Franchir Le Pas

BÊTA PUBLIQUE

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''Petite pute!'' lache son baiseur

"- oh oui! Oh oui putain, je suis ta pute

-t'aimes ça te faire baiser hein, salope!

- putain je suis ta chienne, oh oui

-avec ton ptit cul là, j'adore ton p'tit cul de salope.

Leo peine à parler sous les secousses

-ah oui?! Tu veux le baiser hein?! Ça t'excite

-prends ça grosse pute '' Pierre lui assène

un coup violent de bassin qui secoue Leo d'un coup sec et violent, très bruyant et humide.

"AHHH""

Leo lache un cri de détresse charnelle, le yeux au ciel. Le cheveux tirés en arrière, il se voit dans le miroir du plafond: son petit cul cambré, qa taulle fine, sa femme à quattre pattes qui hurle de plaisir comme jamais sous cet étalon. C'est un chef d'oeuvre de sexe qu'il voit.

Cette queue qui sort et sui rentre si aisément. Ces bras qui le manipulent, sa queue qui bat contre son ventre, dure, ses couilles qui se font percuter à tout va.

Le plaisir en lui ne fait que monter. C'est incroyablement bon et salace.

Les fornicateurs se retirent essoufflés transpirant, les chattes du jeune couple flatulent, gavées de coups de reins.

Leo va chercher de l'eau, avec le tournis.

Il revient, tout le monde boit un coup d'eau fraîche.

Leo tend le verre d'eau glacée à sa chérie, et l'embrasse. Il boivent d'une traite.

Il l'embrasse encore, leurs lèvres sont toute froides.

Puis leo se repositionne, en reprenant son souffle. Il est a genoux par terre, le buste à plat ventre sur le lit.

Il attrape les chevilles tremblantes de sa femme, la tire vers lui, et lui ecarte le cuisse. Il lèche Charlène jambes écartées, lui rafraîchit la chatte éprouvée, de sa langue et ses lèvres toutes fraîches. Délicatement avec sa langue il l'honore, la lèche, tourbillonne, grassement, juste avec le bout. Le contraste de température rend la chose d'autant plus savoureuse.

John se met au dessus d'elle. Elle le guide, ses mains pâles sur ses cuisses puissante.

Il met sa queue dans sa belle bouche.

Il commence des va et vient bien mérités.

Ça y est, elle se fait baiser la bouche.

Le long de son ventre courent les mains électriques de son homme, qui la dévore fraîchement d'en bas, et joue avec ses seins, ses hanches, son clitoris, son ventre, ses fesses.

Derrière lui, Pierre se met un genou en terre.

Leo sent sa main en bas de son dos.

Éclair dans son corps.

Son cul se cambre instinctivement.

Il sent son gland se poser sur son cul.

Puis, rentrer en lui, sans effort.

Il gémit, le visage dans l'intimité de sa femme, il redouble d'efforts à aspirer, lécher, doigter, frotter, faire tourner sa langue, lécher et lécher encore dans les moindre recoins, deux puis trois doigts dans la chatte de Charlène, trempée.

Le bruit du claquement de Pierre contre son cul est accompagné des bruits de gorge de sa douce

Les mains bloquées par John, sa gorge lui sert de défouloir . Parfois il se retire, toujours en lui bloquant les poignets sur le matelas d'une main, au dessus de sa tête, elle respire, baveuse, son maquillage coule, elle tire la langue, lubrique. Il plonge, ressort, replonge, ressort, il tappote sa grosse bite sur ses lèvres.

''mhh t'aimes ça sucer une bonne queue hein...

-mmhhh!..." Rétorque Charlène la bouche pleine, sur l'intonation la plus coquine qui

soit.

''bonne salope, suce moi, suce moi bien la queue''

Puis il s'enfonce progressivement et commence à lui baiser littéralement la bouche, dans des bruits obscènes d'une gorge de salope malmenée.

Après quelques minutes, chacun cesse son manège de luxure. Le couple s'allonge sur le lit, reboit un coup d'eau

''oh bébé c'est trop bon, dit Leo

-mon cœur je t'aime tellement si tu savais

-je t'aime si fort mon amour ''

Ils s'embrassent tendrement, pendant que John poursuit la joyeuse chorégraphie :

Il s'allonge, sur le dos, échange deux trois mots avec Pierre, qui vient s'allonger derrière Leo, en posant une main suson

épaule. Leo sent sa peau se hérisser face à ce toucher, encore si nouveau et excitant pour lui. C'est électrique, pense-t-il.

