Découvertes - 02 (Call-Girl Adultère)

Informations sur Récit
Mario fait son mari cocu avec son patron et devient callgirl.
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4

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 05/30/2024
Créé 05/09/2024
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Marion est heureuse d'avoir retrouvé une féminité qu'elle avait oubliée en consacrant sa vie à ses jumeaux, Léo et Eva, qui sont depuis peu partis à l'étranger pour y faire leur vie. Après leur départ, elle s'était sentie déprimée et son mari, Julien, avait eu la bonne idée de l'emmener au carnaval de Venise. C'est là-bas qu'elle avait pu être un peu coquine. Elle avait même été à la limite de tromper son mari avec un inconnu pendant le retour en train-couchette. Marion s'était ensuite rendue compte que ses frasques avaient excité son mari, qui n'était pas loin d'avoir envie qu'elle le fasse vraiment cocu.

Cela ouvre à Marion des possibilités qu'elle hésite encore à exploiter, mais, à 37 ans, il serait peut-être temps d'en profiter.

Marion recherche toujours un travail d'hôtesse pour des conférences ou autres évènements, mais c'est pour l'instant infructueux. Ce résultat négatif ne la perturbe pas trop, car elle s'apprête à accueillir sa fille pendant quelques jours. Elle est heureuse de revoir Eva après trois mois d'absence. Celle-ci vient au siège de l'entreprise qui l'emploie pour une réunion annuelle.

Dès l'arrivée d'Eva, les deux femmes sont heureuses de se retrouver et de bavarder. Elles ont tant de questions de part et d'autres :

- Marion : « Ma chérie, je suis heureuse de te retrouver et aussi de voir que tu as réussi dans ton poste puisqu'on te paie un aller-retour depuis l'Australie pour une réunion en France. »

- Eva : « Mon master en communication m'a bien aidée pour ce job dans l'événementiel ... et puis mon patron m'aime bien ... »

- Marion : « J'espère que ton frère va aussi bien que toi. J'aurais été plus tranquille de le savoir près de toi plutôt qu'à l'autre bout de la planète. Il aurait pu veiller un peu sur toi... alors que tu est bien seule si loin de nous. »

- Eva : « J'ai quelqu'un souvent près de moi. C'est le grand patron de l'entreprise. J'ai flashé sur lui tout de suite. A chaque fois que son travail l'amène en Australie, il vient passer avec moi un peu de ses journées, mais surtout ... ses nuits. Je regrette qu'il ne soit pas là plus souvent. Le siège de sa société est à Paris, alors que Sidney n'est que le second site. Il habite d'ailleurs près de chez toi. C'est un très bel homme, tu sais. Il a la cinquantaine grisonnante. J'espère que me savoir avec un homme de cet âge ne te choque pas.»

- Marion : « Pas du tout, ma fille. Qu'il te rende heureuse, c'est l'essentiel pour moi. »

- Eva : « C'est vrai que je prend beaucoup de plaisir avec lui, vraiment beaucoup. »

- Marion : « C'est bon de savoir que tu as trouvé un homme qui te fait du bien, ma chérie. Puisque l'on est dans ce genre de confidences ... moi aussi ... »

- Eva : « Quoi donc, Maman? Raconte ! »

- Marion : « Ton père m'a offert un voyage à Venise, pour le carnaval, et ... j'en ai ... bien profité. En fait, j'ai fait un peu d'exhibitionnisme ... et même un peu plus. »

- Eva : « Allez, dis-moi ... »

Alors Marion raconte tout à sa fille, sans oublier le moindre détail, même dans l'épisode du train. Elle n'hésite pas à dire à Eva que son père a tout vu et qu'il n'a pas été fâché, bien au contraire :

- Marion : « Je crois que ton père serait peut-être excité si je le faisais vraiment cocu ... mais ... je n'ose pas. »

- Eva : « Maman, tu as passé tes plus belles années à t'occuper de nous, alors c'est bien le moment de penser à toi, surtout si papa y trouve son compte, en plus ! »

- Marion : « Bon, revenons à toi, ma chérie. Qu'a-t-il de si bien, ton amant, pour te donner autant de plaisir? »

- Eva : «Il est très bien monté. Il a un pénis d'une longueur ... qui me fait beaucoup de bien ... tout au fond ... tu vois ! »

