Episode 04: Voyage au Maroc.

Informations sur Récit
Rencontre avec Ibrahim le Marocain
3k mots
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8.4k
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Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/07/2022
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Sandra_78
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Episode 4. Voyage au Maroc. Lundi 5 juillet 2021

J'avais changé ces derniers temps. J'avais perdu une sorte de joie de vivre. Je souriais moins. Je mangeais moins. Je rêvais beaucoup, toutes les nuits. Des rêves érotiques, bizarres, extrêmes. Des sexes autour de moi, gros, marrons, des dizaines de sexes qui me touchent, me caressent, puis des centaines. Je suis au milieu de centaines de grosses queues qui flottent autour de moi. Des yeux noirs me regardent. Je suis nue, il fait chaud, sombre, humide. Des yeux tout autour de moi. Je ne peux plus bouger. Des tentacules visqueuses me chatouillent les pieds, montent le long de mes chevilles, mes mollets, mes cuisses. Elles me pénètrent. Je les sens rentrer dans ma chatte et mon cul. D'autres tentacules pénètrent ma bouche. Je sens des mains partout sur moi. Mon corps est recouvert de cette substance blanche, gluante. Je m'entends jouir et jouir encore. Lorsque je me réveille, je suis bouillante, transpirante, mouillée. Je rêve parfois plusieurs fois par nuit.

J'étais également beaucoup plus attentive aux gens que je croisais dehors, aux hommes surtout. Partout, tout le temps. Lorsque je marchais, lorsque je faisais mes courses, dans les transports en commun. En voiture aussi, dans les embouteillages, aux feux rouges. Je les regardais, les scrutais, les dévisageais. J'étais attentive à leur démarche, leur corps, leur forme, la couleur de leur peau.

Je passais davantage de temps dans ma salle de bain. J'étais devenue presque maniaque. Ma chatte était rasée de près. Mon cul aussi, épilé. Pour mon hygiène intime, j'avais acheté des crèmes et des gels lavant que j'utilisais chaque jour. J'avais également acheté une poire en plastique ainsi qu'un embout qui se fixe au bout du flexible de douche, pour le lavement anal. J'utilisais aussi des crèmes pour mes fesses, mon ventre, mes seins. Et je me maquillais tous les jours, plutôt sobrement.

Mais pourquoi tout ça? Et pour qui? J'étais célibataire, divorcée. Mais je faisais des rencontres depuis peu. Certes, ces moments avaient été purement sexuels, brutaux, sales.

Mais je devais être impeccable si une occasion se présentait. Je devais être « prête à l'emploi » en quelque sorte.

J'avais également acheté sur internet de la lingerie, des tenues sexy, des talons hauts. Pas des grandes marques, souvent des premiers prix ; mon salaire ne le permettait pas. Mais j'avais besoin de mettre mon corps en valeur, d'attirer les regards, je voulais que les hommes me regardent avec envie.

Je passais aussi beaucoup de temps devant mes miroirs chez moi. Essayage de sous-vêtements, tenues diverses, chaussures. Je me regardais nue aussi ; de face, de dos, de profil. Je m'inspectais. C'est à cette époque que j'ai fait mes premiers selfies, nue devant mon miroir, à 46 ans.

Oui je changeais. Je n'étais plus la Sandra timide et fleur bleue, un peu effacée. Je devenais quelqu'un d'autre. Mais qui?

Une semaine plus tard après ma balade nocturne, en ce début juillet, le lundi commençait mal. Les urgences s'enchaînaient au bureau. Un gros appel d'offres agitait toute l'équipe commerciale dont j'étais l'assistante. La journée fût tendue jusqu'au soir, entrecoupée de pauses café et de grignotage, sans déjeuner. Vers 20h30, la tension retombe enfin et je pars du bureau. J'ai faim, et me souviens que mon frigo est presque vide. J'ai encore le temps de passer par l'hypermarché à 10 minutes en voiture.