Leo est couché sur le côté, Pierre en cuillère derrière lui le caresse, se frotte contre son cul. Leo sent son cœur battre fort dans sa poitrine.

Pendant ce temps, Charlène, guidée par John qui pose ses mains sur elle, se met à cheval sur lui, dos à lui.

Elle se mort la lèvre en atterissant tout doucement sur sa grosse queue, ses mains sur ses cuisses, et commence à onduler sur lui, la faisant coulisser entre ses lèvres humides et chaudes.

À côté, Leo se fait peloter par Pierre. Il se fait embrasser dans le cou, les oreilles. C'est tout nouveau, mais il sait maintenant comment lâcher prise, il goûte à cette domination douce, à cette position de femme. C'est terriblement bon et si mal.

Il ferme les yeux, s'allonge sur le côté, les mains lui caressent le torse, grandes et douces, lui caressent la gorge, la presse gentilment, en même temps qu'il sent un souffle et un baiser sous son oreille. Ouis tout une série de baisers viennent le couvrir. Les mains lui titillent les tétons, lui qui y est si sensible. Sans réfléchir, Leo laisse parler son corps: sa main vient se poser sur le visage derrière lui, dur, viril, puis descend sur la main qui le caresse, et tout deux se dirigent , dans un léchage d'oreille, vers sa queue.

Il se cambre contre Pierre et souffle de plaisir.

Les doigts lui caressent délicatement les couilles, c'est extrêmement sensible, à fleur, il sursaute légèrement au premier toucher. Leo s'agrippe à la tête de son amant derrière lui, qui ne cesse de l'embrasser dans le cou. C'est divin. Juste divin. Indescriptible cette sensation d'appartenir et de se laisser peloter par ce

beau mâle qui le désire ardemment et patiemment.

Leo se tortille. Il plie ses jambes et lève son genou pour écarter ses cuisses et mieux se laisser le toucher là.

La main est experte, elle se lance.

Elle fait glisser deux doigts entre ses couilles roses et lisses, Pierre lache un ''Mhhhhh'' grave et profond à son oreille.

Son autre main vient se faufiler sous Leo, et il pose une poigne sur sa gorge, l'étreint légèrement, la griffe doucement, puis caresse son menton, ses joues, ses lèvres, et glisse un doigt dans sa bouche. Il est trop bon. Leo le mordille, le suçote, le visage crispé de désir et de jouissance, en regardant cette autre main en bas, qui lui griffe le ventre. Leo se colle de plus belle contre la barre de Pierre, cambré comme il le fait si bien. Ce dernier le branle maintenant, du bout des doigts, et se frotte à lui, nu, glissant, dur, brûlant.

Leo est en transe. Il le veut. Il ressent l'envie irrépressible de l'avoir en lui, des doigts dans sa bouche.

''C'est ouf d'aimer ça, pense-t-il, putain c'est tellement sexy''

D'une main Pierre soulève la fesse de Leo pour découvrir sa fleur rose.

Il fait couler du lubrifiant tiède sur sa queue et l'en imbibe. Il se présente.

Leo sent cette forme oblongue contre son petit trou, qui s'enfonce, si naturellement et suavement. Il expire longuement, pendant sa rentrée. de nouveau il la sent en lui, dans son ventre, chaude, dure, glissante. Il sent le ventre chaud de Pierre contre ses fesses, qui s'est enfoncé jusqu'à la garde.

La danse commence, Leo sur le côté, une jambe tenue en l'air par la poigne de Pierre, son sexe enfoncé en lui, son autre main tantôt dans ses cheveux, tantôt sur sa gorge, ses tétons, ou dans sa bouche. Leo se fait secouer, ça claque, il gémit, encore

et encore, son amant lui parle à l'oreille, Leo hoche la tête en gémissant pour lui répondre comme il peut, possédé par le plaisir. Il se laisser manipuler de partout, il lui appartient, il le laisse le baiser comme il le souhaite.

Sans prévenir,

Pierre lui tourne la tête et l'embrasse.

Leo met la langue. Il est tout entier à lui.

C'est la première qu'il embrasse un homme.

