Dérapages.

BÊTA PUBLIQUE

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Je ne lui violerais pas la gorge cette fois-ci. La pilule fournit par Radiu est magique, si je jouis pas rapidement, je vais déborder. Je fais aller la tête de ma belle-fille à un rythme rapide et soutenu le long de mon engin. Finalement, je me fiche à moitié enfoncé, le gland contre sa luette, je me déverse en criant de plaisir. Manon essaie d'avaler, il y en a trop, ça déborde le long de ma bite, mouillant mon ventre. Quand j'ai fini d'éjaculer, je me retire. Manon tousse, crachant un peu de sperme sur le sol.

- Tu vas nettoyer le sperme sur moi et sur le sol avec ta langue, je ne veux plus une trace.

Comme dans un cauchemar, Manon sort sa langue et obéit à mes ordre. Cette connasse a de l'avenir comme esclave sexuelle. Il ne faut pas la pousser trop fort pour qu'elle soit obéissante. Un fois qu'elle m'a bien nettoyée le sexe et le ventre, ma belle-fille se penche en avant et lape le sol. Une fois finis, toujours en pleures, Manon s'agenouille de nouveau. Je lui caresse le haut du crâne.

- C'est bien, tu es une brave fille.

Je l'aide à se relever. Ses jambes ont du mal à la soutenir. Je l'aide à aller aux toilettes.

- Tu me détaches pas les mains pour que je puisse m'essuyer?

- Non, pas pour l'instant, je t'essuierais moi-même.

- S'il-te-plaît...

- J'ai mis ma bite dans ton trou à bébé, je peux y mettre mes doigts.

- Pitié...

- Obéis, c'est mieux pour toi.

Humiliée, Manon s'assoit sur le trône. Elle urine abondamment. La jeunette sanglote un peu plus quand je l'essuie. Une fois finis, je la ramène dans le salon, je la fais marcher devant moi. Je mate son cul sublime, aux fesses toujours aussi rouge depuis ma fessée de la veille.

Je la fais mettre à genoux.

- Attends moi.

Je reviens avec une paire de menotte, ainsi qu'un collier de cuir, un collier d'esclave.

- Il vaut mieux pour toi que tu ne tente rien.

Je m'agenouille, coupe le gros scotch qui maintient ses poignets. Je mets à la place la paire de menottes. Je lui passe aussi le collier autour du cou, que je ferme par un cadenas. Je me relève, lui flatte de nouveau le crane.

- C'est bien, tu es une bonne chienne. Ne bouge pas, je reviens.

Je vais dans la cuisine, je prends un bol que je remplis d'eau. Je reviens dans le salon, je pose le bol d'eau devant elle, sur le sol. Elle me regarde horrifiée.

- C'est quoi?

- Ton eau.

- Quoi? Je ne suis pas un animal!

- Maintenant si. Alors un conseil, bois l'eau que tu as demandée, si tu ne veux pas être puni.

Pleurant toujours et encore, Manon se plie en deux. Elle sort la langue et lape l'eau, me faisant immédiatement rebander. Je vais m'asseoir sur le canapé, je la regarde boire. Elle avale pratiquement tout, le conne devait avoir drôlement soif. Elle me regarde de nouveau.

- Je suis pleine de sperme, il me faut une douche.

D'accord, mais à partir de maintenant, si tu veux quelque chose, il faut que tu donne quelque choses. Alors tu me donne quoi pour une douche?

Elle me regarde, vois mon sexe bander. Mon sperme l'a dégoûtée, mais c'est mieux que le reste, beaucoup moins dur à vivre.

- Je peux te sucer.

- Ce n'est pas assez, tu vas venir t'empaler sur ma bite.

- Quoi?

- Tu as très bien compris.

De toutes façons, si je veux la baiser, je la baise. Je le sais, comme maintenant elle le sais très bien. Manon baisse la tête.

- D'accord, mais je t'en supplie, ne jouis pas en moi.

- Je jouis où je veux. Un souci?

- Mais si je tombe enceinte?

- J'aviserais, mais pour l'instant je m'en fous.

J'ai gagné, Manon se lève lentement, et tout aussi doucement se dirige vers moi. Je pensais qu'elle serais un peu plus combative, qu'elle ne se soumettrais pas aussi facilement. On verra pour la suite, mais je pense que l'affaire est gagnée. J'ai deux ou trois autres idées pour elle, je pense que je vais les mettre à exécution rapidement. Pour enfoncer le clou, pour gagner définitivement la partie.

Je me cale bien dans le canapé. M'y allonge carrément dessus. Manon sanglotante, humiliée au plus haut point par ce qu'elle s'apprête à faire, y grimpe difficilement dessus, s'y agenouille. Ses genoux de chaque coté de mes hanches. Sa chatte est pile au dessus de mon chibre. Je lui souris, elle détourne le regard.

- Vas-y, empale-toi sur ma queue!

