Passeport Pour Le Plaisir

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Un couple d'Américain doit passer la douane.
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Traduction d'un texte de Tony King.

****

Mon entreprise avait été mandatée par un État africain pour installer des caméras de surveillance discrètes dans des endroits stratégiques. Le gouvernement en place était préoccupé par le niveau de corruption local qui semblait avoir un effet néfaste sur le tourisme.

C'est mon deuxième mois dans ce pays et suite à des plaintes de touristes pour harcèlement et même viol, j'installe discrètement des caméras dans les salles d'interrogatoire des douanes et dans le centre de rétention de l'aéroport. En fait, les soi-disant salles de détention sont juste une rangée de trois blocs de cellule.

J'installe secrètement les caméras durant la nuit, chacune n'étant pas plus grosse qu'une pointe de stylo. Je configure les moniteurs ainsi que le matériel d'enregistrement dans un bâtiment adjacent. Alors que le dernier moniteur s'allume, je peux clairement voir le bureau des arrivées, la salle d'interrogatoire et toutes les cellules. L'une d'elle est déjà utilisée comme annexe de la prison locale et elle est occupée par des prisonniers indisciplinés, des voyous noirs, costauds, en sueur.

Un moment plus tard, mon attention est attirée par un groupe arrivant des États-Unis. Ce sont pour la plupart des natifs du pays, mais parmi la foule, deux visages blancs se détachent. Je regarde attentivement alors qu'une belle blonde approche du bureau des arrivées. Elle est grande, vêtue d'un haut licou et d'une jupe courte genre safari. De la façon dont ses seins rebondissent, il est évident qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses nichons, je veux dire ses gros seins, veulent s'évader et pendant qu'elle se déplace, tous les hommes la fixent. Elle est vraiment stupéfiante, mais se doute-t-elle de l'attention qu'elle attire.

Son mari a l'air plutôt nerveux face à cette attention, alors il lui prend le bras et l'entraîne vers la vérification des passeports.

- Votre nom? Demande l'homme derrière le comptoir.

- Jim et Judy...

Je n'entends pas le reste à cause d'un grésillement. Je note qu'il faut que je change le microphone sur cette caméra.

- Et quel est le but de votre visite?

- Ma femme est moi sommes des archéologues.

L'agent du contrôle des passeports prend son téléphone et quelques minutes plus tard un grand noir vêtu d'un costume minable apparaît. Ce gars est laid et paraît menaçant avec une grande cicatrice violette sur une joue et une autre au-dessus de son œil droit.

- Venez avec moi! Dit-il au couple.

Il les conduit dans la salle d'interrogatoire et les fait se tenir dos au mur du fond.

- Attendez là! Ordonne-t-il sèchement avant de quitter la pièce.

- Qu'est-ce qui se passe Jim? Dit la jolie blonde en s'accrochant au bras de son mari.

- Oh ne t'inquiète pas! Tu sais à quoi ressemble ces pays du tiers monde, ils n'ont probablement jamais vu de passeport américain auparavant. Ça ira, tu verras.

Quelques minutes plus tard, l'homme aux cicatrices revient, mais il est accompagné de quatre soldats qui portent les bagages du couple. Les soldats sont mal vêtus, mais ils portent chacun un fusil. Ils regardent tous Judy en entrant et rient en parlant dans leur propre langue. Le grand noir ouvre la première valise et fouille dans les affaires de Jim. Il empoche l'argent et d'autres objets. Puis il examine les affaires de Judy en sortant tous ses sous-vêtements sexy pour que les autres les voient.

- Hé, qu'est-ce qui se passe? Demande Jim.

L'homme aux cicatrices s'approche de lui et lui demande d'écarter les bras. Jim refuse. Le noir fait un signe de tête et deux soldats poussent brutalement l'Américain contre le mur.

- OK, OK! Dites-moi juste ce qui se passe! Dit Jim en écartant les bras.

Il est fouillé de la tête aux pieds avant d'être poussé brusquement de l'autre côté de la pièce.

- A vous! Dit l'homme en faisant un signe à Judy.

