Episode 03: Balade Nocturne.

Informations sur Récit
Je marche dans la nuit, et je rencontre Amir et Wassim
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Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/07/2022
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Sandra_78
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Episode 3 : balade nocturne. Samedi 26 juin

Ce qui s'était passé les 15 derniers jours venait de stopper brutalement mes 2 années de désert sexuel et faisais voler en éclat mes certitudes. D'abord je m'étais offerte à un rebeu inconnu dans un parking ; puis il était revenu chez moi 2 semaines plus tard à l'improviste. Pour me baiser, il n'y a pas d'autre mot. Et à aucun moment je n'ai dit non. Je me suis laissé faire, j'ai tout accepté de lui. Moi qui voulait « flirter », retrouver « l'amour » après ma séparation, j'en étais très loin...

Il est reparti de chez moi hier soir vers minuit. Après avoir pris une douche, je me suis couchée dans mes draps sales et humides. Et ce matin, au réveil, je repense à cette soirée, à mes orgasmes, à lui. Je divague sur mon lit en regardant dehors. Allez debout, il faut que je me lève.

Après deux heures de ménage, de lessive et après avoir fait ma toilette, je suis sortie pour faire quelques courses, puis je suis revenue chez moi pour grignoter. Il faisait chaud et lourd, le ciel était sombre. J'ai passé mon samedi après-midi chez moi, en jogging, entre ma cuisine et mon canapé, à zapper, écouter la radio, de la musique, surfer sur ma tablette. Pas envie d'aller courir, ni de voir des amies, ni même de faire du shopping. Le temps passait. Les mêmes images revenaient dans ma tête, les mêmes sensations, la même voix grave, le même regard.

Mon téléphone était toujours près de moi. Je guettais un sms ou un appel manqué. Et s'il appelait? J'allais répondre? Ou pas? J'avais vraiment besoin de lui? De quoi avais-je vraiment besoin d'ailleurs? D'un homme? De sexe? D'attention? D'amour? Et si je prenais de la distance?

En tout cas, mon après-midi était vide, comme mon appartement. Vers 20h, j'ai ouvert une bouteille de vin blanc et sorti des chips. Depuis le confinement et le télétravail, j'avais pris cette mauvaise habitude de boire un verre chaque soir. Parfois deux. Parfois plus. Je bois l'apéro sur mon balcon, j'ai une chaise, une petite table et une chaise longue. Je suis légèrement protégée des regards par quelques plantes. J'ai la vue sur le parking et le petit parc de la résidence. Je regarde les allées et venues.

Le temps passe. Il est maintenant 21h30. J'ai fini la bouteille de vin et je suis un peu saoule. Je n'en n'ai pas d'autre, mais il me reste du porto. Je me ressers un verre dans la cuisine. En passant, je me regarde dans le miroir qui est collé sur la porte d'entrée. Je me dis que finalement je ne suis pas si mal. Je pose mon verre, enlève mon jogging. Je me regarde nue, sous toutes les coutures. Oui, je ne suis pas trop mal pour mon âge. Je suis encore fine. J'aurais aimé avoir de plus gros seins, mais ils se tiennent. Je n'ai pas de cellulite. Mon ventre est plat. Mes fesses sont petites et rondes. Je me rapproche du miroir pour vérifier mes parties intimes. Ma chatte a l'air encore jeune et je suis bien rasée de ce matin. Mon anus est lisse, légèrement rosé. Je suis loin d'être un top model, mais à ce moment-là, je me plais.

La nuit tombe. Mes lumières sont éteintes. Je ressors discrètement sur le balcon en faisant attention qu'il n'y ait personne, et je m'assois nue sur ma chaise longue. Je sens l'air sur mon corps. Encore un verre de porto. Les lumières commencent à s'allumer dans les appartements de la résidence. La nuit tombe encore un peu plus et l'air devient frais.

J'ai soudain envie d'aller faire un tour, marcher dehors. La nuit m'attire. Je quitte mon balcon, rentre à l'intérieur et ferme la porte-fenêtre. Je marche jusqu'à ma chambre, pas très droit. J'ai envie de lingerie. Pour moi. Je ne veux pas forcément voir des gens. Mais j'ai envie de porter quelque chose qui me fait plaisir. Me sentir belle. Après tout c'est samedi soir. J'ouvre l'un de mes tiroirs et commence à farfouiller. Mon choix se porte sur un string et un soutien-gorge en dentelle noire. Avec des escarpins noirs. Je me regarde dans le miroir de la chambre. Parfait. Quelle tenue avec ça? Mes mains se baladent dans mon armoire, je sors des jupes, des chemises, je les range, rien ne va. Je ne retrouve pas ma robe noire qui serait parfaite, je mets seulement la main sur ce trench coat léger qui allait avec, une sorte d'imperméable noir en toile avec des boutons. Je suis un peu frustrée. Mais...Et si...?

