Quand J'oublie Mes Affaires de Gym

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Je récupère mes affaires de gym dans le vestiaire.
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Ce soir, je sortais danser avec les filles de mon groupe de gym. Pendant que je me préparais, je pensais à leurs corps parfaits, stéréotype de la gymnaste fine et élancée. Moi-même, je n'étais pas mal foutue, mais à côté d'elles, gracieuses et qui semblaient flotter plutôt que marcher, je me sentais souvent lourdaude. En me regardant dans le miroir, je me suis dit que je pouvais faire mieux. J'avais mis une robe légère à fleur, assez ample et m'arrivant aux genoux et m'étais maquillée discrètement les yeux. La femme que je voyais dans le gymnase me paraissait jolie mais dans le style petite fille sage. J'ai 24 ans mais on me considère souvent comme plus jeune. Ce soir, je n'avais pas envie d'être mignonne. Ce soir, j'avais envie d'être celle que l'on désire. J'enlevais donc cette robe et me retrouvais en sous-vêtements. Comme souvent quand je sors, j'avais mis de la belle lingerie.

Même si personne ne la voit, cela me donne une bonne dose de confiance en moi. Aujourd'hui, un magnifique soutien-gorge en dentelle rouge mettait bien ma poitrine en valeur. J'ai quand même une belle paire de seins. Sans être énormes, ceux-ci étaient bien fermes et d'une taille qui attire les regards s'ils sont mis en valeur. Un string, également en dentelle rouge complète le tableau. Je décidais d'ajouter des bas maintenus par un porte-jarretelle. J'allais également chercher une robe noire, moulante et assez courte. J'avais cette robe depuis un moment dans ma penderie mais ne l'avais jamais portée en public, la trouvant trop osée. Mais ce soir, c'est ce que je recherchais. Je me regardai à nouveau dans le miroir et me trouvai enfin sexy avec ce beau décolleté qui faisait ressortir mes atouts. S'il y a bien une chose que je peux mettre en avant à côté de mes amies qui, elles, sont toutes menues, c'est bien ma poitrine. J'apportai la touche finale avec des escarpins noirs à talons hauts et un rouge à lèvre de la même couleur que mes sous-vêtements.

Je me dirigeais enfin vers ma voiture pour rejoindre les filles de mon équipe de gym. La gym! En pensant à cela, j'ai eu un flash. J'avais oublié mon sac après le dernier entrainement. Outre mon matériel de gymnaste, il contenait également mon portefeuille dont j'allais avoir besoin ce soir. Ce n'est pas très grave, le gymnase est presque sur ma route et je pouvais faire ce petit détour pour récupérer mes affaires. En descendant de ma voiture, je me rendis compte des regards que posaient sur moi les hommes que je croisais. Je n'étais plus invisible, loin de là. C'est avec un boost de confiance que je me dirigeais vers les vestiaires du gymnase. En approchant de la porte, j'entendais des cris et des rires à l'intérieur. L'équipe de rugby venait de finir un match et manifestement, le coup de sifflet final les avait laissés victorieux. En temps normal, j'aurais hésité mais ce soir-là, je toquais à la porte avec assurance.

Un homme, grand, musclé, carrure typique d'un rugbyman entrouvrit la porte non sans me regarder des pieds à la tête avec un regard brillant. Je lui expliquai que j'avais oublié mon sac dans ce vestiaire et lui demandai s'ils ne l'avaient pas vu. Il me répondit que si, ouvrit la porte plus largement en me désignant mes affaires, posées sous un banc tout au fond de la pièce et me fis signe d'entrer. J'avançai d'un premier pas peu assuré avant de reprendre contenance et de me diriger vers mon sac. Parmi les hommes présents, beaucoup étaient torse-nu, ou en boxer. Je remarquais que certains étaient également encore sous la douche. Légèrement troublée, je détournai le regard et attrapai mon sac. En faisant demi-tour, je vis que la porte avait été refermée et que trois hommes s'étaient levés et se trouvaient entre moi et celle-ci. Le silence s'était fait et de nombreuses paires d'yeux étaient braquées sur moi. J'avançai pour sortir, approchant de la ligne d'hommes me séparant de la porte. Voyant qu'ils ne bougeaient pas, je m'apprêtai à me faufiler entre eux quand une voix retentit dans mon dos :

- Attends ne pars pas si vite!

