Découvertes - 03 (Glory-Hole Risqué)

BÊTA PUBLIQUE

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Au moment de l'éjaculation, le client de Marion, sans retirer sa main du vagin dilaté, pousse, de son autre main, la tête de Marion vers le sexe de l'inconnu, dont le gland bute à l'entrée de la gorge. Marion manque de s'étrangler en déglutissant, tant le sperme est abondant, ce qui ne l'empêche pas de jouir comme une folle.

Lorsqu'elle se calme, Marion se rend compte que son client, qui était jusque là si affectueux, est devenu plus agressif, plus brutal. C'est excitant, mais cependant un peu inquiétant. Marion se dit qu'il est peut-être frustré de savoir qu'il la voit pour la dernière fois et qu'il veut lui faire payer cette frustration. Bonne fille, elle se convint de suivre toutes les envies de son dernier client. Il en aura pour son argent, se dit-elle.

Sur la cloison, face à eux, à côté d'un trou maintenant vide, une sorte de grosse trappe vient de s'ouvrir. Un homme vient se presser à cet endroit de l'autre côté de la cloison. Le sexe tendu est bien au centre de la grande ouverture qui permet de voir ventre, haut des cuisses et bas du torse. Le visage n'étant pas visible, l'anonymat est respecté. Le haut de l'ouverture est un peu élargie pour laisser un passage pour les bras.

« Vas-y Marion, penche-toi et pousse tes fesses vers la cloison. Cette trappe est faite pour des salopes comme toi », lui ordonne son client.

Alors, sans hésiter, elle s'enfile sur le sexe tendu, alors que les mains de l'inconnu, attrapent ses hanches et l'attirent vers lui. La pénétration est ainsi plus profonde et le contact des peaux plus large. C'est comme si la cloison n'existait pas, sauf qu'ils vont baiser dans l'incognito. Jamais Manon ne saura qui la prend. La position sans appui est inconfortable. Alors son client se relève et déplace la banquette pour que Marion puisse y poser ses mains. Elle est sensible à son attention, mais se rend compte aussi qu'il y trouve un avantage, car, assis sur la banquette, il lui suffit de presser légèrement sur la tête de Marion pour lui mettre sa petite bite en bouche. L'inconnu la lime avec force alors qu'elle suce avec application le petit zizi de son client. Lorsque Marion est proche de la jouissance, elle est déçue de sentir que son partenaire vient d'éjaculer un peu trop tôt.

Il vient juste de se retirer que d'autres mains saisissent les hanches de Marion et qu'un autre sexe s'enfonce en elle. Marion, qui avait vu le petit nombre d'hommes présents à son arrivée, s'en étonne :

« Oh, il y en a encore un ! »

« Bien sûr, ma chérie », lui dit le gros homme, « et pas qu'un seul ! J'ai tout organisé avec le patron du sex-shop qui vient de rameuter pour toi tous ses fidèles clients. »

Le second inconnu la baise rapidement et déclenche l'orgasme espéré. Personne ne laisse à Marion le temps de récupérer tant les pénétrations se suivent sans délai. Elle n'a même pas l'occasion de voir un des sexes qui la pénètrent. Seuls formes et tailles pourraient lui faire sentir des différences si elle n'enchaînait pas les orgasmes. Elle a simplement pris un malin plaisir à compter les hommes qui la baisent, pensant à son mari cocu à qui elle donnera se chiffre comme un trophée.

Elle en est maintenant au dixième et elle se demande si ces hommes ne se sont pas rangés du plus calme au plus violent, tant elle est maintenant prise avec force. Les coups de piston, qui, grâce à la taille de l'ouverture, ne sont pas bloqués par la cloison, la poussent vers l'avant sans que ses bras puissent freiner assez le mouvement. Ce déplacement vers l'avant devient dangereux pour la petite bite qu'elle tente toujours de sucer. Son client se retire de sa bouche et se contente de s'exciter en regardant Marion se faire prendre d'une telle façon. Les lourds seins pendant sous le torse de Marion se balancent en tous sens. Le gros homme trouve cette vue d'un érotisme torride qu'il veut partager avec elle en disant :

« Sens-tu comme tes grosses mamelles pendantes volent? »

« Oh, oui, oui ! », répond Marion si proche de la jouissance.