- Attendez! Écoutez Monsieur... Dit Jim alors que le gars pousse Judy contre le mur.

Mais il ne peut dire autre chose, car un soldat lui donne un coup de crosse de fusil dans le ventre et lui coupe le souffle.

Jim regarde avec horreur le grand homme noir passer ses mains sur le corps voluptueux de sa femme. Après les avoir passés sur l'extérieur des vêtements, il commence à devenir plus audacieux. Avec un énorme sourire affichant une rangée de dents blanches, il glisse sa main sous le haut et attrape le sein gauche. Il passe un long moment à le tripoter et à jouer avec le mamelon tout en parlant avec les soldats qui rigolent. Judy reste les yeux fermés alors qu'il continue à la tripoter. Puis l'homme défait le nœud du licou pour exposer sa poitrine aux soldats moqueurs. Judy lève ses mains pour empêcher le tissu de tomber, mais immédiatement ses bras sont saisis par deux soldats et sont forcés dans son dos.

Comme rien ne l'arrête, l'homme aux cicatrices abaisse le haut. Les seins de la blonde sont magnifiques, gros et droits avec des tétons rouge vif de la taille d'un sou. Le grand noir saisit les deux seins et tire sur les mamelons, faisant hurler la jeune femme de douleur. Puis c'est le tour de la jupe courte. Un bouton est arraché et tombe au sol et la jupe s'ouvre. Jim a un gémissement de désespoir quand il voit le grand noir poser sa main sur la chatte de Judy. L'homme aux cicatrices pousse ses doigts dans la fente et force le tissu de la culotte disparaître à l'intérieur. Alors qu'il s'amuse avec la chatte de la blonde américaine, les deux soldats qui tiennent la femme jouent avec ses seins tout en rigolant et parlant dans leur langue.

Se remettant du coup porté à l'estomac, Jim se libère des hommes et se précipite sur le grand noir en train d'agresser sa femme. Et tant qu'ex-militaire, il est encore en forme, alors en quelques secondes, il écarte l'homme. Il s'en prend aux deux soldats, mais tombe assommé au sol. L'un des autres gardes vient de le frapper à la tête avec la crosse de son fusil.

Pendant un court instant, les soldats ne savent pas trop que faire, mais l'homme à la cicatrice s'approche et commence à leur crier des instructions. Ils prennent Judy et la poussent dans une cellule vide. Elle n'est plus vêtue que de sa paire de talons hauts et d'une petite culotte noire. Jim est jeté dans la cellule adjacente, entre celle de sa femme et celle contenant d'autres prisonniers. Il y a beaucoup de cris et de sifflements de la part des autres détenus. Un soldat jette un seau d'eau froide sur Jim pour qu'il reprenne conscience.

- Alors tu veux jouer avec nous! Dit l'homme à la cicatrice avec un sourire méchant.

- Bien, nous aimons nous aussi nous amuser! Ajoute-t-il.

Il crie des ordres aux soldats qui sortent Judy de sa cellule et la jette dans celle des autres détenus. Pendant quelques instants, il y a un silence de mort. Judy se tient le dos contre les barreaux et essaie de couvrir sa poitrine avec ses bras. Les six condamnés se trouvent de l'autre côté de la petite cellule, ils ne savent pas trop que faire. Puis finalement le silence est brisé et les hommes se rapprochent de la femme terrifiée.

- S'il vous plaît, non... Jim, aide-moi... Nonnnnn....

Elle est traînée au milieu de la cellule et jetée sur une table en bois sale. Sa culotte est arrachée de force et ses jambes sont écartées dévoilant ainsi les petites lèvres roses de son sexe. Depuis sa cellule, Jim hurle, mais personne n'y prête attention. Tous les yeux sont rivés sur Judy, étalée sur la table et entourée de si hommes affamés de sexe qui s'apprêtent à abuser son beau corps à la chair blanche. Un mec est déjà en train de lui doigter l chatte, tout d'abord avec deux doigts, puis avec quatre. Elle crie alors que d'autres maltraitent ses seins déjà douloureux Son mari, Jim, regarde avec horreur les prisonniers commencer à se déshabiller.

