Franchir Le Pas

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Fous amoureux, ils font le grand plongeon. Aimeront-ils?
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''Quelle belle journée...'' pensa-t-elle.

Charlène arrêta son tour à poterie, et jaugea la pièce qu'elle venait de tourner: un vase élégamment tourné, aux courbes fines et sobres.

De ses doigts agiles et gracieux, elle avait monté la terre humide et claire pour en façonner ce petit bibelot, fruit de ses efforts et de ses entraînements.

Elle retira délicatement la pièce de son socle encore trempé, et la posa tout doucement sur une table, avec ses autres créations.

Sur la route du retour, elle écouta du maneskin, comme à son habitude, le temps de rejoindre son appartement.

Le temps était bon en cette fin de journée d'été, le soleil avait chauffé la région, et un air frais commençait à se lever pour en

appaiser la faune et la flore locale, ravis de ce soulagement.

Léo lui, revenait de chez des amis communs, chez qui il avait passé la journée, et filait chez l'esthéticienne.

Leo et Charlène étaient en couple depuis maintenant 6 mois, épanouis, avec un très bon feeling, beaucoup d'amour : tout bonnement heureux.

Leo était brun, méditerranéen,1m83, très athlétique, aux abdos et muscles saillants sur une peau dorée, des jambes élancées et un fessier rebondi, une allure svelte et gracieuse, avec juste ce qu'il fallait de viril.

Charlène était grande, brune, coupe au carré, très belle, aux yeux d'un bleu sans fond hypnotisant, quelques tâches de

rousseur sur sa peau pâle, de belles lèvres charnues, une dentition de star, un sourire à tomber. Elle avait des petits seins, tout fermes, tout deux percés élégamment, des hanches généreuses et surtout de magnifiques longues jambes bien gainées...

Ils menaient une vie discrète, sans artifice, pleine de bonnes idées l'un pour l'autre, de petites attentions amoureuses, d'activités saines, culturelles où sportives, de sorties au restaurant...

Ils aimaient l'un comme l'autre rencontrer des gens intéressants et calmes, et nourrissent un penchant pour l'honnêteté et la bienveillance.

Charlène était de nature discrète, souriante, de celle qui s'entend avec tout le monde, mais calmement, sincèrement. Elle savait toujours rebondir sur un sujet dans

une conversation, sans en prendre les devants pour autant, et avait de la ressource en terme de culture .

Elle était réservée et n'aimait absolument pas la beauferie, les blagues potaches, les gens trop à l'aise avec les discussions sales, et préférait garder son jardin secret quand il s'agissait de parler de elle. Ça la mettait mal à l'aise de parler de sexe à quelqu'un, à tel point que ça n'arrivait jamais.

Elle peignait à ses heures perdues, sans prétention, de magnifiques œuvres bien à elle, qu'elle gardait pour soi ou pour offrir. Son goût prononcé pour l'art faisaient d'elle une décoratrice d'intérieur hors norme, et avait toujours un oeil averti pour le beau et les compositions décoratives.

Une femme de talent, discrète, cultivée et lumineuse.

Léo était plus bruyant, extravagant, visiblement extraverti, et s'adaptait également dans tout milieu, mais de manière plus active, en suscitant l'intérêt des gens qu'il trouvait lui même intéressant. Il savait donner le sourire à un vendeur, à blaguer dans les situations rebarbatives, et donner du beaume au coeur à son environnement, simplement, sans attirer l'attention. C'était un charmeur, toujours prêt à parler de sujets profonds et sérieux, il aimait beaucoup rire et faire rire, juste pour le bonheur de passer un bon moment, que ce soit avec des inconnus ou des amis.

Quelqu'un qui faisait du bien autour de lui.

Il était réservé également, sur les sujets intimes, et esquivait adroitement les questions ou les sujets un peu trop personnels quand ils étaient abordés, en maintenant une bonne ambiance dans la

conversation.

Il pensait beaucoup.