« Et bien, elles vont voler encore plus, salope ! », ajoute son client.

Et là, une grande claque s'abat sur un sein, puis sur l'autre, alors qu'un long cri de Marion accompagne sa jouissance, qui provoque aussi celle de l'inconnu qui la baisait.

Puis la noria des pénétrations continue sous l'œil du gros client, qui applique sur les seins de Marion deux claques au moment de l'éjaculation du partenaire. C'est comme un rituel qui fait jouir Marion à chaque fois, malgré la douleur.

Lorsque le dernier se retire, Marion se relève et dit avec une certaine fierté :

« Te rends-tu compte? C'était le dix-neuvième. Oh ... ! »

« On s'arrête toujours sur un compte rond, ma chérie. Regarde, le vingtième est là pour toi ! »

Marion, se retournant, fait face à ce qui doit être le corps d'un athlète. Dans l'ouverture trône un énorme sexe, bien noir, comme son possesseur. Elle entend alors son client dire :

« Le patron du sex-shop l'a bien choisi. C'est un acteur du porno. »

Marion pense qu'elle ne pourra jamais prendre en elle un tel engin, mais elle a envie d'essayer, alors elle se met en position. Son vagin est tellement plein de sperme que le gros sexe noir rentre d'un coup, aidé par les grosses mains qui viennent d'agripper ses hanches. Le membre est si épais et si long qu'il vient d'éjecter tout le sperme qui était en elle. Il a occupé toute la place. Marion a été si surprise que le cri qui allait lui échapper est resté dans sa gorge. Le gland est venu s'écraser contre le diaphragme, ce qui fait dire à cet athlète :

« Mais qu'est-ce qu'il y là-dedans? »

Lorsqu'il se retire d'un coup, Marion tente de se relever aussi vite, mais son client maintient Marion, la remettant en position et lui pressant les fesses dans l'ouverture.

« Ce n'est pas fini, ma chérie. Reste tranquille ! »

Être ainsi bloquée angoisse Marion, surtout lorsqu'elle sent un gros doigt glisser jusqu'au fond de son vagin pour y crocher le diaphragme, que le grand noir extrait puis jette de son côté de la cloison en disant :

« On n'a pas besoin de ce truc ! »

L'homme reprend d'un coup possession du vagin de Marion qui crie :

« Non, non, non ! Pas comme ça, je vous en supplie! Je suis sans contraception et fertile en ce moment ! »

Le grand noir entame son coït puissant alors que le client répond à Marion :

« Oui, oui, justement ! C'est tellement plus excitant comme ça ! »

Le gros homme maintient bien Marion pendant que le noir la baise avec force. Il n'est pas question de la lâcher, de la laisser s'échapper. Sous ses mains, plaquées sur les épaules de Marion, il sent le corps trembler, vibrer. Serait-elle excitée par ce risque inconsidéré? Ses halètements, ses soupirs, ses cris de plaisir semblent le confirmer. Alors, il lui dit :

« Si je retire mes mains, ma chérie, resteras-tu tranquille? »

C'est un « oui » dans un murmure qu'il entend alors. Effectivement, dès qu'il enlève ses mains, Marion ne tente pas de s'échapper. Au contraire, elle pousse se fesses en arrière pour venir à la rencontre de ce gros sexe qui la perce si violemment. Ses seins pendants se balancent encore plus que lors des copulations précédentes, tant la force de son partenaire est plus importante. Il est déchaîné.

Alors son client questionne Marion pour augmenter leur excitation :

- le client : « Savais-tu en venant que c'était le jour de ton ovulation? »

- Marion : « Oui ... mais j'avais mis mon diaphragme ... et du spermicide. »

- le client : « Salope ! », alors qu'il lui claque les deux seins.

