Dérapages.

BÊTA PUBLIQUE

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Pour toutes réponses, je rabats de nouveau ses bras au-dessus de sa tête, les tenant par les poignets d'une main. La pauvresse, n'a ni la force de se débattre, ni celle de me résister. Je remonte de nouveau sa jupe, j'arrache son haut, que je jette un peu plus loin.

- Léo... Je t'en supplie...

La putain, elle murmure plus qu'elle ne parle, sûrement son envie de moi qui est trop forte pour qu'elle puisse parler. Les larmes de ma belle-fille redoublent. Je presse de nouveau mon gland contre sa vulve. Cette fois elle est bien lubrifiée par mon sperme et son sang de pucelle. Je pénètre facilement en elle. Manon crie lors de la pénétration, avant de geindre de douleur quand je suis de nouveau totalement en elle. Je l'ai traumatisée, tuée en la violant, en la dépucelant de cette façon. Elle n'a plus la force de supplier. Alors, la néo-dépucelée se laisse faire, me laisse faire ce que je veux de son corps. Elle est toujours aussi serrée, qu'elle est bonne, je pense que je vais la baiser pendant longtemps. Avant de lui faire connaître, quand je serais lassé de son vagin, les joies de la fellation et de la sodomie. Mais je n'en suis pas encore là, pour l'instant, je profite pour la deuxième fois de son vagin étroit, que j'ai déjà profané et que je profane encore. Je mets alors à bouger en elle, savourant la délicatesse du lieu. Caressant son corps, ses seins fermes et doux, sa peau soyeuse. Je l'embrasse de force, elle se laisse faire, me laisse entrer ma langue dans sa bouche. Elle geint de douleur tout au long de ce nouveau viol. Ma belle-fille ne bouge pas, se laissant faire, amorphe. Je m'en fou, je profite pleinement d'elle, de son corps. Après vingt minutes de baise, elle sort enfin de son mutisme, quand je me mets à accélérer mes coups de boutoirs. En jappant de plaisir, signe annonciateur de mon éjaculation proche.

- Jouis pas dans moi... Pitié... Je ne prends pas la pilule...

Je me fou de ce qu'elle me dit au contraire.

- Et alors? Tu ne veux pas que ta mère devienne grand-mère?

- Mon dieu, tu es un monstre...

Je ne sais pas pourquoi, mais elle me fait exploser en me disant cela. Mon orgasme est aussi puissant que le précédent. Je me vide en criant mon plaisir. Je reste dans son corps, affalé sur elle, le sexe encore dur.

- Sors, je t'en supplie, sors.

Je ne dis rien, me contentant de caresser son corps tremblant.

- Pitié, ne reste pas dedans...

Les suppliques de Manon me redonne envie. Je redresse ma tête, lui souris.

- J'ai encore envie, je vais te baiser une dernière fois.

- Non, Léo, je n'en peux plus. Je t'en supplie, tue-moi, je n'en peux plus...

- Je ne fais pas te tuer, je vais te faire du bien!

- Non, tu me tue en me violant!

Je ne l'écoute pas, au lieu de cela, je recommence à la travailler, rentrant et sortant mon engin de son vagin. Manon gémit de désespoir, mais elle se laisse faire, vaincu. Je prends mon temps, la baise lentement, mettant toute ma science du sexe dans ce nouveau coït. Voyant qu'elle ne se débat pas, je lâche ses bras, elle se laisse faire. Je joue avec ses tétons, je glisse une main entre nos corps, caresse son clitoris tout en continuant d'aller et venir en elle. Malgré elle son corps réagit. Elle lâche, entre deux grognements de douleur, un petit geignement de plaisir. Son cerveau, son être dit non, mais son corps commence à dire oui. Une simple réaction physique qui arrive parfois lors d'un viol. J'accélère mes caresses sur son clito, ainsi que mes coups de bites. Son corps se fige, je sens les parois de son vagin palpiter contre mon pieu. Manon lâche de petit jappement, avant de crier. De plaisir, cette chienne vient de jouir.

Quand son orgasme est passé, Manon qui se laisse toujours violer, pleure de plus en plus fort. Elle murmure.

- Mon dieu, c'est horrible, j'ai jouis... Tu me viole et j'ai jouis... Je suis une putain, j'ai jouis de ton viol...