Je me retournais pour voir le capitaine de l'équipe que je connaissais de vue et que j'avais toujours trouvé un peu brute bien qu'indéniablement séduisant. C'était l'un des plus grands joueurs de l'équipe. Il posa le verre de bière qu'il tenait sur la table présente au centre du vestiaire

- Tu sais, ce soir on a gagné un match décisif pour le championnat, dit-il en continuant d'avancer vers moi.

- Euh ... Félicitation! Je suis désolée, on m'attend, je dois y aller, répondis-je en faisant mine de partir

Il continua en m'ignorant :

- Pour féliciter l'équipe, je voulais leur offrir un truc, j'avais pensé payer ma tournée, mais je crois que j'ai mieux.

- Ah oui?

- Et si tu nous montrais tes seins?

Sans m'en rendre compte, j'avais reculé pendant qu'il avançait et me cognai contre l'un des hommes. Je m'excusai, ris nerveusement et répondis :

- Ahah très drôle, mais je suis vraiment pressée, je n'ai pas trop le temps de continuer à discuter.

Alors que je commençais à me retourner, l'homme derrière moi m'attrapa les bras au niveau des coudes et me maintint fermement en place. Le capitaine était arrivé si près de moi que je pouvais sentir son souffle aux effluves de bière sur mon visage.

- Tu viens au milieu d'un vestiaire rempli d'hommes à moitié nus en pleine excitation d'après match dans ta tenue d'allumeuse et tu espères partir comme ça? On voit bien que tu veux attirer les regards des mâles alors sois contente, tu en as une vingtaine rien que pour toi!

Voyant que je ne pourrais pas m'en sortir comme ça, je murmurai :

- Si je vous montre mes seins, vous me laissez partir?

- Si la vue est satisfaisante, oui.

L'homme derrière moi relâcha son étreinte et résignée, j'approchai mes mains de mon décolleté et le descendis sous ma poitrine. J'entendis alors des sifflements admiratifs et des commentaires graveleux. Je restais comme ça quelques secondes, me montrant à tous les hommes présents. Voyant que cela ne suffirait pas, je saisis le tissu de mon soutien-gorge et le descendis également. Les exclamations reprirent de plus belle et j'entendis même quelques applaudissements. Le capitaine s'approcha et pris mes seins dans ses mains, sans aucune douceur. Je tentai de m'éloigner mais l'homme derrière moi m'avais à nouveau saisie et immobilisée.

- Eh les gars, quelle belle paire de loches! Et c'est encore plus sympa au toucher!

- Vous m'aviez dit que je pourrais partir!

- Et passer à côté de nichons comme ça? Impossible!

Il reprit son exploration de ma poitrine en soupesant mes seins l'un après l'autre, triturant mes tétons et malaxant les globes de chair. Je voyais le reste de l'équipe qui ne manquait pas une miette du spectacle et certains boxers me semblaient devenus trop étroits. Désespérée, je tentais de me débattre et me mis à hurler. Une gifle monumentale du capitaine me stoppa nette de stupéfaction.

Légèrement sonnée, je l'entendis me dire :

- Maintenant tu fermes ta gueule et tu restes sage si tu veux pas t'en prendre d'autres.

Je m'affaissais, résignée. Je sentis alors la poigne autour de mes bras disparaitre et plusieurs paires de mains commencer à toucher mon corps. Mon dos, mes cheveux, mes fesses, mes cuisses, mon ventre... Et toujours le capitaine qui jouait avec mes seins et les avait maintenant pris entre ses lèvres. A force d'être tripotée, ma robe remontait de plus en plus et ne cachait à présent plus que mon ventre. Le capitaine recula et voyant le string et les bas s'exclama.

- Les gars, elle est encore plus chaude que ce qu'on croyait, si ça c'est pas un appel!

Joignant le geste à la parole, il approcha la main de mon entrejambe et commença à me caresser à travers la fine de dentelle de mon string. Malgré moi, mon corps répondit à ce traitement et il leva bientôt la main pour montrer ses doigts brillant à l'équipe hilare. Certains des gars avaient sorti leur sexe et commençait à se caresser en profitant du spectacle. Le capitaine exerça alors une pression sur mes épaules et, n'ayant pas la force d'y résister, je me retrouvais à genoux devant lui, la tête à hauteur de la bosse impressionnante de son boxer. Il sortit sa queue et, la présentant devant mes lèvres me dit « Maintenant, tu vas me sucer ».

