D'épouse Prude à Femme Délurée 6/7

Informations sur Récit
la nuit on peut faire des mauvaises rencontres ou pas!!
1.8k mots
4.53
5.5k
2

Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/27/2023
Créé 02/22/2023
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C'est donc toujours attachée, totalement nue, les trous dilatés, recouverte et remplie de sperme que je suis reconduite à l'entrée de la citée par mon groupe de mâles repus sexuellement.

Il doit être trois heures du matin et je dois encore regagner mon domicile

Heureusement les rues sont quasiment désertes à cette heure de la nuit et je progresse rapidement en étant courbée pour être cachée au maximum par les voitures en stationnement.

j'arrive vite à la dernière ligne droite, qui est une longue et grande avenue, avec des trottoirs en contre allée, et des petites haies me permettant de m'accroupir et être ainsi dissimulée à chaque passage de voiture.

Cette avenue étant bordée d'entreprises et de zones industrielles, les piétons seront inexistants et je suis soulagée.

Du coup, la petite brise sur mon corps nu, le fait d'être attachée et mes seins et mes fesses tressautant à chaque foulée provoque en moi une nouvelle excitation.

Une voiture arrive, et je dois m'accroupir pour ne pas être vue.

Elle passe doucement et je m'aperçois que c'est une voiture de police.

Mince il faudrait pas que je me fasse embarquer dans cette tenue.

Je reste immobile et la vois s'éloigner lentement.

je vais me relever lorsque j'entends une voix d'homme.

- Bein alors salope, on se ballade à poil dans la nuit, tu as tes chaleurs?

Je tourne la tête et je vois un grand gaillard, d'une quarante d'année, à l'entrée d'une des zones commerciales.

Il se dirige vers moi et je reste accroupie comme tétanisée.

Ca doit être un SDF, car l'odeur de vinasse est écœurante et ses vêtements n'ont pas vu une goutte de lessive depuis bien longtemps.

Il me prend le bras, s'aperçoit que je suis attachée et me relève.

- Putain tu es bien foutue ma chérie

- allez viens avec moi, je t'invite à la maison.

Il me pousse, dans la zone industrielle.

Nous marchons vers le fond de celle-ci et il en profite pour mater mes fesses appétissantes, bouger au rythme de mes pas.

Au bout de l'impasse, il me pousse vers une ouverture dans une haie d'Aucuba.

Derrière cette dernière, nous nous retrouvons dans une sorte de petite clairière, éclairée par la lumière des lampadaires des entreprises de la zone, avec une cabane de bric et de broc dans le fond.

Un chien énorme en surgit, stoppé immédiatement par un cri sec.

- ASSIS SULTAN. Pas bougé!!

Je tremble comme une feuille, car j'ai une peur bleue des chiens.

Il semble obéir mais, il est d'une taille imposante.

Il ressemble à un mastiff, avec un corps puissant et une gueule et des babines impressionnantes.

Le SDF me pousse vers la cabane en hurlant.

- Emile viens voir on a une invitée.

Un clochard en sort. Il est plus âgé, la cinquantaine bien tassée, petit, bedonnant, le visage barbu et crasseux. Il porte un tee shirt qui à l'origine devait être blanc et un pantalon de survêtement.

Il s'approche de moi, scrutant toutes les parties de mon corps offert.

Son haleine pue le rouge bon marché, le tabac de mauvaise qualité et d'autres choses que je ne préfère même pas imaginer.

Puis il m' empoigne les seins pour les pétrir, me gobe mes mamelons, les mordilles, les têtes comme un nouveau né affamé, ses doigts crasseux descendent maintenant vers mes fesses qu'il malaxe avec entrain, enfin je sens un doigt investir ma chatte, sans aucune difficulté, tant je suis trempée.

Son compère n'est pas en reste, car un doigt écarte ma rosette et investit mon cul.

