Educatrices Ch. 06

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Les 18 ans des cadets, le concours.
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Partie 6 de la série de 10 pièces

Actualisé 09/15/2022
Créé 05/13/2008
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Coulybaca - Texte personnel.

Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.

Chapitre 6 : Les 18 ans des cadets, le concours

Les semaines, puis les mois passèrent, les quatre femelles étaient main-tenant sous totale influence, chaque week-end l'infirmière et les deux éducatrices mettaient leurs bouches, leurs cons, leurs culs à l'entière disposition de leurs maîtres qui ne se privaient pas de les utiliser fré-quemment.

La pharmacienne, propriété commune, ne passait pas la totalité de cha-que week-end en leur compagnie, mais était tenue de leur consacrer le samedi ou le dimanche quand elle ne pouvait plus, elle leur livrait cha-que semaine son emploi du temps pour la semaine suivante.

De plus, en semaine, souvent le mercredi ils leur faisaient la surprise d'une visite qui se terminait chaque fois par des ébats dans le lit conjugal

Aucune des quatre n'avait plus de velléité de résistance, elles se pliaient à tous leurs caprices, mêlant volupté et honte dans un cocktail de jouissances.

Cependant, les plus jeunes commencèrent à murmurer, ils n'avaient pas été sans remarquer les allées et venues suspectes des quatre jeunes femmes.

D'abord étonnés de ces visites régulières, ils ne tardèrent pas à flairer un coup fumant, et se mirent alors à épier leurs aînés.

Ils notèrent d'entrée les tenues érotiques des jeunes femmes le week-end ; leurs vêtures contrastant fort avec leurs habituels habits de travail.

Samedis, dimanches, fini les jupes longues, les pulls ras du cou, les pantalons androgynes, ils laissaient place aux mini jupes, aux corsages échancrés, transparents.

Ces premières constations les incitèrent à approfondir leurs investigations .

Ils déployèrent des trésors d'imagination pour en savoir plus.

Robert, le plus inventif, peut-être parce que le plus déluré, mit au point un dispositif infaillible qu'ils expérimentèrent tous avec rapidité.

Ils fixèrent un petit miroir sur le dessus de leurs chaussures, il leur suffi-sait alors de le glisser avec discrétion sous les jupes de ces dames pour découvrir leurs avantages en toute impunité.

C'est seulement à ce moment qu'ils virent leurs soupçons les plus déli-rants confirmés : elles se baladaient sans culottes ces salopes!

Leur opinion faite, ils s'attachèrent alors aux gestes de leurs aînés, sans surprise, ils observèrent les mains fouineuses passer sous les jupes, les imaginèrent palpant les cramouilles désirées, pinçant les fesses opulen-tes, se régalant de tous ces chairs normalement interdites.

Combien de branlettes exigèrent ces observations, ils auraient pu seul le révéler!

Puis les langues se délièrent, ils osèrent des plaisanteries douteuses :

- Tiens encore Miloud la main au panier... Au panier de Fabienne bien sur... Qu'est ce qu'il cherche? La figue?

- Alors tu veux tapisser? Tu cherches la colle?

- Et Stephan... Regarde il cherche le sel ou la crème?

Puis il testèrent leurs réactions, caressant furtivement sous leurs yeux les appâts convoités.

Aux premiers heurts avec les aînés soucieux de voir respecter leurs biens, ils insinuèrent que personne n'avait intérêt à voir ces pratiques dévoilées, laissant planer un doute, une menace diffuse.

Réunis en conseil, les aînés décidèrent que mieux vaudrait sacrifier une de leurs proies plutôt que de risquer une éventuelle divulgation.

Ils résolurent donc d'en offrir une en pâture à leur juvénile lubricité.

Ils préféraient passer pour des bienfaiteurs plutôt que de se faire forcer la main, ce qui pourrait advenir s'ils ne bougeaient pas, leur autorité étant trop fortement battue en brèche par la convoitise des plus jeunes.

Justement, l'occasion se présenta rapidement, avec le mois d'avril arrivaient aussi les anniversaires de Mohamed, Gérald et Robert, ils attei-gnaient tous leurs 18 ans.