- Marion : « Aurais-tu une photo? ... Oh, non, pas de ça ! Je voulais dire ... une photo ... de lui. »

Alors Eva sort une photo de son porte-cartes. C'est un portait de son amant. Un 'Oh ! » de surprise sort de la bouche de Marion. C'est l'homme du train ! Eva ne peut que s'étonner de la réaction de sa mère :

- Eva : « Qu'est-ce qu'il y a, Maman? »

- Marion : « C'est que ... c'est ... c'est ... un très bel homme ... oui ... vraiment. »

- Eva : « Et bien, dis-donc, il te fait de l'effet, dirait-on? On doit avoir les mêmes goûts ! »

- Marion : « Oui, peut-être. Je ne t'ai pas dit que je cherche un travail d'hôtesse dans des sociétés un peu comme la tienne », cherchant à abandonner ce sujet délicat.

- Eva : « Je pourrais peut-être t'aider en en parlant à mon patron. Venant de moi, il regardera ton dossier. »

- Marion : « C'est que mon CV n'est pas bien fourni ... »

- Eva : « Commençons par une photo », qu'elle prend avec son smartphone et envoie tout de suite après avoir tapé une courte phrase.

Quelques minutes plus tard, alors qu'elles parlent de choses et d'autres, un bip alerte Eva, qui consulte son smartphone et dit à sa mère :

« Je n'en reviens pas : il veut te voir ce soir à 22 heures, ... et à son domicile, en plus ! Tu dois lui avoir tapé dans l'œil ... à moins que sa réponse immédiate soit pour me faire plaisir? »

Après le dîner, alors que sa fille vient de partir pour une soirée avec des copines qu'elle est heureuse de revoir, Marion monte dans sa chambre pour sélectionner sa tenue pour ce soir. Elle veut être à son avantage et, comme elle se doute de la suite de la soirée, elle choisit une tenue très sexy. Sur le lit, elle dispose un chemisier assez transparent, une jupe un peu fendue, des bas et un porte-jarretelles, un soutien-gorge pigeonnant et un string. Puis, nue, elle va dans la salle de bain pour une petite préparation intime, oubliant de verrouiller la porte. Julien, dès son entrée dans la chambre, remarque les vêtements et s'étonne qu'elle s'habille au lieu de se mettre en tenue de nuit. Sortirait-elle ce soir? Elle ne lui a rien dit, aussi entre-t-il dans la salle de bain pour questionner sa femme, qu'il découvre assise dans une position assez obscène, cuisses largement écartées. Il questionne :

« Que fais-tu ma chérie? Sortirais-tu ce soir? », ce qui lui vaut une réponse un peu cinglante :

« Oui, j'ai une sortie ... sans toi. Et j'étais en train de mettre mon diaphragme. Tu pourrais me laisser un peu d'intimité, tout de même ! »

Julien ressort mais reste derrière la porte pour la questionner encore :

« Qui vas-tu voir avec la tenue sexy que tu as choisie et pourquoi mets-tu ton diaphragme? »

La réponse n'est pas immédiate car sa femme est concentrée sur une pose délicate. Elle est si perturbée par l'intrusion de son mari qu'elle en oublie d'appliquer la crème spermicide. Ce n'est qu'en sortant et en commençant à se préparer qu'elle lui dit :

« J'ai un rendez-vous pour ce travail d'hôtesse que je recherche. Je dois rencontrer le patron ... chez lui. »

« C'est étonnant ... et pourquoi ce diaphragme? », questionne encore Julien.

« Je suis dans une période dangereuse ... alors ... à tout hasard ! »

« Comment ça? Pour un premier rendez-vous avec quelqu'un que tu n'as jamais vu ...? », s'exclame Julien.

« Bon, voilà, tu vas tout savoir », répond Marion, « Le patron, et c'est une vraie coïncidence, c'est l'homme du train de notre retour de Venise ! »

Alors Julien, dont le sexe vient de durcir à l'instant, prend le string sur le lit et le range dans le tiroir de la commode, en disant :

« Dans ce cas, tu n'en auras pas besoin ! Amuse-toi bien, ma chérie. »

« Ne m'attends pas. Je risque de rentrer tard », lui répond Marion en congédiant son mari.

