Découvertes - 03 (Glory-Hole Risqué)

Informations sur Récit
Pour Marion, prostituée, la visite risquée d'un glory-hole.
6.2k mots
4.62
1.9k
2

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 05/30/2024
Créé 05/09/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Découvertes - 03 (glory-hole risqué)

-----------

Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

-----------

Marion, pour occuper ses journées depuis le départ de ses jumeaux, Léo et Eva, a trouvé un travail de call-girl qui lui plaît bien, comme à son mari, Julien, qui se complaît dans la situation de cocu volontaire. C'est Serge, l'amant d'Eva, qui lui a trouvé ce job et elle en est aussi devenue la maîtresse, à l'insu de sa fille. Sa première expérience, qu'elle imaginait en hôtesse, l'a faite évoluer naturellement vers un travail de call-girl, ou plutôt plus que cela, mais elle refuse d'en convenir.

Dans l'après-midi, Marion reçoit un appel téléphonique de son patron et néanmoins amant, Serge, qui lui dit :

« Ma chérie, je t'appelle de l'autre bout du monde car je ne veux pas tarder à te féliciter. Je ne pouvais pas trouver meilleure collaboratrice que toi. Ton premier client est aux anges. Il n'imagine plus les services de ma société que par toi. Il a fini par me confier ce qui s'était passé entre vous et j'ai compris que tu étais allée bien plus loin que je l'espérais pour le plaisir d'un client. Je t'encourage à continuer dans cette voie, à ce niveau, voire plus. Tu vas booster notre chiffre d'affaires, j'en suis certain. C'est pourquoi j'ai décidé de doubler ton salaire... »

« Euh ... merci, mais ... », l'interrompt Marion.

« N'en dit pas plus, ma chérie. C'est moi qui vais très bientôt te remercier en personne, d'une autre façon que financière. Je passerai te voir chez toi, samedi après-midi ... »

Marion l'interrompt encore :

« Mais ... mais ... mon mari sera là ! »

« La belle affaire ! », lui répond Serge, « un cocu volontaire prend souvent du plaisir à voir sa femme baisée devant lui. »

« Bon, tu as sûrement raison. Je t'aime. Je t'attends », conclut Marion.

Après cette conversation, Marion prend conscience de ce qu'implique l'évolution de son travail. Ce qu'elle avait fait avec son premier client lui paraissait être une exception, comme un moment où elle aurait perdu le contrôle, et non le travail d'hôtesse qu'elle avait imaginé. Elle voit maintenant qu'elle ne peut plus faire marche arrière. Elle a compris ce que son patron et amant attend d'elle. Elle ne peut perdre son travail ni surtout ses relations avec Serge. Elle va poursuivre sa 'carrière' en donnant à ses clients tous les plaisirs dont ils ont envie.

Marion s'inquiète des risques qui accompagnent sa décision. A 37 ans, elle pourrait encore tomber enceinte, ce qu'elle ne souhaite pas. Reprendre la pilule, comme elle l'avait fait pendant des années, lui ferait certainement baisser de nouveau sa libido. Elle ne le souhaite pas. Bon, c'est simple, dans ses périodes de travail, elle emportera toujours son diaphragme et un tube de spermicide. Ce ne sera pas parfait mais mieux que rien.

Samedi, après le déjeuner, Marion abandonne son mari qui lit son journal au salon. Elle retourne dans sa chambre pour changer de tenue. Elle se veut désirable pour son amant. Elle sait bien qu'elle va se donner à lui, ce soir, pour la première fois devant son mari. Sa décision de toujours utiliser son diaphragme est repoussée à une autre fois. Son amant n'aimerait certainement pas ça. Elle se veut au naturel pour lui. Évidemment, ce n'est pas le plus prudent car elle est aujourd'hui au début d'une période dangereuse, mais que serait la vie sans un peu de piment, se dit-elle.

Lorsqu'elle revient, Julien écarquille les yeux. Il a devant lui une femme dont le seins nus ne sont que légèrement voilés par un chemisier transparent. Une jambe apparaît par la grande fente d'une jupe longue. Des chaussures à hauts talons accentuent la cambrure naturelle de Marion.

« Que se passe-t-il? », s'étonne son mari.

« C'est que j'ai de la visite, cet après-midi », explique Marion, qui relève brièvement sa jupe pour montrer qu'elle n'a rien au-dessous.

