Dominant Wife 02

Informations sur Récit
La situation évolue et elle le cocufie.
6.1k mots
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1

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 12/30/2022
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Voilà notre histoire jusqu à ce matin et la sonnerie de ce satané réveil.

Je me lève péniblement et, encore ensommeillé, passe dans la salle de bain pour aller aux toilettes et prendre ma douche. La cage métallique qui m'enserre le pénis me tire un peu. Les poils doivent commencer à repousser et il va falloir que je demande à Madame qu'elle m'épile à nouveau. C'est sa nouvelle manie, elle veut que je l'appelle Madame. Pour tout étranger qui nous observerait vivre, sans aucun doute, il douterait de l'amour qui nous uni Madame et moi, mais je sais que notre manière de vivre atypique n'a rien enlevé à notre amour, au contraire, Elle prend du plaisir à m'imposer des choses de plus en plus dégradantes parce qu'elle sait que je prends du plaisir à lui obéir docilement. C'est sa manière à elle de me prouver son amour, jour après jour, et j'en ai conscience. Quant à moi, ce n'est plus de l'amour, c'est de l'adoration . J'ai toujours aimé Hélène, durant les 12 ans de notre mariage, mais jamais je n'ai éprouvé un tel sentiment que depuis que nous avons commencé nos nouvelles relations.

La douche me fait du bien et achève de me réveiller. Je n'ai pas la difficulté de choisir mes vêtements puisque le week-end, Madame souhaite que je reste nu à la maison, sauf quand nous avons de la visite.

Une fois essuyé, je passe à la cuisine. Elle aime des petits déjeuner copieux les lendemains de fête et je mets tout en place pour le préparer quand elle se réveillera. Puis je range la maison, en faisant le moins de bruit possible. Depuis que je m'occupe de toutes les tâches de la maison, Hélène est devenue incroyablement bordélique et je retrouve des affaires à elle un peu partout. Enfin, je rentre avec précaution dans sa chambre pour mettre au lavage ses vêtements sales. Dans la pénombre, je m'arrête un instant pour l'observer. Elle dort sur le dos, largement étalée sous la couette, et ronfle légèrement. Je me rappelle avec nostalgie le temps, pas si lointain, où nous partagions le même lit, ou je pouvais sentir sa chair chaude contre moi tous les jours. Je la trouve belle dans son sommeil. Elle ne fait vraiment pas son âge. Je récupère ses affaires éparses, ses bas, sa culotte, son soutien-gorge, sa robe, et sort les mettre dans la buanderie. Fidèle à mon habitude, je ne peux pas m'empêcher de sentir l'odeur fauve que ses pieds ont laissé dans ses bas , et celle plus musquée et aigrelette de sa culotte. Cela provoque inévitablement une tension pénible dans ma cage mais c'est plus fort que moi. Cela fait maintenant 12 jours que je n'ai eu aucun contact intime avec elle et ça me manque. Je fais le tri du linge et lance une machine, l'essorage ne commencera pas avant une bonne heure et elle devrait être réveillée d'ici là. De toutes façons, porte fermée, le bruit est fortement atténué.

Je regarde la pendule de la cuisine, il est 8h45. Tout est fait. Je reviens dans sa chambre et me met à genoux sur sa descente de lit, attendant qu'elle se réveille. Le temps passe...lentement...je commence à avoir mal aux genoux. Elle a cessé son ronflement et commence à se tourner et se retourner dans son lit. Je sais que c'est le signal de son réveil prochain. Et puis, elle ouvre les yeux, encore complètement ensommeillée. Elle me voit agenouillé à son chevet.

« Bonjour...quelle heure est-il? »

« Je ne sais pas Madame, 9h et demi sans doute »

Elle étouffe un bâillement par le dos de sa main et reste un moment à reprendre ses esprits. Puis elle se lève et se dirige vers la salle de bain. Elle est nue, comme d'habitude, et je reste un instant à regarder ses fesses charnues osciller doucement dans sa démarche.