Derrière son attitude de mec à laise, il était un profond penseur, qui a besoin de temps seul, très sensible et à l'écoute, qui réfléchit beaucoup, aux questions de la vie, des relations, de la morale, des plaisirs, de l'histoire, de l'actualité, de la psychologie et des sciences. Il aimait partager des confidences sensibles pour aider les autres, pour conseiller, pour partager une peine ou une joie. C'était un interlocuteur en or pour parler de tout, des doutes de la vie, du passé, des dilemnes.

Sans ingérence ou outrecuidance, il avait une empathie en or, et savait se montrer complice par pure sympathie avec quiconque qui avait quelque chose sur le cœur.

Tout deux étaient éperdument amoureux, ils étaient complémentaires sur beaucoup

de points, et s'admiraient beaucoup l'un l'autre.

Leo trouvait Charlène unique, dans ses talents, sa modestie, son intelligence, sa douceur, tout cela lié à son physique, qui ne le laissait pas indifférent, loin de là... C'était un amour conscient, conscient de ses qualités et de sa rareté, de la chance qu'il avait eu de croiser son chemin. C'était l'amour de sa vie, son idéal féminin, la femme parfaite. Il ne manquait pas une occasion de lui montrer son amour par de l'attention, de bons moments, des surprises, beaucoup d'affection. Ils pouvaient être parfaitement heureux juste par amour, avec des choses simples, des bons repas, des conversations interminables sur tout et n'importe quoi, des activités sportives, des soirées devant des documentaires... et surtout beaucoup de rires, de câlins et de baisers. Ils adoraient s'embrasser.

Ils s'étaient bien trouvés : leur symbiose concernant ce qui se passe en intimité en était la preuve.

Ils n'en parlait que rarement, du sexe, et très succinctement. Quasiment jamais pour ainsi dire.

C'était un sujet qui ne ressortait pas, ils préféraient passer à l'acte et profiter quand les signes de désir se manifestaient, mais de l'extérieur c'était un couple plutôt intellectuel et amoureux, qui trouvait son bonheur dans les choses de l'esprit plutôt que de la chair, et eux même le pensaient.

Leo ne la ménageait pas quand il s'agissait de passer à l'acte. Au contraire.

Et derrière ses airs de gendre parfait, elle le définissait elle même comme un dieu du sexe, avec un penchant pour le hard, les

mots crus, les pratiques exotiques, mais très accompagnés, amoureux, et très efficace dans son acte, avec toujours un score d'orgasmes féminin élevé à la séance.

Il était particulièrement endurant dans la violence et inventif dans ses séances.

Ça excitait Charlène, de le voir se défouler sur elle et la malmener. Elle n'était pas en couple avec un mou. Leo était doux et réfléchi certes, mais quand il était excité il se transformait.

Rien n'était fait par égoïsme quand il s'agissait de Leo, c'était toujours dans l'idée de combler d'abord sa compagne, puis d'en profiter comme il se doit. Il avait ce don de lire chez les gens leurs pensées et leurs désirs cachés assez facilement, il s'était donc aventuré pas à pas vers des pratiques de plus en plus coquines et

dominatrices, violentes, toujours dans cette lignée de matcher ses désirs les plus cachés et tabous même pour elle.

Il prenait un plaisir intense à faire de Charlène, la compagne si cultivée, bien élevée, délicate et prude, sa salope lubrique qui hurle de plaisir sous ses coups de rein endiablés et qui accueille toujours plus de pirouettes au lit. Charlène était comblée, et de son côté aimait absolument tout, elle découvrait même avec bonheur qu'elle aimait plus que ce qu'elle n'aurait imaginé, demandeuse aussi maintenant pour pousser les limites chaque fois un peu plus loin dans le kinky, pour le plus grand bonheur de son couple.

Elle s'était découverte une passion secrète avec Leo...

A une époque si quelqu'un lui avait dit qu'elle aimerait se faire baiser attachée et insulter pendant des heures, elle aurait

probablement exploser en sanglots, choquée. C'était ce genre de transformation personnelle qu'elle vivait, c'était une période de sa vie qu'elle avait fait le choix d'explorer, lâchant prise, après tout pensait-elle, j'ai été si sage si longtemps, personne ne le sait et je ne fais de mal à personne... Et qu'est-ce que c'est bon.