Mon corps réagit à ce doigtage en règle et des ondes de plaisir le transperce de toute part.

Le vieux m'oblige à me mettre à genoux et baisse son survêtement, découvrant un sexe trapu et gonflé par le désir.

Par contre, son gland est d'une puanteur innommable et de petits pustules le recouvre.

Je tente de résister, mais les deux s'y mettent, et il m'enfourne sa bite immonde dans la bouche.

Le gout infect me fait tousser et pendant que son engin fait des aller et retours dans ma bouche, de la bave et de la bile s'en échappe.

Enfin il explose et je reçois une rasade de sperme dans mon gosier, qu'il m'oblige à avaler.

Je suis à peine remise de ce calvaire, que le plus jeune m'enfourne également son mandrin dans la bouche.

J'ai du mal à contenir mes hauts le cœur, et cette deuxième bite, est également une infection, puant la crasse et la pisse.

Là encore je suis obligé de lui lustrer son gland poisseux, sous peine de me faire pincer les tétons.

Les assauts deviennent de plus en plus rapides, et il explose enfin, libérant sa semence dans ma bouche endolorie.

Je vois le vieux aller vers le chien et lui enlever son collier.

Il revient vers moi et malgré mes suppliques et ma tentative de résistance me le met au cou.

Il passe ensuite une corde au collier, m'emmène à un piquet, me met à genou devant, me penche en avant et m'attache à celui-ci, puis avec la corde passe derrière mes genoux et la rattache au piquet.

Je me retrouve ainsi dans une position peu confortable, le front par terre, les mains toujours attachées dans le dos, les seins pendant dans le vide, les fesses en l'air, ne dissimulant rien de mon anatomie, à mes deux SDF.

J'ai peur de la suite, car je ne peux pas absolument pas bouger et ils n'ont pas l'air de vouloir me laisser partir rapidement.

Le plus jeune revient avec deux bouteilles de bières et chacun en se rafraîchissant se délecte du spectacle de mon cul offert et de ma chatte ouverte, laissant entrevoir mon orifice vaginal, graissé par le sperme recueilli durant ce début de nuit.

Bizarrement cette position dégradante, provoque une chaleur dans mon bas ventre, accentuée par les attouchements du vieux, s'amusant avec le capuchon de mon clitoris.

Les deux sont alcoolisés, mais autant, le plus jeune, à l'air simplement en manque de sexe, autant le vieux semble plus pervers.

Voyant que mon corps réagit à ses contacts sur mon clito il s'amuse maintenant avec ma rondelle à moitié entrouverte par les derniers assauts subis.

Là aussi la liqueur séminale ayant remplie mon fondement rend la pénétration de ses doigts crasseux plus facile.

Venant de finir sa bouteille, il écarte mes globes fessiers et l'enfonce sans aucune délicatesse dans mon postérieur.

Un rire gras et triomphant parachève son œuvre, et je me retrouve avec une bouteille enfoncée au trois quart dans arrière-train.

Le plus jeune ayant retrouvé vigueur et envie, m'écarte les petites lèvres et pousse son phallus dans ma minette.

J'ai l'impression de subir une double pénétration et cela m'envoie dans tout le corps des ondes de plaisir.

Après cinq minutes de va et vient, j'entends un cri de jouissance et je sens un liquide chaud envahir mon vagin.

Je pousse un ouf de soulagement car en se retirant de mon sexe, il m'ôte également la bouteille de mon derrière.

Ayant assurée le plaisir de mes SDF, je demande alors d'être détachée et de pouvoir partir.

Le vieux rigole et me dit que je partirai après m'être occupée de tous les occupants du lieu.

Mince, il y en a encore un dans la cabane?

Et là il cri :

- Sultan viens voir notre chienne

J'entends avec horreur le chien arriver.

Je tremble de terreur.

Ma position est claire pour lui. Je suis une femelle en chaleur.

