Dominant Wife 04

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Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 12/30/2022
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Le samedi matin, elle me mit un bâillon, m'attacha fermement les pieds et les mains, et me retira ma cage de chasteté avant de m'enfermer dans le placard et de fermer la porte en verre. Elle se tenait devant moi et je pouvais presque voir les formes de son corps à travers sa robe légère dans l'éclairage diffus de ce matin ensoleillé.

« Écoute-moi bien Pascal, tu ne fais pas le moindre bruit sinon, je te promets que tu le regretteras et je ne plaisante pas »

Elle quitta la chambre et le temps passa lentement. Je commençai à éprouver de l'inconfort à être ainsi recroquevillé dans un espace étroit. Elle avait retiré ses vêtements de la penderie et je sentais l'odeur de cuir de ses chaussures.

Le bâillon qui me remplissait la bouche me faisait saliver et je bavais lentement sur mon torse. Décidément, j'avais horreur des bâillons. D'autant plus que celui-ci était inutile. Si j'avais vraiment voulus faire du bruit, mes cris, même étouffés, aurait attiré l'attention et la vrai contrainte était la relation très particulière qui nous liait, ma femme et moi et ma soumission totale à ses volontés. Elle le savait très bien mais tenait à symboliser, par ce moyen, son autorité absolue sur ma personne.

Le soleil tournant, la chambre devenait de plus en plus lumineuse et je voyais à présent ses moindres détails. Le lit était à moins de deux mètres de moi et ma position légèrement surélevée me permettait d'en percevoir les moindres détails.

Soudain, j'entendis des pas et des voix. Hélène entra dans la chambre en tenant par la main Marc. Ce dernier était habillé, comme à son habitude, d'un bleu de travail, mais je remarquai l'état de propreté impeccable de celui-ci, exempt de tâches de peinture contrairement à ceux qu'il portait d'habitude . Avec un sourire jaune, je me dis qu'il s'était fait beau pour coucher avec ma femme.

À peine entrés, ils se déshabillèrent tous les deux. Ce fut très vite fait pour l'un comme pour l'autre. Elle n'eut qu'à retirer sa robe et ses chaussures, ne portant pas de sous-vêtements et conservant ses bas, lui ses chaussures, chaussettes, son bleu et son caleçon.

C'était la première fois que je voyais le membre d'un autre homme en demi érection. Je l'observai avec une sorte de fascination. Il ne me paraissait pas très différent du mien, si ce n'est qu'à l'évidence, il n'était pas circoncis.

De manière incontrôlable, le spectacle ma femme nue m'excita moi aussi. Je vivais depuis 12 ans avec elle, je l'avais vu sous toute ses coutures, mais la vision de son corps voluptueux avait toujours sur moi le même effet.

Hélène attira Marc sur le côté du lit, à moins d'un mètre de mon placard, et se mettant à genoux, saisit son sexe a demi rigide et commença à le sucer lentement en fermant les yeux. Instinctivement, Marc avait posé ses mains sur sa tête, mais je voyais bien qu'il n'y exerçait aucune pression. Hélène faisait aller et venir sa bouche de plus en plus vite. Au bout d'un moment, ce fut Marc qui le repoussa doucement. Il était maintenant en pleine érection. Hélène monta sur le lit et se mit à quatre pattes, parallèlement à mon placard, écartant les jambes avec ses seins qui pendaient sous elle comme deux mamelles. C'était un spectacle la fois complètement obscène et terriblement excitant

« Viens, prends-moi comme ça »

Marc ne se le fit pas dire deux fois. Il se mit à genoux derrière elle et, prenant son membre rigide d'une main, l'introduisit doucement dans le vagin de ma femme. D'où j'étais, je voyais tout aussi clairement que si j'avais été sur le lit avec eux. J'eus une sorte de frisson quand je le vis pénétrer ma femme et je ne pus retenir un léger gémissement. Marc était occupé à d'autres choses et ne parut pas s'en rendre compte, mais je vis Hélène tourner la tête dans ma direction avec un sourire pervers.

Il commença ses va-et-viens assez lentement, pénétrant complètement puis se retirant jusqu'à ne laisser que son gland en elle. Il restait dressé derrière elle, une main sur son membre pour le guider dans ses intromissions et sa position me laissait une vision absolument claire sur ce sexe qui pénétrait ma femme. J'étais dans un état indescriptible, à la fois détruit psychologiquement par ce que je voyais, par ma femme qui donnait à un autre ce qu'elle me refusait depuis plus d'un an, par le plaisir que les deux amants se donnaient visiblement l'un à l'autre, me demandant douloureusement si j'avais pu lui en donner autant du temps où nous vivions normalement. À la fois surexcité par le spectacle de ma femme faisant l'amour, par le vision de ce sexe qui la pistonnait, par les petits gémissements rauques qu'elle émettait à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle. J'étais en pleine érection et je sentais le contact chauddu liquide pré-spermatique que ma verge rigide déposait contre mon ventre.