Leo venait de se faire épiler intégralement : de temps en temps dans l'année, il aimait se sentir tout lisse et doux , comme sa compagne, sentir sa peau lisse glisser contre celle de son aimée quand ils se font des calins sous la couette, c'était une carte qu'il jouait de temps en temps, un atout occasionnel car Léo cachait une peau incroyablement douce sous sa pilosité habituelle.

Ce soir c'était une soirée spéciale. Tout avait été préparé, sans que Léo et

Charlène n'en ai parlé directement entre eux.

Ne pas parler de sexe était leur botte secrète à eux, leur technique unique. Ils restaient le petit couple modèle et prude, mais sachant pertinemment qu'ils avaient des envies sauvages. Et quand l'acte survenait, c'était d'autant plus enivrant de se lâcher bestialement, s'affranchir de tout code et bonne figure .

Ils avaient juste signé un accord sur ce qui allait se passer, en citant très indirectement leurs envies et leurs suggestions. Pour imaginer comment ils parlent de ces choses si rares, il faut s'imaginer deux ados qui n'osent pas parler de s'embrasser et utilisant des termes synonymes ou symboliques pour essayer de décrire le plus indirectement possible leur désir, leur suggestion ou leur approbation pour ne pas briser leur

innocence. Le moment venu, elle sera encore intacte. Mais les désirs en feu. Ce sera un plaisir innommable et inimaginable pour le commun des mortels qu'ils auront, à se montrer leur côté lubrique au possible, presque schizophrénique, de quand ils se lâchent après avoir été impeccablement sages.

Léo n'avait pas dîné. À vrai dire il n'en souffre même pas tant l'excitation sexuelle est grande dans ces moments.

Il avait, et Charlène le savait, des périodes où il se sentait particulièrement excité, à fleur. Leo est bi, d'une manière on - off.

Charlène savait à quel point il était capable d'être un mâle actif et dominant au possible, sauvage dans l'action et la durée. Mais ce soir, c'était différent, il allait se combler, c'était lui qui avait orchestré la soirée.

Durant leurs ébats sexuels, plusieurs fois elle l'avait pénétré de ses doigts.

Petit dérapage, grande aventure à venir.

Ça avait commencé quand elle lui avait fait une fellation, et qu'elle l'avait léché plus bas encore. Elle s'était perdue longuement à cet endroit, curieuse, folle du moment et de sa réaction inatendue.

Il l'avait invitée à l'explorer, il s'était ouvert à elle, il s'était surpris à la désirer, prenant le risque de laisser tomber sa virilité.

Charlène ne l'aurait pas méprisé tacitement pour ça, et il le savait, il faisait confiance en l'estime et la compréhension qu'elle a pour lui.

Elle l'avait doigté très progressivement.

Ils n'en avaient pas reparlé.

Les débuts de ces expériences étaient bancales et douloureux, et ils ne s'étaient

pas aventuré de suite dans cette voie, ils avaient déjà un panel immense de pratiques qu'ils adoraient.

Mais de temps en temps ça revenait, Leo aimait ça, il se cambrait, il gémissait, il s'offrait à elle, à sa petite femme, ils prenaient tout deux goût à la chose, et lui se laisser porter par la sensation de douce soumission, au plaisir si tabou et interdit de la pénétration.

Quelques fois par la suite, ils s'étaient adonné à cette pratique, de manière plus franche, plus experte, plus assumée, et avaient poussé, au même titre que d'autres pratiques, la technique assez loin. Au point que Léo se retrouvait parfois à quattre pattes, un gode ceinture enfoncé en lui, pendant qu'ils se disaient je t'aime, il jouissait sous les coups de rein de sa

femme, attendrie et dominante. C'était des moments exotiques et non orthodoxes oui, mais magnifiques et tellement intenses.

Encore une victoire d'amour dans leur couple.

Quand il était en déplacement, Leo avait continué à explorer sagement (ou pas) cette sexualité. C'était délicieux.

