De Mari à Esclave Ch. 06

Informations sur Récit
De mari à esclave.
2.4k mots
4.48
2.2k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je me remis en vacillant sur mes pieds, et remontai mon pantalon. Je me sentais complètement détruit. J'étais en train d'essayer de digérer ce qui venait de m'arriver lorsque j'entendis Sandy m'appeler.

J'obéis rapidement et la rejoignis dehors.

"Mets ces sacs dans la voiture," m'ordonna-telle. Je pris les sacs contenant mes vêtements, en tassai quatre dans le coffre puis mis le cinquième sur un siège à l'arrière.

"Et aussi les vêtements que tu portes en ce moment!" Nous n'avons pas de garage, juste une allée cimentée qui conduit à la route. Cette route n'est pas très passante, mais la pensée de me déshabiller là ne m'enchantait pas particulièrement.

Sandy me fixa, me mettant au défi de lui résister. Elle sourit quand je me mis à obéir à son ordre. J'enlevai rapidement mon T-shirt en le faisant passer par-dessus ma tête, puis je retirai mon jeans, me retrouvant ainsi nu à côté de la voiture. Sandy jeta ces dernières affaires sur le siège arrière, monta dans la voiture et claqua la porte.

"Je reviens dans une heure!", puis elle partit.

Je détalai vite pour rentrer dans la maison, puis allai dans la salle de bains pour commencer à m'épiler.

Je suivis les instructions à la lettre : je pris une douche chaude, puis, une fois séché, j'appliquai la crème sur mes bras et ma poitrine pour commencer. J'attendis le temps indiqué, sept minutes, puis me rinçai à l'eau chaude. Je ne suis pas très velu, mais le fait de voir tous ces poils partir par poignées en bouchant l'évacuation de la douche me désolait.

Je répétai l'opération avec mes jambes, puis finalement mon ventre, le pubis et les fesses. Je coupai quelques touffes de poils réfractaires avec un rasoir, et quand finalement je vérifiai dans un miroir je pus constater que j'avais réussi à m'épiler totalement. Mon pénis était tout ratatiné, et par contre mes testicules étaient encore gonflés par le traitement qu'ils venaient de subir. J'avais l'impression de regarder dans la glace une autre personne, ce qui était vrai d'une certaine manière : j'étais en train de devenir quelqu'un d'autre. Je ne pus empêcher mes larmes de couler à nouveau.

J'aurai pu continuer à m'apitoyer ainsi sur moi-même longtemps, si je n'avais entendu la pluie qui commençait à tomber.

Le linge! Je me précipitai dans le jardin et retirai rapidement les sous-vêtements de Mélanie.

C'était seulement une petite averse, mais des nuages plus menaçants semblaient se profiler à l'horizon. Je rentrai donc dans la maison avec le panier rempli de linge, et commençai à préparer la planche à repasser quand le téléphone sonna.

C'était Mélanie.

"Est-ce que Sandy est là?" demanda-telle. J'étais si déçu qu'elle n'ait pas entamé la conversation en me demandant comment cela se passait pour moi. J'avais l'impression d'être considéré comme un domestique.

"Dis-lui de me rappeler quand elle rentrera."

Je lui dis que je le ferai, puis elle raccrocha brutalement. C'était la première fois qu'une telle chose arrivait : Mélanie et moi avions l'habitude de passer des heures à discuter au téléphone. Une discussion de seulement trente-cinq secondes n'était tout simplement jamais arrivée entre nous.

J'étais debout dans la cuisine, totalement nu : Sandy avait été méticuleuse, il ne restait plus un seul vêtement à moi dans la maison.

La pluie commença à tomber plus fort dehors, et l'intérieur de la maison s'assombrit. L'atmosphère était parfaite! Et de plus le carrelage était froid sous mes pieds nus...

Je commençai à repasser les sous-vêtements de Mélanie, et cela faisait une vingtaine de minutes que j'étais au travail lorsque Sandy revint.

Je me mis immédiatement à genoux quand elle entra dans la cuisine. Elle me regarda.

"Debout!" m'ordonna-telle.

Je me remis sur mes pieds et elle sourit devant le spectacle que je lui offrais.