« Viens »

Je la suis à quatre pattes et me place docilement à genoux entre ses jambes, tandis que j'entends le son cristallin de son urine qui tombe dans l'eau des toilettes. Une fois son envie terminé, elle se dresse sur le devant du siège pour que je puisse lécher les gouttes qui reste accrochées à ses poils ou sur ses lèvres. Ce faisant, j'inhale l'odeur forte de son sexe et celle, aigre de la pisse dans la vasque.Et toujours sans que je comprenne bien pourquoi, ce mélange de fragrance et de saveur acidulée fait naître une tension douloureuse dans ma cage. Après que j'ai consciencieusement nettoyé sa chatte des restes de sa miction, elle se relève et part dans sa chambre. Je tire la chasse, m'essuie machinalement les lèvres du dos de la main et cours vers la cuisine pour préparer son petit-déjeuner.

C'est depuis des mois maintenant, notre rituel habituel. J'ai à peine fini de préparer ses pan cakes et ses œufs bénédicte quand elle arrive dans la cuisine, vêtue d'une simple robe de chambre. À voir sa tête fatiguée et ses yeux rougis, je me doute que la soirée d'hier a été particulièrement agitée.

« Je vous sers votre petit-déjeuner Madame? J'ai fais des œufs Bénedicte »

« Oui, merci Pascal »

« Votre soirée s'est bien passé? »

« Oui, très bien...on a dansé jusqu'à 1 heure du matin...tiens, en parlant de ça, viens me masser les pieds...j'en ai besoin»

Me mettant à genoux, je passe sous la table et commence à lui prendre son pied gauche dans ma main, m'imprégnant de son odeur fauve. Ce n'est pas que cette odeur me gêne, au contraire, j'y trouve une source d'excitation nouvelle. Je masse doucement, glissant les pouces sous la plante, caressant de mes doigts ses orteils, tâtant leur texture, la dureté de leurs ongles parfaitement vernis , prenant le talon à pleine main. Comme chaque fois, je finis par le porter à mes lèvres, savourant sa saveur salée, glissant ma langue entre ses orteils, suçant son pouce dont l'ongle me griffait le palais.

Elle se laisse faire tranquillement en prenant son déjeuner. J'ai beau le savoir, j'ai encore du mal à comprendre comment nous avons pu en arriver là, moi massant et suçant ses pieds pendant qu'elle déjeunait sans sembler y prêter aucune attention. Alors que nous avions vécu en couple normalement pendant 11 ans.

Elle finit par écarter largement les cuisses, exhibant impudemment l'entrée rose de son vagin noyée dans la touffe de ses poils.

« Suce-moi »

Me redressant, je commence à caresser de ma langue les lèvres purpurines de son sexe, inhalant son odeur aigrelette. Elle n'est pas excitée et c'est davantage l'odeur de sa sueur, et un peu celle de l'urine qui imprègne sa vulve et ses poils. Habitué à cette tâche et connaissant bien ses goûts, j'alterne entre ce léchage, et la pénétration de son vagin. Je sais qu'elle n'a pas envie de jouir, seulement d'éprouver le plaisir de ce cunnilingus matinal. L'excitation que me procure ses fragrances intimes rend douloureux le port de la cage qui m'écrase le pénis et il m'est difficile d'oublier cette douleur pour me concentrer sur le plaisir que je lui procure. Au bout d'une dizaine de minutes, elle me repousse et se lève.

« Tu ranges la cuisine et tu vas faire ma chambre, moi, je vais prendre un bain...pense à changer les draps »

Une demi-heure plus tard, j'étais tranquillement assis dans le salon quand elle revient. Elle est habillée d'une robe noire serrée à la taille que je ne lui connais pas qui et met en valeur ses formes plantureuses. Elle est légèrement maquillée et porte des collants et des chaussures à talons. C'est très surprenant de la voir ainsi apprêtée un samedi, ou elle reste d'habitude en tenue décontractée. Je ne peux pas m'empêcher de penser que j'ai vraiment une belle femme et que sa maturité assumée ne fait qu'accentuer son rayonnement.

« Bon, Pascal, je sors...va mettre ton survêtement...je t'ai fais la liste de mes courses dans ma chambre »

« Bien Madame...vous savez quand vous rentrez?...je prépare le dîner? »

« Non, je ne sais pas, je te téléphone... »

Je revenais des courses quand je reçus l'appel attendu

« Allô »

« Allô Pascal...bon, finalement, je rentrerai tard ce soir, ne m'attends pas pour dîner»

La soirée s'écoule lentement et je suis devant la télé quand elle rentre vers 23h.