Un coup de sonnette interrompt leur échange et Julien va ouvrir. L'homme qui se présente lui dit :

« Bonjour Julien. Vous me reconnaissez, je crois. Je suis, entre autres, le patron de votre femme. Je viens la féliciter pour le travail de qualité qu'elle a réalisé. »

Julien l'invite à entrer et Serge donne à Marion un magnifique bouquet de fleurs, qu'elle tend à son mari pour pouvoir remercier Serge en l'embrassant à pleine bouche.

Serge et Marion s'installent côte à côte sur le canapé pendant que Julien prépare des boissons. Lorsqu'il revient, il n'a plus pour s'asseoir qu'un fauteuil qui leur fait face. Dès qu'ils trinquent à la réussite de Marion, Serge commence par dire :

« Je pense que l'on peut se tutoyer, n'est-ce pas, Julien? Nous avons tant en commun... »

C'est Marion qui répond « bien sûr » à la place de son mari.

Serge enchaîne en disant :

« Mes clients vont s'arracher ta femme, Julien ! C'est la meilleure call-girl que j'ai jamais eue. Elle a vraiment des dons. J'espère que tu te réjouis de la voir si bien réussir. »

« Évidemment », répond Julien, dont le sexe commence à grossir dans son pantalon.

« Ta femme a tellement d'atouts », commente Serge en déboutonnant complètement le chemisier, qui libère les lourds seins nus, qu'il flatte de la main puis pince un peu.

« Les clients adorent les tétons qui pointent comme ça », poursuit-il.

Julien, qui bande maintenant durement, ne trouve pas un mot à dire.

« Et regarde cette chatte magnifique, si attirante », continue Serge, qui détache la jupe dont Marion se libère.

Elle est maintenant nue à côté de ces deux hommes habillés. Cette situation l'excite tant que sa vulve se mouille déjà. Elle aime s'exhiber, mais, là, c'est encore plus fort devant son mari et son amant réunis. Serge poursuit :

« Elle a un corps fait pour l'amour. Mes clients aiment qu'une call-girl s'exhibe, montre toute sa beauté. Devant un tel spectacle, ils ne pourront se contrôler. On ne peut pas leur en vouloir, d'autant plus qu'ils auront payé cher, n'est-ce pas? »

« Euh ... oui, je crois », confirme Julien.

« Que pense-tu qu'ils vont vouloir faire? », questionne alors Serge.

« Je ... je ... ne sais ... peut-être vont-ils ...? », balbutie Julien, trop excité pour trouver ses mots.

« Oui, c'est ça, mais dis-le donc ! », s'insurge Serge.

« Ils ... ils ... vont la ... », s'aventure Julien sans pouvoir terminer.

« Mais, oui », termine Serge en se tournant cette fois vers Marion, « ils vont te baiser à fond, ma chérie, ... comme je vais le faire maintenant. »

Alors Serge se déshabille très vite et se jette sur sa maîtresse, dont il écarte largement les cuisses. Il la pénètre alors sans le moindre préliminaire. Il s'enfonce jusqu'au bout en elle avec une incroyable facilité, tant Marion est excitée. Faire ça devant son mari est le summum de l'exhibition, d'autant plus que celui-ci vient d'ouvrir sa braguette pour sortir son sexe et l'astiquer en regardant le couple. Son amant ne veut pas seulement la baiser, il veut montrer son pouvoir sur elle devant son mari. Pendant leur coït, il va échanger avec elle comme si le mari cocu n'était pas là :

- Serge : « Je te fais du bien, ma chérie? »

- Marion : « Euh ... oui », d'une voix bien timide.

- Serge : « Est-ce mieux qu'avec ton mari? »

- Marion : « Euh ... peut-être ... »

- Serge : « Comment ça, peut-être? C'est mieux, oui ou non? »

- Marion : « Oui, c'est mieux, beaucoup mieux. »

- Serge : « Et pourquoi, ma chérie? Dis-moi ! »

- Marion : « Parce que ... ton sexe est plus long ... plus dur ... »

- Serge : « Et c'est tout? »

- Marion : « Parce que tu t'en sers bien mieux que lui. »

- Serge : « Alors pourquoi le laisser encore te prendre? »

- Marion : « Mais parce que c'est mon mari ! »

- Serge : « C'est peut-être ton mari mais c'est aussi un cocu ! »

- Marion : « Voudrais-tu que je me réserve pour toi? »

- Serge : « Non, n'oublie pas que tu as des clients à satisfaire, mais ... priver ton cocu de pénétration, ça ne serait pas mal. Ton mari pourrait se limiter à des tâches de nettoyage de ta petite chatte. Par gentillesse, je l'autoriserais à recevoir quelques petits plaisirs de ta main, de temps en temps. Qu'en penses-tu?