Il aime ça, il se sent si passif et offert, il le regarde dans les yeux, collé à son visage pendant les secousses, s'accroche à lui. Dans l'ivresse du moment il l'embrasse de lui même, caresse son visage, se prend des doigts dans la bouche, les lèche, les enfonce.

À côté d'eux Charlène s'est empalée sur John, et commence sa chevauchée. Elle saute sur cette colonne de chair et retombe lourdement dessus, pour se baiser comme il se doit. Elle respire fort, c'est tout un sport, elle sent le plaisir monter . Dans le miroir elle se regarde, belle, blanche, fine et gracieuse, angélique, sauter bruyamment sur ce mâle bâti comme un guerrier.

Ses seins percés rebondissent divinement, son cul bougeotte à chaque impact.

''Oh oui, oh putain oui'' lache t elle.

De l'autre côté elle voit son homme offert, une jambe en l'air, si beau, au physique si élégant, enlacé dans les bras de cet homme immense. Son visage est contracté par le plaisir, il gémit à répétition, il est aux anges.

Charlène plane. Elle partage avec lui tellement de plaisir. L'instant est au delà

du torride.

Elle sent Jonh qui se raidit sous elle et prend les choses en main. C'est désormais lui qui la propulse en l'air d'un coup de bassin, la laisse retomber et s'empaler sur sa queue, et la renvoie aussi sec en l'air, avant même qu'elle n'aterrisse, dans un claquement violent.

C'est incroyablement bon.

Il lui attrape les bras par les coudes, les serre fort, et l'immobilise fermement pour mieux contrôler ses coups de bite.

C'est encore meilleur.

Le rythme s'accélère

Charlène crie maintenant à gorge déployée, elle ne se maîtrise plus. Elle se fait baiser si fort, elle se fait secouer sans mercie, dans un bruit à faire trembler les murs. Ses fesses s'écrasent violemment à chaque va et vient avant de redécoller.

''OUI OUI OUI OUIIIII PUTAAAAAAAAAIN

AAAAAAAAH PUTAAAAAAAIN''

Leo la regarde, depuis sa valse plus douce, le pied en l'air et enlacé. Il est amoureux d'elle. Elle est magnifique. Elle kiffe tellement. Elle se fait défoncer, et putain qu'est-ce qu'elle aime ça, putain, c'est torride.

Lui ondule au rythme de la queue de son homme, pour croquer le plaisir encore plus intensément. Son ventre musclé et doux ondule gracieusement, sa belle poitrine est déployée par la cambrure, les bras en l'air qui agrippent son beau baiseur.

Charlène est reposée essoufflée, décoiffée. Elle tremble de partout et gémit, démolie.

John la saisit, et la pose, comme si elle ne pesait rien, à côté de Leo, toujours aux prises de son amant.

Charlène rampe doucement vers le sexe

de Leo, qui bat l'air, brillant, sous les secousses.

Calmement, au plus grand plaisir de son chéri empalé, elle le met fermement dans sa bouche et le suce ardemment, rapidement.

''Raaaaaaah putttttaaaaaaiiiiin ouiii , oui oui oui oui''

Leo se fait sucer et baiser en même temps, sa femme délicate et féminine sur sa queue affamée, et son nouvel amant derrière lui, dominant et doux, qui s'occupe de limer soigneusement son petit cul, qui le corrompt d'un amour de mâle irrésistible.

Leo se prend vouloir d'une queue dans sa bouche. Rien à foutre. Il en veut. C'est tout, pas de questions.

John s'approche, s'agenouille au niveau de sa tête, et lui donne son sexe, pour le détendre. Il grogne de plaisir quand Leo l'aspire dans sa belle bouche. John ne peut s'empêcher de donner quelques coups de

rein, Leo aussitôt ouvre sa bouche, sa gorge, et sent le membre s'enfoncer profondément, écarter sa gorge, le sonder baveusement. C'est lui qui fait des bruits obscènes maintenant.

Ça l'excite tellement.

Pierre lui tient la gorge pendant son viol de bouche, et lui lèche le lobe, le cou. Il le bloque face à cette bite qui lui baise la gorge. Leo émet des gémissements étouffés de satisfaction, et caresse la tête de sa femme qui le suce suavement, puis caresse le cul de son doux baiseur, remonte vers son visage, passe au cul de John, à ses couilles. Il le caresse là, pendant qu'il suce profondément, caressé par Pierre. Il masse ces grosses boules trempées de sa salive, remonte vers cette large verge, la suce soigneusement, la branle.

