Dominant Wife 03

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Elle organise le spectacle,
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Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 12/30/2022
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Le lendemain, j'étais habillé normalement, ce qui était rare le week-end à la maison, quand Marc arriva vers 10 h. Il me serra la main cordialement et fit de même avec Hélène. Mes craintes de la veille s'évanouirent. Tout se passait comme si de rien n'était et je pouvais presque oublier que cet homme jovial avait baisé ma femme la veille. Hélène était habillée d'une jupe gris-souris et d'un chemisier beige qui cachait mal les formes épanouies de sa poitrine. Elle s'était légèrement maquillée, comme la veille, et paraissait vraiment être l'épouse faisant attention à sa personne qu'elle prétendait être.

Elle et moi restâmes au salon à lire pour elle, à travailler pour moi tandis que Marc passait dans la cuisine et en fermait la porte pour éviter les odeurs de peinture.

J'étais absorbé, sur mon ordinateur, par un problème particulièrement compliqué quand elle se leva en me disant :

« Je vais aller voir où il en est »

Occupé par ma réflexion, j'acquiesçai en attendant à peine ce qu'elle me disait. Ce n'est qu'au bout d'un bon moment que je me rendis compte qu'elle n'était toujours pas revenue. J'allais me lever pour voir ce qu'elle faisait quand elle revint. Elle vint vers moi et m'embrassa à pleine bouche. Je perçus tout de suite le goût acre et vaguement ammoniacal dans sa bouche et compris d'où ça venait. Elle l'avait sucé dans la cuisine et elle venait me faire partager le goût de son sperme. Dégoûté, je cherchai à retirer ma tête, mais elle me maintint avec force, insérant sa langue au fond de ma bouche. Cela me surprenait d'autant plus que je savais qu'Hélène n'aimait pas les fellations, en encore moins le goût du sperme. En 12 ans de mariage, elle ne m'avait sucé que trois ou quatre fois en s'était toujours retiré au moment fatidique pour me finir à la main

Quand enfin elle me relâcha, je ne pus m'empêcher de lui poser la question.

« Tu l'as sucé? »

« Oui »

Je me sentais encore plus humilié de ça que de savoir qu'ils avaient baisé la veille.

« Mais...enfin, je croyais que tu avais horreur de ça »

« Ne cherche pas à comprendre. Il y a des tas de choses que je n'aimais pas et que je commence à apprécier »

Vers 14h, Marc sortit de la cuisine.

« Bon, voilà, j'ai fini. Je passerai samedi prochain passer la seconde couche »

Je ne savais pas trop de quel seconde couche il parlait et ça acheva de me mettre mal à l'aise. Avant que j'ai eu le temps de réagir, Hélène était déjà debout et serrait la main de son amant comme si ils étaient deux étrangers.

« Merci Marc, à samedi »

Je me levai à mon tour et serrait la main de cet homme qui couchait avec ma femme et qui se comportait comme si de rien n'était.

Sitôt qu'il fut parti, Hélène me demanda de me mettre nu, comme je l'étais habituellement le week-end à la maison. Elle enleva sa culotte et s'assit dans un fauteuil, jambes largement écartées, la jupe remontée sur son ventre.

« Il m'a caressé, mais il ne m'a pas fait jouir. Viens finir le travail »

Docilement, je me mis à genoux entre ses jambes et commençais à la lécher, m'immergeant dans l'odeur puissante de son sexe et goûtant, sur ses lèvres, une mouille grasse et fade. Il ne fallut pas longtemps pour que je l'amène à l'orgasme, ses deux mains appuyant sur ma tête pour renforcer la pression de ma langue sur son clitoris.

Après avoir repris son souffle, elle se rajusta et se leva.

« Viens voir »

Je la suivis jusqu'à sa chambre ou elle me fit asseoir dans sa penderie, parmi ses chaussures, et ses robes, et ferma la porte de verre. J'étais dans le noir, sentant vaguement l'odeur de son parfum qui émanait de ses robes. Par la vitre de la porte, je voyais nettement la chambre éclairée, le lit à deux mètre de moi, Hélène qui me regardait.

« Tu vois bien la chambre de là? »

« Oui »

« Bien? »

« Oui, bien...je vois tout »

« Ok »

Elle rouvrit la porte et m'aida à sortir du placard.