Seul, il regardait des photos ou des dessins de shemales, femmes au membre viril, et rêvait de scènes nouvelles qui lui donnait des papillons dans le ventre, à chaque fois. C'était comme redécouvrir le sexe. C'était une excitation sans nom.

Petit à petit, alors qu'il continuait de faire l'amour à sa femme efficacement de toute les manières, il s'était découvert une totale attirance pour ces autres pratiques, et s'était même procuré des jouets pour s'y

adonner, non sans plaisir intense et coupable. Se découvrir sexuellement si ''femme'' était un univers à part dans lequel il adorait plonger quand l'occasion se présentait. Pour autant il ne se sentait absolument pas changé au quotidien, et ne doutait absolument pas de lui quand il s'agissait de sexe avec sa compagne. Indubitablement il n'était et ne voulait pas être gay, ni adhérer aux groupes et relations que celà implique. Il se vivait pleinement à sa manière, de son côté.

La force de sa sexualité et sa complétude, étaient qu'il désirait toujours autant sa femme et la prendre sauvagement, la dominer et la combler de toute les manières, mais qu'en parallèle il savait être docile, excitant, et prenait un très grand plaisir à s'imaginer exciter quelqu'un qui voudrait le prendre comme une chienne.

Jamais il n'aurait imaginé faire quelque

chose de la sorte, mais plus d'une fois il s'était essayé aux collants et au string, ça lui faisait tellement de papillons dans le ventre de se sentir ''excitante'', vulgairement aguichante, prête à être baisée.

Enfiler des vêtements féminins le faisait basculer.

Il goûtait entièrement aux deux côtés de la barrière, et cette dernière découverte méritait décidément tout autant d'être explorée à fond.

Relfet de son intense empathie et compréhension d'autrui, quel bonheur c'était de partager la même sexualité que sa femme, à volonté.

Quelques mois plus tard, leurs sexualités avaient muri. Il s'assumait lui même, elle l'aimait dans ce qu'il était, et en ressentait même une part d'admiration mêlée

d'amour : il était unique, si ouvert et intègre en même temps, ils partageaient maintenant tout. Elle voyait en lui quelqu'un de fort, qui maitrisait les éléments du sexe sans effort, comme un maître mystique dompte les éléments. Il était solide dans ce qu'il faisait, il pliait le plaisir à sa volonté, et goûtait à tout sans se changer personnellement. Capable de se rendre salope, mais de garder son charisme craquant au quotidien.

C'était son homme, elle l'aimait tellement.

C'est ainsi que Léo, avec l'accord suggéré de Charlène, préparait maintenant des soirées ... Épicées.

Sur un site de rencontre libertin, il avait monté un compte de couple à la recherche d'autres partenaires.

Il affichait clairement les envies de son

couple, et gérait seul ce réseau.

Quand ils eurent leur premier rendez vous, la tête lui tournait d'excitation et de trac.

Ce soir donc, Leo se sentait tout tremblant d'excitation d'être offert, soumis, brûlant de désir de satisfaire des pulsions. C'était surréaliste, il se l'était imaginé tellement de fois, peut-être des centaines de fois, mais là c'était réel. La marche est haute.

Charlène ressenti ces même papillons quand elle réalisa ce qui allait se passer. Elle avait passé cette barrière de la peur juste avant l'évènement, et après avoir failli annuler, il ne lui restait que son excitation initiale, leur complicité et une bonne dose de trac.

''coucou mon cœur !

-coucou mon amour, alors, bonne journée?

- oh oui, mais content d'être rentré! Et toi?

Tu es toute belle regarde toi !

- haha vous êtes gentil monsieur, vous aussi, vous êtes très charmant. Oui merci, je suis en pleine forme, aujourd'hui j'ai super bien avancé sur mon projet, je suis trop contente !

Il s'embrassèrent, tout collés l'un contre l'autre.

Leo libéra son étreinte

''Je file à la douche, à toute mon cœur''

Il l'embrassa encore.

Puis encore.

Et encore.

Elle rit doucement et l'embrassa de plus belle.

