Episode 02: Visite Surprise

Episode 2 : Visite surprise. Vendredi 25 juin.

Il m'avait fallu plusieurs jours pour me remettre de mon aventure dans le parking souterrain. J'avais beaucoup réfléchi, repensé à ce moment. J'avais honte. Je m'étais comportée comme une traînée en m'offrant toute entière à cet inconnu. Pour être honnête, il ne m'avait pas forcée, je n'avais même pas résisté. Il m'a voulue, et il m'a possédée. Je me sentais salie, humiliée... mais le problème était que j'avais pris du plaisir. J'avais aimé sucer sa queue, lui obéir, le sentir en moi, et j'avais joui, deux fois.

Mais non, ce n'était pas bien. Ce n'était pas moi. Qu'est-ce que j'avais fait? J'ai repris mon job lundi matin avec beaucoup de questions en tête, perturbée. Je suis assistante commerciale dans une entreprise du BTP, en CDD. J'ai 46 ans. Je suis divorcée depuis 6 mois. J'habite en banlieue parisienne, dans un deux pièces. C'est vrai que depuis notre séparation, je traverse un désert sexuel et affectif. C'était déjà le cas avant d'ailleurs. Mon mari me trompait depuis 2 ans, je l'ai su par des sms sur son téléphone. Il ne me touchait quasiment plus. Et pendant ces deux ans, j'ai juste flirté avec deux hommes, comme une sorte de vengeance. Des histoires courtes qui n'ont pas marché. Était-ce une raison pour me comporter comme ça dans le parking?

Et puis... avec un Maghrébin. Je lui ai dit que j'aimais les Rebeus, mais ce n'était pas tout à fait vrai. Dans la vie de tous les jours ils me font peur, ils m'impressionnent. Je les trouve agressifs, souvent malpolis avec les françaises. Tout comme lui d'ailleurs. Mais alors pourquoi ai-je cédé? Et pourquoi pensais-je sans cesse à lui?

Car au bout de quelques jours, après avoir essayé de l'oublier, il hantait mon esprit. La pénombre du parking, son regard noir, ses grandes mains, son gros sexe...je faisais des rêves humides, je me réveillais mouillée, haletante.

Deux semaines plus tard, un vendredi soir, je n'avais rien prévu de particulier, pas de ciné, pas d'amis à voir. Alors j'ai décidé d'aller boire un verre en terrasse. Il faisait beau. Je décidais me mettre ma robe Lacoste bleu marine et des baskets blanches. Sans soutif, string bleu. Décontractée chic! Je faisais un petit selfie que j'envoyais à ma fille car c'est elle qui me l'avait offerte.

20 minutes plus tard, j'étais assise en terrasse avec un verre de vin blanc. Je décompressais de ma semaine de travail et de ma vie de mère célibataire. Le bar était animé, la température très douce. L'été arrivait! Ma table était dans un coin, sur une petite estrade. Un poste d'observation parfait. Je regardais les différentes tables, les gens, les couples, les personnes seules, les groupes d'amis, j'épiais leurs gestes, j'essayais d'écouter ou de deviner leurs conversations. Le vin blanc était bon. J'en ai repris un verre, puis deux. Le temps passait, paisible. C'était vendredi soir, sans contrainte, et demain grasse mat. Mon téléphone s'est mis à sonner. Numéro inconnu. Je n'ai pas pris.

Une minute plus tard, je reçois un sms. Je me dis que c'est ma fille qui répond au mien. J'ouvre ma messagerie, et là...

La photo d'un sexe, avec ce message : « Je sais que t'aime ça. Répond moi salope ». Je plaque d'un coup mon téléphone sur ma jambe et regarde autour de moi, pour voir si quelqu'un me regardait et avait vu cette photo. Heureusement personne. Je regarde à nouveau discrètement mon téléphone. Cette grosse queue marron, circoncise, tendue, oui, je la reconnaissais, je l'avais vue de près. C'était lui, l'inconnu du parking. Karim.