J'enfile ce manteau noir, qui m'arrive à mi-cuisses. Je me regarde à nouveau dans le miroir. Oui. Une fois fermé, personne ne verra rien. Personne ne verra que je ne porte ni jupe ni chemisier, juste mes dessous. Mais franchement, je dois être un peu saoule pour avoir cette idée. Est-ce que j'ose? Est-ce que je sors comme ça? Qu'est-ce qui m'arrive depuis 15 jours?

Bah...et puis ce sera amusant. Ça doit être agréable. Je verrai bien. Allez Sandra, go. Je repasse par la cuisine, je prends un dernier verre de Porto pour me donner du courage. Je n'ai pas besoin de mon sac à main, mais je récupère au cas où le petit étui qui contient ma carte d'identité et ma carte bleue, que je range dans une poche, avec mon téléphone. Me voilà partie.

Une fois dehors, je quitte rapidement ma résidence. Il est 22h30. J'essaie de marcher droit, les verres de vin font leur effet, et mes escarpins ne me facilitent pas la tâche. Je sens la matière du manteau toucher ma peau. Je ressens une sensation à la fois connue et étrange. Bien sûr, je sais ce que c'est que d'être en sous-vêtements sous une robe. Mais sous un manteau, c'est différent. Ce n'est pas une question d'épaisseur ou de nombre de couches. C'est plutôt le côté incongru, contraire aux usages. Un côté excitant. Je repense à ce moment aux hommes exhibitionnistes surgissant de derrière un arbre et ouvrant leurs imperméables pour montrer leurs attributs... Je ris toute seule.

Je marche dans les rues un peu au hasard. J'ai d'habitude un bon sens de l'orientation mais le vin me joue des tours. Le bruit de mes talons résonne. J'entends une voiture ralentir derrière moi, puis arriver à mon niveau. Je continue à marcher. La fenêtre passager s'ouvre et le conducteur m'interpelle en roulant doucement.

- Hé, mademoiselle, je vous raccompagne?

Je le regarde. C'est un homme d'une cinquantaine d'années, un peu bedonnant. Belle voiture. Mais je n'ai pas envie qu'il me raccompagne. Je suis bien, là, à marcher. En tout cas, de dos, je lui ai fait de l'effet. Ça me plaît. Ça doit être l'effet lingerie qui ne se voit pas.

- Non merci. C'est gentil de votre part mais je vais continuer.

- Vous êtes sûre? Vraiment ça ne me gêne pas, ça me fait plaisir. Vous avez l'air de ne pas marcher droit! Une soirée difficile?

- Vraiment, non, merci beaucoup. Bonne soirée.

La vitre se referme et la voiture part rapidement. Il aurait pu dire bonsoir. Je continue à marcher. Il est 23h. J'ai tourné dans une zone pavillonnaire. Il n'y a plus du tout de circulation, simplement des voitures garées. Je marche plus doucement en regardant les maisons.

A une dizaine de mètres de moi, deux jeunes sortent d'une voiture garée. Je suis surprise et je m'arrête. Ils ont aussi l'air surpris de me voir, et me regardent. L'un est simplement vêtu d'un short de foot et porte des claquettes. Il est torse nu. L'autre est en jogging, aux couleurs du PSG de bas en haut. 2 rebeus d'une vingtaine d'années. Ils fument tous les deux et à l'odeur ce ne sont pas des cigarettes. Ils me dévisagent en tirant sur leurs joints. Après quelques secondes, je me remets à marcher. Au fur et à mesure que j'approche, l'odeur d'herbe est plus forte. Je voulais passer devant eux le regard droit mais mes yeux se posent sur l'homme en short. Son torse, ses pectoraux, ses abdos, ses cuisses... j'ai du mal à relever mes yeux. J'approche encore. Ils se sont tous les deux adossés à la voiture, et je vais passer entre eux et la haie d'une maison. Au moment où j'arrive à leur niveau, l'homme au survêtement me fait un clin d'œil, sans rien dire, tandis que l'autre réajuste son short en me regardant. L'élastique claque sur sa peau. Par réflexe je baisse mes yeux sur sa taille, et distingue une forme oblongue sous le short.