- Marion : « Cela me plaît bien comme programme. »

Pendant leurs échanges, Julien n'a pas dit un mot. C'était comme si il buvait leurs paroles pourtant si humiliantes pour lui. Il a continué à se branler comme un fou sans les quitter des yeux.

Lorsque Serge se sent proche de l'éjaculation, il dit à sa maîtresse :

« Marion, où veux-tu que je jouisse? »

Vicieusement, au lieu de répondre, Marion reporte la responsabilité sur son mari :

« Mon cocu, je n'ai pas mis mon diaphragme et je suis au début d'une période dangereuse, alors où veux-tu que je reçoive sa semence? »

Julien, hyper excité par une telle question, éjacule sur son pantalon en disant :

« En toi, ma chérie, en toi ! »

C'est cette réponse qui provoque l'orgasme de Marion et son vagin se serre convulsivement sur le long sexe en elle, qui lui remplit alors le vagin d'un sperme abondant.

Serge se rhabille rapidement et les quitte en disant :

« Je vous laisse. Julien a un travail urgent à faire, je crois ! »

« A bientôt, mon amour », dit Marion avant d'écarter largement les cuisses et de dire à son mari :

« Tu ferais mieux de t'activer comme un bon cocu, si tu ne veux pas des conséquences. »

Il faut croire que Julien a bien fait son travail car le cycle de sa femme se passe sans surprise. Celle-ci se dit cependant qu'elle va éviter de prendre de tels risques. Avec ses prochains clients, le diaphragme sera indispensable.

Après s'être donnée ainsi à son amant devant son mari cocu, Marion ne se sent pas à l'aise. L'attitude de Serge s'est avérée celle d'un dominateur alors qu'elle rêvait plutôt d'un amoureux. De plus, elle espérait qu'il la rappellerait très vite et cela n'a pas été le cas. Peut-être ne l'utilise-t-il que pour faire fructifier son business? Serait-elle dans une relation entre un souteneur et sa prostituée plutôt qu'entre un amant et sa maîtresse?

Elle a été aussi très gênée par l'attitude de son amant qui cherchait à humilier son mari. Il n'avait pas à faire ça. Il est vrai qu'elle était rentrée dans son jeu, mais pouvait-elle faire autrement? Elle aime humilier son mari et il semble l'apprécier, mais ce n'est qu'entre eux, dans l'intimité et non à la vue des autres. C'est un petit plaisir qu'ils ont à deux, en parfaite connivence, et cela doit rester leur secret. Elle n'ira pas plus loin dans cette voie avec Serge. Il faudra qu'elle lui en parle.

Dans les jours qui suivent, alors qu'elle n'a aucune nouvelle de son amant, Marion reçoit un appel de sa fille qui lui dit que Serge, pour vivre avec elle à Sidney, est en train de regrouper toutes ses activités en Australie, y transférant sa société. Marion ne peut qu'être heureuse pour sa fille qui va vivre le grand amour avec Serge. Marion a toujours fait passer l'intérêt de ses enfants avant le sien, mais ça reste difficile et son moral est bien atteint.