C'est lui qui avait essayé de m'appeler 2 minutes plus tôt. Je n'avais pas enregistré son numéro dans mes contacts suite à son précédent message. Qu'est-ce que je devais faire? Ne pas répondre? Appeler? Botter en touche? Les battements de mon cœur s'étaient accélérés et j'avais un coup de chaud. Je décidais finalement de lui répondre par sms.

- [désolée je suis occupée]

- [si t'es occupée maintenant rappelle-moi plus tard]

- [peut-être que je ne pourrai pas. Un autre jour peut-être?]

- [Pas un autre jour, ce soir. T'as compris?]

- [je vais faire de mon mieux mais c'est pas sûr]

- [je te dis que c'est sûr. Tu me rappelles c'est clair?]

Tout était confus dans ma tête. Cette photo, ces messages, les souvenirs du parking, je ne savais pas trop. Je décidais de payer l'addition et de quitter le bar. Je marchais quelques minutes pour reprendre mes esprits, dans la direction de mon appartement. Je m'éloignais du centre, les rues devenaient plus calmes, voire désertes. Je reprenais mon téléphone, regardait à nouveau cette photo. Il aurait peut-être fallu que je ne fasse rien. Mais je l'ai appelé.

- Allô? C'est Sandra.

- C'est bien...tu vois que j'avais raison, tu me rappelles.

- ...Oui...

- T'es où?

- Euh, dans la rue, je sors d'un bar, je marche, je rentre chez moi.

- Je t'attends dépêche-toi.

- ...mais où ça?

- Je suis en bas de chez toi sur le parking dans ma voiture.

Je raccrochais. Merde... J'avais oublié qu'il avait fouillé dans mon sac l'autre soir, qu'il avait mon nom, mon adresse. J'étais coincée. Inquiète. J'avais un peu peur. Quelques minutes plus tard j'arrivais en bas de mon immeuble. Je scrutais le parking. Et je vis une cigarette incandescente dans une voiture, vitre ouverte, un homme à l'intérieur. Je m'approche. C'est lui.

- Salut coquine

- ...salut...

- Y'a personne chez toi?

- ...euh...non... personne...

- Tu m'invites à monter?

- ...euh...

- Allez invite-moi, on monte.

Sans attendre ma réponse, il jette sa cigarette, ferme sa vitre et sort de sa voiture.

- Alors c'est où? Je te suis.

Je n'ai rien dit. Je me suis mise à marcher vers l'entrée de l'immeuble en regardant si des voisins étaient à leur fenêtre. Il me suivait de près. Nous montons les 3 étages. Je rentre avec lui, je referme la porte à clef.

Sans rien dire, il visite mon salon, ma cuisine. Regarde par la fenêtre. Il revient vers moi, tout près de moi.

- Alors elle t'a plu la photo de ma queue?

- ...euh...

- Bien sûr qu'elle t'a plu sinon je serais pas là hein? Dis-moi que t'as aimé ma photo

- ...oui...j'ai aimé...

- Et t'as aussi aimé la dernière fois dans le parking hein ma cochonne?

- ... euh...oui...

- Mais oui t'as aimé ça ma salope. Et t'en redemandes. Tu kiffes ma queue de rebeu. Tu kiffes ce que je t'ai fait, comment je t'ai prise.

Il prit mon visage entre ses mains et m'embrassa. Je fermais les yeux. Il sentait la cigarette. Sa langue allait profondément dans ma bouche, allait et venait, et ça me faisait des picotements dans le bas-ventre. Je sentis ses mains descendre le long de ma robe jusqu'à mes fesses. Je commençais à être excitée. Tout en faisant tourner sa langue autour de la mienne, il prenait mes fesses à pleines mains, les tâtais, les malaxais. Il arrêta de m'embrasser et je rouvris les yeux.

- Bouge pas.

Il fit quelques pas jusqu'au canapé, et s'assis face à moi

- Enlève tes baskets, déshabille-toi.

