre vivre en lui, glisser, coulisser, s'enfoncer, l'ecarter, le baiser.

Et ces mains qui le maintiennent.... C'est exquis de les sentir l'attraper pour le prendre en levrette.

''je me fais baiser''

Il serre les dents de plaisir, se mort les lèvres, et se retourne pour observer ce qu'il se passe. Aussitôt une main lui saisit les cheveux pour l'empêcher de bouger.

Ça y est.

Il se fait baiser, à quattre pattes. Comme une pute.

Charlène l'embrasse. Encore et encore,

pendant que John se place derrière elle.

Elle lui dit je t'aime, derrière lui des mains l'agrippent et le secouent, le malmènent.

La sensation est tellement nouvelle et indescriptible, des couilles frappant les siennes à chaque à-coup. C'est si sexy.

Charlène se retourne à quatre pattes également, face à son homme. Elle sent les mains de john qui l'attrapent.

Éclair d'adrénaline quand elle sent le contact du bout de sa queue contre sa chatte, ruisselante de désir.

Il se frotte de plus en plus profondément contre ses lèvres, frotte son clitoris, joue avec elle. Devant elle ça claque: son homme prend maintenant de grands coups de rein et est en transe. Il serre les draps dans ses poings et son visage se crispe de plaisir. Elle

mouille encore plus devant cette scène : à sa gauche, le grand miroir lui renvoie un plan général de ce qu'il se passe. Elle voit

son homme cambré, qui prend son pied, qui bande , se fait attraper et baiser, si beau, si sexy, si incroyable. Elle voit les mains basanées sur ses hanches, et c'est là qu'elle sent, large, chaud, immense, cette queue la pénétrer au ralenti, l'écarter, lui remplir grassement sa chatte.

Elle inspire de surprise.

Elle n'avait pas prévu que ce serait aussi gros.

Aussi bon.

La bouche ouverte, les yeux grand ouverts, elle serre ses poings sur les draps, juste à côté de ceux de son mari, qui lui est secoué bruyamment, et gémit sans retenue.

John lui saisit les cheveux d'une poigne.

Il commence à la baiser. Doucement. À mi longueur. Puis il accélère, il continue quelques temps. Il lui claque le cul. C'est si bon. Encore. Encore.

Et d'un coup, au milieu de va et vients, il s'enfonce de toute sa longueur.

Charlène sent ses jambes prises d'un bref tremblement.

Putain c'est incroyable.

Il reprend son rythme de croisière, modeste dans sa longueur, entrecoupé de coups jusqu'à la garde.

Après plus de 5 minutes,

John se lance, finit les présentations. Il entame un rythme endiablé, 3 coups de reins par seconde, de toute sa longueur.

Charlène crie

OUI! OUI! OUI! OUI!

Ça claque fort, elle se fait secouer violement, en elle elle sent que tout est baisé à répétition par ce tronc.

OUI PUTAIN BAISE MOI

elle serre les dents, ses seins sont secoués au rythme des violentes secousses, Leo n'en peut plus, c'est si sexy. Elle est tellement magnifique.

''t'aimes ça hein salope?!" Lui lache t il, secoué lui aussi, mais plus voluptueusement.

T'aimes ça te faire baiser comme une pute hein??? Baise cette queue, vazy, salope va!

-oh oui putttttain c'est trop boooooon. Han han, toi aussi ptite pute hein?

- c'est si bon de se faire baiser avec toi bébé

- oh bébé han je t'aime, je t'aime je t'aime aaaaaaaaan

- je t'aime tellement fort mon cœur, je veux te voir jouir comme une chienne''

Ils s'embrassent tant bien que mal sous les secousses, s'attapent le visage, mêlent

leurs langues savoureuses, ils respirent fort, sous les va et vient.

''Mon amour...'' lache Leo avant de reprendre son souffle.

Ils profitent, ouverts, pénétrés, toute salopes. Charlène se met à donner des coups de cul au rythme de son amant, pour encore plus se faire démonter.

Leo se lubrifie en même temps, il se fait attraper les bras, et Pierre le fesse, à plusieurs reprises.