Arrivée sur place, je prends mon tote bag dans le coffre, récupère un petit caddie, pénètre dans le magasin et commence à arpenter les rayons. Je fais rapidement les basiques pour ne pas rester trop longtemps : salade, quelques légumes, cuisses de poulet, jambon, œufs, yaourts, fromage, fruits. Je marche rapidement dans les rayons. En me dirigeant vers les caisses, je traverse la zone du textile. Mon regard est attiré par les sous-vêtements en promotion. Je tombe sur un ensemble noir très transparent, string et soutien-gorge, et une nuisette noire en résille, elle aussi transparente. Bien sûr les matières n'étaient pas de grande qualité, mais vu le prix (le tout pour 30 euros), je mettais ces articles dans mon caddie. Je prenais également d'autres strings dans des couleurs différentes, un lot de 3 culottes en coton et plusieurs paires de bas, beaucoup moins cher que les dim up.

Je filais à nouveau vers les caisses et commence à faire la queue. Devant moi, une mamie, visiblement pas pressée. J'entends derrière moi une voix qui parle en Arabe. C'est vrai que depuis quelques temps mon oreille est sensible à cette langue. Je me retourne et je vois un homme au téléphone, avec juste quelques articles de bricolage dans un sac. Tout en discutant, il me regardait, moi et mon caddie. Ma lingerie était bien visible sur le dessus. Il était en short et polo, de taille moyenne, large, épais, trapu, un mélange de muscles et de gras qui faisait de lui quelqu'un de très imposant, comme un catcheur. Il avait les cheveux courts, une barbe courte également, des sourcils épais, et semblait très velu. Le col ouvert de son polo laissait voir son épaisse toison. Ses jambes imposantes et ses gros bras étaient également très poilus. Sa voix grave était très directive au téléphone. Je me suis retournée plusieurs fois et à chaque fois nos regards se sont croisés.

En fait, j'étais attirée par lui. Ce côté force brute, dominant, autoritaire. Oui je l'imaginais sur un ring de catch, les muscles tendus, faisant voler ses adversaires. Une masculinité à son paroxysme. Je me sentais comme une petite chose à côté de lui. Mes sens étaient en éveil. La mamie devant moi déversait ses courses sur le tapis à la vitesse d'un escargot, la file n'avançait pas. Il était derrière moi, tout proche, je sentais sa chaleur, son odeur. Il arrêta sa conversation téléphonique et rangea son téléphone.

Son bras effleura le mien. J'ai senti ses poils caresser ma peau, et j'ai eu la chair de poule. Je me suis à nouveau retournée, mon épaule a touché son torse. Mon visage était proche du sien qui me surplombait. Il me collait presque. Ou plutôt était-ce moi qui le collais.

Ce fût à mon tour d'accéder à la caisse. Je déballais mes affaires sur le tapis. Il scrutait ma lingerie, me regardait, puis revenait sur mes dessous. Passée à l'autre bout de la caisse, je le regardais également avec insistance. Que devais-je faire? L'aborder?

Je paye, lui lance un regard, fais demi-tour, et m'éloigne doucement vers la sortie. Après une dizaine de mètres, je me retourne. Je le vois de loin payer en liquide ses articles, puis commencer à marcher vers moi. Je reprends mon chemin, doucement, une dizaine de secondes, et me retourne encore en marchant. Il est à quelques mètres. Me regarde. Arrive à mon niveau. Il met sa main sur mon caddie et le stoppe.

- Alors, qu'est-ce qu'on fait?

- ...je... je ne sais pas...

- T'as une voiture?

-..oui

- Ok, on va à ta voiture. Moi j'en ai pas, on m'a déposé. Tu me ramènes chez moi? C'est à 5 minutes.