Je suis passée. Je continue à marcher, sans doute pas très droit. Je me dis « ne te retourne pas ». Evidemment, 5 secondes plus tard, je me retourne. Ils sont maintenant côte à côte sur le trottoir et me regardent toujours en fumant, près de leur voiture. Je continue. J'ai eu un coup de chaud. Mon cœur s'est accéléré en passant à côté de ces deux mâles. Une centaine de mètres plus loin, surprise, je m'aperçois que c'est une voie sans issue, qui donne sur un parc, mais la porte est cadenassée. Je dois faire demi-tour. Me voilà à marcher dans l'autre sens. Je vais les recroiser, c'est sûr.

J'avance. Ils sont toujours là. Ils n'ont pas bougé et me font face sur le trottoir. Ils devaient savoir que c'était une voie sans issue. J'avance encore en ralentissant mon pas. Arrivant à leur niveau, je m'arrête.

- Bonsoir, excusez-moi, je pourrais passer?

- Tu t'es perdue, maman?

- ...ah...oui un peu, je me balade, mais je vais retrouver mon chemin pas de problème. Je... je peux passer?

- Attend, on n'est pas pressés...Et si tu te balades, t'es pas pressée non plus... tu veux tirer une latte?

- ...euh...non merci...

- allez...fais-toi plaisir, maman, une petite bouffée ou deux, vas-y...

L'homme en survêtement me tendait le joint devant moi. Son odeur puissante me chatouillait les narines. Ça faisait peut-être 25 ans que je n'en n'avais pas fumé. Peut-être qu'une bouffée m'apaiserait?

Je l'ai pris entre mes doigts, porté à ma bouche, j'ai tiré dessus, et inspiré longtemps. Il était très fort. Je me suis retenue de ne pas tousser. Il m'est tout de suite monté à la tête. J'ai expiré la fumée et enlevé un petit bout de tabac sur ma lèvre.

- Alors, c'est bon ça non?

- ...ouais...merci...c'est fort...ça faisait longtemps que j'avais pas fumé

- vas-y prends-en une autre, on n'est pas des radins.

C'est l'homme en survêtement qui me parlait. L'autre me regardait sans rien dire. Je pris une deuxième bouffée, inspirais longtemps en basculant ma tête en arrière et en regardant le ciel. Elle me fit encore plus d'effet que la première, et je dû m'appuyer sur la voiture pour garder l'équilibre.

- ...wow...excusez-moi, j'ai plus trop l'habitude...et j'ai un peu bu...

- on a vu, oui, tu marchais pas très droit quand t'es passée.

J'avais soudain chaud, et ma tête tournait. J'essayais de me ventiler avec mes mains sans grand succès.

- enlève ton manteau si t'as chaud

- ...euh...non...j'ai juste besoin d'un peu d'air c'est tout, j'ai pas vraiment chaud...

- allez, on va aller faire un tour en voiture, fenêtre ouverte ça te fera du bien

- ...ah...je...d'accord

- Moi c'est Amir, et lui Wassim.

- moi c'est Sandra

Amir m'ouvre la porte de la voiture à l'arrière, et je m'installe. Il prend le volant tandis que Wassim monte côté passager. Amir démarre, met la radio, on entend une musique Arabe assez rythmée. Wassim enlève ses claquettes et mes ses pieds sur le tableau de bord côté passager, genoux repliés, en continuant à fumer. Moi, j'ouvre la fenêtre. L'air me fait du bien au bout de quelques secondes. J'ai la tête qui tourne, mais cette ivresse me va bien. Je dégrafe le bouton du haut de mon manteau, qui s'est relevé un peu plus sur le haut de mes cuisses quand je me suis assise. Ce que remarque Wassim en se retournant. Il me tend à nouveau un joint, et j'entends pour la première fois le son de sa voix.

- Tiens. Ça, c'est pas la même. Qualité différente.

- ...houla...je suis pas sûre d'en reprendre...ça me casse...

- T'inquiète, vas-y. C'est tranquille. Vas-y

- ...bon...ok...

Je prends son joint alors qu'il me regarde dans les yeux. Je tire, j'inspire...je ferme mes yeux quelques secondes, les rouvre. Il me regarde toujours. Je jette un œil dehors, je vois les lumières floues des réverbères, je ne sais pas où nous sommes. Je reprends une bouffée, puis deux. J'entends cette musique Arabe, lancinante. Encore une bouffée. Je recroise le regard de Wassim, il est toujours tourné vers moi. Je n'avais pas senti qu'il avait posé une main sur ma jambe. Une bouffée de plus. Je sens une légère pression de sa main.