Je ne la laisse pas aller plus loin. Ses paroles sont comme un électrochoc. J'éjacule une troisième fois en elle. Je suis au paradis. Après quelques secondes, une fois mon orgasme fini, je me retire d'elle. Je suis fier de moi, ravi d'avoir appris à Manon les joies du sexe. Fait d'elle une femme, l'avoir fait rentrer dans le monde des adultes. Je me relève. Manon ne bouge pas, elle reste allongée sur le sol, cuisses écartées, alors que mon jus d'homme s'écoule de son vagin, que son corps convulse d'horreur. Je vais au WC, j'urine. Je vais prendre un truc dans le garage. Heureusement je n'ai pas à sortir nu de chez moi, il y a une porte de communication. Quand je reviens, Manon est toujours dans la même position. Ses yeux vides, fixe le plafond comme si elle ne le voyait pas. Moi je suis vidé. Aussi bien dans mes couilles, que dans mon corps ou mon cerveau. Il va falloir que je dorme. Mais il faut que j'installe Manon plus confortablement. Je m'accroupis près d'elle. Je lui enlève sa jupe. Comme une poupée de chiffon elle se laisse faire. Je la retourne sur le dos, je lui attache les poignets dans le dos avec du chatterton. J'en mets une bonne dose, je suis certain qu'elle ne pourra pas se détacher. Je la remet sur le dos, je fais pareil avec ses chevilles, je ramasse sa culotte, la lui enfonce dans la bouche. Je mets du chatterton sur ses lèvres. A aucun moment, ma belle-fille n'a esquissé le moindre geste. Certain qu'elle ne pourra pas se détacher, crier ou s'échapper, je vais dans ma chambre. Je regarde l'heure, j'ai joué deux longues heures avec cette catin. Il est temps que je dorme. Je me couche, et, repus, m'enfonce immédiatement dans les bras de Morphée.

Je me réveille le lendemain matin à huit heures. J'ai un mal de crâne atroce. J'ouvre le tiroir de la table de chevet, je prends deux aspirines. J'ouvre la petite bouteille d'eau qui se trouve dessus la petite table, j'avale les deux comprimés. Je me rappelle pas de la soirée de la veille, j'ai décidément trop bu. Je me lève, vais dans la salle d'eau de ma suite parentale. Elle est plus petite que la salle de bain de la maison, mais au moins je ferais moins de bruits et ne réveillerais pas Manon, dont la chambre se trouve contre la pièce. Quand l'eau coule sur moi, cela me fais un bien fou. Les bribes de mon cauchemar de la nuit me revienne. C'était horrible, je violais Manon en m'imaginant qu'elle était consentante. Mon sexe se dresse à cette pensée.C'est vrai que ma belle-fille est un vrai canon, je me la taperais bien, mais de là à la violer. Surtout que par principe je suis fidèle. Une fois ma douche fini, je vais dans mon armoire. Je met un short et un tee-shirt, pas de caleçon, je ne compte pas sortir aujourd'hui. Alors autant être habillé le plus confortablement. Manon ne serais pas là, je serais même rester nu. Mais je souris en imaginant sa tête, si elle me voyait en tenue d'Adam. Je sors de ma chambre, vais dans la cuisine. Je fais couler le café en sifflotant. J'irais le boire dans le salon, en regardant la TV. Mon mal de crâne à disparu, je me sens bien, heureux. Une fois le café prêt, je prends la tasse, sifflotant toujours. Quand j'arrive dans le salon, je m'immobilise.

Mon dieu, je suis un monstre. Qu'est-ce-que j'ai fais? Ce n'était pas un cauchemar, j'ai vraiment violé Manon. Elle est sur le sol, en position fœtale. Bâillonnée, poignets et chevilles attachée. Une flaque d'urine orne le sol, la pauvre n'a pas put se retenir. Son sang de pucelle et mon sperme à séché entre ses cuisses. Elle a les yeux fermés, mais je me rends compte qu'elle respire. Elle dors. Je recule, retourne dans la cuisine. Il faut que je réfléchisse. Je bois mon café d'une traite, je m'en sers un autre. Il va falloir que je la libère. Elle va sûrement porter plainte. Je vais aller en prison. C'est impossible, je n'irais pas. J'ai beau réfléchir, il n'y a pas trente-six solutions. Je n'en vois que trois. Je vais en taule, je la tue ou je me tue. Aucune ne me convient. Je suis abasourdis, horrifiés. Mon qu'est-ce-que j'ai fais. Je bois mon second café, il dois bien avoir une solution pour convaincre Manon de ne rien dire. Après tout, la plupart des femmes violées ne portent pas plainte, il va falloir que ce soit le cas pour elle.