- ...euh...ok d'accord

Il avait un fort accent Arabe. Je commence à marcher en direction de ma voiture. Il est à côté de moi, ne dit rien, regarde les boutiques de la galerie marchande. Je nous vois dans le reflet des vitrines, on dirait un couple. Nous sortons du magasin, marchons sur le parking et arrivons à ma voiture. Je mets mes courses dans le coffre, ramène mon caddie, reviens et monte au volant, alors qu'il est déjà assis côté passager. Je claque la portière, tourne mon visage vers lui. Il met sa main gauche derrière mon cou, me tire vers lui et m'embrasse. Pendant que sa langue rentre dans ma bouche, je sens sa main droite se poser sur l'intérieur de ma cuisse et remonter rapidement sous ma robe. J'ouvre mes cuisses pour lui faciliter la tâche, et ses doigts touchent mes lèvres à travers ma culotte. Il me titille quelques secondes, puis retire sa main, qu'il dirige vers son short. Il arrête de m'embrasser, et avec sa main toujours derrière mon cou, il me baisse la tête. Sa queue est sortie. J'ouvre ma bouche qui arrive sur son gland et je commence à le sucer. Sa bite est grosse et je peine à la faire rentrer profondément. Je le suce quelques minutes, puis il me prend par les cheveux et me remet à la place du conducteur. Il rentre sa queue.

- Allez démarre. On va chez moi.

J'essuie légèrement la salive sur mes lèvres, rabaisse ma robe, puis démarre. Il m'indique la route pendant une dizaine de minutes. Il ne dit rien d'autre. Nous arrivons au bord d'un petit terrain avec une dizaine de caravanes.

- C'est là. Tourne, rentre et va au fond. La blanche là-bas. C'est là que j'habite.

La nuit était en train de tomber, de vieilles caravanes délabrées étaient de chaque côté d'un chemin en gravier. La plupart n'avaient plus de roues et reposaient sur des parpaings. La sienne était au fond du terrain. Je me gare à côté et nous sortons de la voiture. Il me précède, contourne la caravane, ouvre la porte, monte les 2 marches. Je le suis.

Il allume une petite lumière, ferme la porte derrière moi. L'intérieur est sommaire, années 70, fait de bois et de plastique. Un évier inox, une table rétractable, une petite gazinière. Au fond, un canapé orange, en U, qui je suppose fait office de couchage. Des petits rideaux coulissants transparents ornent les hublots. Il pose ses quelques articles de bricolage, enlève ses baskets et son polo. Je découvre ses pectoraux, ses abdos, son ventre un peu rebondi, ses poignées d'amour. Il déboutonne ensuite son short puis l'enlève. Il est nu face à moi. Il est massif. C'est une force de la nature et comme je m'en doutais, il est extrêmement poilu, partout. Sa queue, dont j'ai eu un aperçu dans la voiture, est également imposante.

- Alors chérie, déshabille-toi.

Je fais glisser les bretelles de mes épaules, et descends ma robe, que j'enlève et pose à côté de l'évier. Je me débarrasse ensuite de mon soutif, de ma culotte, et termine par mes baskets.

- Viens là, chérie

Je fais deux pas. Il me prend par la taille, me colle à lui, m'embrasse, passe ses mains dans mon dos, puis sur mes fesses, qu'il agrippe et malaxe. Mon corps est contre son corps. Je sens un tapis de poils, doux et chaud, je sens sa queue coller mon ventre et qui commence à grossir.

Puis il me prend par le bras et m'amène au fond de la caravane, me pousse sur le canapé. Il s'agenouille et écarte mes cuisses, me tire vers lui, approche sa bouche de ma chatte et commence à me lécher.

Sa langue explore tous les petits recoins, glisse sur mes lèvres, mon clitoris, rentre dans mon vagin, ressort, rentre à nouveau...Un doigt pénètre ma chatte, puis deux, ils font des allers-retours pendant que sa langue stimule mon clitoris. J'aime ça. Je prends mes seins, les caresse, pince mes tétons. Puis je sens un doigt mouillé se rapprocher de mon anus. Il rentre doucement, un peu, un peu plus loin, encore un peu plus loin. Sa langue est toujours sur mon clitoris. Le plaisir monte en moi. Puis un doigt vient à nouveau dans ma chatte pendant qu'un autre est dans mon cul. Ils commencent à aller et venir en même temps. Oui, son index est dans ma chatte, et son majeur est dans mon cul. Sa main s'active, de plus en plus vite, ses doigts glissent, rentrent et ressortent, mes gémissements se font plus forts, s'accélèrent, ça monte, je viens, je viens, je vais jouir, je vais jouir...