- Vous allez voir comment nous traitons les trafiquants de drogue! Dit l'homme à la cicatrice à Jim.

Il semble apprécié la terreur de l'Américain.

- Que voulez-vous dire en parlant de trafiquants de drogue? Demande l'époux désespéré qui n'arrive pas à détacher les yeux de sa femme.

Un cri de Judy interrompt le dialogue. Un grand black bien musclé se tient entre ses jambes, les premiers centimètres de sa grosse bite d'ébène pénétrant la chatte exposée. Sans aucun remord et aucune pensée pour la femme blanche devant lui, il regarde Jim alors qu'il enfonce lentement vingt centimètres de sa bite noire. Si les doigts n'avaient pas auparavant lubrifié la chatte de Judy, elle aurait été fendue en deux. En quelques coups de reins il est au fond de sa chatte et tout en lui tenant les jambes en l'air il la pistonne et la fait crier de douleur à l'invasion brutale de son corps. D'autres prisonniers sont occupés à lui malaxer durement les seins alors que l'un d'eux force la belle bouche de l'Américaine avec sa bite sale et malodorante.

Jim est désespéré, mais ne peut rien faire pour aider sa femme. Les hommes se relaient pour baiser sa chatte ou sa bouche jusqu'à ce qu'elle reste allongée et immobile comme une poupée de chiffon dans vie. La scène dure plus d'une heure avant que les gardes ramènent Judy dans sa propre cellule et la jette sur le lit. Jim s'agenouille près d'elle et lui caresse les cheveux à travers les barreaux.

- Tout va bien Chérie, tiens bon, je vais nous sortir d'ici! Dit-il alors que des larmes de frustration et de rage coulent sur son visage.

L'homme à la cicatrice revient une heure plus tard accompagné à nouveau de quatre soldats.

- Écoutez Monsieur, je ne sais pas ce que vous voulez, mais je vous donnerai tout ce que vous voudrez. Mais laissez-nous partir! Supplie Jim.

- Signez ceci! Dit le noir en passant une feuille de papier à travers les barreaux.

Jim lit le document et se met en colère :

- Bordel, qu'est-ce que c'est? Vous savez bien que nous ne sommes pas des trafiquants de drogue. Si vous croyez que je vais signer cette fausse confession, vous pouvez aller vous faire voir!

Les dents blanches de l'homme apparaissent à nouveau alors qu'il sourit à Jim.

- Va te faire foutre! Dit celui-ci.

- Pas tout de suite! Mais nous allons nous occuper de ta femme!

La cellule adjacente est déverrouillée et Judy, dans un état semi-conscient, est entraînée dans la zone des gardes.

- D'accord, d'accord, je vais signer. N'importe quoi, mais ne lui faites pas mal à nouveau, s'il vous plaît!

- Trop tard mon ami! Tu as eu ta chance, mais maintenant mes gardes veulent s'amuser. Ricane l'homme à la cicatrice.

Les quatre soldats couchent Judy sur une table et lui écartent à nouveau les jambes. Jim peut alors voir la quantité impressionnante de sperme s'écouler de sa chatte aux petites lèvres rouges et enflées.

Un des soldats pousse le canon de son fusil de quelques centimètres dans son sexe, puis il regarde Jim, son doigt sur la détente.

- NONNNNNNN! Hurle Jim qui craint pour la vie de sa femme.

CLIC! L'homme appuie sur la détente. Le fusil n'était pas chargé. Alors que Jim n'est pas loin de la crise cardiaque, les gardes éclatent de rire à leur mauvaise blague.

- Lève-toi salope! Dit l'homme à la cicatrice en tirant Judy sur ses pieds.

De nouveau il passe ses mains sur son corps.

- Embrasse-moi salope blanche et fais le bien!

Il attrape les cheveux de Judy pour tourner sa tête sur le côté. Tout en regardant Jim, l'homme place ses grosses lèvres noires sur celles de la femme et il enfonce sa langue dans sa bouche. Il embrasse sa proie longuement et durement tout en continuant de regarder Jim. Puis il arrête est se lèche les lèvres.

- Hmmm, elle a bon goût pour une fille blanche!

