Educatrices Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Elles s'approchèrent de la corbeille, palpant avec attention les cucurbita-cées, observant le choix de leurs adversaires, jetant des coups d'œil au score elles tentaient de déterminer les chances de chacune en fonction de l'objet de leur choix.

Françoise, choisit un légume de diamètre démesuré, les autres la regar-dèrent faire, le sourire aux lèvres, certaines de son futur échec, néan-moins par mesure de sûreté, elles choisirent tout de même des légumes aux diamètres conséquents.

Allongées sur le dos, cote à cote elles ne pouvaient voir le comportement de leurs rivales, aussi s'appliquèrent-elles toutes à réussir dans leur entreprise.

Une nouvelle fois les rondelles se dilatèrent, les intestins avides se remplir, Murielle et Sylvie les gros pals enfoncés dans le rectum se redressèrent, puis Fabienne, souriante le cul comblé en fit autant et toutes trois, le fondement toujours dilaté par leur exploit, se joignirent aux garçons pour apprécier les vains efforts de Françoise.

Il paraissait impossible que son oeillet puisse admettre un tel calibre, la disproportion entre le fruit monstrueux et son mignon troufignon était trop importante.

Le gourdin dérapait sur l'anus gras, elle s'entêtait, le replaçait, forçait à nouveau.

Enfin Françoise parvint à en appliquer l'extrémité mafflue sur sa rondelle, elle poussait désespérément, rien n'y faisait, bien que son anus soit re-poussé vers l'intérieur, le légume n'entrait pas.

Déjà ses trois adversaires se réjouissaient quand le muscle annelé sembla se retrousser épousant la forme oblongue.

La tête du fruit était passée.

L'anus prodigieusement dilaté, Françoise s'accorda un instant pour souf-fler, la douleur irradiant son muscle malmené s'estompait lentement.

L'opération paraissait cependant encore invraisemblable, quand dans un dernier et violent effort Françoise se poignarda véritablement les reins.

Un cri de souffrance inhumain sortit de sa bouche, la figure ravagée par la douleur elle ne croyait pas encore en son exploit, et pourtant l'énorme légume avait disparu jusqu'à la racine dans sa gaine démesurément élargie.

Elle se sentait comblée hors de toute proportion, son intestin ne pouvant s'habituer à une telle plénitude elle s'effondra en sanglotant sur le dos.

Ebahis, enthousiasmés par l'exploit les trois aînés se précipitèrent pour la débarrasser de l'énormité qui risquait de léser sérieusement son trou, ils ne purent l'attraper.

Heureusement le cul béant permit à Miloud de visser un tire-bouchon dans la pulpe et d'arracher avec un floc sonore la bonde qui lui déchirait les entrailles.

Sans même mesurer le monstrueux légume, les quatre points lui furent attribués.

Les autres cucurbitacées extraits, puis mesurés, Charles inscrivit le score définitif , les trois cadets le regardaient faire impatients de savoir laquelle de ces belles putes leur serait dévolue, pour la même raison les trois femelles en concurrence pour la dernière place suivaient ses ges-tes, l'air craintives.

Le score décisif était maintenant établi :

Fabienne 16

Françoise 17

Murielle 19

Sylvie 18

C'était donc Fabienne qui serait livrée à la folle lubricité des trois pu-ceaux, qui contenterait tous leurs instincts même les plus pervers.

Les trois jeunes se réjouissaient, la belle bourgeoise, à l'allure guindée leur convenait parfaitement, les yeux luisants de convoitise, ravis de leur soirée ils l'entraînèrent, abasourdie, sans réaction, vers leur chambre.

Enchantées de leur performance, qui leur évitaient de se voir livrée aux trois jeunes puceaux pour combler tous leurs désirs, les trois gagnantes, se relevèrent, péniblement et escortées de leurs maîtres gagnèrent leurs chambres respectives.

Pour elles non plus la soirée n'était pas terminée, échauffés comme ils l'étaient leurs propriétaires seraient difficiles à contenter.

Dés la porte franchie, Gérald, Mohamed et Robert arrachèrent, plus qu'ils n'ôtèrent leurs vêtements.

Ebahie, Fabienne contemplait leurs jeunes virilités dressées comme des mats.

Pour tous trois la nature s'était faite généreuse, malgré leurs jeunes ages ils arboraient des flamberges qui auraient contentés bien des adultes.

Impatients ils se jetèrent sur Fabienne, la palpant, la griffant, lui mordil-lant les pointes des seins, lui tirant les poils du pubis, affolés par le désir ils ne savaient pas trop par où commencer.