- ... OOHHHHOUIIIIIIIIII...OUII...OUIIII...AAAAHHHHHHHH...

Je me contracte, me plie, me déplie, me cambre. Je reste là quelques secondes, les cuisses écartées sur le canapé. Puis il se lève. Je vois à nouveau son corps poilu en entier. Sa queue est grosse, tendue vers le ciel. Elle m'attire. Je glisse à ses pieds et me mets à genoux. Je saisis sa queue et commence à me caresser le visage avec, en le regardant. Mes joues, mes lèvres, mon nez, mon front... Puis je lèche ses couilles et commence à le masturber lentement. Ma langue remonte le long de sa queue, je la lèche de bas en haut, de haut en bas. Puis son gland rentre dans ma bouche, ma langue tourne autour, ma salive coule dessus. Je rentre un peu plus sa queue dans ma bouche. Elle est grosse, ma bouche est pleine, j'essaie de faire de mon mieux. Je suce sa grosse queue à genoux quelques minutes.

Puis il me prend par les épaules, me lève, me fait faire demi-tour. Il est derrière moi. Je me penche en avant, mes mains se posent sur les coussins. J'écarte mes jambes et me cambre. Je suis excitée, mouillée. Je veux qu'il me prenne. Je veux qu'il me baise.

Je sens son gland se poser sur ma chatte, puis sa grosse queue rentrer doucement, progressivement.

- ...Mmhhmmmmmmm... mmouiiiiimmhhhh...

Il commence à me prendre par derrière. Le rideau du hublot devant mon visage est à moitié fermé. Je distingue quelques lumières dans les autres caravanes là-dehors. Qui d'autre habite ici? Je sens ses coups de reins puissants. Ses mains tiennent fermement mes hanches. Il me baise de plus en plus vite, ses couilles claquent, mes seins ballottent dans tous les sens. Je gémis, je souffle. Je commence à pousser de petits cris. Ça vient, ça monte. Je gémis plus fort, encore, encore, il va me faire jouir...

- - AAAHHHHHHAAAA...MMMHHOOOOOOOHHHHH...MMMMMHHHHHMMMM...

Je jouis très fort, et bruyamment. Je crie. Ma bouche fait de la buée sur le hublot juste devant moi. Il vient en même temps que moi, presque en silence. Je le sens se contracter, grogner. Il se vide dans ma chatte. Il reste quelques secondes encore, puis se retire. Je me relève et me tourne vers lui.

Je m'approche. Je pose mes mains sur son torse. Puis mes lèvres sur les siennes. Deux baisers sur sa bouche, puis sur sa joue. Je descends doucement. J'embrasse son cou, son épaule, son torse. Je descends encore. J'embrasse son ventre, son nombril. Je m'accroupis. J'embrasse sa queue. Du sperme coule encore de son gland. Je le mets dans ma bouche et le suce. Quelques instants de gourmandise. J'avale.

Je me relève. Il fait un aller-retour à sa cuisine, boit quelques gorgées d'eau et me tend la bouteille. Il enlève le dessus orange du canapé, sort d'un placard mural un coussin dur et rectangulaire entouré d'un drap blanc, le place au milieu, par terre. Avec les autres morceaux du canapé, ça fait un grand lit. Il me tire par le bras et je m'allonge à ses côtés.

- ...Ecoute, je ne peux pas rester, il faut que je rentre chez moi...

- Reste un peu chérie, il est pas encore trop tard.