"Pieds nus dans la cuisine. J'adore. Tourne-toi pour que je puisse voir l'arrière."

Je me retournai pour qu'elle continue l'inspection.

Elle se mit à rire et sortit de la cuisine. Je continuai mon repassage.

Mélanie rentra du travail vers six heures. Elle ne me dit rien et alla directement dans le bureau pour discuter avec Sandy. J'avais fait tout le repassage, et tous ses sous-vêtements avaient été pliés puis rangés dans chacun des tiroirs correspondants, conformément à ses instructions.

Sandy avait passé ensuite une inspection critique de mon travail.

J'avais préparé le repas du soir pour Mélanie et Sandy, mais finalement Sandy ne restait pas. Vers six heures et demie elles partirent dans la voiture de Mélanie sans m'adresser la parole. Je me sentais perdu dans ma propre maison, perdu et solitaire.

Mélanie revint seule une heure après. J'étais en train de regarder la télévision, une serviette autour de la taille, quand elle rentra.

"Je vais prendre mon dîner maintenant," me dit-elle. Elle resta dans l'entrée et retira son manteau. Une atmosphère tendue régnait dans la pièce.

"Enlève ta serviette," ordonna Mélanie. Je laissai la serviette glisser à terre, puis me mis debout, nu devant elle.

"A genoux," commanda-telle, et j'obéis en m'agenouillant, la tête baissée.

"Tu serviras mon dîner nu, ici." Mélanie tourna les talons et partit dans sa chambre.

Après que Mélanie eut mangé, que j'eus débarrassé le couvert et fait la vaisselle, j'allai lui demander si elle ne désirait plus rien avant que je n'aille me coucher. Elle réfléchit quelques instants avant de répondre :

"Je veux que tu ailles dans ma chambre et que tu m'y attendes. Je ne serai pas longue." J'allai dans sa chambre et l'attendis pendant presque une heure. J'étais silencieux, agenouillé au pied de son lit dans la pièce glacée. Finalement je l'entendis éteindre la télévision et les lumières, et fermer la maison. Dans le passé c'était plutôt mon rôle. Je la regardai alors qu'elle se déshabillait : elle déboutonna sa chemise, puis défit la fermeture éclair de sa jupe. Elle la retira et la lança sur une chaise.

Puis elle retira ses bas et se tint debout devant moi, vêtue du slip et du soutien-gorge blanc à lacets que je lui avais préparé ce matin. Elle me regarda mais ne dit rien, puis alla à la porte de la chambre pour la fermer à clé. J'étais intrigué : qui pouvait venir nous déranger? Elle se dirigea vers l'armoire et sortit une boîte qui n'était pas là ce matin.

Et de cette boîte elle exhiba un godemiché avec une ceinture!

"OH NON MAITRESSE MÉLANIE! POUR L'AMOUR DE DIEU, NON!"

Mélanie sourit d'un air narquois. Elle avait fermé la porte pour m'empêcher de m'enfuir! J'essayai de me relever.

"Tu ne vas nulle part." Elle me poussa contre le mur et me maintint là tandis qu'elle passait l'instrument autour de ses hanches.

"Pitié Maîtresse Mélanie, ne faites pas ça, je vous en prie!" l'implorai-je. Elle m'attrapa par les cheveux.

"Suce, petite salope!" ordonna-telle, en forçant ma tête vers son entrejambes.

"Obéis, ou je te fous une autre raclée!" me dit-elle. Mes testicules ne pouvaient supporter de nouveaux mauvais traitements, car ils étaient encore douloureux après les coups que m'avait donnés Sandy. Mélanie me gifla très fort, projetant l'arrière de mon crâne contre le mur, mais maintenant il n'était plus question que je me soumette à sa volonté sans combattre.

"Non Mélanie, pas question!"

"Tu vas obéir, je te le promets!"

J'étais à présent accroupi devant elle, après le coup qu'elle m'avait asséné, mes jambes légèrement écartée, et Mélanie ne se fit pas prier devant cette invitation. Elle lança son pied entre mes jambes, et j'eus l'impression que mes boules explosaient. Je commençai à tomber, mais Mélanie me rattrapa et poussa l'engin dans ma bouche. "Maintenant suce!" m'ordonna-telle, et elle força son chemin à travers ma gorge.