Cela dura longtemps, j'étais étonné par l'endurance de Marc. Il avait peu à peu accéléré son rythme, alternant des phases rapides et des phases plus lentes, plus profondes. Hélène s'était effondré sur l'oreiller et sa main s'agitait sur son clitoris. Jamais, je n'aurai pu durer aussi longtemps en elle de cette manière sans jouir et cette certitude amplifiait encore la terrible jalousie qui m'étreignait.

Hélène eut un premier orgasme, ponctué par le grand soupir sourd qui lui était habituel. Marc attendit qu'elle revienne de sa petite mort sans bouger, enfoncé totalement en elle. Puis il changea de position, faisant mettre Hélène sur le dos et la prenant en missionnaire.

Dans cette nouvelle posture, je ne voyais plus les pénétrations, cachées par les cuisses d'Hélène. Je ne voyais que les fesses musclées de cet homme qui s'activait sur ma femme.Tout en la besognant, il caressait ses seins avec fermeté, en pinçant les tétons entre ses doigts. Hélène poussait des gémissements hachés et je savais, pour bien la connaître, qu'elle éprouvait une série de petits plaisirs qui précédait le deuxième grand orgasme qui la laisserait anéantie.

Dans cette position, Marc avait plus de difficulté à moduler ses mouvements et je le sentais lui- même au bord de la jouissance. Enfin, Hélène poussa un grand cri de bête, se cambrant sur le lit. Cela fut de trop pour Marc qui lui-même eut un grognement éraillé en se vidant en elle.

Et c'est alors seulement que je m'aperçus qu'il n'avait pas mis de préservatif. Je savais à quel point Hélène aimait sentir son amant s'épancher en elle mais j'étais brusquement préoccupé par les risques qu'elle prenait à laisser cet homme, dont elle ne savait rien, la baiser sans précaution. Et en même temps, l'idée que le sperme de cet étranger inonde le vagin de ma femme accrue encore mon excitation, si cela était possible.

Les deux amants restèrent un moment affalés l'un sur l'autre, cherchant à reprendre leurs esprits. Puis Marc s'allongea à côté d'Hélène, la libérant de son poids.

Ils restèrent ainsi quelques minutes, se caressant mutuellement sans y prendre attention. Cet instant de tendresse partagée me fit encore plus mal que leur coït animal et je sentis des larmes me couler sur les joues. J'avais débandé!

Hélène se releva et partie dans la salle de bains. Je savais qu'elle allait se vider du sperme qu'il avait déposé en elle, et en profiter pour pisser, ce qu'elle faisait presque systématiquement après avoir fait l'amour. Marc s'était redressé sur un coude. Son sexe, maintenant flaccide mais encore gonflé reposant sur sa cuisse. Je l'observais maintenant comme si je le voyais pour la première fois. C'était un bel homme, musclé sans excès, avec un peu de graisse ça-et-là qui lui allait plutôt bien.

Hélène revint et se rallongea à côté de lui. Ils discutèrent un long moment à voix basse et je ne compris pas ce qu'ils disaient. J'avais l'impression douloureuse d'être de trop et d'assister à l'intimité d'un couple qui venait de faire l'amour. Un couple dont la femme était mon épouse.

L'excitation était tombée et seuls restaient l'extrême jalousie et le désespoir de ma situation. L'inconfort de ma position redevenait plus pénible que jamais et, pour ne rien arranger, je commençais à avoir envie de pisser.

Enfin, Marc se releva.

« Bon aller, il faut quand même que j'aille bosser »

Il se pencha sur ma femme et l'embrassa tendrement, puis remit ses vêtements et quitta la chambre.

Hélène resta encore un moment sur le lit, puis vint me libérer de ma prison.

« Voilà mon amour, maintenant tu as vu »

Elle arracha mon bâillon et m'embrassât à pleine bouche.

« Mais, tu as pleuré »

Je me sentis à cet instant si proche d'elle qu'il me parut évident de lui dire l'exacte vérité.

« Oui, j'ai pleuré...et j'ai failli jouir »

Elle me fixa avec un regard interrogatif

« Tu as aimé? »

« Oui, j'ai aimé te voir faire l'amour, même si c'était avec lui »

Elle prit un air sérieux pour me répondre

« Ne t'inquiète pas Pascal, même si Marc est un bon amant, c'est toi que j'aime »

Dans ce nouveau moment d'intimité, je ne voulais cacher aucun de mes sentiments.

« Il....il n'avait pas de capote »

« Non, mais rassure-toi, il est clean »

« Comment tu le sais? »

« Je le sais, c'est tout »

Elle me détacha. J'eus un peu de mal à me relever. Elle était toujours nue et resplendissait de cette aura particulière qu'ont les femmes qui viennent de jouir. J'eus envie de la prendre dans mes bras, mais je me retins.