Moins d'une heure plus tard, Julien reçoit un appel téléphonique. C'est sa femme :

- Marion : « Mon chéri, je suis dans une magnifique demeure. J'ai été reçue par un domestique très stylé qui m'a dit que son patron serait en retard. Il rentre de l'étranger et son avion a été retardé. Alors, je me suis dit que je pouvais passer un moment au téléphone avec toi, en attendant. Je suis partie un peu vite tout à l'heure. J'espère que tu ne m'en veut pas. »

- Julien : « Non, mais tu me manques déjà et je pense beaucoup à toi. »

- Marion : « C'est gentil, ça ! Et ... comment penses-tu à moi? »

- Julien : « J'imagine ce que tu vas faire ce soir. Ça me rend jaloux mais ... me fait aussi beaucoup de bien. »

- Marion : « Quel genre de bien? »

- Julien : « Cela m'excite vraiment ... et je me branle en pensant à toi ... », la fin de la phrase dite dans un murmure.

- Marion : « Cela veut-il dire que j'ai une permission pour la soirée ... ou ... la nuit? »

- Julien : « On peut dire ça. »

- Marion : « J'ai besoin de connaître les limites de cette permission. Puis-je aller aussi loin que la dernière fois dans le train ... ou un peu plus? »

- Julien : « Oui, peut-être un peu plus ... ou ... beaucoup plus ... », la fin de la phrase étant presque inaudible.

- Marion : « Alors, tu seras peut-être cocu dès ce soir, mon chéri. »

- Julien : « Oh ! », exclamation ponctuée par le clic de la communication que Marion vient de couper à l'arrivée de son peut-être futur patron.

Marion, qui ne sait toujours pas le prénom de l'inconnu du train, qui vient maintenant de la serrer dans ses bras, lui disant qu'elle est magnifique, le lui fait remarquer. C'est Serge, lui répond-il, disant que, cette fois, ils vont se tutoyer. Il l'embrasse avec fougue et elle répond à son baiser avec passion. Marion apprécie les compliments qu'il lui fait lorsqu'il lui enlève son chemisier et son soutien-gorge. Ses seins lourds lui plaisent visiblement beaucoup. Toujours debout contre elle, Serge passe une main par la fente de la jupe et touche une chatte nue dont les lèvres sont bien humides. Cette découverte lui fait dire :

« Tu t'es préparée pour moi, n'est-ce pas? C'est bien, c'est très bien ! J'aime beaucoup les salopes comme toi. »

Trop gênée pour répondre, Marion préfère le geste à la parole, aussi ouvre-t-elle la braguette et en extrait-elle cette longue pine très dure dont elle se souvient bien. Elle prend plaisir à branler ce sexe, alors que Serge suce ses tétons, tout en lui fouillant la chatte avec deux doigts. Marion commence à soupirer bruyamment. Elle est d'autant plus excitée qu'elle sait que, ce soir, elle va aller jusqu'au bout. Elle sera la femme adultère qui s'offre à Serge. Sera-t-il l'homme d'un soir ou un amant régulier? Elle espère ce second cas mais elle se sent coupable d'avoir ce désir : n'est-elle pas en train de voler l'amant de sa fille? Elle se rassure en pensant qu'un tel homme doit être capable de satisfaire deux femmes.

Marion est surprise d'entendre le bruit d'une sonnette que Serge vient d'agiter d'une main libre. Lorsqu'elle tente de se cacher, de peur de se montrer ainsi au domestique, son partenaire la bloque en lui disant que celui-ci en a vu d'autres. Ils se font servir un whisky par cet homme qui ne paraît pas surpris du tout par ce qu'il a devant les yeux. La tendance exhibitionniste de Marion fait qu'elle se sent encore plus excitée qu'auparavant.

Ils sont maintenant nus sur le canapé. Serge suce la chatte de Marion avec tant de savoir faire qu'elle est au bord de l'orgasme. Elle tremble toute et, dans un mouvement, son pied renverse et casse le verre de Serge.

« Tu boiras dans le mien », lui dit-elle.

« J'ai une autre idée », corrige Serge.