Après quelques secondes, j'enlève mes chaussures et je commence à remonter ma robe le long de mon corps. Je l'enlève complètement et la jette sur un fauteuil.

- T'avais pas de soutif, cochonne. Joli string bleu. Descend le à tes chevilles.

Je fais glisser mon string le long de mes jambes, il tombe sur mes pieds, à mes chevilles. Je suis nue, debout au milieu de mon salon, face à un homme que je ne connais pas ou presque.

Et je suis excitée. J'essaie de faire un pas mais il me rappelle à l'ordre.

- BOUGE PAS. Reste là. Maintenant tu vas me dire pourquoi tu m'as invité chez toi, dis-le moi.

- ... je t'ai... tu m'as appelée, et...

- ...Dis-moi pourquoi tu t'es mise à poil devant moi. Allez...

- ...tu m'as demandé...et...je l'ai fait...

- MAIS PUTAIN ASSUME. Fais pas ta conasse. Dis-moi ce que tu veux, je veux l'entendre de ta bouche. Alors, qu'est-ce que tu veux?

- ...je...j'aimerais...j'ai envie de sexe...

- Bien. Ça y est. Continue.

- ...j'ai... j'ai envie de sexe...j'ai envie...que tu me baises...

- Voilà...et pourquoi tu veux que je te baise, hein?

- ...parce que...j'ai aimé la dernière fois...

- T'as pas aimé, t'as adoré, t'as kiffé à mort, je suis sûr que t'en as rêvé la nuit. Tu te souviens de tout. Dis-moi ce que t'as aimé exactement.

- ...J'ai aimé...tes mains sur moi...j'ai aimé...sucer ta queue...

Le fait de dire tout haut ce que je pensais m'excitait. J'entendais mes mots, j'avais les images en tête. J'étais nue.

J'étais humide. Je continuais, plus directe.

- ...j'ai aimé... comment tu m'as baisée... ta queue m'a fait jouir... j'ai aimé que tu m'encules...c'était la première fois...j'ai aimé...ton sperme...

Pendant que j'étais en train de lui parler, il avait déboutonné son pantalon et sorti son sexe.

- Et toi, t'es quoi?

- ...euh...je suis...je crois...que je suis une salope...

- Tu crois? Mais oui, t'es une putain de salope toi, t'es une petite pute française qui kiffe les queues de rebeu. Répète le, répète ce que je viens de dire

- ...Je suis... une petite pute française...qui kiffe les queues de rebeu...

- Maintenant mets-toi à 4 pattes, et viens ici jusqu'à ma queue.

Je m'agenouillais et me mettais à 4 pattes sans rien dire. J'avançais jusqu'à lui.

- Enlève-moi mon jean et mon calbute.

Je prenais son jean ouvert et son boxer, et je le glissais le long de ses jambes. J'enlevais ses baskets, puis le débarrassais de ses affaires pendant qu'il enlevait ton tshirt.

Une fois nu, il écarta les cuisses. Toujours à 4 pattes, je me rapprochais de son sexe. Sa grosse queue marron, tendue, épaisse.

Il est assis sur mon canapé, les cuisses ouvertes. Il me regarde. Mes mains remontent le long de ses cuisses. Ma bouche se pose sur ses couilles. Je pose mes lèvres, je les embrasse délicatement, puis je fais quelques baisers sur sa queue. Je redescends, commence à lécher ses couilles pendant que je prends sa queue dans ma main. Elle est dure, chaude, je ne fais pas le tour avec ma petite main. Je le masturbe lentement pendant que je lui lèche les couilles. Il me regarde avec ses yeux noirs, perçants.

- Rappelle moi ce que tu es.

- ... je suis... une petite pute française...et je kiffe les rebeus...j'aime ta queue Karim...j'aime ta queue

A peine fini ma phrase, je commence à le sucer. Comme une récompense, j'avais enfin sa queue dans ma bouche. Je m'applique, fais des allers-retours. Je la fais rentrer profondément. Sa grosse queue me remplit la bouche. Je sens ma chatte mouillée. Je suis excitée. Je le suce de longues minutes en croisant son regard de temps à autres.

