D'épouse Prude à Femme Délurée 5/7

Informations sur Récit
Une envie subite , une nouvelle expérience tentée
1.9k mots
4.46
7k
1

Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/27/2023
Créé 02/22/2023
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L'envie

Suite de l'histoire : Le Règlement Final

Cela fait un bon mois que mon aventure dans le parking du centre commercial s'est passée et je repense souvent à cette soirée, provoquant immédiatement en moi une excitation importante.

Ce week-end, je me retrouve seule, car mon mari est en séminaire avec son entreprise et l'invitation d'Abdel trotte dans ma tête.

Je suis partagée entre la peur d'aller dans cette citée la nuit et en même temps je repense à ces multiples orgasmes qui se sont succédés lors de cette soirée.

Je passe ainsi mon samedi après-midi à diverses tâches ménagères, mais l'idée de franchir le pas, m'obsède au plus haut point.

Je prend une douche tout en observant mon corps nu et encore très appétissant pour une cinquantenaire.

Mes seins de taille moyenne se tiennent bien, mes fesses rebondies sans trop de cellulite attirent le regard et ma chatte bien entretenue est une invitation au péché.

J'enfile une chemise de nuit et je décide ensuite de me faire un plateau télé.

Je suis allongée sur le canapé mais je n'arrive pas à me concentrer sur l'émission de divertissement, tellement la tentation est grande, d'oser l'impensable.

Ma main descend vers mon entrejambe et je constate sans surprise que je suis trempée.

Ok, c'est bon, après tout on n'a qu'une vie, et il faut en profiter.

Je me lève et je vais choisir une tenue dans mon dressing.

J'opte pour un ensemble string et soutien gorge verts en dentelle, une jupe verte également arrivant à mi-cuisse, un chemisier blanc dont je vais laisser les trois premiers boutons ouverts, afin de créer un beau décolleté.

J'enfile ensuite un manteau, trois quart, également vert, que je laisse ouvert, et enfile une paire d'escarpins de la même couleur.

Le reflet que renvoi le miroir me plait.

On dirait une femme d'affaire, mais super sexy.

Je ferme la porte et glisse les clés sous le paillasson, puis en sortant de l'immeuble, je cache le badge d'entrée dans le massif de fleurs, à côté du perron.

Il est 21h30 et me voilà partie pour une nuit pleine d'incertitude.

Après vingt minutes de marche, j'arrive au parking du centre commercial, bordé par les bâtiments de la cité.

Etant seule, mes pas résonnent dans le silence de la nuit, et je me demande si je vais avoir le courage d'entrer dans la cité.

J'ai une boule au ventre, la gorge sèche et une certaine appréhension.

Deux jeunes passent en scooter et me sifflent.

J'avance lentement et passe deux porches.

Au troisième un groupe de jeunes m'interpelle.

Je n'ose pas les regarder et continue d'avancer.

Sentant mon malaise, ils me suivent, tout en me sifflant et en continuant de s'adresser à moi, en des termes un peu crus.

Ne sachant que faire, j'accélère le pas et me dirige vers une cage d'escalier.

J'entre dans le hall, et me retrouve bloquée devant une porte et des interphones.

Les jeunes m'ont rejoint et me demande chez qui je vais.

Je répond que je cherche Abdel.

Ils me répondent qu'il n'y a aucun Abdel dans cette cage d'escalier.

Le meneur, un grand black, commence à devenir menaçant.

Il demande que l'on me tienne les bras et me redemande ce que je viens faire dans cette cité, tout en me fouillant les poches de mon manteau.

Ne trouvant rien, il s'énerve encore plus, en trouvant étrange que je me balade sans sacs, téléphone, clés, montres, etc.

Il me demande si je suis une fliquette et si je dissimule pas un micro.

La peur m'envahie et je tremble comme une feuille.

Je répète des sanglots dans la voix que je cherche Abdel que j'ai rencontré il y a un mois.

Il me répond qu'il va envoyer chercher le seul Abdel qui connaisse dans la cité, mais après une fouille de ma personne plus poussée, afin de lever tout doute.

Toujours tenue, je suis poussée à l'extérieur et je suis amenée au dépôt des poubelles.