Il prend les jambes de Marion pour les poser sur ses épaules, lui relevant bien les fesses. Alors, prenant la bouteille de whisky, il en verse une grande rasade dans la chatte offerte et bien ouverte. Pour Marion, c'est une brûlure à la limite du supportable, mais si érotique qu'elle atteint l'orgasme. Puis, lorsqu'elle se calme un peu, la bouche de Serge se pose sur l'ouverture du vagin et il aspire ainsi sa boisson. Marion, en souriant, se dit qu'elle a bien fait d'oublier de mettre la crème spermicide, puis s'inquiète en pensant que l'alcool a peut-être endommagé son diaphragme. Va-t-elle aller jusqu'au bout dans ces conditions, alors qu'elle doit être proche de l'ovulation? Elle pense que déjà, sans spermicide, la protection du diaphragme ne dépasse pas 70 %, alors, un peu plus, un peu moins ... elle va prendre le risque. Elle a trop envie de ce premier véritable adultère. Elle ne s'est jamais sentie si femme, si libérée.

Lorsque Serge a fini sa boisson d'une façon si spéciale, c'est Marion qui se couche sur le canapé, cuisses largement écartées, offerte. Le contact du gland sur ses lèvres intimes et à l'entrée du vagin est si douloureux qu'elle laisse échapper un petit cri, sans toutefois se refuser. Elle a trop envie de cette longue bite en elle. Serge s'est rendu compte du problème, aussi se masturbe-t-il au bord de ce vagin, pour finir par envoyer de belles giclées de sperme juste à cet endroit. Marion a bien vu qu'il voulait ainsi lubrifier le passage, mais elle s'inquiète : pourra-t-il encore la satisfaire après l'éjaculation? Avec son mari, c'est presque toujours fini dans ces conditions. Quelle n'est pas sa surprise de sentir le membre dur s'introduire en elle ! La sensation est forte mais d'abord supportable, puis délicieuse.

Serge la pistonne maintenant avec force. Ses mouvements sont amples et de plus en plus profonds. Le gland vient buter sur son diaphragme avec force. Marion s'inquiète : ne risque-t-il pas de le déloger? Mais cette question est vite effacée tant le plaisir monte en elle. Serge sait qu'il ne va plus pouvoir se retenir longtemps, aussi demande-t-il en gentleman :

« Où veux-tu que je jouisse? »

« En moi, en moi », répond Marion dans ce qui ressemble plus à un cri qu'à une réponse.

Alors, elle est inondée complètement, profondément.

Quelques instants plus tard, alors qu'ils restent enlacés, dans une étreinte quasi amoureuse, ils ont besoin de savourer leur plaisir en parlant :

- Serge : « Quelle impression cela te fait d'être devenue une femme adultère? »

- Marion : « Je ne suis pas vraiment ce genre de femme. Mon mari sait que je suis ici, avec toi. »

- Serge : « Tu ne lui a tout de même pas dit ce qui s'était passé dans le train? »

- Marion : « Non, je n'ai rien dit, mais il ne dormait pas et avait tout vu ! »

- Serge : « Il n'avait pas réagi ! N'était-il pas jaloux? »

- Marion : « Non, je crois plutôt que ça l'excitait. »

- Serge : « Un cocu volontaire ! C'est magnifique ! Nous allons pouvoir continuer sans limite, ma chérie ! »

- Marion : « Parce que tu veux continuer avec moi? », rayonnante de désir.

- Serge : « Évidemment et, de plus, je suis ton patron, maintenant ! »

- Marion : « Chef, tu n'as même pas testé mes compétences ! »

- Serge : « Si, certaines, et elle me conviennent parfaitement. »

- Marion : « Trêve de plaisanteries, j'ai un petit problème pour un travail dans ton entreprise. Je n'aimerais pas me retrouver en face de ma fille, qui travaille pour toi ... et aussi ... tu comprends ... »

- Serge : « Tu as raison. J'ai peut-être une solution : j'ai une filiale un peu spéciale pour des évènements différents. C'est assez particulier mais je pense que tu saurais faire. Bon, c'est clair, je t'embauche dans cette filiale. »

- Marion : « Merci. Dis-moi tout de même de quoi il s'agit ... »

- Serge : « On verra ça une autre fois. »

Lorsque, au beau milieu de la nuit, Marion rentre chez elle, la lumière de la chambre est encore allumée. Elle y trouve son mari, allongé nu sur le lit. Il astique son sexe et est si excité qu'il ne s'arrête même pas à son arrivée. Alors Marion lui dit :

« Quelle belle occupation ... qui convient parfaitement à un mari cocu. »

« Aurais-tu vraiment ...? », questionne Julien sans interrompre sa masturbation.