Enfin Gerald s'allongea sur elle, il trouva d'emblée l'orifice convoité et d'un furieux coup de reins il s'enfonça jusqu'à la garde entre les babines juteuses, son impatience était telle qu'en trois coups de reins il éjacula bien calé au fond de sa matrice, de même Mohamed puis Robert qui l'enfourchèrent successivement ne purent refreiner leurs ardeurs et à peine introduits ils lui crachèrent leur venin au fond de sa craquette l'em-plissant de sperme crémeux.

Ils n'allaient cependant pas en rester là, les nombreux films pornographiques qu'ils avaient disséqués ces derniers mois leur avaient enseigné bien des pratiques qu'ils voulaient tester.

Son ardeur renaissant déjà, la bite se redressant fièrement Gerald sollicita ses lèvres, il franchit la frontière des dents, se frotta longuement sur la langue, réclamant de son initiatrice plus de participation si elle voulait éviter qu'ils ne se plaignent aux grands.

Pliant sous la menace, Fabienne s'efforça de le contenter, sa bouche se fit plus douce, ses lèvres coururent sur la hampe dressée, sa gorge se fit plus profonde, en de lents va-et-vient le gland de Gérald venait à l'orée de la bouche, puis s'enfonçait profondément dans l'arrière gorge, re-poussant la luette de sa pipeuse puis recommençait le même cycle.

Par un certain mimétisme ses cuisses copiaient les mouvements de ses lèvres, elles s'entrouvraient révélant le sexe englué, puis se refermaient mollement, Robert de nouveau s'allongea sur elle, bien décidé cette fois à faire durer le plaisir.

Il entama un branle puissant sur un rythme soutenu, Mohamed n'avait plus qu'une solution, il demanda à Robert et Gerald de lui permettre l'ac-cès au cul de la belle.

Sans sortir de son con, lui empoignant les hanches, Robert roula sur lui même, Gerald dont la bite avait quitté l'antre chaud de la bouche, lui re-colla son vit en pleine gorge tandis que les mains impatientes de Moha-med lui écartaient déjà les fesses

L'anus béait encore à la suite des différentes épreuves qu'il avait enduré, sans effort Mohamed lui introduisit sa flamberge dans le cul.

Robert s'était immobilisé pour faciliter l'introduction anale.

Fabienne sentait les deux la remplir à bloc, ils accordèrent d'instinct leur rythme.

Les deux pals lui massaient le périnée, les sensations se faisaient trop fortes, son esprit déjà échauffé par le déroulement de la soirée cédait aux vagues de plaisir, son bassin se mit à remuer, elle participait.

Son cul remontait s'enclouant jusqu'aux couilles sur la bite de Mohamed, puis absorbait voracement le vit de Gerald jusqu'à la matrice, sa bouche onctueuse procédait par à coups sur la queue de Gerald.

Elle l'aspirait voluptueusement jusqu'à la glotte puis la repoussait du bout de la langue, mordillait le frein et la reprenait à pleines bouches, ses mains se posèrent sur les couilles de son amant de tête, les lui tripotè-rent, les caressant, les frottant contre son menton.

Dans un saut de carpe Gérald se planta au fond de da gorge, le nez en-foncé dans les poils de son pubis elle sentit les frémissements convulsifs qui s'emparaient de sa byroute, l'agitant de soubresauts nerveux tandis qu'en longs jets il lui inondait la bouche, elle téta sa liqueur salée jusqu'à

la dernière goutte, ne consentant à libérer le chibre ramolli qu'une fois certaine de lui avoir vidé les couilles .

Ses deux chevaucheurs perdirent brutalement le rythme et tandis que son bassin aussi s'affolait, les spasmes lui secouant avec la dernière in-tensité la matrice elle sombra dans l'orgasme alors qu'en même temps Mohamed lui crachait sa purée au fin fond des entrailles et Robert se vi-dait encastré jusqu'à la garde dans son fourreau.

Epuisés, les couilles à plats, les trois cadets s'endormirent emmêlés sur elle.

Les yeux grands ouverts elle écoutait son cœur se calmer, elle sombra aussi dans le sommeil le con et le cul débordant de foutre chaud.

Tout le dimanche, elle livra son corps à leur lubricité, leur enseignant en cours accéléré toutes les possibilités d'un beau corps de femme totale-ment disponible.

En ce week-end de folie, les quatre femelles comprirent que cette jouis-sance inouïe qu'elles avaient prises à ces coucheries devait beaucoup aux humiliations subies la veille lors du concours qui les avait opposées.

Si leur corps s'était maintenant fait aux rudes étreintes dont les pension-naires les gratifiaient, leur âme s'habituait à jouir dans la contrainte, la clandestinité, l'humiliation, la soumission.

Coulybaca

janvier 2008

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