« Habille-toi et ne fais pas de bruit, je lui ais dit que tu rentrerais en début d'après-midi, tu vas faire comme si tu rentrais »

« Mais, j'ai envie de pisser »

« Oui, ben tu pisseras tout à l'heure, dépêche-toi »

Elle me tendit mes vêtements que je commençai à enfiler avant de m'apercevoir qu'elle ne m''avait pas donner de sous-vêtement

« Mais, il n'y a pas de slip »

«Non, tu n'en as pas besoin »

Un peu surpris par sa réponse, je finis de m'habiller et, passant discrètement devant la cuisine, je claquai violemment la porte d'entrée comme si je venais de l'extérieur en criant

« Chérie, c'est moi »

Elle s'était rhabillée et faisait mine de lire dans la banquette. Je vins lui faire une bise comme d'habitude. Elle en profita pour me caresser par-dessus mon pantalon. Il n'en fallut pas plus pour que je rentre en érection. Je n'étais plus très habitué à ne pas avoir ma cage et le simple contact du tissu de mon pantalon de toile suffisait pour me maintenir dans un perpétuel état d'excitation. Sentant la rigidité de mon membre, elle continua sa caresse tout en me fixant dans les yeux avec un regard amusé. Je commençai à sentir le plaisir monter quand Marc arriva dans le salon. Hélène retira précipitamment sa main, me laissant ainsi, mon sexe en pleine érection faisant une bosse nettement visible dans mon pantalon. Je me tournai de côté pour tenter de camoufler mon état tant bien que mal.

« Voilà, j'ai fini, ce sera sec d'ici deux ou trois heures »

Hélène me tira de ma situation embarrassante en se levant et en allant à la rencontre de son amant.

« Merci Marc, je vais voir. »

Je profitai du fait qu'ils se dirigeaient tous les deux vers la cuisine pour regarder plus attentivement le spectacle que j'offrais. C'était encore pire que je le pensais. La forme de mon gland était nettement visible sous la fine toile et était ponctuée par une tache d'humidité due à mon liquide séminale. Je ne pouvais pas me présenter comme ça. Il fallait que je trouve vite une solution. La seule que je trouvais était d'enfiler rapidement une vieille veste accrochée au porte manteau à côté de la porte d'entrée. C'était un peu curieux de porter une veste à l'intérieur, mais je pouvais prétexter d'offrir mon aide à Marc pour emporter son matériel. Je venais à peine de finir de la boutonner quand ils revinrent. Hélène me regardait avec un franc sourire.

« C'est parfait mon chéri, Marc a vraiment fais du bon travail »

« Je n'en doutais pas, Marc, je vais vous aider à ramener votre matériel »

« Ce n'est pas la peine Monsieur Bernier »

« Si, si, j'y tiens, à deux, nous irons plus vite »

« Mais vous aller vous tacher »

« C'est pas grave, c'est une vieille veste...et je ferai attention »

Hélène intervint dans cette conversation gênante.

« Bon, Marc, je vais vous payer »

Elle sortit d'une pochette la somme convenu et lui donna. Je perçus, à cet instant dans leur regard, leur grande complicité.

« Merci Madame...si vous avez d'autres travaux à faire, vous connaissez mon numéro »

« Je n'y manquerai pas »

Elle lui serra la main. Malgré ma réticence à aider cet homme qui m'avait pris ma femme, je transportai avec lui ses outils et ustensiles vers sa camionnette. Mon érection était retombée quand je lui serrais finalement la main en le remerciant pour la qualité de son travail...sans trop savoir moi même à quelle sorte de 'travail' je faisais allusion.

Quand je revins dans la maison, ce fut pour trouver Hélène, affalée sur la banquette, la robe relevée et les cuisses largement écartées en train de se caresser.

« Viens me sucer »

Son odeur était inhabituelle, plus lourde, plus ammoniacale, une vague odeur d'écurie. Je pensais avec une sorte de frisson qu'elle ne s'était sans doute pas lavée depuis qu'il avait jouis en elle et que j'ingérai peut-être les restes de son sperme en même temps que sa mouille, bien que je ne ressente aucune texture ni saveur particulières.

Il ne fallu pas longtemps pour qu'elle jouisse, pressant ma tête à deux mains sur son sexe et poussant un profond soupir, comme à son habitude. J'étais à nouveau en pleine érection

Une fois satisfaite, elle me repoussa doucement.

« Déshabille-toi »

C'est alors qu'elle aperçut la tache sur mon pantalon.

« Tu as juté? »

« Euh, oui Madame, quand vous m'avez caressé tout à l'heure »

« Tu as joui? »

« Non Madame, mais je n'en étais pas loin »

« Bon, on verra ça plus tard..Déshabille-toi »

Je me mis nu, ma queue bandée dressée devant moi. Elle s'en saisit et me masturba lentement et me fixant dans les yeux.

« Alors, comme ça, ça t'a fait bander de voir Marc me baiser? »

« Oui Madame »

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