« Bonjour Madame »

Je l'observe attentivement. Elle paraît un peu gaie et préoccupée. Elle me répond tout en retirant ses chaussures.

« Laisse tomber le 'Madame' ce soir »

Sa réflexion et son comportement m'inquiète un peu.

« Hélène...ça va? »

« Oui, oui ça va...je vais me coucher »

Résolus à faire de même j'éteins la télé et range les affaires que j'ai laissé traîner dans le salon quand elle m'appelle de sa chambre. Elle est allongée sur le lit, nue, les cuisses largement écartées. Je sais ce que ça veut dire et, me mettant à genoux entre ses jambes, je commence à la lécher. Elle sent particulièrement fort ce soir, une odeur musquée, poivrée, animale. Je sais qu'elle veut jouir et que je dois prendre mon temps. Je commence par lécher la peau tendre de son aine, la sentant frissonner légèrement sous le contact de ma langue. Je reste un moment, sentant son excitation croître, ses lèvres se gonfler, ses cuisses s'écarter imperceptiblement. Je passe à la phase suivante en passant la langue de bas en haut sur ses lèvres commençant à goûter la texture visqueuse de sa mouille. Elle se penche sur sa table de nuit, et en sors son godemiché qu'elle me tend. Nous n'avons pas échangé une parole depuis le début, mais je sais exactement ce qu'elle veut. Me redressant j'introduis précautionneusement le phallus dans son vagin et commence de va-et-vient. Elle commence à se caresser le clitoris tandis que je continue ma tâche. J'ai le membre broyé par le barreau de ma cage et je sens des larmes me monter aux yeux. Le rythme de sa masturbation accélère, sa respiration également. Je continue ma pénétration, cherchant à calquer mon rythme sur les mouvements de son doigt. Bientôt, son excitation montant, le mouvement de son doigt devint frénétique...et tout d'un coup, elle se cambre en poussant un feulement rauque, tandis que je maintiens le phallus profondément inséré en elle...cela dure longtemps, sans doute pas plus de quelques secondes mais qui me paraissent une éternité. Puis elle se détend, retombant lourdement sur le lit. Je retire d'elle délicatement le membre souillé d'une épaisse mouille blanche et le repose sur la table de nuit tandis quelle reste affalée, cherchant à reprendre sa respiration La douleur dans ma verge n'a jamais été aussi forte.

«Viens là, dors avec moi ce soir »

Décidément, c'est un soir particulier, ça fait au moins trois semaines qu'elle ne m'a pas invité dans son lit. J'adore ça, sentir sa peau contre la mienne, l'odeur de ses cheveux. C'est le seul moment ou je peux toucher sa poitrine. Le seul inconvénient, c'est que je ne dors pas beaucoup ces nuits-là. Ma perpétuelle excitation rendant très inconfortable le port de ma cage.

Mais ce soir est exceptionnel puisqu'elle me retire ma cage avant que je m'allonge à côté d'elle tandis qu'elle remonte la couette sur nous. Ça fait une éternité que nous n'avons pas dormi nu, tous deux, dans le même lit et je me sens suprêmement bien. Je commence à m'assoupir quand elle me surprend en prenant la parole.

« Pascal, il faut que je te dise quelque chose...mais d'abord, je veux que tu saches que je t'aime. Même si notre vie est spéciale, je n'ai jamais cessé de t'aimer et je crois que ça s'est même accru depuis.Mais...enfin, j'ai envie de baiser »

Je sursaute à cette déclaration et je commence à me rapprocher d'elle

« Faisons l'amour »

Elle me repousse gentiment

« Non..non, je ne peux pas faire l'amour avec toi...pour plusieurs raisons...D'abord, je t'ai promis que tu ne me pénétrerais plus jamais, et je tiendrai parole. Ensuite, si je le libérais, tu ne pourrais sûrement pas te retenir et tu jouirais en moi en une ou deux minutes. Enfin, les relations que nous avons établis dans le couple ne supporteraient pas qu'on fasse l'amour ensemble. Non, ce que je veux, c'est baiser avec un autre homme »