Sa conversation avec sa fille précède un appel téléphonique de Serge qui n'a pas jugé utile de revoir sa maîtresse pour lui annoncer qu'il va fermer la filiale et mettre fin à son contrat avec elle. Il lui demande toutefois d'honorer un dernier rendez-vous qui a été pris avec un client qui a déjà payé. Marion, très mécontente de la fin si cavalière d'une relation qu'elle croyait sérieuse, lui répond qu'elle va réfléchir à sa demande. Serge essaie de la convaincre en disant :

« C'est avec ce client qui t'aime bien. »

Dès la fin de leur conversation, elle explique tout à son mari, qui voit bien la tristesse de sa femme. Il est aussi déçu qu'elle de la tournure des événements. Il aimait bien l'érotisme de cette situation de sa femme adultère. Lorsqu'elle lui parle de la demande de Serge pour ce dernier rendez-vous, Julien lui conseille d'aller jusqu'au bout de ses engagements, surtout vis à vis d'un client qui l'apprécie. Est-ce par une sorte de morale des affaires ou parce qu'il espère encore l'excitation d'un récit à venir? C'est probablement la seconde raison, mais, pour Marion, il n'y a pas de doute, c'est la première. Elle donne alors à Serge sa réponse positive par un SMS lapidaire.

Quelques jours plus tard, Marion reçoit ses dernières consignes. Elle doit retrouver son client dans un sex-shop et ne doit porter comme seul vêtement qu'un long imperméable. Elle est finalement heureuse de reprendre cette activité qui lui a déjà donné tant de plaisir, d'autant plus qu'elle se sent un peu en manque. Elle avait mis fin à toute relation sexuelle avec son mari pour se conformer à la demande d'un amant, qui lui a également fait défaut. Elle avait perdu sur les deux tableaux. Ce n'est évidemment pas cet homme, avec son sexe minuscule, qui va lui faire atteindre le septième ciel, mais elle a confiance en ce client assez pervers pour avoir les idées les plus excitantes, dont elle espère bien profiter. Marion se sait aujourd'hui très proche de l'ovulation, mais cela ne doit pas la retenir, aussi place-t-elle son diaphragme et son gel.

Son rendez-vous est en début d'après-midi. Marion entre dans la boutique où ne se trouvent que quelques hommes, ce qui n'est pas étonnant à cette heure. Elle est accueillie par le gros homme qui l'embrasse passionnément, avant de lui dire :

« Marion, je vais te faire découvrir un 'glory-hole'. Tu vas adorer et j'aurai plaisir à te regarder, ma chérie ».

« Je te fais confiance », répond Marion.

Ils s'installent dans une cabine sur une banquette qui fait face à un écran. Quelques jetons suffisent à faire apparaître un film pornographique assez médiocre. Le gros homme a baissé son pantalon et son slip sur ses chevilles pour masturber son petit sexe, que Marion voit à peine sous les replis de l'énorme ventre. Son client, qui a complètement déboutonné l'imperméable de sa voisine, est plus excité par cette vue que par le film. Pour Marion, l'excitation vient de l'autre main de son client qui fourrage son vagin, mais aussi des gros sexes noirs qu'elle voit sur le film. Cela lui rappelle le fameux gode gonflable qui lui avait fait tant de bien.

Bien vite le film se termine et le gros homme fait remarquer à Marion les trous dans les cloisons devant eux et sur le côté. Trois sexes en sortent.

« Ils sont pour toi, ma chérie », lui dit son voisin, qui débarrasse alors Marion de son seul vêtement.

Elle les touche l'un après l'autre, avant de les branler vraiment, tour à tour. Elle trouve excitant de ne pas savoir qui sont ces hommes. Marion se dit que certains sont peut-être beaux ... ou alors ... vraiment repoussants. Sa petite chatte commence à bien couler lorsqu'elle pense qu'elle n'a pas le choix. C'est normal, se dit-elle intérieurement, puisqu'elle est une pute. Pour la première fois, elle prend conscience de son 'statut', qu'elle refusait d'admettre depuis si longtemps. Elle l'accepte enfin et sa cyprine coule encore plus à cette pensée.

« Ta main leur fait du bien, mais peut-être ont-ils envie de ta bouche? », l'encourage son voisin dont les mains s'agitent plus rapidement, l'une autour de sa petite bite et l'autre sur les lèvres intimes de sa partenaire.

Marion hésite. Certains ne sont peut-être pas propres, se dit-elle. N'est-ce pas dégoûtant de faire ça? Cette question n'est pas suffisante pour repousser définitivement Marion. Elle a été trop privée de sexe pour abandonner si vite. De plus, les doigts de son client vont bien loin dans son vagin.

