Episode 03: Balade Nocturne.

- ...oui j'ai compris ...

- Tu vois avec mon pote, on s'est partagé tes trous, lui c'était ta chatte, moi c'est ton cul

Je m'approche de sa queue et je fais couler un filet de salive sur son gland, puis le long de sa queue. Je prends son gland dans ma bouche pleine de salive, puis le ressort, fais encore couler de la salive sur sa bite.

Il me prend par le bras, m'amène au bout de la table, colle mes fesses au bord et me pousse en arrière. Je suis sur le dos, il prend mes cuisses, les relève, les écarte, les pousse un peu plus loin en arrière.

- T'as le sperme de mon pote qui coule de ta chatte. Essuie-le avec ta main et mets-le dans ta bouche.

Je mets une main entre mes cuisses et récupère le sperme d'Amir. Puis je suce mes doigts, ma main. J'y retourne, je creuse ma main pour en récupérer encore. Puis je l'amène à nouveau dans ma bouche.

- Putain t'aimes le sperme toi, hein

- ...mmoui...

- Bon maintenant, tiens tes jambes salope

J'attrape mes cuisses ouvertes en le regardant. Il se penche en avant, et crache 2 fois sur mon anus. Je bascule ma tête en arrière, contre la table. Au-dessus de moi je vois des branches d'arbre, et la lune qui réapparaît. Les nuages sont partis. Il recrache encore, étale sa salive. J'attends, les cuisses écartées. J'entends à nouveau la musique Arabe. Je tourne la tête, j'aperçois Amir dans la voiture, il fume encore. Je sens le gland de Wassim se coller sur mon anus. Il pousse, il pousse encore, et il rentre.

- ...OOHHHHOOO....AAAHHHHHH...Mmmhhhhhhmmmm...

- Voilà...je rentre ma queue dans ton petit cul de salope...

- ....mmhhhhoui....mmmhhhhh...ouiii...oh ouiiii...

Sa queue rentre à moitié, il ressort un peu, puis revient en poussant plus fort. Il me pénètre plus profondément, commence à aller et venir. Il va plus profond à chaque coup, jusqu'à ce que je sente ses couilles sur mes fesses. Sa grosse queue était maintenant entièrement dans mon cul.

Il m'attrape par mes cuisses, que je tiens écartées en l'air, et commence à me baiser par le cul. Je lâche mes cuisses, et accroche mes mains de chaque côté de la table.

- T'aimes donner ton cul aux Rebeus, hein, t'aimes ça

- ...ahhaaa... ouiii...oui j'aime çaa...

- T'es une bonne pute à rebeu, toi, tu kiffes te faire mettre comme une chienne hein? T'es une bonne salope française bien docile qui donne son cul, hein

- ...aahhh...aahhh...aahhh...mmhhh...aahhh...mmhhh...mmhhh...aahhh

- J'te baise le cul, salope, j'te baise ton cul de française

- ...aahhhouiii...aahhh...aahhh...mmhhhouiii...aahhh...mmhhh...mmhhhouiii...aahhh

Je sentais sa grosse queue aller et venir dans mon cul qui était maintenant totalement humide. Ça glissait tout seul. Ses coups de reins faisaient bouger la table à laquelle je m'agrippais. Mes seins bougeaient dans tous les sens. J'entendais toujours cette musique Arabe qui venait de la voiture. Amir fumait en me regardant de loin. Wassim m'enculait.

Je commence à venir. Je le sens au fond de mon ventre. Ça monte, ça vient, des chatouillis, je le ressens à la fois dans mon cul et dans ma chatte. Je commence à crier, encore, je crie plus fort, encore, oui, je crie encore plus fort, je jouis, je jouis, putain je jouis...

- ...AAAHHHHHHHAAAAAHHHHHHHHHHHHHHAAAHHHHOOOOO...

Je jouis en le regardant. Mon visage doit être tordu par mes cris. Ma jouissance stimule celle de Wassim qui vient à son tour. Il sort sa queue et éjacule sur moi. A chaque grognement sort un jet puissant. Il arrose ma chatte, mon ventre, jusqu'à mes seins. Il masturbe encore un peu sa grosse queue, les dernières gouttes coulent sur ma chatte et je les sens descendre jusqu'à mon cul.