Ils convinrent de les fêter le même soir et en cadeau de leur offrir leur dépucelage.

Les quatre femmes devraient amener pour cette soirée une tenue de soubrette modèle : petit tablier blanc et coiffe.

Une des quatre baiseuses, leur serait offerte en guise de cadeau.

Il leur parut amusant de soumettre les quatre belles à des épreuves qui détermineraient le nom du cadeau.

Ils montèrent une compétition ou chaque jeu attribuerait un certain nom-bre de points aux concurrentes, la perdante serait dévolue au plaisir des cadets.

Elle serait chargée d'initier les trois puceaux aux joies du sexe, bien entendu, elles ignoraient totalement le programme de la soirée.

Le vendredi soir, elles arrivèrent donc toutes quatre dans leurs tenues habituelles.

L'IME déserté par les autres pensionnaires, elles furent sommées de préparer le repas d'anniversaire, tâche dont elles s'acquittèrent soigneusement.

A peine le repas était-il prêt, le couvert mis en place par les plus vieux, qu'elles durent revêtir les atours appropriés au service, seul détail important, elles ne portaient en tout et pour tout que leurs tabliers blancs ceints à la taille et leurs coiffes.

Les bras chargés de plats, elles pénétrèrent dans la salle à manger, et là se trouvèrent confrontées aux regards des trois cadets, aussi enchantés que stupéfaits du spectacle.

Rouges de honte elles posèrent les plats sur la table et s'enfuirent dans la cuisine.

Miloud qui les avait rejointes se vit obligé de les menacer de futures représailles, il dut même distribuer quelques claques, avant de les voir se résoudre à réintégrer la salle des réjouissances.

Dès leur retour, applaudies par les trois jeunes, elles se rangèrent au co-té de Stephan qui annonça alors le déroulement de la soirée.

- Gerald et Robert et Mohamed, pour vos dix-huit ans, nous ne savions pas quoi vous offrir, aussi a-t-on décidé que pour vous ce jour serait mémorable... Vous savez que ces quatre salopes nous obéissent au doigt et à l'œil, ce soir, l'une d'entre elle partagera votre lit... Vous en ferez ce que vous voudrez... Ce sera votre cadeau d'anniversaire!

- Pour savoir de laquelle vous disposerez pour le week-end, nous avons organisé un concours après le repas... En attendant elles vont nous servir dans cette tenue, vous pourrez vous régaler les mains et faire connaissance avec leurs culs, une des quatre sera à vous pour 48 heures et on vous apprendrez rapidement comment bien vous en servir!

- Allez les salopes au boulot!

Chacune à son tour chaque jeune femme dut présenter un plat aux convives, les trois autres, dos tournés leur exposant leurs fesses cris-pées par la honte et l'angoisse.

Chacune leur tour, elles sentirent les mains fureteuses des trois cadets inventorier leurs charmes.

Aux premiers contacts furtifs, frôleurs, les trois jeunes n'osant pas, d'em-blée, peloter des adultes, la profanation étant trop évidente, succédèrent des gestes plus appuyés.

Encouragés par leurs aînés rigolards, ils relevèrent les tabliers, s'assurè-rent de la couleur de la toison de ces dames.

Puis sur les invitations pressantes de leurs aînés, ils se firent plus hardis, des mains fiévreuses s'aventurèrent sous la bavette des tabliers, estimèrent la lourde fermeté des seins offerts, palpèrent les culs exposés, fouillèrent les entre fesses velus, les craquettes ouvertes.

Des doigts agiles s'introduisirent dans les vulves tendues, les anus furent palpés puis visités, bientôt aucune des trois n'eut plus de particularité anatomique secrète.

Aucune ne l'aurait avoué, mais ces multiples pelotages, leur avaient échauffé les sens, si chacune était au bord des larmes de devoir se lais-ser tripoter par les jeunes mains inexpertes, si le rouge de la honte leur montait aux joues de sentir ces doigts de puceaux violer leurs sexes et leurs entrailles, aucune ne pouvait non plus nier l'humidité suspecte qui sourdait de leurs ventres lesquels se tendaient maintenant vers les ca-resses inexpérimentées.