Elle à encore besoin de directives, mais déjà, il ne reste plus rien de la petite bourgeoise fière et libre. Ma belle-fille descend son bassin sur moi. Elle stoppe quand mon gland touche les lèvres de son vagin. Elle va vivre une nouvelle profanation de son sexe, la cinquième en même pas vingt-quatre heures. Mais cette fois, c'est sûrement la plus dur, c'est elle qui s'auto-violera.

Je fais stopper Manon avant que mon pieu ne la perfore.

- Regarde-moi!

- S'il-te-plaît pas ça...

- Obéis!

Manon plante ses yeux rougis par les larmes dans les miens. J'y lis une détresse sans nom. J'appuie sur ses hanches pour lui faire signe de reprendre sa descente. Elle geint quand mon gland pénètre son sexe. La jeune fille s'immobilise, mon mandrin enfoncé à moitié dans ses chairs délicates et fragiles.

- Continue!

- Pitié, j'ai trop mal.

- Je m'en fous, tu es ma petite putain dorénavant.

Manon ne dis rien, elle sait que j'ai raison, que j'ai remporté la bataille. Elle est mon jouet, et le restera longtemps. Moi, je suis estomaqué par ce que j'ai réalisé en quelques heures. Elle n'a aucun caractère, aucune résistance, a moins qu'elle ne soit maso. Une seule fessée et quelques viols, ont suffit à la briser.

En attendant, je pose mes mains sur les hanches de Manon.

- Allez, empale-toi mieux, je vais t'aider.

Ma belle-fille reprends sa descente, je l'aide en tirant ses hanches vers le bas. Le reste de ma bite s'enfonce en elle, la pénétrant en entier.

- Allez, maintenant monte et descend.

- J'ai mal. Pitié, Léo...

- Tu vas t'y habituer, allez, fais ce que je te dis.

Alors Manon m'obéit, elle monte et descend lentement sur mon membre tendu. Elle est vraiment serrée, ses parois interne enserre ma bite comme un gant de soie. Elle grimace de douleur, pleure, gémit. Je vais l'aider, l'abattre un peu plus. D'une main, je lui masse doucement le téton droit, le faisant durcir, s'ériger. De l'autre main je lui caresse le clito. Le massant doucement, je ne tarde pas à sentir que son conduit s'humidifie. Je la fais mouiller, malgré elle. Manon supporte mal les réactions de son corps. Mais continue ses mouvement sur ma queue. Mon pénis est au paradis. Personne ne pourrait dire si cette relation est consentie ou est vraiment un viol. Le fait de voir apparaître et disparaître mon engin en elle, rend la partie de jambes en l'air, beaucoup plus érotique pour moi. Malgré ses pleures, mes caresses portent leurs effets. Les jappements de Manon ne sont pas tous de douleurs. J'espère la faire jouir une fois de plus.

Je dois être sur la bonne voie, Manon accélère ses mouvements sur mon pieu, ondulant des hanches. Je joue de plus en plus avec ses tétons, son clito. Son antre d'amour est parfaitement lubrifiée. Ses jappements sont maintenant plus de plaisir que de douleur.

- Putain... Oh putain...

Même si elle pleure encore, Manon est au bord de l'orgasme. Son cerveau reçoit tellement de sensation, qu'il en oublie qu'elle est violée. Ma belle-fille a les yeux fermés, elle savoure les informations que lui envoie ses organes sexuels. Elle saute presque sur ma bite, avant de s'immobiliser sur moi. Je sens son vagin se contracter contre mon pieu. Elle ouvre la bouche, un long cri de plaisir en sort. Cette putain vient d'avoir un orgasme. Son corps est secoué de spasmes de plaisir. Elle ouvre des yeux horrifiés, elle vient de comprendre ce qu'il vient de se passer. Elle pleure de plus belle.

- Mon dieu, j'ai encore jouit, c'est horrible, horrible...

Moi je n'ai pas jouis. Alors je la plaque contre moi, c'est moi qui me met à aller-et-venir dans son corps. Je lui donne des coups de boutoirs de plus en plus puissant, lui arrachant de nouveau petit cri de plaisir. Quand mon sperme jaillit en elle, électrisant son antre d'amour, Manon cri de nouveau, un nouvel orgasme lui ravageant le corps. Si l'effet de sa jouissance est bénéfique pour son corps, il est désastreux pour sa psyché. Elle l'impression de n'être plus qu'un sexe que l'on prend quand on le veut. Un sexe qui prend du plaisir à se faire violer. Elle ne sait pas que cette réaction, si elle n'est pas courante, n'est pas rare non plus. Je reste en elle, tandis que une nouvelle fois, le corps de Manon est secoué de spasme, mais cette fois autant de plaisir que de douleur.

On reste ainsi, empalé l'un dans l'autre, pendant de longues minutes. Sa tête sur mon torse, Manon sanglote, tandis que je lui caresse le dos.

- Pourquoi tu pleures?