N'opposant pas de résistance, j'ouvris les lèvres et le laissai prendre possession de ma bouche, passive. Il commença ses vas et vient et je sentais sa verge durcir encore et forcer sur mes mâchoires. Sans que je ne m'y attende, il ressorti son sexe et me frappa le visage avec.

- Si je voulais faire tout le boulot, j'aurais pris une poupée gonflable! Suce mieux que ça et mets-y du cœur, je veux voir ton rouge à lèvre de salope décorer mon ventre.

Je m'approchais alors et repris sa bite dans ma bouche. Ne voulant pas subir de nouveau tourments, je m'appliquais, le léchais en montant et descendant de plus en plus loin sur son sexe érigé. J'approchais de son ventre mais n'arrivais pas à l'atteindre. Je forçais plus encore et sentis sa verge dans ma gorge. J'avais réussi! Ne pouvant plus respirer, je voulus me dégager mais sa main se posa dans mes cheveux et maintint ma tête ainsi. Je sentais sa queue tressaillir dans ma bouche et d'un coup, il se déversa au fond de ma gorge. Dégoutée, je fus obligée d'avaler pour ne pas m'étouffer.

- Oh oui avale tout, je sais que t'as pas envie d'en manquer la moindre goutte, c'est toujours comme ça les suceuses avec une bouche à bite comme la tienne, dit-il en finissant de se vider.

Il maintint encore ma tête un moment, le temps que je sente sa bite ramollir et me permettre progressivement de respirer à nouveau. Il s'éloigna légèrement, me laissant pantelante puis s'accroupi à ma hauteur et me saisit le menton pour me forcer à le regarder dans les yeux.

- Tu vois ces gars? dit-il en désignant les trois hommes qui se tenaient toujours derrière moi, le sexe à la main. Ce sont les meilleurs joueurs de la soirée, il mérite un traitement d'exception tu ne crois pas? Tu va leur prodiguer les mêmes soins qu'à moi. Et attention, ne perd pas une goutte de leur nectar, tu devras lécher tout ce que tu laisses s'échapper.

Les trois types en question s'approchèrent. L'un d'entre eux pris possession de ma bouche et les deux autres saisirent chacun une de mes mains et les placèrent sur leurs queues bien tendues. Je repris ma fellation tout en branlant les deux autres. De temps en temps, ils échangeaient leurs places pour se relayer au fond de ma gorge. Tour à tour, ils éjaculèrent dans ma bouche. Si je parvins à avaler complètement le sperme des deux premiers, le troisième déversa un tel torrent que j'en laissais échapper et la semence coula autour de ma bouche et sur mes seins. Un regard au capitaine et je sus que je n'avais pas le choix. Je commençai par laper le liquide autour de mes lèvres puis récupérai ce qui avait coulé sur mes seins avec mon doigt avant de le lécher. Je dû réitérer ce manège plusieurs fois avant qu'il n'en reste plus une goutte et que le capitaine semble satisfait.

Je regardais alors autour de moi. Les quatre hommes étaient devant moi en train de savourer leur orgasme. Je vis une ouverture en remarquant que plus personne ne se trouvait entre moi et la porte. Aussi vite que me le permettaient mes talons aiguilles, je me levai et bondis vers la porte. J'appuyais sur la poignée. Le verrou avait été fermé. Merde! J'approchai la main pour l'ouvrir mais, trop lente, je sentis une main bloquer la porte et un corps me plaquer contre elle. Le capitaine, contre qui il était inutile de lutter étant donnée la différence de carrure, saisis ensuite mes poignets et les bloqua d'une seule main au-dessus de ma tête. J'étais complètement bloquée et en plus je ne voyais plus se qui se passait autour de moi.

Le capitaine héla l'un des autres joueurs :

- Elle a besoin d'une bonne leçon, amène-moi le matériel.

Je pris peur. Mais qu'allaient-ils bien pouvoir me faire de plus que ce qu'ils m'avaient déjà fait? Et, la tête toujours plaquée contre la porte, je vis se présenter devant mes yeux un god d'une taille absolument monstrueuse.