- Allez. Mets-toi à l'aise, tu seras mieux

- ...Je suis bien, là...vraiment...je suis bien...

- Mets-toi à l'aise. Vas-y. T'as besoin de te mettre à l'aise, t'en as envie. Vas-y, laisse toi aller. Tranquille. Allez

Amir regarde ma réaction dans son rétro tout en conduisant. Wassim appuie toujours sur ma cuisse avec sa main, et me regarde droit dans les yeux. Je commence à dégrafer d'une main un bouton, puis deux, sans ouvrir mon manteau. Puis trois, quatre, cinq. Tous mes boutons sont maintenant dégrafés, mais mon manteau est toujours fermé. Wassim prend le revers mon trench, et l'ouvre d'un coup, puis ouvre l'autre aussitôt. Il me découvre, en string et soutif noirs. Amir également dans le rétroviseur. Je jette mon joint terminé par la fenêtre et la ferme. J'entrouvre légèrement mes cuisses, jette ma tête en arrière quelques secondes, puis la relève. Wassim fait quelques hochements de tête d'avant en arrière en me regardant, puis commence à échanger avec Amir en Arabe. On a roulé, et je ne sais pas où nous sommes, je ne reconnais pas. Il y a des arbres, une petite route, pas de lampadaires, la nuit noire et les phares de la voiture. Je reste là, sur le siège arrière, manteau ouvert, la tête qui tourne toujours. Ils continuent à parler en Arabe tous les deux. Au bout de quelques minutes, la voiture s'engage sur un petit chemin, puis s'arrête après une centaine de mètres. On est au milieu de nulle part, dans une forêt, au bord d'une petite clairière. Une sorte d'aire de picnic avec une table en bois, 2 bancs de chaque côté, un panneau avec un plan des sentiers, une poubelle.

Les deux se retournent vers moi, et me mettent chacun une main sur une cuisse comme s'ils tâtaient la marchandise. Je les regarde tour à tour dans les yeux. Amir s'avance, prend le bas de mon visage avec sa main.

- Tu vas sortir de là, tu vas aller devant les phares de la voiture, à 3 ou 4 mètres, et tu te déshabilles, ok?

- ...ok...d'accord...

Je sors. Je marche en titubant le long de la voiture jusqu'au capot, fais encore quelques pas, et me retourne face à eux. Je suis éblouie avec les phares dans les yeux, debout, mon manteau ouvert, en sous-vêtements. Je fais glisser mon manteau, il tombe à mes pieds, sur le chemin en terre. Je le ramasse et le pose sur le banc en bois à côté de moi. Je distingue des bouts incandescents dans la voiture, ils ont recommencé à fumer. Puis j'enlève mon soutif et le met sur mon manteau. Je fais ensuite glisser mon string le long de mes jambes, l'enlève, et je le mets avec le reste. Je suis maintenant nue devant eux, avec mes escarpins, dans les phares de la voiture. Ma tête tourne encore. Je suis excitée, et mouillée. Amir sort de la voiture.

- Tourne-toi, fais nous voir ton cul, salope

Je fais un demi-tour. Je reste quelques secondes comme ça, puis me baisse en avant, les mains sur mes genoux, légèrement cambrée.

- Maintenant viens-là.

Je me retourne. J'approche sans vraiment trop voir. Je distingue Amir debout contre le capot de la voiture. Arrivée juste devant lui, il pose ses mains sur mes épaules et appuie. Je m'accroupis. Je découvre que son jogging est à ses pieds. Je suis face à son sexe, déjà dur. Sans attendre de mot de sa part, je prends sa queue et commence à le sucer. Il met ses deux mains derrière ma tête et pousse sa queue au fond de ma gorge.

- Je vais te baiser la bouche, salope.