Là on m'enlève mon manteau que l'on jette dans un container, et le grand black des geste brusque m'ouvre mon chemisier en arrachant au passage les boutons.

Ses comparses m'ôte ce dernier, qui finit avec mon manteau.

On me retourne, la fermeture éclair de ma jupe est rapidement baissée et cette dernière finit à mes pieds.

Je me retrouve en escarpins et sous vêtements devant sept jeunes dont les yeux manquent de sortir de leurs orbites, à la vue de mon corps appétissant et de mon fessier mis en valeur par mon string.

Je suis un peu rassurée, car la tension du départ semble retombée.

Du coup, la situation commence à m'exciter et je sens mon sexe s'humidifier.

je vois trois personnes arriver et je reconnais avec joie Abdel.

Ce dernier paraît stupéfait de ma présence.

- Eh bien dit donc, je m'attendais pas à ce que tu acceptes mon invitation. Tu es encore plus salope que je le croyais.

Mais si tu as envie de baiser, tu es à la bonne adresse.

Et puis regarde on est dix, rien que pour toi.

Si je me rappelle bien, tu aimes te balader à poil en étant attachée.

Tu dois avoir trop chaud là, tu es trop couverte et trop libre de tes mouvements.

Allez les gars, faisons honneur à notre invitée.

Deux mains m'enlèvent mon soutient gorge et deux autres me baisse mon string.

Je me retrouve totalement nue devant ces dix excités.

Mes mains sont tenues derrière mon dos et je sens des liens en plastique se refermer sur mes poignets.

Abdel me prend le bras et m'entraîne nue, seulement chaussée de mes escarpins, hors du local poubelle.

Nous entrons dans un immeuble, descendons l'escalier donnant accès aux caves et arrivons devant une porte.

Cette dernière est ouverte et je suis poussée dans une sorte de remise, bordée d'étagères, avec une table et des chaises au centre, et au fond, un canapé sans âge recouvert de tâches douteuses.

Abdel tout en plongeant deux doigts dans mon intimité, me demande si je suis prête.

Il les ressort devant les neuf compères présents, complètement recouverts de mon jus intime et me demande de les lécher.

La nuit va être torride.

Abdel me demande de passer devant chaque jeune présent, afin de montrer la marchandise.

Chacun me malaxe les fesses, me titille les seins, me doigte la chatte et ainsi explore et excite mes parties intimes.

Je suis trempées et ma mouille suinte le long de mes cuisses.

Je suis ramenée devant Abdel qui est le premier de la rangée de dix et positionnée à genou devant ce dernier, qui sort sa bite et la présente devant ma bouche.

Je n'ose dire que je n'ai jamais fait de fellation, mais à la vérité c'est une première pour moi.

J'ouvre ma bouche, il pousse son mandrin à l'intérieur et commence des va-et-vient.

Je serre les lèvres et avec ma langue lui titille le bout du gland.

Cela semble fonctionner car de petits râles sortent de sa gorge.

Au bout, de quelques minutes de ce traitement, son corps se crispe et je sens un liquide chaud et visqueux jaillir dans ma bouche en saccades.

Abdel me maintiens la tête et me demande d'avaler son sperme.

Je m'exécute et je lui trouve un goût très salé.

Je suis ensuite placée devant le deuxième mâle de la salle et un deuxième sexe s'invite dans ma bouche.

Ce deuxième invité ne résiste pas longtemps et décharge rapidement ses rasades.

Son sperme est moins salé et plus acide que celui d'Abdel.

Ma bouche gobe ainsi les huit autres pieux de chair et je m'applique avec attention à réussir ma première séance de pipes.

Je reviens devant Abdel qui assis sur une chaise m'attire vers lui et m'empale sur son bâton de chair.

il m'incite à coulisser le long de ce dernier.

Je suis tellement trempée que les mouvements sont fluides et rapides.

J'ondule du bassin afin d'éprouver plus de plaisir en stimulant mon clitoris, et ma petite perle gonfle d'excitation.

A chaque passage, des ondes de plaisir envahissent mon corps.

En plus Abdel, en profite pour me malaxer et me mordiller mes seins.

Mes mamelons sont gonflés de plaisir et mes tétons sont durs comme de la pierre.

Je commence à ressentir des contractions musculaires au niveau de mon vagin, de mon utérus et de mon anus.