- Je crois qu'on n'a pas suffisamment vu tes talents de suceuse. Remontre-nous ce que tu sais faire de ta bouche.

Le gars qui tenait le gode le força contre mes lèvres que je maintins fermées. La voix du capitaine s'éleva à nouveau :

- C'est à toi de choisir ce que tu préfères, ce qu'il a dans sa main droite ou dans la gauche.

Je vis alors la deuxième main du type qui tenait une ceinture et je sus ce qui se passerait si je n'obtempérais pas. Préférant l'humiliation à la douleur, j'ouvris alors la bouche. Il commença par frotter le bout du gode sur ma langue puis l'enfonça légèrement dans ma bouche. Il se mis alors à imprimer une cadence de vas et viens de plus en plus profonds en prenant plaisir à ressortir complètement afin de laisser des filets de bave s'écouler de ma bouche, m'humiliant plus encore si c'était possible. J'entendais en même temps les rires et les commentaires que provoquait la scène pour les autres membres de l'équipe. En même temps, le capitaine avait passé sa main entre mes jambes et, décalant mon string, il caressait maintenant mon clitoris, sur un rythme de plus en plus soutenu. Malgré moi, ce traitement faisait monter l'excitation en moi et je commençai à gémir et même à accompagner ses mouvements. De temps en temps, il enfonçait deux doigts dans mon vagin, qui me pénétraient très facilement au vu de mon excitation, et les ressortait aussi vite, me laissant frustrée. Au bout d'un moment de ce manège, il enleva ses mains de mon corps, me laissant, à mon corps défendant, au bord de l'orgasme. Il saisit le gode que l'autre gars faisait toujours aller et venir dans ma bouche. Il était maintenant trempé de salive.

- Je crois qu'elle est prête maintenant.

Prête? Prête pour quoi? Il retira le gode de ma bouche et le descendit entre mes jambes. Il le frotta sur mon clitoris, comme pour le couvrir au maximum de mes sécrétions. Il le présenta alors à l'entrée de mon vagin et força légèrement pour le faire pénétrer de quelques centimètres. Mes hanches pivotèrent malgré moi pour accélérer cette pénétration. Il l'enfonça alors d'un coup, m'arrachant un « Oh! », d'abord de surprise puis de satisfaction qui fit beaucoup rire l'équipe. Il resta ainsi quelques instants puis ressortit intégralement le gode. M'attendant à ce qu'il l'enfonce à nouveau, je tendais mes fesses vers lui. Mais il présenta le gode devant mon anus et, avant que je ne puisse réagir, força, le rentrant légèrement grâce au lubrifiant naturel dont il était couvert. Je hurlai de douleur.

- Non s'il vous plait, pas ça, tout sauf ça, je ferai tout ce que vous voulez.

Je le sentis hésiter puis il retira le gode. Soulagée, je respirais à nouveau. Mais mon répit fut de courte durée. Je sentis le capitaine enlever mon string, sans résistance de ma part. Il le présenta alors devant mes lèvres et l'enfonça dans ma bouche.

- Comme ça on ne t'entendra pas gueuler comme une truie.

Il saisit à nouveau le gode et le présenta une seconde fois devant mon petit trou et recommença à forcer. Je hurlais mais mes cris étaient étouffés par le bâillon improvisé. Je sentais le gode pénétrer millimètre par millimètre avec l'impression de sentir mes entrailles se déchirer. A chaque instant j'étais sure qu'il ne pourrait pas aller plus loin mais je le sentais inexorablement poursuivre sa course. Jetant un coup d'œil, je vis avec désespoir qu'il n'en était qu'à la moitié. La douleur me faisait tourner de l'œil, et je vécu la suite de cette torture comme si je n'étais plus dans mon corps.

Au bout d'un moment qui me sembla infini, j'entendis à nouveau la voix du capitaine qui me sortit de ma torpeur :

- Alors tu vois, c'était pas si terrible! Mais maintenant tu sais ce qui t'attends si tu n'es pas sage. Vas-tu être une petite salope obéissante après ça?

Je hochais vivement la tête, prête à tout pour faire cesser cette douleur atroce. Il retira le string de ma bouche en disant qu'il n'avait pas bien compris :

- Oui, je serai sage et obéissante.