- Marion : « Oh, là, non ... non ... oui ! »

- le client : « Quand il t'a pénétré avec son énorme sexe, il a éjecté tout le foutre des autres et certainement le spermicide avec. L'as-tu senti? »

- Marion : « Je ne sais pas ... ouille ! », réagissant à deux nouvelles claques sur ses seins.

- le client : « Aimes-tu ce qu'il te fait en ce moment? »

- Marion : « Oui, oui ... ça n'a jamais été aussi bon? Aille !», alors que deux nouvelles claques commencent à faire rougir ses seins.

- le client : « Sais-tu où il a envie d'éjaculer? »

- Marion : « Non, non ... je ne sais pas ... » et deux claques tombent sur sa poitrine sensible.

- Marion : « Oui, oui ... c'est en moi ... tout au fond. »

- le client : « Il va sûrement te mettre enceinte, n'est-ce pas? »

- Marion : « Peut-être ... aille, aille ... oui, c'est certain. »

- Marion : « Arrête, arrête, tu me fais mal ! », réagissant à deux plus fortes claques sur ses seins.

- le client : « Tu as raison. Il ne faut pas abîmer tes mamelles. Tu en auras besoin pour allaiter », phrase contredite par une nouvelle marque rouge de ses doigts sur la poitrine qui se balance devant lui.

- le client : « Peut-être aimes-tu mes claques à cet endroit? »

- Marion : « Non, non ... aille ... peut-être ... aille ... oui, oui ! »

- le client : « Diras-tu à ton mari que tu es enceinte ou attendras-tu? »

- Marion : « Je ... je ... j'attendrai qu'il le voit ... je crois. »

- le client : « Salope ! », ponctué de deux claques sur des seins déjà bien rouges.

- le client : « Préviendras-tu ton mari de la couleur de l'enfant? »

- Marion : « Euh ... non ... il le verra bien à l'accouchement. »

- le client : « Tu vas humilier ton mari, salope ! », avec deux claques encore un peu plus fortes.

- Marion : « Arrête, arrête ... je ... je n'en peux plus. »

- le client : « Tu as de la chance, je vais être gentil, mais tu vas devoir répondre honnêtement à mes prochaines questions. Si je sens que tu me trompes, je continue. »

- Marion : « Oui, je te le jure. »

- le client : « D'abord, tu vas me donner l'adresse de messagerie de ton mari. »

- Marion : « Pourquoi ça? »

- le client : « Attention ! », et Marion la lui donne.

- le client : «Je me suis mis d'accord avec ton partenaire. Quand il va jouir, il le fera où tu lui diras. Tu as le choix, mais, n'oublie pas que tu as juré d'être honnête. »

Le coït est devenu plus puissant, plus rapide. Le grand noir a été certainement excité par la conversation précédente. Il ne va plus pouvoir tenir bien longtemps et il le dit.

« Où, Marion, où? », dit le client qui serre un sein de Marion dans chaque main.

Son partenaire vient de bloquer son mouvement, gardant son gros gland plaqué sur le col de l'utérus.

« Oui, en moi, là, là, juste là ! », hurle Marion qu'emporte un incroyable orgasme, qui ne peut que faciliter encore plus sa fécondation.

Pour Marion, lorsque le calme revient en elle, il est temps de partir et de se précipiter chez elle pour un nettoyage indispensable que son mari sait si bien faire. Il y a urgence., mais son client lui dit :

« Non, non, tu ne vas pas partir tout de suite ... d'ailleurs, ton imperméable a été mis sous clé. Alors tu vas bien gentiment regarder un joli film avec moi. »

Ses protestations ne servent à rien et Marion se dit qu'elle ferait mieux de regarder ce film sans attendre, pour perdre le moins de temps possible.