J'étais à l'agonie, mes boules déjà endolories ayant été maltraitées à nouveau. J'étais incapable de lui résister. Elle me saisit par les oreilles, et commença à aller et venir tel un piston, allant jusqu'au fond de ma gorge.

"Allez, suce, espèce de petite salope!" ordonna à nouveau Mélanie. Je pleurai pour la vingtième fois de la journée, alors que la Domination de

Mélanie atteignait une nouvelle étape.

"Tu vas m'obéir, mon petit suceur de queue, parce que sinon tu seras puni si sévèrement que tu regretteras de ne pas l'avoir fait. Je suis plus forte que toi maintenant. Tu devras apprendre à obéir à ta

Maîtresse. Est-ce que tu as compris?" Elle était debout au-dessus de moi, me fixant droit dans les yeux, ses cheveux blonds encadrant son visage familier, mais quelque chose venait de changer. Ce n'était plus la Mélanie que j'avais connu, cette nouvelle femme qui me terrifiait totalement à présent. La pointe de ses seins était dressée maintenant, et ses tétons durs imprimaient leur forme sur la matière délicate de son soutien-gorge.

Elle était excitée, et semblait prendre du plaisir à cette situation. Elle continua à forcer le godemiché à rentrer dans ma bouche.

"Suce-la. Fais-moi entendre le bruit quand tu suces ma queue!"Commanda-t-elle, son accent normand étant la seule chose qui me permettait de me rappeler que c'était bien ma femme qui me parlait ainsi. Je fis de mon mieux pour produire de la salive afin de la satisfaire avec des bruits de succion appropriés.

Puis elle retira l'engin de ma bouche, m'attrapa par les cheveux et me tira vers le lit. Elle me pressa la tête sur les oreillers, et s'agenouilla sur le lit derrière moi. Je savais hélas ce qu'elle me réservait, mais je ne pouvais pas l'en empêcher. Je sanglotai dans les oreillers, alors qu'elle enduisait mon anus d'un produit. Puis elle y introduisit un doigt.

"Pitié Maîtresse Mélanie, je vous en prie, ne faites pas ça" pleurnichai- je. Mais Mélanie n'en tenait pas compte, savourant cet instant. Plus rien maintenant ne pouvait l'empêcher d'atteindre son but.

Elle se mit en position derrière moi, me força à écarter les cuisses avec ses genoux, et je sentis la pointe du godemiché contre mon anus. Les doigts de Mélanie s'agrippèrent à mes hanches, puis elle commença à tirer vers moi.

"Ne résiste pas, sinon tu ne feras que souffrir encore plus. Rends-toi, soumets-toi à moi. De toute manière je finirai par gagner."

Et, comme preuve de ses propos, elle tira de nouveau et commença à pénétrer en moi.

"NON! PITIE, MAITRESSE MÉLANIE, NON!" implorai-je alors qu'elle enfonçait son sexe factice encore plus, m'empalant littéralement.

Je me remis à pleurer quand Mélanie commença à me violer. Elle poussait de plus en plus loin maintenant.

"Allez, crie comme une petite pute pour moi!" ordonna Mélanie, mais je n'avais pas besoin de faire semblant, mes gémissements étaient bien réels alors qu'elle entrait l'engin jusqu'à la garde.

Je pensais qu'elle allait me couper en deux. J'hurlai de douleur.

"MAITRESSE MÉLANIE, PITIEEEE!"

Puis elle se retira. Je me mis à sangloter sur l'oreiller, alors que

Mélanie sortait son sexe artificiel de mon anus. Je pleurais et criais, jamais je n'avais vécu d'expérience aussi traumatisante : Mélanie venait de me détruire totalement, aussi bien physiquement que mentalement.

Puis, alors qu'elle venait de se retirer, soudainement elle m'empala de nouveau et recommença à me violer. Elle se remit à aller et venir, de plus en plus loin et de plus en plus vite, me remplissant littéralement l'anus avec son engin. Je surpris mon image dans le miroir de la chambre, et je ne pus croire la scène étrange que je voyais : je m'y étais vu tant de fois en train de chevaucher ma femme, mais les rôles étaient bien inversés maintenant et je pensais que Mélanie n'accepterait jamais de revenir à la situation initiale, alors qu'elle agitait le godemiché à l'intérieur de mon corps. La douleur ne faiblissait pas, et Mélanie semblait maintenant avoir trouvé son rythme.