J'étais catastrophé parce qu'elle venait de me dire. Je ne pouvais pas l'imaginer dans les bras d'un autre, l'embrasser, dormir avec lui. C'était inconcevable. Et il me vint à l'esprit qu'elle cherchait une excuse pour avoir un amant

« Tu...tu as un amant?....tu me trompes? »

Elle me fixe dans les yeux avec un regard sérieux

« Non Pascal, non, je n'ai pas d'amant, et n'ai aucune envie d'en avoir un au sens habituel du terme. Il s'agit juste de sexe, sans romantisme, sans amour. Je te le redis, c'est toi que j'aime et, d'une certaine façon, je trouve très romantique la façon dont tu te donnes entièrement à moi. Et je ne veux pas te tromper, je ne veux rien faire derrière ton dos. En fait, c'est pour ça que je te dis ça, je sais bien que c'est un grand changement dans notre vie et je ne le ferai pas sans que tu me donnes ton accord. Je crois que ça ne fera qu'accroître notre complicité, et j'en ai vraiment envie. Mais si tu me dis non, je ne le ferai pas et je saurai qu'il y a des limites à ta soumission »

Je sentis des larmes me monter aux yeux. Elle avait raison. C'était sans doute le don ultime que je pouvais lui faire. Mais la jalousie me dévorait à l'idée de la savoir coucher avec un autre homme et lui donner ce qu'elle me refusait depuis plus d'un an. Et pourtant, malgré toutes ces idées contradictoires, je ne pouvais m'empêcher de ressentir une excitation perverse à l'idée de m'humilier ainsi pour elle.

« Je... »

« Non, tais-toi, réfléchis, on en reparlera demain »

Elle se penche sur moi et m'embrasse tendrement, lovant sa langue contre la mienne. Cela faisait des années que nous n'avions pas fait ça.

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Je dormis encore plus mal cette nuit-là que d'habitude avec elle. Je passais par des pensées extrêmes, entre la volonté ferme de me soumettre aux désirs de ma maîtresse, et la jalousie insupportable de la savoir avec un autre. Le demi-sommeil, dans lequel je me trouvais, rendait encore plus insoluble cette alternative angoissante.

Je finis par m'endormir sur le matin. Quand je me réveillai, Hélène était déjà levée. Je passai à la salle de bain pour me doucher. Ça me faisait drôle de ne pas sentir le poids de la cage sur mon sexe et instinctivement, je rentrai en érection. Je fus tenté un moment de me masturber mais, en pensant à Hélène, je m'abstins et passais à la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. J'étais encore en demi-érection quand j'y arrivai. Hélène était en train de déjeuner et eut un un sourire chaleureux en me voyant entrer.

« Tu t'es branlé? »

« Non Madame »

« Tss, tss, aujourd'hui, je ne suis pas ta maîtresse, je suis ta femme, c'est Hélène...Tu n'as pas envie de jouir?'

« Si, bien sur, j'en crève d'envie »

« Alors pourquoi tu n'en as pas profité? »

« Parce que tu ne m'as pas autorisé à le faire »

Elle eut un regard étrange.

Je m'assis et me servis mon café.

Il y eut un instant de silence et je sentais son regard sur moi.

« Je t'aime Pascal »

«Moi aussi Hélène, je t'aime...je t'aime depuis 12 ans, et j'adore la Déesse que tu es devenue »

Nous déjeunâmes tranquillement, parlant de choses et d'autres. C'était un régal de discuter à nouveau avec elle d'égal à égal. Nous éclations d'un rire nerveux à chaque anecdote amusante comme des adolescents. Je ne m'étais pas sentis aussi complice avec elle depuis les premières années de notre mariage.

À la fin de notre déjeuner, elle me fit venir vers elle et, saisissant mon sexe maintenant flaccide dans ses mains, commença à me masturber doucement en me regardant dans les yeux.

Malgré mon manque sexuel, et sa main chaude sur ma verge, j'avais du mal à bander. Je n'étais plus du tout dans une ambiance érotique après la discussion tendre que nous venions d'avoir.