- C'est bien...maintenant tu vas venir t'asseoir sur ma queue... allez debout, tourne toi, et viens sur mon zeb.

Je me relève, me tourne, pose mes mains sur ses cuisses, approche doucement mes fesses pour m'asseoir sur lui. Il guide sa queue sur ma chatte, je descends, je la sens rentrer, je descends encore, encore...

- Mmhhhmmhhh....ohh ta queue Karim...

- Oui......tu la sens bien là....tu l'aimes ma queue hein...

- Ooh ouii...mmmhhh...

- J'aime voir ma grosse queue de rebeu dans ta petite chatte de française...oui...j'aime ça salope...

Je commence à monter et descendre sur sa queue. Je sais qu'il regarde sa bite rentrer en moi, ça l'excite. Je fais des mouvements de bassin, tantôt danse du ventre, tantôt twerk, tantôt hula hoop... je bouge...je l'entends respirer fort derrière moi, je pense que ça lui plaît. Et moi je prends du plaisir, j'aime ça. Il claque mes fesses de ses deux mains pendant que je m'empale sur sa queue pendant plusieurs minutes. Soudain il me pousse sur le côté.

- Viens on va dans ta chambre.

Je tente de me lever du canapé mais il me prend par la main et me met à terre.

- Tu vas y aller à 4 pattes. Je te suis. Vas-y.

Je traverse le salon à 4 pattes, puis le couloir. Il est derrière moi. J'arrive à ma chambre.

- Monte sur le lit, et tu restes à 4 pattes.

La lumière reste éteinte mais ma chambre est éclairée par un réverbère dehors. Je me mets à 4 pattes sur mon lit. J'écarte mes jambes, me cambre. Je le sens arriver derrière moi, je sens son gland arriver contre ma chatte, se frotter, et puis...

- MMHH Aaahhhhhh....

Il rentre sa queue d'un coup, met ses mains sur mes hanches et commence à me baiser. Il me met des grands coups, rapidement, je sens sa grosse queue rentrer et sortir, me remplir, le plaisir monte en moi.

- T'aimes que j'te baise hein sale pute...

- ...mmhh...oui...oui...mhhh...

- Tu la kiffe ma queue algérienne hein... t'es une salope française à rebeu toi, hein...

- ...oui...oohh...oui...oui...mmhhm...oui...

Puis il crache sur mon anus, plusieurs fois, étale sa salive. En me baisant il me rentre un doigt dans le cul, le ressort, le rentre, le ressort. Mon cul est aussi humide que ma chatte. Soudain je sens un objet plus gros qui me pénètre. C'est froid, en plastique je pense. Il me le rentre profondément.

- ...aahh...ahhh... qu'est-ce que c'est...?

- C'est le manche de ta brosse à cheveux, c'était sur ta commode au bout du lit

Il la retire de mon cul et l'approche de ma bouche.

- Tiens, suce-la, ça rentrera mieux

J'ouvre ma bouche sans broncher et suce le manche plusieurs secondes. Puis il le remet à nouveau dans mon cul, tout entier. Sentir ce manche et sa grosse queue me fait jouir quelques minutes plus tard. Je fourre ma tête sous mon oreiller et laisse échapper mes cris étouffés, je jouis, jouis encore... Puis il retire sa queue, puis ma brosse à cheveux...et je sens sa grosse bite rentrer dans mon cul.

- ...AAHHHHH... oohhh ouiii....mhhmmhh...

- Oui je t'encule ma salope...je mets mon gros zeb dans ton petit cul de salope

- ...ouiii...encule moi Karim...mmmhhh ...ooohhhh...

Il accélère le rythme. Sa queue glisse toute seule dans mon cul, je la sens en moi, aller et venir. Il grogne derrière moi, respire fort, il me pilonne. Après quelques minutes, il retire sa queue et la rentre à nouveau dans ma chatte.