Miloud, au coté duquel, leur service achevé, elles venaient se placer, testa l'état de leurs moules et les trouvant gluantes à souhait se chargea d'en informer la tablée :

- Regardez moi ces cochonnes, il a fallu les forcer... Et maintenant... Elles ont le cul trempé... Des vraies fontaines!

Elles durent, alors livrer chacune leur tour leurs sexes aux investigations de leurs maîtres, qui confirmèrent les observations de Miloud.

Plus que le plaisir qu'elles avaient prises à ces manipulations, la révéla-tion de ce plaisir les anéantissait.

Le repas terminé, elles desservirent, tandis que les trois aînés, invitant les trois cadets à prendre place sur le divan préparaient les accessoires du concours.

La véritable soirée commençait .

A l'annonce de leur prénom, elles vinrent se ranger face à leur public, Miloud les invitant alors à se présenter plus en détail.

Sur son ordre elles quittèrent leurs tabliers et exposèrent leurs cramouilles aux yeux attentifs.

Le dos fléchi en arrière, le sexe tendu elles durent en écarter les grandes lèvres, révélant aux yeux écarquillés des trois plus jeunes la richesse de leur carnation.

Chaque vulve entrebâillée révélait tous ses détails habituellement dissimulés.

Du doigt, Miloud leur fit une petite leçon d'anatomie, désignant claire-ment les grandes et petites lèvres, le méat urinaire, l'entrée du vagin à la chair plus rose, et le clitoris surmontant l'ensemble de la cicatrice.

Frottant son doigt dans la fente de ses dames il leur montra les secrétions luisantes qui garnissaient maintenant copieusement les chattes étalées.

Puis se tournant elles durent écarter les fesses, exhibant leurs anus fripés, crispés d'appréhension.

Introduisant le doigt les trois aînés firent remarquer au jeune public ravi d'une telle aubaine, l'élasticité des oeillets maintenant bien rodés.

Ecarquillant les rondelles soumises il leur précisa qu'on pouvait aussi prendre son plaisir dans ces réceptacles, leur révélant l'utilisation qu'on pouvait faire des trois orifices naturels de ces dames.

La confusion des quatre salopes était maintenant à son comble, de se voir reléguées au rôle de poupées éducatives, leur faisait tout craindre de l'avenir proche.

Elles avaient bien raison, dès le début du concours elles surent que leur déchéance serait totale.

Pour la première épreuve, elles déambulèrent dans la pièce, un fin crayon de bois planté dans le sexe.

La règle était simple, la première qui le laisserait chuter ne marquerait q'un point, la seconde deux, la troisième trois et la dernière quatre, à l'issue des épreuves qui seraient toutes notées suivant le même principe, celle qui totaliserait le plus petit score serait livrée à la convoitise des trois cadets.

Le vagin contracté sur le fin vit qui les garnissait, elles marchaient lentement, bassin crispé, cherchant à retarder la chute fatale, le jeu durait depuis quelques minutes, lorsque les gars impatients d'en voir la conclusion se mirent à leur claquer les fesses.

La croupe ondulant sous les coups, des petits cris plaintifs aux lèvres elles cherchaient encore à enrayer l'issue, soudain la petite bite gluante glissa de la moule de Fabienne, un bruit mat soulignant sa chute, les cuisses serrées les trois autres continuaient à se dandiner, Françoise puis Murielle perdirent leurs crayons.

Miloud félicitant la gagnante inscrivit le score au tableau noir :

Fabienne 1

Françoise 2

Murielle 3

Sylvie 4

Stephan préparait déjà le matériel pour la seconde épreuve : quatre petites bouteilles de Perrier et un banc.

Il disposa les quatre bouteilles cote à cote sur le banc, puis lia les mains des quatre concurrentes dans leurs dos et leur exposa la règle tandis que Charles leur enduisait largement le sphincter anal de graisse.

-- Cul bien graissé, mains liées dans le dos, vous devrez saisir le goulot de la bouteille avec l'anus et vous relever, la première qui se tiendra droite la bouteille bien fichée dans les fesses aura gagné, on commence au signal... Attention... Partez!

Toutes quatre se précipitèrent, ouvrant désespérément les fesses, elles s'accroupirent au dessus des bouteilles et lentement cherchèrent à s'empaler sur les phallus de verre.