"Arrêtez! Pitié Maîtresse Mélanie, je vous en supplie! Pitié, arrêtez! Pitié!" Je me mis à sangloter sans plus pouvoir me contrôler, mais Mélanie semblait insatiable. Sa main vint le long de mes hanches, et elle agrippa mes testicules puis les tira, alors qu'elle me continuait à me défoncer.

"Voilà à quoi elles servent maintenant!" dit-elle en me serrant encore plus mes parties, tout en me pénétrant. "Voyons si nous pouvons crier ensemble, pendant que je jouis et que je t'écrase les couilles!"

"NON! PITIE, NON, JE VOUS EN SUPPLIE, NON AAAARRGGGHHHH! PITIE

AARRGGGGHHH!" alors qu'elle me forçait tout en broyant mes testicules.

"Pitié, Maîtresse Mélanie, pitié!"

Mélanie eut enfin son premier orgasme après m'avoir violé ainsi pendant une dizaine de minutes. Elle avait déjà joui de nombreuses fois avec moi auparavant, mais jamais de façon aussi intense : elle devint comme folle, criant sauvagement. Je pensai qu'elle allait m'arracher les boules! Elle continua ensuite à me limer avec le godemiché, atteignant à chaque nouvelle fois un orgasme encore plus fort, comme des vagues de jouissance l'amenant au septième ciel. Plus je criai, plus cela semblait alimenter son appétit sexuel. Enfin elle se retira et me repoussa sur le dos.

"Je veux te regarder quand je te baise," me dit-elle. Elle me saisit et me pénétra à nouveau, face à moi cette fois-ci, me broyant les testicules alors qu'elle me défonçait. Je vis qu'un nouvel orgasme l'envahissait : elle jouit avec un sourire démoniaque alors qu'elle me pénétrait sans pitié.

Je ne sais plus combien de temps tout ceci dura, peut-être moins d'une demi-heure, mais chaque seconde qui passait me paraissait des heures alors qu'elle détruisait toute trace de virilité en moi. Enfin elle sembla se calmer et finalement s'arrêta, me rejetant et m'ignorant comme si je n'étais plus qu'un objet usagé, ce que j'étais devenu pour elle.

J'étais anéanti. Je restai ainsi allongé, sanglotant, le visage enfoui dans l'oreiller. Mélanie se leva et commença à parler à quelqu'un.

"Est-ce que tu as tout entendu?" demanda-telle. J'entendis une réponse et un rire étouffés... Elle était au téléphone! Elle était en train de parler à Sandy qui avait certainement entendu toute la séance! Mélanie éclata de rire, et lança le téléphone sans fil vers moi, sur le lit. " Mélanie veut te dire quelque chose," dit-elle en se dirigeant vers la salle de bains.

"Allo?"

"Excellent divertissement! Mieux qu'à la radio! Tu as été parfait dans ton rôle de la vierge déflorée," dit en riant Sandy. J'étais perdu, je ne pouvais croire à l'abîme qui s'était installé entre Mélanie et moi. Je levai les yeux vers Mélanie mais elle était déjà partie vers la salle de bains.

"Merci Maîtresse," fut la seule réponse que je réussis à formuler, puis elle raccrocha. Pendant que Mélanie prenait sa douche, je regagnai ma chambre.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
SoumidekhalyssaSoumidekhalyssail y a 4 mois

Absolument génial dur pour lui mais j aimerais être à sa place 👍

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Harcèlement 01 Envoyer des SMS a des conséquences fâcheuses.
Les Préservatifs 01 (Rencontre) Rencontre entre une femme magnifique et un obèse mal monté.
René et ses Proies 01 René est un vieux pervers aimant séduire et dominer.
La Cage Ch. 02 et fin La relationd e couple change complètement.
Histoire Africaine Les Aventures d'Anne en Afrique.
Plus d'histoires