- Tu me violes, je jouis. Je suis une putain, une chienne.

- Si tu le dis, pourtant tu as l'air d'aimer ce que je te fais.

- Non, je déteste. Tu me viole, tu profanes mon corps.

- Alors pourquoi tu m'obéis sans résister?

- Je ne sais pas, je n'y arrive pas. J'ai trop peur de ce que tu peux me faire.

- Tu as raison, crois-moi, tu as vraiment raison.

Je me retire doucement du corps de ma belle-fille. Je sens mon sperme couler sur ma cuisse.

- Il va falloir nettoyer.

- D'accord.

Manon s'agenouille sur le lit. Elle nettoie le sperme qui a coulé sur ma cuisse, puis celui sur les drap. Pour finir elle nettoie ma bite. Décidément cette chienne a des atouts que je n'imaginais pas.

Elle s'allonge sur le lit, couchée sur le ventre. Elle croise les bras, pose son visage dessus. Elle sanglote doucement.

- Tu pleures encore?

- Oui, pourquoi tu me fais ça?

- Parce que je peux.

- Salaud, tu es un monstre...

- Pourtant tu as jouis trois fois!

- Mon corps, pas moi.

- C'est pareil.

- Non, si j'avais le courage, je te tuerais pour tout ce que tu m'as fais!

- Oui, mais tu ne l'as pas. Alors demoiselle, fais attention à tes menaces, je pourrais te punir méchamment juste par prévention.

Manon sur qui personne n'avait levé la main avant que je ne le fasse panique à mes mots.

- Pardon, fais-moi ce que tu veux, mais ne me frappe plus. Viole-moi autant que tu veux, mais plus de coups, je t'en supplie, plus de coups. Je serais ta putain, ta chienne...

Je souris à sa panique.

- D'accord, mais tu as intérêt à être bien obéissante.

- Je le serais, promis.

- Bien, on verra après. En attendant, on dors.

Je la détache, lui enlève ses menottes. Je me suis endormi, une main sur les fesses de ma belle-fille, l'entendant sangloter. Si on nous avais vu, on auraient crus à deux amant, pas à un beau-père violant sa belle-fille.

Quand je me suis réveillé, Manon dormait toujours. Elle avait dut s'endormir bien après moi, car à mon souvenir, elle pleurée quand j'ai plongé dans les bras de Morphée. Elle était dans la même position, couchée sur le ventre, la tête sur ses bras croisés. J'ai regardé son cul parfait, bien bombé. J'ai pris une décision, cette conne va connaître sa première sodomie.Un plaisir que j'ai rarement pratiqué sur mes conquêtes, jamais sur Clara, la mère de Manon. Mais ce n'est pas pour de suite, avant cela, je vais déjeuner, me laver. Je m'occuperais seulement après du cul de Manon. Je mets le café à couler. Je pourrais avoir une cafetière à capsule dernier cri, mais je préfère celle qui marche avec du café moulu. Pendant qu'il coule, je vais prendre ma douche. Une fois propre je retourne dans la cuisine, prendre mon café.

J'en suis au troisième, quand Manon rentre dans la pièce. Elle a mit un string noir, et un tee-shirt blanc. Je me lève, je la gifle si fort, qu'elle s'écroule à terre. Elle lève vers moi un regard plein d'incompréhension, remplit de larmes.

- Pourquoi tu me frappes?

- Tu restes nue, tu ne t'habilles que sur mon ordre.

Manon se relève rapidement, enlève ce qu'elle porte sur elle, pour se retrouver en tenue d'Eve.

- Pardon, pardon.

- Son corps parfait apparaît à ma vue. Je suis ravis de cette vision.

- C'est mieux, prends ton café.

- Où?

Je la regarde, ne comprenant pas.

- Comment ça?

- Ben tu m'as dis que je devais boire à même le sol.

- C'est vrai, pour l'instant je lève cette punition. Mais à la moindre incartade, je te transforme de nouveau en animal.

- D'accord, je ne te décevrais pas.

- Parfait, après, comme promis avant notre petite sieste, tu pourras allée prendre ta douche.

Au milieu de ses larmes, Manon me fait un sourire fugace. Je dois être dans une rêve, jamais je n'aurais cru que ce serais aussi facile avec elle. Je pense qu'à la fin de la journée, elle sera totalement sous mon emprise, que plus rien ne pourras la faire lâcher.

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Anonymous
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3 Commentaires
Elegy13Elegy13il y a 6 mois

La ref a hypnothérapeute se mecanique est tellement improbable !!!

Bravo. Impatiente de suivre l'évolution du dressage. .

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Vivement la suite

Tout à fait d'accord. Hâte de lire la suite. J'espère que le déchéance de Manon sera longue!!!!

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Super

Un début vraiment super.

On y retrouve même un peu du diabolique Jonas et de son complice Radius.

C'est bien plaisant ... c'est un peu comme une continuité de l'autre récit

Vraiment merci

Rudy

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