Mais la graisse faisait déraper les goulots, ils remontaient dans l'entre fesse, la concurrente devait alors se remettre en position.

Dilatant fortement son sphincter pour pouvoir se saisir de l'objet de sa convoitise, l'anus écarquillé sur le goulot, Murielle commença de se rele-ver péniblement, elle allait y parvenir lorsque son cul éjecta le corps étranger, elle qui avait frôlé l'exploit dut reprendre la bouteille entre les dents pour le disposer à nouveau sur le banc.

Pendant ce temps, l'anus tétant voracement le goulot, Françoise parvint à se redresser puis ce fut Fabienne.

Telle une ventouse son cul avait aspiré la bouteille qui disparaissait presque entre ses fesses accueillantes, enfin Murielle se releva, il fallut attendre encore quelques instant avant de voir Sylvie la bouche déformée par l'effort, le cul crispé sur le goulot fuyant se redresser.

Miloud afficha le nouveau score :

Fabienne 5

Françoise 5

Murielle 5

Sylvie 5

L'égalité parfaite .

On ne délia pas les mains des quatre femelles pour l'épreuve suivante : une bougie fichée dans le cul , elles devaient en allumer la mèche à une autre bougie posée sur le banc.

On leur enfila chacune un gros cierge dans le fondement, leurs gaines étranglèrent l'objet pour le tenir en place, la mèche à allumer dépassant de cinq centimètres des fesses.

Tortillant du cul, le visage dévissé sur l'épaule elles approchèrent lente-ment leurs masses fessues des petites flammes, Sylvie la première se brûla la croupe, son cri de douleur fit redoubler de prudence ses rivales.

Le spectacle avait quelque chose d'obscène et de ridicule.

Les gros culs, crispés par l'appréhension approchaient craintivement la flamme, chacune à son tour se brûla, chacune insista, brutalement le cul de Françoise se tétanisa , elle en perdit son appendice qui chuta au sol, elle fut déclarée perdante.

Puis dans un grésillement, les joues empourprées par l'effort, le cul cui-sant sous la chaleur, Fabienne parvint à allumer sa chandelle, et ce fut le tour de Murielle et de Sylvie .

De nouveau le score fut inscrit :

Fabienne 9

Françoise 6

Murielle 8

Sylvie 7

Fabienne et Murielle jubilaient, Françoise et Sylvie faisaient plutôt grises mines .

Après quelques instants de repos, qui permirent à tous, spectateurs et concurrents de se rafraîchir, le concours reprit.

Cette fois les quatre salopes se virent fourrer dans le vagin une lourde bille de métal, évidemment de la force de leur ventre dépendrait leur salut.

De nouveau elles durent déambuler dans la salle, le ventre crispé, cherchant à retenir la lourde boule, cuisses jointes, elles marchaient bizarre-ment.

Toutes à leurs efforts elles ne prêtaient aucune attention au spectacle cocasse qu'elles offraient.

Le jeu dura quelques minutes, visiblement elles faisaient toutes des ef-forts démesurés pour garder la précieuse bille bien au chaud dans leurs écrins.

Et l'inattendu arriva, dans un grand cri de jouissance, submergée par un orgasme fou, Sylvie roula à terre libérant son précieux otage, Fabienne à son tour, les cuisses frémissantes dut s'avouer vaincue, Françoise ex-plosa aussi dans un spasme révélateur, Murielle voyant ses rivales hors

de combat, sourit en laissant couler le gros biscayen hors de son étui.

Le score avait encore évolué, c'était au tour de Murielle de se réjouir, Sylvie elle s'inquiétait fortement à sa vue .

Fabienne 11

Françoise 9

Murielle 12

Sylvie 8

Tout peut encore changer au cours des trois dernières épreuves com-menta Miloud

- Je serai bien incapable de vous dire qui vous contentera... Ajouta-t-il s'adressant aux trois plus jeunes.

Les commentaires allaient bon train chacun y allant de son pronostic .

Enfin la partie repris.

-- Pour l'épreuve suivante, nous allons sortir! annonça Charles hilare

-- Vous allez boire autant que vous voudrez, vous pisserez debout, celle qui pissera le plus loin aura gagné!