Je repose ma tête en arrière. Je déplie et baisse mes jambes qui pendent maintenant au bord de la table. Je relève mes bras au-dessus de ma tête. Je suis étalée de tout mon long, nue. Je regarde le ciel, je ne pense à rien. Je ne sais pas l'heure qui l'est, ni où nous sommes. Ma respiration ralentit. Je profite de l'instant. Une minute ou deux.

Puis je me relève. Je descends la table, me tourne vers la voiture. Wassim est adossé à la portière, il a remis son short. Amir est assis sur le capot. Les deux fument une cigarette et me regardent. Je ne sais pas trop quoi faire.

- On va y aller. Prends tes affaires.

Je ramasse mon soutif et ma culotte. Mais j'ai du sperme partout sur moi, et pas de kleenex ou de lingettes. Je me dis que mon manteau suffira, et que je vais garder mes dessous propres. Je remets mon trench, referme quelques boutons, et mets mon string et mon soutif dans une poche. Je me rapproche d'eux et on monte dans la voiture. Demi-tour, on repart. Il n'y a plus de musique, seulement le bruit du moteur. Nous roulons. Je regarde les arbres défiler au bord de la route. Au bout d'un temps incertain, nous prenons une bretelle d'autoroute. Amir et Wassim échangent quelques mots en Arabe. Puis deux minutes plus tard, nous sortons sur une aire de repos.

- ...Qu'est-ce qu'on fait?

Pas de réponse. La voiture ralentit, ralentit encore, Amir et Wassim regardent dehors, semblant chercher quelque chose. La voiture tourne à un petit rond-point, revient sur sa route, et finit par se garer, non loin des toilettes. Ils scrutent toujours dehors, à la recherche de je ne sais quoi. Puis Amir se tourne vers moi.

- Tu vas enlever ton manteau, allez

- ...pourquoi? Qu'est-ce qu'on fait ici?

- Discute-pas. Vire ton manteau.

Je dégrafe les quelques boutons tout en regardant dehors. Quelques voitures, camionnettes et camions sont stationnés. J'enlève mon manteau, je suis à nouveau nue. Je ne sais pas ce qui se passe. Sur le tableau de bord, l'horloge indique 1h30 du matin. Je continue à regarder dehors. Des toilettes, des poubelles. Soudain, sous un éclairage blafard, je distingue une silhouette qui se rapproche doucement de la voiture. Je reprends mon manteau pour me couvrir mais Amir me l'arrache des mains. L'homme se rapproche encore. Il regarde Amir et Wassim, puis me repère. Mécaniquement je me cache les seins avec mon avant-bras et une main, et de l'autre je cache mon sexe. L'homme s'approche de la portière, il me regarde fixement. Là, je vois un autre homme se rapprocher, puis un troisième, et un quatrième. Ils me fixent à travers la vitre. Amir continue :

- Allez, arrête de te cacher, montre-toi

- ...mais qu'est-ce qu'on fait là? ...C'est qui ces mecs?

- ils veulent juste mater. Allez relax, les portes sont fermées. C'est des mateurs. Montre-toi, montre ton corps, allez. Depuis quand t'es timide, salope?

Je regarde ces hommes. D'où viennent-ils? Qui sont-ils? Qu'est-ce qu'ils font ici? Deux ont l'air d'Europe de l'Est, et puis il y a un black et un blanc à lunettes. C'est vrai, je suis gênée, mais après ce que je viens de faire avec Amir et Wassim, je ne devrais pas. J'enlève mes mains qui me cachaient. Je laisse apparaître mes seins. J'écarte légèrement mes cuisses. Je me rapproche de la fenêtre. Les hommes se touchent en regardant mon corps. Je me rapproche encore. Je pose ma joue et ma bouche ouverte contre la vitre, un peu de buée apparaît. Je me caresse les seins. Je suis à nouveau excitée. Un homme sort sa queue ; les autres lui emboitent le pas. Ils se masturbent en me regardant. Je joue le jeu. Je m'allonge sur la banquette, j'écarte mes cuisses, je bouge mon corps, je caresse ma peau, je prends mes seins dans mes mains, je les malaxe. Je fais aller et venir mon bassin de bas en haut. Je me caresse la chatte. Je mouille. Les 4 hommes continuent de se masturber. Je me tourne, je leur montre mon cul. Je continue à onduler mon corps. Je suis comme un petit animal en cage. Ils sont au zoo. Je me caresse encore et je sens le plaisir monter. Amir et Wassim échangent quelques mots en Arabe, puis Amir ouvre sa vitre.