Il regarde John dans les yeux. Et dans les bruits des plaisirs qui l'entourent, il enfonce toute sa longueur dans sa gorge. Encore. Encore. John lui plaque la tête contre son pubis. Il le garde ainsi quelques secondes, fait battre son gland au fond de sa gorge, et ressort brutalement.

HHHHHHHHHHHH

Leo reprend une grande inspiration, il bave abondamment, il y en a partout, ça coule de son menton par longs fils, ça rejoint la queue de John, ses couilles, ça goutte partout.

C'est si bon, trop bon même

Il pousse doucement Charlène de sa queue et se dégage de Pierre.

C'est trop. Il est sur le point de jouir, il est trop sollicité de partout. Il ne veut pas jouir maintenant.

À genoux, il suce John, qui lui tient la tête.

Il a pris le pli, il arrive à bien l'enfoncer

profondément dans sa jeune gorge, et le suce en le ressortant, sans toucher ses dents. Une idée folle le traverse. Pendant qu'il s'échine à pomper cet homme, il lui vient une envie de plus en plus obsetionnelle: il veut faire jouir cette queue. Il veut le plier à sa volonté et le faire jouir, le contrôler, l'envouter de sa langue et sa gorge, le faire lâcher prise. Il veut sa jouissance. Il veut son lait.

Putain pourquoi c'est aussi bon?

Pendant ce temps Charlène et Pierre ce sont mis à côté du couple d'hommes, spectateurs, voyeurs. Charlène se touche. Il suce si bien. Il est si offert et salope. Il aime tellement ça.

Il le suce rapidement, de ses deux mains, de toute sa bouche, il s'arrête de temps en temps pour le branler fort et étroitement, puis le reprend dans sa bouche trempée, dans un gémissement coquin.

John lui saisit les mains.

Il se recule, haletant.

Frustration.

Il voulait tellement le finir.

Le sentir exploser de plaisir dans sa bouche, terrassé par sa pipe. Le sentir défaillir dans l'orgasme et juter sur ses lèvres.

Il a reprit le contrôle.

Leo a la tête qui tourne.

Tant pis, ce ne sera pas pour cette fois...

La petite équipe se repose un coup, Pierre revient avec de l'eau fraîche. Tous soufflent quelques minutes.

Leo échange un regard avec Charlène, et lui adresse un sourire en coin:

"T'es une sacrée toi hein?"

Charlène s'esclaffe

"Oh tu peux parler toi haha! Je suis presque jalouse de tes compétences !

Il se rapproche d'elle.

- c'était tellement fou de te voir prendre ton

pied comme tu l'as fait. Tu étais tellement, tellement belle mon cœur. Ça me fait si chaud au cœur de te voir prendre tout ce plaisir sans aucune limite, sans complexe.

-oh Leo.... T'es adorable. Je t'aime mon cœur

Ils s'embrassent tendrement.

Et toi, poursuit-elle, tu étais tellement sexy, je t'assure... Tu m'as tellement excitée

-c'est incroyable de pouvoir partager le même plaisir, je me sens encore plus proche de toi mon amour, je me sens toi..

- c'est toi qui es incroyable... C'était tellement bon de te voir autant aimer ça, t'étais dans un autre monde, c'était tellement beau. J'aime trop comment tu es.

-mon cœur je t'aime tellement.

-Leo je t'aime tellement fort si tu savais...

Ils s'embrassèrent en s'allongeant sur le lit. Leo la prit dans ses bras, la serra fort, la carressa. Il pris son visage entre ses

mains pour mieux l'embrasser, pendant qu'elle passait ses mains dans ses cheveux. Leurs corps encore brûlants étaient joints, lisses, doux, ils glissaient amoureusement l'un contre l'autre.

Les fornicateurs s'était absentés, et attendaient dans la pièce voisine, pour leur laisser ce moment d'intimité amoureuse.

Leo alla chercher dans son sac, une paire de chaussettes d'écolière, blanches et rose, qui montent mi cuisse, un choker et une fine chaînette de ventre. Tout celà était pour lui, oui.

Il aimait se sentir féminisé.

Et les deux étalons avaient fait part de leur avide engouement lorsqu'il leur avait envoyé des seflie en petites tenues.