Les quatre élues se précipitèrent sur le broc d'eau chacune éclusant plusieurs verres à la file, puis tous sortir, et à la lueur du lampadaire se mi-rent en place.

C'était surréaliste, les quatre filles, sur la même ligne, le ventre tendu en avant, les doigts pinçant les orifices urinaires, pour mieux affiner les jets, elles parvinrent toutes, en un mince filet à projeter, telles des fontaines,

de longs jets brûlants à plusieurs pas.

Les juges, silencieusement, durent avoir recours au mètre pliant pour les départager.

Toujours silencieusement ils réintégrèrent la salle à manger , et tous, concurrentes et spectateurs découvrirent en même temps la nouvelle marque.

Fabienne 12

Françoise 12

Murielle 14

Sylvie 12

Seule des trois ex aequo Sylvie heureuse de revenir au score souriait.

Les deux dernières épreuves seraient donc décisives.

Avec anxiété, les quatre femelles virent les garçons suspendre quatre brocs reliés par un tube à une canule, au mur derrière le banc, elles fu-rent priées de s'agenouiller sur le banc et rigolards ils leur enfilèrent la canule dans le trou du cul, les petits vits entrèrent facilement, les culs bien graissés lors des premières épreuves les admettant facilement.

Miloud énonça la règle :

- On va ouvrir les robinets, lorsque vos culs aborderont, ou que vous crierez grâce, ils seront refermés et on mesurera le volume de li-quide que vous aurez ingurgité, chaque broc étant gradué... Pour corser l'affaire, les robinets seront réglés sur des débits différents, ainsi vous ne pourrez pas vous régler par rapport aux réactions de vos adversaires ...

Les quatre robinets ouverts, l'eau tiède envahit en glougloutant les entrailles qui se déplièrent, s'assouplirent au maximum pour admettre le plus gros volume de liquide.

Les ventres s'arrondirent sous la pression, aucune ne voulait céder, les intestins gargouillaient, les visages crispés, déformés par des grimaces, les mâchoires bloquées elles sentaient leurs abdomens gonfler démesu-rément.

La première Murielle cria grâce, immédiatement son robinet fut fermé, son anus fut libéré de sa canule et elle dut s'écarter sans connaître la valeur de sa performance.

Tour à tour, les anus de Françoise et Sylvie laissèrent d'abord suinter un filet de liquide blanchâtre, malgré leur arrêt Fabienne faisait des efforts désespérés pour dilater son estomac et admettre encore plus d'eau, en-fin son cul déborda, une longue giclée jaillit de son anus resserré sur la canule, son intestin martyrisé la contraignait ainsi à l'abandon.

De nouveau le score fut inscrit :

Fabienne 15

Françoise 13

Murielle 16

Sylvie 16

Seule, cette fois, Françoise grimaçait, son sort était presque fixé, ses trois rivales lui adressaient d'ailleurs des sourires narquois.

Avant l'ultime épreuve elles reçurent l'autorisation de se vider les entrail-les.

Comme elles se dirigeaient vers les toilettes, Charles les arrêta et leur tendant chacune un seau les invita à se libérer au vu et au su de tous.

Elles se cabrèrent sous ce dictat, refusèrent, argutièrent, puis vertes d'humiliation, sous la pression de leurs intestins durent se soumettre à cette nouvelle humiliation, courbées sur les genoux, sous les quolibets des spectateurs ravis, elles s'exécutèrent.

Le chuintement du jet jaillissant de leurs anus, eau et matières fécales mêlées, puis crépitant sur les bords du seau rendait leur déchéance en-core plus palpable.

Les verres se remplirent à nouveau, chacun s'accordant quelques minu-tes de répit avant la décision finale.

Enfin Stephan apporta une corbeille garnie de concombres de formes et de tailles variées, chacune d'entre elles devait choisir le concombre le plus gros qu'elles pensaient pouvoir s'enfiler par le cul, puis s'exécuter.

On mesurerait ensuite la circonférence des concombres de celles qui seraient parvenus à s'en sodomiser, la taille déterminerait le nombre de points engrangés.

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