- Attention, vous la baisez pas ok? Elle est à nous. Vous pouvez toucher mais pas la baiser. You can touch her, but don't fuck her ok?

Je ne comprenais pas. Pourquoi disait-il ça? Soudain j'entends le déverrouillage des portières. Amir descend, ouvre ma porte, me tire par une jambe, puis par le bras, me sort dehors, referme ma portière.

- ...ehh...Attend Amir, qu'est-ce que tu fais...

- ils vont pas te baiser ok, laisse toi faire, laisse les faire

- ...mais...

Je n'étais pas sortie depuis 10 secondes que j'avais déjà leurs mains sur moi. J'étais debout, nue sur ce parking à côté de la voiture, et ces hommes m'entouraient, me collaient. Je sentais leurs respirations. Je sentais leurs queues se frotter à moi. Leurs mains me touchaient partout à la fois. Mes seins, mon ventre, ma chatte, mon cul, ils allaient partout. Mes mains croisaient leurs queues. Wassim était aussi sorti de la voiture, et avait rejoint Amir à quelques mètres de là. Ils regardaient le spectacle. Je sentais la chaleur de ces hommes, leurs odeurs de bière, de cigarette, de fast food. Des doigts pénétraient ma chatte et mon cul, des mains m'agrippaient, j'étais leur chose. Le premier à jouir fut le français à lunettes. Il gicla derrière moi, sur mes fesses, en tenant un de mes seins dans son autre main. Il essuya sa queue sur ma main, et fit 2 pas en arrière.

- Mets-toi à genoux

C'était la voix d'Amir. Je me mis à genoux au milieu des 3 hommes qui restaient. J'étais au niveau de leurs queues. Ils se masturbaient de plus en plus vite. Les 3 hommes se vidèrent sur moi presque au même moment. Je sentis le sperme chaud et abondant sur mon corps et sur mon visage. J'étais recouverte, j'en avais partout. Je ne bougeais plus.

Les hommes remballèrent leurs queues et me regardèrent une trentaine de secondes. Puis se dirigèrent vers Amir et Wassim, échangèrent quelques mots avec eux que je ne parvins pas à comprendre, puis s'éloignèrent.

Je me relève enfin. Je me rapproche d'Amir et Wassim.

- Vas te passer un coup d'eau aux chiottes, t'en as partout, putain

Je prends la direction des toilettes de l'aire d'autoroute, à une dizaine de mètres. Je suis à poil en escarpins mais je n'y pense pas. Je rentre, la lumière s'allume automatiquement. Je me rapproche d'un lavabo, je me vois dans un miroir. Nue, recouverte de sperme, je suis pitoyable. Je me sens totalement humiliée, rabaissée. Je me passe de l'eau sur le visage, sur le corps, je me nettoie tant bien que mal avec du papier toilette. L'eau est froide. Au bout de 5 minutes, je ressors et me dirige vers la voiture. Amir et Wassim sont à l'intérieur. Je rentre. Amir me redonne mon manteau, que j'enfile. Wassim tient mon téléphone à la main et me le tend.

- Appelle-moi, fais mon numéro et appelle-moi

Je ne proteste pas. Il me dicte son numéro, j'appelle. Il me renvoie 1 minute plus tard un sms avec leurs deux prénoms et leurs numéros.

La voiture redémarre à 2h15. Je suis épuisée. Ils me demandent où j'habite pour me déposer. Dans un sursaut de lucidité, je donne une adresse à 200 mètres de la mienne. Nous roulons vingt minutes. La musique Arabe est revenue. La route défile. Les réverbères, puis les maisons, puis mon quartier. La voiture s'arrête. Nous échangeons juste un « salut », puis je sors. La voiture redémarre et disparaît. Je marche. J'ai mal aux pieds, aux genoux, au dos, aux fesses, j'ai mal partout.

J'arrive chez moi. Je bois une demi-bouteille d'eau. Je m'assois dans mon canapé. Je me recouvre de quelques coussins. Et je m'endors.