- ...Je travaille demain matin, il faut que je rentre...

- Reste, pas longtemps, reste un peu avec moi.

Je dois partir mais à cet instant je suis bien. Heureuse. Sereine. Je décide de rester un petit peu, contre lui, nue. Il s'appelle Ibrahim. Il est Marocain, il a 10 ans de moins que moi, 36 ans. Il a un permis de travail d'un an, travaille sur des chantiers de rénovation. Il habite ici pour dépenser très peu dans son logement. L'argent qu'il gagne lui permettra de finir sa maison au Maroc, non loin de Safi, dans les terres. Les autres habitants des caravanes sont comme lui, du Maghreb, font la même chose que lui. Quand il aura fini sa maison, il me dit qu'il m'invitera. Il me fera visiter le Maroc, nous passerons du bon temps. Il me décrit des paysages, des villes, des plats savoureux. Ce catcheur imposant est presque un poète. Mon esprit vagabonde dans les souks et les ruelles des médinas...Mes yeux se ferment...Il fait chaud, je porte une djilbab élégante et un hijab qui couvre mes cheveux, je marche à côté d'Ibrahim et nous déambulons dans les ruelles...Chaleur, vent tiède...je m'endors...

A 6h, le réveil d'Ibrahim sonne. J'ouvre les yeux sur un plafond en plastique. Je suis nue. Je suis déboussolée. Je mets quelques secondes pour raccrocher les wagons. Merde, je me suis endormie ici. Il est 6h. Je dois partir, rentrer chez moi, me doucher, et repartir au travail. Ibrahim est déjà debout. Je sens une chaleur humide parfumée, il a dû prendre une douche. Je me lève, je lui fais un rapide baiser sur la bouche, enfile mes sous-vêtements et ma robe, remets mes baskets. Je vois dans un petit miroir que mon maquillage n'est plus ce qu'il était et que mes cheveux sont en bataille. Pas le temps, je m'en occuperai chez moi.

- ...Au revoir Ibrahim... il faut vraiment que j'y aille

- Salut ma chérie...je vais partir aussi

J'ouvre la porte et sors de la caravane. 5 ou 6 hommes sont là, regroupés à quelques mètres, à côté d'une camionnette. Ils me dévisagent, regardent mes jambes, mon visage.

- اوه, مرحبا يا رفاق

- أهلاً

Ils sont tous Arabes. Je me souviens qu'Ibrahim m'en a parlé hier soir. Il les salue et les rejoint. Ils échangent ensemble et je ne comprends évidemment rien. Je vais à ma voiture, monte à l'intérieur, démarre et fais demi-tour pour partir. Je passe devant le groupe d'hommes et fais un signe de la main à Ibrahim, qui me répond. Les autres me suivent du regard. Je sens leurs yeux sur moi. Des yeux sombres, presque accusateurs. Ils savent très bien ce qui s'est passé cette nuit. M'ont-ils entendue? M'ont-ils vue à travers un hublot de la caravane?

Je sors du petit terrain et reprends la route. Je ne dois pas traîner. Curieusement je ne suis pas fatiguée. Je me sens légère, épanouie. Ibrahim m'a fait du bien. J'ai aimé ce moment. Je reconnais rapidement les environs et file en direction de chez moi. Zut, je m'aperçois que nous n'avons pas échangé nos numéros de téléphone. Zut zut zut. J'aimerais bien le revoir, peut-être, je ne sais pas, et je n'ai pas son numéro. Mais bon, en tout cas, je sais où il habite.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

et la suite a quand

bipassifchdomibipassifchdomiil y a presque 2 ans

suivi par Maitre Pol, bravo ainsi que pour ton histoire

MaitrePolMaitrePolil y a presque 2 ans

Hummm ta perversité me plait, je vais suivre ta descente dans le vice histoire d'agrémenter mon propre plaisir et qui sait une nouvelle histoire en résultera-t-elle. Je t'accorde 5 étoiles pour tes premières débauches.

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