« Tu ne bandes pas?...tu n'as pas envie? »

« Si, si..mais...je ne sais pas, ...là je ne suis pas dans l'ambiance »

Elle se leva

« Attends, je reviens »

Elle revint quelques instants plus tard avec une boule de tissu dans la main. Elle la déplia et je m'aperçus que c'était une culotte en nylon, ornée de dentelle sur le devant. Elle s'approcha de moi et me la passa sur la tête, prenant garde de placer l'entrejambe de coton contre mon nez. Immédiatement, l'odeur de ses parties intimes m'envahit. Elle reprit mon sexe maintenant en demi-érection dans sa main et recommença à me branler. Plus mon excitation montait et plus ma respiration précipitée me faisait inhaler l'odeur aphrodisiaque et il ne fallut pas longtemps pour que j'explose dans un orgasme incroyable, presque douloureux tellement il était fort. Je dus m'appuyer sur la table pour ne pas tomber tandis que je sentais les pulsions de mon membre éjecter le sperme, giclée après giclée.

Quand ce fut fini, j'avais la tête qui tournait. J'arrachais la culotte eus de mon visage pour reprendre ma respiration. C'était peut-être la plus forte jouissance que j'avais eu dans ma vie. J'avais fermé les yeux en sentant le plaisir monter et en les rouvrant, je tombais sur son sourire amusé.

« Eh bien, ma culotte t'a fait de l'effet...regarde ça, t'en as mis partout...va chercher le sopalin pour nettoyer tout ça »

Après que j'eus consciencieusement nettoyé ma semence sur le carrelage de la cuisine, elle me fit me rasseoir.

« Pascal, je ne voulais pas que tu soit excité pour me donner ta décision. Un proverbe Arabe dit 'Tout homme qui bande marche derrière sa queue' et je voulais que tu aies tout tes esprits pour me donner ta décision »

C'est vrai que, maintenant que toute ma tension sexuelle était tombée, je voyais les choses d'une toute autre façon et que la jalousie prenait le pas sur l'étrange excitation que j'avais éprouvé par moment à l'idée de savoir que ma femme adorée baisait avec un autre. Mais la réflexion sur l'authenticité de nos relations D/S et la réassurance qu'elle n'arrêtait pas de me donner sur son amour pour moi pesait toujours du même poids et je finis par me décider, en frissonnant intérieurement de cette décision »

« C'est d'accord »

« Qu'est-ce qui est d'accord? »

« Je suis d'accord que tu baises avec un autre, si tu en as envie...mais à trois conditions »

« Lesquelles? »

« Que tu ne baises jamais trop longtemps avec le même, et que tu me tiennes au courant de ce que vous faite...que tu soit honnête avec moi de tes sentiments pour lui...et que tu arrêtes tout si je te le demande »

« Pas de problème. Je ne cherche pas un nouvel amour, je t'aime. Ces mecs seront juste pour moi des godes vivants, je te le promets...et si, par extraordinaire, les choses devaient devenir différentes, je te promets que tu en serais le premier informé et que je ferai exactement ce que tu me diras...Aie confiance en moi Pascal»

« Hélène...il faut que tu le saches. Je suis terriblement jaloux à l'idée de penser que tu vas dormir avec un autre, qu'il va te caresser, sentir ta peau, tes odeurs. Que tu vas te donner à lui alors que tu te refuses à moi. C'est une torture »

« Je le sais bien, mais comme tu aimes être humilié, cette torture est aussi pour toi un plaisir pervers, non? »

« Euh...oui, peut être...mais je ne sais pas comment je réagirai »

« Pascal, je te promets que je ne leur donnerai pas tout. Toi seul a le droit de me sucer et ce sera notre jardin secret , et je ne sais pas si je dormirai avec eux, ils ne sont pas là pour ça...juste pour baiser...et c'est la seule chose qui intéresse la plupart des hommes»

Je me sentais mal, j'avais une totale confiance en elle et je savais qu'elle me disait la vérité...mais le blanc seing que je venais de lui donner me terrifiait. Je ne savais absolument pas comment je réagirai à cette ultime soumission. Si j'avais confiance en elle....je n'avais pas confiance en moi.

Il se passa trois semaines sans que rien ne se passe. J'avais réintégré ma cage et nous avions repris notre vie de couple D/S habituelle. Je la suçais pratiquement tous les soirs, mais elle ne souhaitait pas toujours jouir...simplement sentir ma langue sur elle et ma dévotion absolue.

J'avais fini par oublier presque notre discussion, et par considérer que c'était peut-être juste un jeu de sa part.

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