Ma fréquence cardiaque augmente et je laisse échapper de petits cris de plaisir.

Puis dans un cri strident, mon corps se tend comme un arc et un tsunami de plaisir m'emporte, alors que dans le même temps, Abdel libère sa semence dans ma grotte inondée de cyprine.

Dans un état second, je suis soulevée et portée sur la chaise suivante où m'attend un deuxième sexe au garde à vous

Je suis embrochée sans difficulté par ce mandrin de chair et les mouvements d'aller et retour reprennent, stimulant à nouveau mon clitoris, tout en me faisant encore gonfler mes parois vaginales et ma vulve.

Son sexe est plus gros et mon fourreau humide et chaud l'enveloppe parfaitement.

Cela a pour effet de déclencher une éjaculation rapide et intense, dans un râle de plaisir.

Je passe ainsi de chaise en chaise, jusqu'au dernier compère.

Je suis un peu fatiguée, car je viens de subir dix introductions de pénis dans ma chatte en feu, trois orgasmes foudroyants, et un flot de sperme dégouline le long de mes cuisses.

Par contre ces lascars ont l'air d'être dans une forme olympique.

Je suis poussée vers la table, pliée en deux, offrant ainsi une vision magnifique sur mes globes fessiers et mon œillet plissé et palpitant.

Comme d'habitude Abdel commence.

Il positionne son gland à l'entrée de ma rondelle, puis pousse lentement et s'insère en moi. N'étant pas une adepte de la sodomie, je suis encore étroite et la douleur est intense.

Petit à petit, il me pénètre de plus en plus profondément, jusqu'à que ces testicules tapent mon cul offert.

Puis les mouvements coulissants commencent à s'accélérer et comme la première fois, la douleur initiale s'estompe au profit d'un plaisir surprenant.

Au bout de quelques minutes, il m'inonde les intestins de son sperme.

Et là encore, mes fesses offertes reçoivent la visite de dix queues, excitées au plus haut point par mon anus serré.

Je ne suis plus sur du tout d'ailleurs que cette image est la bonne car j'ai l'impression au contraire que tous mes trous sont dilatés, par ces dernières activités sexuelles.

Abdel m'annonce que nous allons terminer cette soirée, comme la dernière fois par une prise à deux.

Il s'allonge sur le dos et je suis positionné sur lui.

On m'écarte les fesses et une bite investie progressivement mon fondement.

Je suis prise en sandwich, remplie de toute part.

Ils synchronisent leur mouvement pour me pénétrer en même temps.

C'est difficile pour eux au début, puis ils commencent à prendre la même cadence et moi je prend encore mon pied!

Les sensations sont indescriptibles, c'est jouissif.

La parois séparant les deux phallus est tellement fine que j'ai l'impression que les deux se rejoignent.

Cela participe d'ailleurs à leur excitation et ils éjaculent presque en même temps.

On me redresse péniblement.

Mes mains étant toujours attachées dans le dos, je demande à Abdel de bien vouloir me détacher et également de bien vouloir me redonner mes vêtements, afin que je puisse rentrer chez moi.

Et une fois de plus j'ai la même réponse que la dernière fois.

Il me dit qu'il ne faut pas dissimuler un corps comme le mien, et avec une belle tape faisant bouger mon postérieur, il ajoute que mon excitation vient du fait d'être nue, attachée et donc vulnérable.

C'est donc toujours attachée, totalement nue, les trous dilatés, recouverte et remplie de sperme que je suis reconduite à l'entrée de la citée par mon groupe de mâles repus sexuellement.

Il doit être trois heures du matin et je dois encore regagner mon domicile...

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Génial super bien écrit

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Je suis plus que fan !! super fan

Très bien écrit

trouchardtrouchardil y a 11 mois

Dans la troisième partie, tu m'as remercié pour les conseils. Mais quel intérêt si tu ne les suis pas ?

Ton histoire est intéressante et très bien écrite, mais pourquoi vouloir faire une phrase un paragraphe. Cela nuit à la lecture et à la compréhension. Ouvre un livre, un journal ou un magazine, les textes ne sont pas écrits de cette façon.

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

C'est extra, mais comment détacher les mains ?

Rudy

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