Une fois mon café but, je retourne dans ma chambre, m'allonge. Je dois réfléchir, vite et bien. Je ferme les yeux. Immédiatement l'image de Manon saucissonné m'apparaît. Ainsi que des bribes du viol que j'ai commis. Mon dieu, je me souviens, en plus elle était vierge... Je suis un monstre. Pourtant mon sexe ne pense pas pareil, je bande en revoyant tout ça dans ma tête. C'est vrai qu'elle est bonne, incroyablement serrée, que son vagin est doux, satiné. Je deviens fou, c'est ma belle-fille, je la connais depuis qu'elle est enfant. Mais bon, d'un autre côté c'est une femme maintenant. Puis c'est sa faute, si elle ne s'habille pas comme une pute, rien de cela n'arrive. Il y a aussi la dispute, tout est de sa faute. Mon cerveau cherche à se justifier, je ne l'en empêche pas. Sans m'en rendre compte, je me caresse le mandrin. Je me dis que quitte à aller en prison, pourquoi ne pas profiter une dernière fois d'elle. Je chasse cette idée de ma tête. D'abord trouver une solution. Une idée me viens alors. Une idée bien agréable qui résoudra tout mes problèmes. Il n'y a pas d'autres alternatives. C'est décidé, je vais agir comme cela. Mais d'abord il va falloir tout mettre en place. Je me lève, vais dans le salon. Le sac de Manon s'y trouve, elle dors toujours. Je fouille son sac, prends ce que je cherche. Je retourne dans ma chambre.

Je bande terriblement, mais fais ce que je dois faire. J'envoie un message à toutes les amies de ma belle-fille : « Surprise, comme ma mère et ma demi-sœur ne sont pas là, mon beau-père m'emmène en vacances aux Maldives. Trois semaines de rêves! Je t'appelle quand je reviens. ». C'est fait, mon piège est en place, personne ne s'étonnera de ne pas avoir de nouvelle de Manon. Mon idée est simple, je vais la dressée, en faire ma pute, ma chienne. Ma belle-fille va devenir mon esclave sexuelle. Comme cela, sous mon emprise totale, elle ne dira rien, ne portera pas plainte. Moi, je profiterais de son corps merveilleux. De sa chatte magique, mais aussi de ses autres orifices. Je vais si bien la dresser qu'elle va m'obéir aux doigts et à l'œil. Quelle exaucera le moindre de mes vœux, qu'elle obéira à chacun de mes ordres. Mais avant tout ça, autant joindre l'utile à l'agréable, c'est décidé, je vais la prendre immédiatement.

En la voyant, je me ravise. Je vais avoir besoin de quelques trucs. Je commande un VTC. Je vais m'habiller vite fait. Je prends du liquide dans le coffre caché dans ma chambre. Je prends aussi un revolver de poing, ainsi qu'un couteau à cran-d'arrêt. Juste au cas où. Avant de partir, je m'assure que Manon est toujours bien attachée. C'est le cas. Elle dors encore, j'espère qu'elle ne se réveillera pas. Comme cela je pourrais la réveiller moi-même. Quand je sors de chez moi, le véhicule se gare devant le portail. Il me conduit en ville. Je paie le chauffeur, je lui donne deux cents euros de plus pour qu'il m'attendent, il accepte avec joie. En premier je me rends dans un bar dont je connais le patron depuis l'enfance. Son café est connu pour être un haut-lieu de la prostitution, mais aussi pour vendre pas mal de produit illégaux.

- Hello, Léo, comment va depuis le temps?

Son bar a bien changé. Il est beaucoup plus classe. Les filles aussi, elles sont jeunes, splendides. On diraient de parfaite petites étudiantes.

- Super bien, et toi Radiu?

- Nickel. Je te sers quoi?

- Une bière.

- Je m'installe sur un tabouret, à l'écart, dans un coin du comptoir. Radiu m'apporte mon verre.

- Radiu, je peux te demander un service?

- Vas-y. Je te dois bien cela.

En effet, plus jeune, j'avais souvent défendu Radiu quand il se faisait emmerder par d'autre gars du lycée. Il était roumain, ne parlait pas notre langue. Une vraie victime désignée.

- J'ai entendu parler d'une nouvelle drogue, qui permet de bander dur et longtemps, tu sais où je peux en trouver?

- Bien sûr. C'est un de mes potes que les fabriquent, il s'appelle Jonas. Mais ce n'est pas une drogue, c'est que du naturel. Pas une seule once de produit chimique.