« C'est impeccable, toi tu nous vois, mais nous on ne te voit pas. Samedi, tu vas avoir la chance de nous voir baiser »

« Non, Hélène, s'il te plaît...ne fais pas ça »

Elle me regarda fixement, puis s'approcha de moi et posa ses mains sur mes épaules

« Si mon chéri, nous allons faire ça...je veux que tu vois, que tu entendes...je veux savoir que tu es le témoin de mon plaisir...et je veux savoir que tu en souffres...tu ne peux pas savoir ce que ça m'excite »

Elle m'embrassa tendrement. J'étais perdu, à la fois terrifié par l'idée de la voir avec un autre homme, et désireux de participer à son plaisir, même si ce n'était qu'en témoin impuissant.

Le reste de la journée passa comme un rêve. J'étais absorbé dans mes pensées. Ce week-end avait été encore un nouveau tournant dans notre vie. J'étais maintenant le cocu chaste de ma femme. Je ne voyais pas bien comment j'aurais pu tomber plus bas.

Le lundi, je fus presque heureux de retourner au travail. Au moins, je ne pensais plus à ma situation scabreuse.

Hélène n'était pas encore rentrée quand j'arrivais à la maison. Je passai à la cuisine pour commencer à préparer le repas. Quand elle arriva, elle vint me faire une bise et retourna dans le salon pour regarder la télé. Pendant que cela cuisait, je mis la table. Elle était assise dans la banquette , un apéritif à la main, et ne fit pas un geste pour m'aider, mais j'étais maintenant habitué à ce qu'elle se laisse servir sans lever le petit doigt. Je venais de finir de mettre la table quand elle m'appela.

« Pascal, viens me masser les pieds, j'ai marché toute la journée et ça me fera du bien »

Docilement, je me mis à genoux devant elle et retirai précautionneusement ses chaussures. Elle ne faisait rien pour m'aider, se contentant de lever légèrement les pieds. Avant que j'ai eu le temps de faire quoi qu ce soit, elle plaqua un pied sur mon visage. L'odeur forte, fauve, légèrement aigre, me saisit. Elle frottait le nylon rêche humide de sueur de son bas contre mon nez. C'était assez incroyable, elle qui était avant si pudique par rapport à ses odeurs corporelles prenait maintenant un malin plaisir à me faire respirer ses pieds en fin de journée, et le plus étonnant, c'est que cette senteur puissante, réputée désagréable, me provoquait une érection douloureuse dans ma cage

« Lèche »

Je sortis timidement la langue, goûtant la saveur salée de sa plante de pied. Elle avait pris sa cuisse a deux mains pour maintenir son pied contre moi, tout en regardant la télé, tandis que moi, j'étais perdu dans mon univers olfactif. Sans dire un mot, elle inclina son pied et, comprenant l'ordre muet, je pris ses orteils dans ma bouche. La largeur de son pied tirait sur mes lèvres. Ses ongles qui me grattaient le fond de la gorge, me donnaient des haut-le-cœur. Elle resta ainsi un instant, avant de retirer son pied.

« Masse »

Je pris entre mes mains son pied maintenant mouillé par ma salive et commençai à le pétrir délicatement, appuyant mes pouces sur la plante tandis que mes autres doigts malaxaient ses orteils.

Elle avait enlevé ses mains et c'était maintenant moi qui supportais le poids de sa jambe. J'avais fini par m'asseoir part terre, absorbé par ma tâche, tandis qu'elle regardait son émission et sirotant son verre.

Au bout d'un moment, elle recommença son manège avec l'autre pied. Et je recommençai mon labeur servile. Elle finit par retirer à nouveau son second pied.

« Bon, allez, on va manger...va chercher mes mules »

Je me relevai et partis chercher ses mules dans sa chambre. Hélène était souvent autoritaire, mais je ne l'avais jamais vu aussi despotique qu'elle était ce soir. J'avais soif et un goût salé dans la bouche.

Je revins me mettre à genoux devant elle pour lui enfiler ses mules, puis nous passâmes à table.

Le reste de la soirée se passa sans incident notable. Nous regardâmes la télé, discutant des émissions comme le couple uni que nous n'avions jamais cessé d'être. Ce qui était merveilleux, c'était cette alternance entre des moments de franche domination, et des moments de complicité et de tendresse qui nous comblait tous les deux.

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