« Oui », confirme sa femme, « et je t'en ai même rapporté la preuve. »

Marion se déshabille alors et se place à califourchon au-dessus du visage de son mari. De ses deux mains, elle écarte les lèvres de sa chatte et tout le sperme s'écoule de son vagin dans la bouche ouverte de son mari, avant qu'elle le questionne :

« Aimes-tu la semence de mon amant? »

« Euh ... euh ... » sont le seuls mots de Julien mais sa langue, qui fouille le vagin ouvert pour y chercher les dernières coulées de sperme, donne la réponse.

Marion dit alors à son mari d'extraire le diaphragme. Elle aurait pu le faire elle-même, mais le demander ainsi à son mari lui fait ressentir son pouvoir sur lui. C'est aussi une façon de lui montrer son statut de cocu. Humilier un peu son mari est une sensation nouvelle qui ne lui déplaît pas. Julien s'exécute et lui fait remarquer que le diaphragme lui a paru un peu de biais, ce qui fait dire à Marion :

« Serge l'a probablement un peu délogé avec son très long sexe, qui est venu plusieurs fois buter au fond de moi, touchant des endroits que tu n'as jamais pu atteindre avec ta petite bite, mon chéri. Si tu as bien fait ton travail de nettoyage, il n'y aura peut-être pas de conséquences. Sinon, ce sera de ta faute, mon cocu d'amour. »

Quand Eva a voulu savoir comment s'était passée la rencontre de sa mère avec son patron, cette dernière est restée évasive, disant qu'il lui avait proposé un poste d'hôtesse dans une filiale et qu'elles ne se rencontreraient certainement pas pendant le travail. Marion n'a évidemment pas parlé de sa relation sexuelle avec l'amant de sa fille.

Après le départ d'Eva, Marion reçoit un message de Serge qui voudrait la voir la semaine suivante, cette fois à son bureau parisien, pour lui donner des précisions sur son nouvel emploi et confirmer son embauche. Marion espérait un peu plus qu'un rendez-vous purement professionnel, car elle rêve de retrouver les sensations que lui apporte le long sexe de son amant. Cependant la date n'est pas idéale puisque elle sera indisposée à ce moment là.

Pour retrouver son futur patron, Marion se fait belle mais sans excès, car ce ne sera pas un rendez-vous galant. Dès son arrivée dans le bureau de Serge, celui-ci l'embrasse passionnément et n'hésite pas à lui caresser les seins à travers son chemisier. Lorsqu'il essaie de déboutonner le pantalon de Marion, celle-ci lui fait remarquer qu'elle n'est pas venue pour ça mais pour prendre connaissance du poste qu'il lui propose.

Serge lui explique que, dans cette petite filiale, il ne s'agit pas d'accueillir beaucoup de monde pour de grands évènements, mais d'accompagner certains clients très exigeants dans des visites touristiques ou toute autre activité ou loisir. Elle devra leur tenir compagnie et répondre à toutes leurs demandes. La société mettra à sa disposition dans ses locaux une large garde-robe qui sera faite sur mesure pour elle. Un taxi effectuera les trajets entre son domicile et cet endroit et vers les lieux de rencontre demandés par les clients. Marion se dit que cela ne paraît pas bien compliqué et lui fera découvrir beaucoup d'endroits qu'elle n'a pas eu l'occasion de connaître, les clients concernés étant visiblement plutôt fortunés. Elle s'étonne du montant important du salaire proposé pour un travail qui ne lui paraît aucunement difficile. Marion signe tout de suite son contrat.

Serge lui dit alors qu'il doit bientôt prendre un avion mais qu'il a un peu de temps pour fêter son entrée dans la société. Il lui offre le champagne, puis commence à déboutonner le pantalon de Marion, qui proteste en disant :

« Je suis désolée, mais ce n'est pas la bonne période du mois pour moi. »