- Génial, ça marche bien?

- Putain que oui. Là, c'est la dernière version qui est sortit. Ça dope tes couilles, tu es une machine à sperme, ça le fabrique cent fois plus vite. Tu peux baiser et éjaculer pendant six heures avec une seule pilule. Comme c'est bio, tu n'a pas de limite de prise. Dès que tu bande plus, tu en reprends une, avec quatre, tu peux baiser pendant vingt-quatre heures minimum. En plus ça triple ta quantité de sperme, ça multiplie la force de ton orgasme par deux. Je ne sais pas pourquoi cet idiot ne veut pas encore les commercialiser.

- Merde, truc de ouf.

- Par contre faut pas en prendre deux à la fois.

- Pourquoi, c'est dangereux?

- Non, ça sert juste à rien. Ça ne s'additionne pas, tu gaspilles juste du matos.

- Tu peux m'en vendre alors.

- Yes, j'en ai des tonnes, il me les fournis pour mes clients. C'est bon pour le commerce, si il baisent plus, ils paient plus.

- J'avais pas vu les choses comme cela. C'est OK, je t'en prends.

- OK, je reviens.

Radiu est allé dans son arrière boutique. Il revient avec un gros sachet plastique. Il me le tends.

- Tiens, il y a mille pilules dedans.

- Mille! Mais je ne sais pas si j'ai assez.

- Bien sûr que si. Pour toi c'est gratos, tu m'as tellement aidé dans le temps, je te renvois l'ascenseur. La bière aussi c'est pour moi.

- Merci Radiu, je te revaudrais ça!

- Je n'en doute pas, puis quand tu n'en as plus, reviens, ce sera toujours gratuit pour toi.

Radiu mets le sac de pilule dans un sac frais de grande surface. Je sors. Je me dirige vers un sex-shop situé plus haut, il est spécialisé SM. Il est ouvert vingt-quatre heures sur vingt-quatre. J'entre, il va me falloir pas mal de matos. J'en ai pour près de deux mille euros. Mais je dois dire que j'ai de quoi m'éclater. Pince à tétons, pince à clito, menottes, fouet, cravache, martinet, aiguilles. Menottes, bâillon, écarteurs buccales, muselière. Sans oublier des godes de plus tailles, dont le plus gros est moulé sur un bras humain, un de belle taille envoi des décharges, et un autre laisse surgir de multiples petites aiguilles quand on appui sur un bouton. J'ai même pris un gode ceinture au cas où... Rien qui blesse gravement, mais de quoi tirer le maximum de douleurs. Je n'ai que trois semaines pour dresser Manon. Il faut qu'elle soit mon esclave pour le retour de ma fille. Avant de rentrer, j'achète cinq cartouches de clopes. Je fume un peu, ça m'évitera de sortir de chez moi pour en acheter.

Le VTC m'attend sagement. On rentre rapidement, je le paie en le payant grassement. Je lui demande son numéro perso, je déteste conduire alors autant avoir un chauffeur. Quand j'ouvre doucement la porte de chez moi, je me rends compte que je ne suis partis qu'une petite heure. Je pose mes achats dans le couloir, je me déshabille entièrement, je bande comme un fou, il va falloir que je me soulage avec ma douce Manon. Je m'approche lentement du salon. Je me rends compte que je prie dieu pour que ma belle-fille dorme encore. Je souris, c'est plutôt le diable que je devrais prier. Quand j'entre dans la pièce, je m'aperçois que mes vœux ont été exaucer. Tout d'abord, Manon dort encore, mais elle c'est un peu détendu. Ses fesses sont tendues par rapport à son corps, me rendant l'accès à sa chatte beaucoup plus facile que dans la position fœtale. Je me glisse doucement contre elle, prenant bien garde de ne pas la réveiller. Mon corps ne la touche pas. Je suis appuyé sur un bras, ayant une belle vue sur son visage merveilleux. De l'autre main je guide mon pieu contre l'entrée de sa grotte d'amour. Elle grommelle un peu, mais ne bouge pas. Je vais lui offrir le plus beau des réveils. Mieux qu'un radio-réveil, la bite-réveil.