- Je vais gicler dans ta chatte, je vais te remplir de sperme petite pute

Il recommence à me baiser fort et rapidement. Le plaisir monte à nouveau en moi. Oui...je vais encore jouir, je m'abandonne...Pendant que mon oreiller étouffe à nouveau mes cris, je sens un râle profond derrière moi, de forts grognements...Puis je sens sa queue immobile au fond de mon vagin, cette chaleur me remplir, puis ses soubresauts. Il tombe sur moi, sur mon dos. Je sens tout son poids. Son bassin fait encore quelques mouvements, quelques dernières petites giclées. Au bout d'une minute, il se retire et bascule sur le côté, il s'allonge sur le dos. Moi je suis sur le ventre, un peu étourdie de mon dernier orgasme. Puis je me tourne, et m'assois sur mon lit dos au mur. Le réverbère éclaire toujours légèrement la chambre.

Il a les bras croisés au-dessus de la tête, il regarde dehors. Mes yeux descendent jusqu'à son torse, son ventre, sa queue, en train de débander mais encore grosse. Je me rapproche de lui, me glisse le long de son corps, descends jusqu'à son nombril. Je commence à lécher le sperme sur son bas ventre, puis sur sa queue. De haut en bas, sur les côtés, je bas en haut. Je lèche. Puis je termine par son gland, que je mets dans ma bouche et que je suce somme un bonbon. Encore une dernière goutte de son sperme. Je fais durer ce moment. Puis il se lève.

- Viens avec moi.

Il me prend par la main et me tire du lit. Je le suis sans rien dire. Il rentre dans la salle de bain.

- Mets-toi à genoux dans la douche.

Je rentre dans la douche, me mets à genoux, et lorsque je relève la tête, il tient sa queue à la main, se rapproche de moi.

Et il commence à uriner sur moi.

- ...mais...attends...je... c'est pas...

- Tais-toi. T'es ma pute. Je marque mon territoire tu comprends? Ouvre ta bouche

- ...mais...je...

- Ouvre ta bouche putain.

Son urine chaude glissait sur mon corps, mes seins, mon ventre, mes jambes. Puis j'ouvris ma bouche. Il aspergea mon visage, puis visa ma bouche. Les yeux fermés, je la sentais se remplir de ce liquide salé, amer. Un haut le cœur me faisait recracher, mais j'ouvris à nouveau ma bouche, et elle se remplissait encore. Il termina par pisser à nouveau sur mes seins pendant que je recrachais sur moi ce que j'avais dans la bouche.

- La prochaine fois tu la boiras.

Il prit une serviette et essuya sa queue.

- Bon je me casse.

Il sortit de la salle de bain et fila vers le salon. Je me relevais, m'essuyais sommairement avec la même serviette et le suivais.

Il se rhabilla rapidement et se dirigea vers la porte d'entrée.

- Tu ne veux pas un café?

- Non c'est bon j'y vais. A bientôt ma petite pute. Je te rappelle.

- A bientôt Karim.

La porte se referme. J'entends ses pas dans les escaliers. Je me retourne. Je vois mes chaussures, ma robe, mon string au milieu du salon. J'éteins la lumière et vais à la fenêtre. Je le vois monter dans sa voiture, démarrer, partir. Je retourne dans ma chambre, j'allume une petite lumière. Le lit est en vrac, les coussins par terre. Je vois de grosses taches de sperme sur les draps. Je touche, le sperme est encore liquide. Je sens mes doigts, puis les mets à ma bouche. Je reprends du sperme avec mes doigts, en met sur mes lèvres, mes joues. Je récupère également le sperme qui coule à l'intérieur de mes cuisses et l'applique sur ma bouche. Puis je vais à la salle de bain.

Je rentre, et me regarde dans la glace. Je sens la pisse. Je suis maquillée au sperme. Je viens de me faire baiser et enculer pour la deuxième fois par un rebeu dont je ne sais rien. Et j'aime ça.

Karim a raison : je suis une salope.