Chaque soldat embrasse à son tour la femme de Jim. Judy est engourdie et reste immobile debout, les jambes écartées alors que les hommes doigtent sa chatte ou tirent ses tétons.

- Maintenant, nous allons bien la baiser! Déclare l'homme à la cicatrice.

Un soldat s'allonge sur la table et Judy est hissée au-dessus de son membre engorgé. Elle s'empale facilement dessus grâce au foutre des prisonniers. Un autre soldat se place face à elle et lui tire les cheveux pour lever sa tête. Il glisse sa queue dans sa bouche puis au fond de sa gorge, la faisant suffoquer.

Mais le pire est à venir. Alors que Jim regarde, totalement impuissant, l'homme à la cicatrice crache sur le petit trou vierge et serré de Judy. Il pousse sa salive avec un doigt sale. Judy et Jim gémissent de désespoir alors que l'homme noir ajoute un deuxième doigt dans le trou du cul.

Finalement, il remplace ses doigts par sa queue et enfonce de force les premiers centimètres. Judy crie de douleur alors que l'homme l'encule. L'homme à la cicatrice continue à s'enfoncer jusqu'à ce que s bite soit complètement enterrée dans le cul de la pauvre femme. Judy a maintenant une bite dans chacun de ses trous, et même la plus petite est deux fois plus grosse que celle de son mari. Elle a l'impression que son corps est en feu alors que chaque homme s'enfonce en elle. Alors qu'ils prennent un certain rythme à la baiser, Judy sent les picotements du désir enfler au creux de son estomac. « NON! » Crie-t-elle mentalement alors que le plaisir enfle. « S'il te plaît mon Dieu, ne me laisse pas avoir du plaisir! »

Sans relâche les soldats la baisent et le plaisir continue d'augmenter. Elle peut entendre des gémissements bruyants et elle réalise soudain que ça vient d'elle. Les hommes l'entendent et, en riant aux éclats, ils redoublent d'efforts.

- Je crois que ta femme a un penchant pour les bites noires! Crie l'homme à la cicatrice à Jim en sodomisant Judy aussi violemment qu'il le peut

- Oh mon Dieu, nooonnnn, nooonnnn, s'il vous plaît, ne me faites pas jouir...

Ses paroles se transforment en un gémissement profond quand l'orgasme la frappe. Il débute au creux de son estomac et se fraie un chemin à travers ses tétons et sa chatte pour se terminer dans son clitoris et au fond de son cul. Vague après vague, le plaisir la submerge et elle ne pense plus qu'aux trois bites qui prennent possession de son corps. Elle se sent si bien qu'elle ne veut pas que ça s'arrête.

D'autres orgasmes suivent le premier jusqu'à ce que, finalement, les hommes se vident en elle. Le premier à jouir est celui qui est dans sa bouche. Pour la première fois de sa vie, Judy suce avec ardeur une bite et elle savoure le goût du foutre chaud et crémeux qui remplit sa bouche. Elle se retrouve à faire tourner le sperme dans sa bouche avec sa langue pour déguster la texture crémeuse et épaisse tout en profitant des deux bites qui continuent à marteler son corps. Elle se sent totalement dominée et humiliée, mais, pour une raison inconnue, elle adore ça.

La bite dans sa chatte enfle et explose, envoyant une sensation gluante et chaude dans les profondeurs de son ventre.

Le meilleur est pour la fin. l'homme à la cicatrice attrape ses hanches et pilonne son cul comme un marteau-piqueur.

- Oui... OUI... Ne t'arrête pas s'il te plaît! Baise-moi fort, baise mon cul, OUIIII....!

Elle ressent chaque explosion de chaleur alors qu'il remplit son cul de son foutre chaud de noir. Elle serre son cul pour essayer d'obtenir chaque goutte que l'homme peut lui donner.