Il alla se préparer. En se déshabillant il

sentit la satisfaction des vêtements qui glissaient sur sa peau si douce maintenant, et ne put s'empêcher de sentir une vague de satisfaction charnelle. L'eau perlait sur son corps svelte et musclé, il prit bien soin de gommer sa peau pour en accroître la douceur. Puis il devissa la pomme de douche. Avec le tuyau, il procéda à son lavement intime. Les toilettes étant collées à la douche, il n'avait plus qu'à.

D'une main il s'écarta une de ses jolies fesses. Déjà il senti de l'excitation. Puis il régla le débit sur faible, un filet d'eau s'en écoulait tout tranquillement. Il approcha l'embout du tuyau de ses fesses et se cambra . Il le posa contre son orifice, tout lisse, et senti l'eau couler le long de ses fesses, de ses jambes. Il pressa progressivement le tuyau contre son petit trou, jusqu'à ce que l'eau y pénètre de force. L'eau ruisselait le long de sa jambe,

Quand d'un coup elle stopa d'y courir : elle rentrait maintenant délicatement dans son petit cul. Inexorablement, Leo senti son sexe commencer à se gonfler, sous sa cambrure. Il sentait l'eau chaude le remplir, il voyait son ventre se gonfler docilement sous les assauts de ce tuyau. Ce sentiment d'envahissement lui arracha un petit soupir, sans même ouvrir la bouche. Quelques pensées fugaces lui traversaient l'esprit pendant les quelques secondes de son remplissage de cul, fantaisistes, lubriques, personne ne le saurait et il aimait à s'y perdre dans les plus absurdes des scénarios.

Il retira le tuyau. Son anus se contracta aussitôt, par reflexe. Il était là, trempé, cambré dans la douche, rempli. Il se caressa le ventre, toujours fasciné par le phénomène. une main glissa vers sa poitrine pour y jouer avec son téton, juste un instant, pour profiter de ce moment d'égarement.

La suite est moins glamour et se passe sur le trône, avant de recommencer quelques fois, pour rester avec un petit trou tout rose et propre, tout confortable et accueillant.

''oh je vois que l'on se met sur son 31!''

Dit-il en entrant en peignoir dans la chambre tandis que Charlène se maquillait.

Il l'enlaça par derrière et lui déposa un baiser mouillé dans le cou, en se serrant contre elle.

Elle posa ses accessoires, et se retrourna, pour le regarder quelques instants puis l'embrasser, au ralenti, toute parfumée,

Ils avaient rendez vous à un hôtel non loin, qu'ils connaissaient bien, et avaient même leur chambre favorite. Ils aimaient y faire une excursion pour se changer les idées,

après une bonne soirée ils y expermentaient les pulsions que leur dictait leur amour . Leo venait toujours avec son sac, pour y installer une balançoire au plafond, amener des entraves, des barres d'écartement, des gags en O, des menottes, des liens, des vibromasseurs, des godes fantaisistes de toute formes, des harnais, des tenues sexy.

Il s'était de son côté constitué un garde robe très fourni en secret, et Charlène en découvrait chaque fois un peu plus. C'était l'excitation de la surprise pour elle, tantôt elle se retrouvait accrochée au plafond et baisée violemment en lair, tantôt elle enfilait des harnais de cuisses et de poitrine pour se faire secouer, tantôt elle se retrouvait déguisée en mini jupe collants et soutif de hentai avec des petites oreilles de chat, pour se faire souiller, des grelots sur les seins. Il était

même arrivé, que ce soit Leo en petite tenue, talons et bas sexy, harnais, attaché, perruque et maquillage, pour se faire fesser et pénétrer par toute sorte de jouets.

Mais ce soir c'est différent.

Je n'ai pas abordé un point.

Parmis les choses tacites qui les excitent tout deux, mais dont ils ne parlent pas, ils se sont fait comprendre sans même le savoir, que Leo était curieux du candaulisme. Cette pratique consiste tout bonnement à regarder sa partenaire avoir une relation sexuelle devant soi.

Ça paraissait étrange au début de concevoir ça, de briser le lien le plus élémentaire de l'amour, c'est indécent, criminel, affreux.