Le film qui s'affiche devant eux la montre dans cette cabine, parfaitement filmée, avec des gros plans très explicites. Le son est très clair également. Marion, assise nue sur la banquette, à côté de son client dans la même tenue, est d'autant plus surprise que son voisin lui dit :

« C'est la vidéo que je viens d'envoyer à ton mari. Il doit être en train de la visionner en ce moment, ma chérie. Il va adorer. »

Marion est certaine que son cochon de mari va être hyper excité en voyant ça. Tout à coup, une angoisse l'étreint : l'enregistrement va-t-il jusqu'au bout? Elle questionne son voisin qui le lui confirme. C'est dramatique, se dit-elle, se demandant comment son mari va réagir. Elle est allée vraiment trop loin. Il ne pourra jamais lui pardonner. Cependant, son excitation atteint des sommets. Elle est proche de jouir rien qu'en y pensant. Elle ne peut empêcher sa main de se poser sur la petite bite de son voisin au moment où arrive la dernière scène. A la fin de la vidéo, son client lui dit, en lui tendant son imperméable, son seul vêtement :

« Tu peux partir maintenant, si tu veux, Marion. »

Il est surpris lorsque celle-ci lui répond :

« Pourrais-tu me repasser encore la dernière partie, celle avec le grand noir? »

Il s'exécute et Marion atteint de nouveau l'orgasme lorsqu'elle s'entend dire sur la vidéo :

« Oui, en moi, là, là, juste là ! »

Elle prend congés de son client en l'embrassant sur la bouche avant de dire :

« Tu es fou, complètement fou, mais je n'aurais jamais imaginé vivre quelque chose d'aussi fort, d'aussi excitant. Alors, merci, merci, merci ! »

Lorsque le taxi la dépose chez elle, Marion se demande comment va être l'accueil de son mari qui aura vu sa vidéo. Julien lui ouvre la porte, alors qu'il est complètement nu, avec un braquemart bien rigide. Sans un mot, il la débarrasse de son imperméable comme il l'aurait fait avec n'importe quel visiteur. Alors qu'ils sont tous les deux nus, il l'entraîne vers le salon où se trouve le téléviseur sur l'écran duquel est affiché la dernière image de la fameuse vidéo. Il lui montre ainsi qu'il sait tout, se dit Marion, mais est-il furieux? Qu'il y ait dispute ou non à venir, il y a une urgence, aussi dit-elle :

« Il faut d'abord que j'aille à la salle de bain pour une toilette. J'aurais besoin de toi pour m'aider. »

Julien, la retenant par le bras, lui répond sur un ton autoritaire auquel elle n'est pas habituée :

« Il n'en est pas question pour l'instant. Nous avons un joli film à regarder. »

« Mais tu l'as déjà vu ! », répond Marion, montrant l'image sur le téléviseur.

Julien force sa femme à s'asseoir sur le canapé à côté de lui et relance la vidéo au début. Il s'ensuit une discussion :

- Marion : « Non, il faut d'abord que tu m'aide à me nettoyer à fond. Je n'avais plus mon diaphragme lorsque cet Africain a joui en moi. Alors, il faut faire vite ! »

- Julien : « Il est certainement déjà trop tard, ma chérie », avec un grand sourire narquois.

- Marion : « Et c'est tout l'effet que ça te fait? », en écarquillant les yeux.

- Julien : « Mais c'est toi qui lui a dit où tu voulais recevoir sa semence ! Tu avais la possibilité en un seul mot de l'éviter, n'est-ce pas? »

- Marion : « Oui, mais j'étais si excitée ... je n'ai pas pu me contrôler. Oh, mon dieu, qu'ai-je fait? Jamais tu ne me pardonneras ! »

- Julien : « Je n'ai pas à te pardonner mais à te remercier, ma chérie. Pour un cocu volontaire voir sa femme engrossée par un autre homme est le summum de l'érotisme ! »

- Marion : « Même par un noir? »

- Julien : « Je vais te le prouver en t'empêchant de faire toute toilette intime, mon amour. Et nous allons regarder tranquillement cette vidéo tous les deux. Et je vais te baiser en même temps ! C'est trop excitant d'avoir une femme aussi salope !»

- Marion : « Oui, mais j'y mets une condition. »

- Julien : « Ah, bon ! Et laquelle? »

- Marion : « Que, dès maintenant et pour les semaines qui viennent, tu mettes un préservatif. Si je tombe enceinte, il n'est pas question que ce soit de toi, mon cocu chéri ! »

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... Fin ...

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 25 jours

Folle histoire de cocu ! Merci

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