Lorsque les deux soldats restants prennent le relais, elle les accepte volontiers dans sa chatte et son cul tout en regrettant que sa bouche reste vide. Mais le problème est vite résolu quand l'homme à la cicatrice et un garde sortent Jim de sa cellule, le déshabille et le place devant sa femme excitée. Ne réalisant pas à qui appartient la queue devant elle, Judy se met à la sucer comme une pro chevronnée. Malgré sa réticence, Jim bande à la vue des deux noirs baisant en sandwich sa femme. Involontairement il bouge ses hanches au rythme qu'imposent les deux soldats. Bientôt il ne peut plus se retenir. Tout en tenant la tête de son épouse entre ses mains, il enfonce profondément sa bite dans sa bouche et il éjacule. Comme auparavant, elle avale chaque goutte et lèche la bite et ses lèvres comme pour en demander plus.

Épuisé, Jim ne peut que regarder son adorable femme crier des encouragements aux deux hommes qui la baisent. Un autre garde, qui bande à nouveau, remplace Jim à la bouche de Judy. Une fois de plus, elle a plusieurs orgasmes alors que chacun de ses trous est rempli.

Ils continuent à baiser jusqu'à ce qu'ils soient tous épuisés, mais Judy qui a atteint les profondeurs de la dépravation et dont l'esprit nage dans le plaisir et l'envie, crient pour en avoir plus. Au cours de leur onze ans de mariage, le couple n'avait jamais essayé la pluralité, ni même un trio. Et bien que Judy en rêvât, elle avait toujours refusé d'essayer par peur des MST. Mais maintenant elle semble s'en ficher, son cul, sa chatte et sa bouche avides de sperme frais. Elle ressemble à une pute affamée de bites.

Maintenant que les soldats sont trop fatigués pour continuer, ils enferment Jim et Judy dans la cellule des prisonniers. En quelques secondes les hommes sont de nouveau sur la femme. Jim est forcé de s'agenouiller, la tête au niveau de la chatte ravagée de sa femme. Quelqu'un lui tire les cheveux et alors qu'il ouvre la bouche pour crier, une grosse bite noire s'enfonce dans sa gorge. Il est forcé de sucer chaque bite avant et après qu'elle a baisé un des trous de sa femme. Ils lui font lécher le foutre qui s'écoule du cul et de la chatte de Judy. Puis ils le forcent aussi à se joindre à eux pour la baiser. Jim ne peut pas prétendre qu'il n'est pas excité, car sa queue est plus raide que jamais. D'une certaine manière, il tire une satisfaction perverse d'être utilisé et abusé et de voir sa femme agir comme une salope totalement incontrôlable.

Son esprit torturé pense que comme il ne peut rien faire pour empêcher cela, ni lui, ni Judy ne sont à blâmer. Sa femme s'est délectée de ce viol et quand les hommes se sont tous vidés, elle continue à sucer des bites en espérant les faire bander à nouveau.

Finalement, Jim et Judy sont conduits dans un bloc de douche. Après s'être lavé, leurs vêtements leur sont rendus à part la culotte de Judy. Le couple s'habille, et Jim signe la confession.

- Bien! Maintenant, si jamais vous revenez dans mon pays, vous serez arrêtés. Si vous portez plainte, bien sûr nous nierons tout et nous montrerons vos aveux signés. Votre avion sera là dans trente minutes. Au revoir et merci d'avoir passé un séjour passionnant! Dit l'homme à la cicatrice en souriant.

Après avoir doigté une dernière fois la chatte de Judy, il quitte la pièce.

****

Je ne savais pas trop que faire, mais le bon sens a prévalu. J'ai déjà vendu plus de cent exemplaires de cet enregistrement et j'attends avec impatience la prochaine voyageuse blanche imprudente qui visitera ce beau pays.

FIN

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  • COMMENTAIRES
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6 Commentaires
TitidemontaTitidemontail y a 4 mois

Une histoire terriblement excitante, merci à vous.

trouchardtrouchardil y a 11 moisAuteur

Merci beaucoup pour vos commentaires.

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 11 mois

Un vrai plaisir de te lire de nouveau !!

Une histoire intense mais terriblement efficace 😍

LucasDehiLucasDehiil y a 11 mois

Superbe histoire !

ANDRERP95ANDRERP95il y a 11 mois

Cher Trouchard.

Toujours aussi bien. Comme on aime.

Merci

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