Il prit également pour Charlène un harnais de cuir blanc: deux larges sangles de

cuisse, serrées juste sous les fesses, faisant ressortir celles-ci, reliées par des bandelettes de cuir à une ceinture abdominale ornée, avec 3 sangles de serrage parallèles.

Des talons blancs très hauts remontant jusque sous le genou, un choker blanc, qui lui donnait un air si sexy, avec son carré parfait, ses yeux bleus, ses longues clavicules, ses bras élégants.

En haut, un harnais de poitrine minimaliste, blanc également, qui mettait en valeur ses seins et ses quelques tatouages.

Elle se couvrait d'une simple juppe excessivement courte en vinyle noir, d'une vingtaine de centimètres, qui ne couvrait pour ainsi dire absolument rien.

Ils prirent une douche, et Charlène se remaquilla avant d'enfiler sa tenue.

Elle était divinement belle.

Leo se regarda dans le miroir en faisant sortir sa hanche pour montrer son fessier

''pas mal non?"

Elle lui claqua la fesse sans prévenir, ils rirent

''aguicheuse, va!.... Mais oui, pas mal du tout...''

Leo s'allongea sur le lit, et se mit à l'aise, jambe pliée et bras derrière la tête.

''ENTREZ!"

Des pas se raprocherent de l'entrée de la chambre, Charlène se retourna.

Les deux hommes entrèrent, toujours masqués, et reprirent les choses en mains.

Cette fois John attrapa Leo, qui, sur le dos, inspira de surprise et d'expectative. Le grand métis lui saisit les chevilles et lui souleva les jambes, cul tendu.

Léo pris une position confortable, bras lancés au dessus de sa tête, ses belles jambes en bas sexy en l'air, son choker lui donnant un air de petite salope.

''mmmmh t'es bien bonne toi hein'' lâcha John qui replaçait sa nouvelle proie en la manipulant par les cuisses. Léo se tortilla en le fixant dans les yeux. Il bandait déjà, sa peau bronzée et lisse, ses belles formes d'éphèbe excitaient l'homme qui l'envisageait.

John lui plia les cuisses contre son torse de minet.

Position de faiblesse.

Leo était les pieds en l'air, les jambes contre son torse, les bras au dessus de sa tête, le cul tendu au possible.

Il sentit la situation se corser pour lui, et se mit à respirer fort, d'excitation, d'adrénaline.

Il sentit la grosse queue toucher ses parties

Éclair de sursaut.

Elle continua de glisser, allant venant sur ses petites couilles roses, sur son sexe.

Putain qu'est-ce que c'est excitant.

Il était tout tremblant d'excitation. John continuait de le teaser en faisant glisser grassement sa queue contre ses parties, une mains plaquant chacune des cuisses de Leo vers le bas.

Sa queue descendit chatouiller la raie de Leo, qui se détendit instantanément sous la caresse obscène et agréable.

''Mhhhhhhhh'' lâcha un Leo les yeux clos, concentré sur la sensation de douce torture.

Goutte froide. Petit sursaut.

Charlène versait grossièrement du lubrifiant, frais maintenant, sur le cœur de l'action. Sur la queue en mouvement de John, le long du cul de Leo, ses parties, ses cuisses. Elle reboucha la bouteille et Pierre l'entreprit pendant qu'elle regardait encore son homme se faire teaser la

chatte par cette grosse queue.

Elle se mit à quatre pattes

''oh oui.....'' chuchota-t-elle. Pierre la saisit par le harnais sèchement, puis l'acompagna pour la livrer au même sort contre son membre dur, large, affamé, patient.

''Qu'est-ce que t'es bonne putain'' il ne pu s'empêcher de dire. '' je vais tellement te baiser ma belle

-mhmh? Fit elle coquinement en se cambrant, un peu intimidée

- oh oui petite pute. Empale toi sur ma bite.

Les mots étaient crus, autoritaires, elle ne pouvait faire qu'obéir. C'était excitant.

CLAC

une fessée venue de nulle part lui laissa une marque rougeoyante sur la fesse

''c'est bien, brave fille''

Elle se tortilla, pour essayer de faire rentrer le membre en elle. Elle lachait des petits

gémissements chaque fois qu'elle n'y arrivait pas et que la queue glissait à côté. Elle ouvrit la bouche, de concentration et d'excitation, pour viser juste avec sa chatte.