Je sens sa langue commencer à lécher le sperme s'écoulant de ma vulve.

Sa langue longue et râpeuse, s'insinue dans mon sexe, à la recherche de la source de mes sécrétions et de ce parfum, et l'odeur qu'il dégage semble lui indiquer que je suis prête à être montée.

Une certaine frénésie s'empare de lui, et son pénis sort de son fourreau, libérant déjà un liquide transparent.

Et là, l'impensable pour moi, se produit.

Il prend appui sur mon dos et me pénètre.

Le rythme est rapide, et j'ai l'impression qu'une multitude de giclées inondent mon vagin.

Attachée comme je suis, je ne peux que subir les assauts frénétiques de mon nouvel amant canin.

Au bout de deux à trois minutes, je sens son pénis grossir, en moi.

Mon dieu, j'ai l'impression qu'il ne s'arrête plus.

Je suis complètement remplie par ce sexe surdimensionné, et une explosion envoie toute sa semence envahir mon intimité.

J'ai l'impression que cela ne s'arrêtera pas, tellement un liquide chaud me remplie.

Le pire est qu'il ne s'en va pas et reste fiché en moi, le sexe toujours aussi dur.

Quelle humiliation, je suis obligée de rester dans cette position honteuse et déshonorante, prise par un chien.

Bien que la notion de temps soit difficile à appréhender, nous restons ainsi pendant au moins vingt bonnes minutes.

Je sens son sexe palpité ainsi que sa chaleur et la sensation n'est pas désagréable.

Je deviens folle c'est pas possible.

Son sexe semble enfin décroitre et il se retire.

J'ai l'impression que des litres de sperme, s'échappent de ma grotte et je suis à nouveau léchée par ce molosse.

Il me laisse enfin et va se coucher plus loin.

J'appelle afin qu'on me libère.

A mon soulagement, c'est le plus jeune qui bouge et qui m'enlève la corde et le collier.

Je me redresse difficilement, complètement courbaturée par cette position imposée.

Je lui demande de me couper les lien en plastique autour de mes poignets, mais il me montre la direction du trou dans la haie, et je prend immédiatement la fuite, ne souhaitant pas qu'il change d'avis.

Je ne sais pas qu'elle heure exacte il est, mais je pense qu'on doit approcher les cinq heures du matin.

Heureusement que nous sommes dimanche, car à cette heure, en semaine, cette zone industrielle, doit commencer à être en activité.

Je marche rapidement vers la sortie, le surplus du liquide canin, coulant le long de mes cuisses.

Et me voilà de nouveau sur l'avenue, direction la résidence.

Par contre, je suis en train de penser, que je ne pourrai pas rentrer comme ça, puisque certes, je pourrai récupérer mon badge laissé sous une pierre, mais qu'avec les mains attachées dans le dos, je ne pourrai pas le mettre à hauteur du lecteur vigik pour ouvrir la porte du bâtiment.

Je ne peux quand même pas attendre complètement à poil, dans ma résidence, qu'un voisin passe la porte et dans le plus simple appareil, lui demander la permission de passer.

Qu'elle humiliation!!

Je ne vois qu'une solution qui me dégoute.

C'est de demander à mon pervers de gardien, qui m'a déjà vu nue une fois de bien vouloir m'ouvrir.

Mais ce pourri va certainement profiter de la situation, en me rabaissant et en me soumettant à ces caprices.

J'arrive enfin devant mon domicile, je récupère mon badge et comme je m'y attendait, ne peut rien en faire.

Il doit être en cinq et six heures, l'aube se lève, il faut que je prenne vite une décision, car les voisins matinaux ne vont pas tarder à se montrer.

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3 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Une escapade nocturne dont elle se souviendra ! Et ce n'est pas fini... Très excitant merci !

gdiabologdiaboloil y a 10 mois

Affriolant et excitant. Très joli récit qui mérite largement une suite.

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Super histoire, super série Bravo

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