- Oui, qui?

- Oui, Monsieur, je serai sage et obéissante, dis-je en espérant que c'était ce qu'il attendait

- C'est mieux. Je vais te laisser comme ça, profiter encore un peu pour être sûr que tu te souviennes, dit-il en faisant bouger légèrement le gode au fond de mon anus.

La douleur revint encore plus vivement et je me mordais les joues pour ne pas hurler.

Au bout d'un moment, il retira le gode qui s'extirpa avec un « plop » sonore qui provoqua l'hilarité générale. Il le présenta devant ma bouche et je le nettoyais mécaniquement, léchant sans aucune résistance mes sécrétions anales et vaginale. En même temps, je le sentis m'attacher les mains dans le dos avec la ceinture. Quand j'eus fini, il me tira pour m'éloigner du mur et retira ma robe et mon soutien-gorge, si bien que je me retrouvai uniquement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelle et mes escarpins. Il me poussa vers la table et me poussa à plat ventre sur celle-ci. Il me fit mettre à quatre pattes et attacha mes pieds à deux pieds de la table, jambes bien écartées. Les mains toujours attachées dans le dos, je ne pouvais que plaquer ma tête contre la table, relevant mon cul d'une manière offrant une très belle vue aux hommes assis de ce côté. Je vis l'un des gars sortir de mon sac mon matériel de gymnastique rythmique.

- Eh capitaine, il y a plein de choses intéressantes là-dedans.

Dit-il en sortant tour à tour, mon ruban, mes massues et mon ballon. Le capitaine attrapa le ruban et sans hésitation, enfonça la tige dans mon anus. Après ce qu'il venait de subir, je la sentais à peine passer mais l'humiliation d'imaginer ce ruban sortir de mon cul me désespérait. Il saisit ensuite une massue et la plaça entre mes jambes, le côté fin pointant vers mon vagin.

- Allez vas-y, empale-toi là-dessus.

J'obéis en descendant doucement. Une fois que l'objet fus bien fiché en moi, la consigne suivante ne tarda pas :

- Forte tes seins sur la table. Oui comme ça, encore plus! Et montre-nous tes talents avec un ruban.

Je fis ce qu'il me disait et agitait mon cul en cercle pour faire voler le ruban tout en frottant mes seins sur la table. Je me sentais complètement ridicule mais en regardant les hommes qui m'entouraient et ne pouvaient s'empêcher de caresser leurs sexes qu'ils avaient tous sortis, je savais que le spectacle faisait son effet. Et moi-même, stimulée de toute part avec mes tétons frottant sur le plastique froid de la table, ma massue profondément enfoncée dans mon intimité et voyant les regards de ses hommes sur moi, je sentais monter une excitation que je n'avais jamais connue. Le capitaine vint se placer au bout de la table où se trouvait ma tête et instinctivement, je pris sa queue entre mes lèvres. Je la sentis durcir à nouveau entre dans ma bouche en même temps que je sentais l'orgasme monter en moi. Continuant à sucer comme une possédée, j'explosais dans une jouissance totalement incontrôlable.

Voyant cela, le capitaine se retira, détacha mes mains, mes jambes, retirant la massue et le ruban. J'allais enfin être libre! Je me relevais pour pouvoir partir quand je sentis une pression sur mes épaules. Sans pouvoir résister, je fus à nouveau allongée, cette fois-ci sur le dos en travers de la table, les jambes dépassant d'un côté, la tête de l'autre. Les trois gars de toute a l'heure me tenaient, l'un au niveau des épaules, les deux autres avaient saisi chacun une cheville qu'ils maintenaient près de ma tête. Le capitaine s'est présenté entre mes jambes.

- Je vais enfin te baiser! Ta petite chatte à l'air tellement accueillante, trempée comme elle est.

Et d'un coup, il enfonça sa queue tout au fond de moi. Il commença de lents mouvements, savourant chaque instant. De l'autre côté, l'un des gars avait saisi ma tête, à l'envers, et enfonçait sa verge dans ma bouche. Cette position libérait complètement ma gorge et il put s'insérer en entier facilement. Les deux autres avaient lâché mes jambes et placé mes mains sur leurs queues pour que je les branle tout en jouant avec mes seins, sans aucune douceur, me procurant autant de plaisir que de douleur.

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