Il me tient la tête, et fais des vas-et-viens avec sa queue, en mettant des coups de bassin. Je m'accroche à ses cuisses pour ne pas perdre l'équilibre. Il m'étouffe, je sens sa queue toucher le fond de ma gorge. Sa bite est épaisse, quand il l'enfonce au bout, je sens ma mâchoire ouverte au maximum, j'ai le nez dans ses poils. Puis il la ressort, et la rentre à nouveau violemment. Ma salive inonde sa queue. Oui il me baise la bouche pendant quelques minutes, j'ai des haut-le-cœur, j'ai du mal à respirer, j'ai le souffle coupé. Puis il s'arrête. Il m'attrape par les cheveux, me relève et me jette contre le capot. Il me colle la tête contre le métal, je sens le froid sur ma joue, sur mon ventre, mes seins. Il est derrière moi et écarte mes jambes avec les siennes, façon fouille policière. Puis je sens son gland se frotter sur ma chatte, et je sens sa queue épaisse rentrer dans ma chatte. Je pousse un cri.

- ...OOOHHHHHHHOOO....

Il enlève sa main qui collait mon visage sur le capot pour mieux pouvoir m'attraper par les hanches. Pendait qu'il commence à me baiser, je relève la tête en gémissant à chaque coup de queue, et je vois Wassim, à l'intérieur de la voiture, qui me regarde. Stupidement, je me sens gênée qu'il assiste au spectacle. Je suis secouée par Amir qui me pilonne, j'ai la bouche ouverte. J'essaie de contenir mes cris, de masquer mes émotions, mais je n'y arrive pas. Je fuis son regard et repose ma joue sur le capot. Après quelques minutes, je me mets à jouir très fort. Mes cris résonnent dans la forêt. J'entends Amir qui jouit à son tour. Il se vide dans ma chatte, puis je sens sa queue se retirer.

Je reprends mon souffle. Je suis toujours allongée sur le ventre, sur ce capot, les jambes écartées. Je relève la tête. Amir rentre dans la voiture et s'allume une cigarette. Wassim est toujours là. Les deux me regardent. Ils échangent quelques mots en Arabe, puis Wassim ouvre sa portière. Je me relève. Il s'approche de moi, et me gifle.

- T'es une putain de salope, toi

- ......

Je baisse la tête et je regarde par terre. Il m'attrape par le bras, me tire jusqu'à la table en bois, et m'assoit sur le banc. Il sort sa queue de son short. Grosse, et plus longue que celle d'Amir.

- Suce-moi. Montre-moi quelle salope tu es.

Je mets sa queue dans ma bouche. Son goût est plus sucré que celle d'Amir, sa peau est plus lisse. Je m'applique, je fais tourner ma langue sur son gland. Je l'enfourne doucement dans ma bouche, fais des vas-et-viens. Je passe mes mains sous son short et prend ses fesses. Elles sont dures, musclées. Je prends plaisir à le sucer. Wassim est plus beau qu'Amir. J'ai flashé dès que je l'ai vu torse nu, dans cette impasse tout à l'heure. J'ai un petit faible pour lui, c'est peut-être pour ça que j'étais gênée sur le capot de la voiture. Je le suce encore. Sa queue est dure comme du béton. Je caresse ses fesses et ses cuisses légèrement poilues. Il retire sa queue de ma bouche.

- T'aime mes fesses? T'aimes mon cul hein?

- ...euh...oui...

- Alors lèche-moi le cul salope, vas-y

Il enlève complètement son short et se tourne. Il approche son cul de mon visage, se penche légèrement et écarte ses fesses avec ses mains.

- Vas-y, lèche moi le cul, qu'est-ce que t'attends

- ...oui...j'arrive...

Je n'avais jamais fait ça et ça me dégoûtait un peu. Je m'approche en respirant par la bouche, je ne veux pas sentir. Je sors ma langue, et commence à lécher l'intérieur de ses fesses, sa raie. Ma salive coule. Puis je lèche son anus. C'est étrangement doux.

- Vas-y ma salope française, lèche-moi le cul... t'aimes ça, hein, lécher le cul des Arabes

- ...mmhhllmmm...

Je continue à lécher. Ma langue glisse autour de son anus, puis dessus. Je la rentre légèrement dedans. Je me surprends à respirer par le nez. Ça sent le cumin. Je fais passer une main par-dessous ses cuisses et attrape sa queue. Je lui lèche le cul et le masturbe en même temps. Je durcis ma langue et la rentre dans son anus, plusieurs fois. Je redescends, puis je fais courir ma langue de ses couilles à son anus, je lèche tout le long de sa raie. Mes joues caressent ses fesses en remontant. Ma bouche et mes lèvres sont pleines de salive. Puis il se relève, et se retourne d'un coup. Sa queue vient frapper mon visage.

- Maintenant tu vas bien mouiller ma queue parce que je vais t'enculer, espèce de pute, t'as compris?

Sandra_78
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