Elle va inspecter ces sexes, un à un. Elle se décide à poser ses lèvres autour d'un gland qui lui paraît 'acceptable'. Le liquide pré-séminal qui s'en écoule sur sa langue n'a pas mauvais goût. Alors, elle commence à sucer lentement. Les soupirs de l'autre côté de la cloison montrent qu'elle sait bien y faire. La position de Marion, à genoux face à la cloison, donne une idée au gros homme qui retire ses doigts et tente de pousser sa petite bite en elle. C'est mission impossible, mais le petit membre bien dur coulisse entre les lèvres vulvaires sans pénétration. La sensation est très plaisante pour Marion. Cette douceur à cet endroit va bien avec celle de sa succion sur le sexe de l'inconnu. Lorsqu'elle sent la jouissance de l'homme arriver, elle se recule et reçoit de grosses giclées de sperme sur sa poitrine. Son client, se pressant contre le dos de Marion, plaque ses grosses mains sur les seins englués. Puis une main remonte jusqu'à venir placer la paume sur la bouche de Marion, qui comprend que son client aurait voulu qu'elle boive directement à la source. Alors, elle lèche cette paume jusqu'à tout essuyer avec sa langue.

Marion passe au suivant, à un sexe un peu plus gros mais un peu moins 'appétissant'. Elle hésite, mais sait qu'elle doit faire un effort. Elle n'est pas là pour faire 'la fine bouche', ce qui risquerait de déplaire à son client, qu'elle tient à satisfaire pendant cette dernière prestation. Alors, elle se décide à sucer, à aspirer, à mordiller. Le goût est différent, un peu plus fort mais pas désagréable. Pendant cette fellation, le gros homme lui caresse les seins, étalant ce qui reste du sperme du précédent. La caresse est douce et la lubrification naturelle bien agréable. Lorsqu'elle sent que l'homme est proche de la jouissance, elle se recule un peu, gardant la bouche grande ouverte en face du gland qui ne la touche plus, et dit à son client :

« Vas-y, fais-le jouir ! »

Le gros homme s'empare du membre qui dépasse du trou et le branle rapidement. Quelques secondes suffisent à faire partir trois jets de sperme qui aboutissent dans la bouche ouverte de Marion. Elle avale tout, avant de se relever rapidement, croyant que l'inconnu en a terminé. Quelle erreur ! Une dernière grosse giclée vient atterrir dans les poils du pubis. C'est l'occasion pour son client de pousser tout ce sperme plus bas, sur les lèvres de la chatte de Marion, qui dit alors :

« Oh, là, ce n'est pas bien raisonnable, ça ! »

Sans tenir compte de sa remarque, le gros homme lui enfourne tout ce sperme dans le vagin. Marion se dit qu'elle a bien fait de mettre son diaphragme aujourd'hui, jour où sa fertilité est quasi certaine. Tout son corps se met à trembler tant elle se sent proche d'une jouissance qu'elle n'atteint pas. Cette sensation d'être tout au bord de l'orgasme est pour Marion à la fois frustrante et en même temps si excitante. Elle ne pourra maintenant que le rechercher, quoi qu'elle doive affronter pour y arriver.

C'est dans cet état d'esprit que Marion vient regarder le troisième sexe qui l'attend, bien bandé. Est-il vraiment blanc? Sa couleur paraît indéfinissable. Le gland est gros et un peu recourbé, difforme. Marion hésite d'autant plus que l'odeur, assez forte, n'est pas très agréable.

« Qu'attends-tu? », questionne son client.

Alors qu'elle ne sait que répondre, Marion sent la grosse main de son client forcer sa chatte. Quatre doigts viennent de rentrer dans son vagin et Marion sent bien le pouce presser au bord d'une lèvre. D'un coup, la grosse main rentre toute entière, lui rappelant la dilatation qu'elle avait ressentie avec le gode gonflable. Cette grosse main est enfoncée jusqu'au poignet et force encore, poussant Marion à la rencontre du sexe qui est devant sa bouche. Est-ce son excitation ou sa soumission à son client qui lui font ouvrir grand la bouche et la refermer sur ce membre déplaisant? Ce sont probablement les deux. Le goût est pire que l'odeur. Marion, dans les contradictions de sa sensualité exacerbée, a honte d'avoir fait ça, tout en étant fière d'avoir osé. Alors elle suce avec encore plus d'énergie. Elle aspire avec force. L'inconnu ne va pas tenir longtemps, c'est certain. Des « ah, ah, ah ! » le confirment.

12