Mon gland frôle à peine les lèvres, tuméfié par mes viols précédents, du sexe de Manon. Je lâche mon pieu, je me propulse en avant, l'embrochant de toute ma longueur. Je ravage les lieux soyeux. Manon ouvre des grands yeux, hurlant derrière son bâillon. Elle tente de me fuir, mais je passe une main sur son ventre, pour la maintenir collée à moi. Sa chatte est toujours aussi serrée, aussi accueillante. Ses couinements derrière son bâillon résonne délicieusement à mes oreilles. J'étais un soldat, le défenseur de la veuve et de l'orphelin, je me retrouve maintenant dans la peau d'un violeur. C'est aberrant, mais bordel ce que c'est bon. Je la travaille rapidement, je ne tarde pas à inonder sa matrice une nouvelle fois. Je me retire, m'essuie sur ses fesses. Je m'agenouille, la met sur le dos.

- Regarde-moi!

Elle garde la tête tournée sur le côté.

- Regarde-moi sale pute!

Elle ne bouge toujours pas. Je glisse ma main entre ses cuisses, je lui pince fortement le clito. Elle couine une fois de plus.

- Si tu veux que j'arrête, regarde-moi!

La douleur est telle, qu'elle lève enfin son regard sur moi. Je lis dans ses yeux toute l'horreur et la misère du monde. Bizarrement, cela me ravit. Manon est encore en pleure.

- Tu pleures beaucoup pour une petite pute.

Elle tente de me parler.

- Tu veux me parler?

Elle me fais signe que oui de la tête.

- Si c'est pour te plaindre ou supplier c'est inutile.

Elle me fais signe que non.

- Très bien. Mais arrête de pleurer pour rien, t'es vraiment une meuf.

Je dis ça de mauvaises fois, la pauvre gamine vient quand-même de se faire violer quatre fois en moins de douze heures. J'arrache le morceau de scotch, je lui retire la culotte de sa bouche. Le dessous est trempée de sa bave.

- Vas-y, parles.

Manon sanglote avant de se lancer.

- Je... J'ai soif... J'ai envie de faire pipi...

- Tu as déjà fais pipi sur toi recommence.

- Pitié... Je t'en supplie Léo...

Une idée génial me vient.

- D'accord, mais pour que j'accède à ta demande, il te faudra me sucer.

- Quoi? Non, s'il-te-plaît, pas ça.

- Tu n'as pas le choix. Alors?

Elle ouvre de grands yeux horrifiée. Mais elle sait que de toutes les façons, si je veux qu'elle me suce, la pauvre fille devra le faire de force. Elle commence à comprendre qui est le véritable maître.

- D'accord, c'est d'accord.

- Bien.

Je prends le couteau dans la poche de mon pantalon qui se trouve dans le couloir. J'avale également une des pilules donnée par Radiu. Je reviens, Manon panique en voyant la lame.

- N'ai pas peur, je ne vais pas te tuer. J'ai tellement de projets beaucoup plus beau pour toi.

Je coupe le scotche qui entrave ses chevilles. En la tenant par les cheveux, je la fais mettre à genoux. Je pose la lame de mon couteau contre sa gorge. Manon sursaute au contact du métal.

- Tu vas me sucer. Si tu mets les dents, je t'égorge. Compris?

- Oui.

- Parfait. Tu as déjà fais une pipe à un mec?

- Non, jamais...

Je met mon sexe mou contre les lèvre de ma belle-fille. Je vais donc dépuceler un autre de ses orifices. Je suis au paradis, ou dans un rêve.

- Maintenant à toi de jouer. A la fin, tu avaleras tout, comme la bonne chienne que tu es.

- Je ne suis pas une chienne...

- A bon? Comment tu appelles une pute qui jouis quand elle se fait violer?

C'est un coup bas, mais il fait mouche.

- Allez, suce.

Avec une grimace de dégoût, Manon ouvre sa petite bouche et avale mon sexe mou. Cette idiote ne sais pas comment faire. Il va falloir que je la forme.

- Sers-toi de ta langue, caresse ma bite avec. Fais comme un esquimau, fais aller ta tête le long de mon braquemart.

Manon, en pleure, obéit. Cette fellation est difficile, elle le fait d'elle même. Personne ne pourrais croire que je la viole. La jeune fille s'applique de son mieux sur mon mandrin. Elle suce mon chibre de mieux en mieux, même si cela reste maladroit. C'est peut-être ça qui rend sa pipe si somptueuse. Manon gémit quand je l'attrape par les oreilles pour la faire aller-et-venir sur mon chibre, à mon rythme. C'est génial. La conne à un haut le cœur à chaque fois que mon gland heurte sa luette. Sa pipe est bien baveuse, comme je les adorent. Sensation que je ne connais que trop peu depuis ma rencontre avec Clara. Mais je compte bien rattraper le temps perdu avec cette putain.