De Mari à Esclave Ch. 05

Informations sur Récit
De mari à esclave.
3.3k mots
4
2.1k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Si je restais à la maison avec Mélanie, même à ses conditions, j'avais encore une chance de récupérer la situation. Un nouveau départ... Si je partais, nous ne nous verrions probablement presque plus, et elle pouvait commencer à fréquenter un autre homme. Ho, non! Je ne pouvais supporter l'idée de savoir Mélanie avec quelqu'un d'autre. Cela m'aurait anéanti. Non, j'avais donc décidé d'accepter les conditions que les deux femmes m'avaient exposées, mais j'avais l'intention d'y apporter quelques modifications. Je passai en revue toutes les nouvelles règles qu'elles voulaient mettre en place et m'imposer, et essayai d'imaginer des arrangements pour certaines d'entre elles, des assouplissements, voire même des annulations pures et simples. Avec toutes ces pensées se bousculant dans ma tête, je n'entendis pas Mélanie entrer dans la pièce, jusqu'au moment où elle s'assit au bout du canapé.

"Tu dors?" demanda-telle.

C'était ce que je pouvais entendre de plus beau sur cette terre. En temps normal, ma réponse aurait été "oui", et cela aurait été probablement un prélude à une relation sexuelle. Les premières lueurs de l'aube perçaient à travers les rideaux et éclairaient la pièce. Mélanie était magnifique dans la pénombre. J'avais toujours trouvé ma femme superbe, que ce soit à la lueur de la lune ou du soleil, mais je me dis que je voudrais me souvenir d'elle pour toujours telle que je la voyais là, à cet instant précis.

" Mélanie..." commençai-je, mais elle mit son doigt sur ma bouche pour me faire taire.

"Je veux que tu te sentes à l'aise avec cette nouvelle situation. Et ce n'est pas le cas, n'est-ce pas?" Sa voix était douce et chaleureuse, et ses paroles coulaient comme du miel. Mon ancienne Mélanie était revenue durant la nuit, et je l'aimais plus que jamais.

"Bon dieu Mélanie, serais-tu à l'aise si toi-même tu devais vivre cette situation?"

"Mais c'est comme ça. Les conditions changent, nous devons modifier nos habitudes et nous adapter. Nous ne pouvions continuer de la façon dont nous vivions avant. Nous en serions venus à nous détester. Nous avons vécu tant de choses ensemble, et à chaque fois que quelque chose n'allait pas, nous avons toujours réussi à trouver une solution. Ce qui nous arrive en ce moment n'est qu'une nouvelle phase dans notre vie commune. Je vais prendre ta place à la tête du couple, mais j'ai besoin de toi derrière moi. Moi, dans ta situation, je t'aurais soutenu sans retenue." Elle effleura mes jambes, et cela me fit comme l'effet d'un choc électrique. Elle se glissa vers moi le long du canapé et me prit dans ses bras, m'étreignant : "je veux ça Robert, je veux que notre nouvel arrangement soit concluant et positif." Elle sentait merveilleusement bon, et je me sentis fondre entre ses bras.

"Tu es un bon travailleur, tu dois juste appliquer la même conscience professionnelle à ta nouvelle situation." Sa main s'insinua entre mes cuisses, puis elle me fixa des yeux : "je veux que tu m'aides à ce que ça marche."

Après quelques instants j'acquiesçai de la tête.

"D'accord," concédai-je. "Je ferai de mon mieux. Maintenant approche-toi."

Elle recula vivement. "Ho non, ne commençons pas quelque chose que nous n'aurions de toute façon pas le temps de finir, et en plus il y a du boulot qui t'attend." Elle se leva et me tendit la main pour me guider vers sa chambre.

"Je veux que tu retires tous tes vêtements de ces tiroirs", dit-elle-en ouvrant le tiroir supérieur de la commode. Jusqu'ici nous avions partagé ce meuble, avec la partie gauche pour elle et la partie droite pour moi.

"Les petites culottes dans le tiroir du haut, les soutien-gorge dans le second, les strings dans le troisième, et les bas et collants dans celui du bas."

Quelque part durant le trajet entre le canapé et la chambre l'ancienne

Mélanie avait disparu et la nouvelle avait repris sa place...

"Je vais prendre une douche. Prépare-moi mon ensemble bleu, avec une chemise et des sous-vêtements blancs, puis monte une tasse de thé à

Sandy. Pour moi je prendrai au petit déjeuner un œuf sur le plat avec du café," puis elle disparut dans la salle de bains.

Les mots de Mélanie résonnaient encore dans mes oreilles alors que je montais les escaliers vers la chambre de Sandy. J'étais un bon travailleur. J'avais toujours bossé dur : je venais de passer plus de dix ans dans mon entreprise avant d'être licencié. J'avais fait cinq années de stages et d'études Universitaire avant ça, tout en distribuant des prospectus ou en lavant des voitures pour me financer. J'étais volontaire et je pouvais faire preuve d'adaptation : si des aspects d'un boulot ne me plaisaient pas, j'étais capable d'essayer de les rendre moins désagréables. Après tout je devrais être tout à fait capable de servir Mélanie, il suffisait de considérer ça tel un job comme un autre...

Je frappai à la porte de la chambre de Sandy.

"Entrez!" dit-elle. Je pénétrai dans la pièce, pour la découvrir debout près de la fenêtre, complètement nue, à l'exception d'un string en satin blanc. Elle était en train d'attacher son soutien-gorge, passé autour de la taille.

"Je suis désolé, je pensais..."

"Ne pense pas, on s'en charge pour toi. Pose la tasse sur la table. Je descends dans quelques minutes."

J'étais occupé en cuisine quand les deux femmes arrivèrent ensemble.

C'était une matinée de printemps splendide, du genre que l'on peut avoir ici a Montréal, mais pas assez souvent hélas. En temps normal mon moral aurait dû être au beau fixe, mais aujourd'hui j'étais plutôt inquiet de la façon dont la journée allait se dérouler. Mélanie et

Sandy étaient toutes deux habillées en jupe et chemise, elles n'avaient pas pris leur veste avec elles. Elles avaient l'air de deux femmes d'affaire, efficaces dans leur travail. Moi, dans ma tenue habituelle composée d'un Jeans et d'un T-shirt, j'avais la très nette impression de me sentir inférieur.

Elles s'assirent en silence pour manger leur petit-déjeuner, et je me retrouvais très intimidé par leur présence. Puis Sandy prit la parole.

"J'ai besoin des papiers pour la maison, Mélanie. Où est-ce que je peux les trouver?"

"Tous les documents sont là," dit-elle en emmenant Sandy vers le bureau. Pendant ce temps je me mis à débarrasser la table. J'essayais de tendre l'oreille pour capter des bribes de leur conversation, mais je ne pus rien entendre. Après quelques minutes Mélanie revint dans la cuisine.

"Je dois y aller. Sandy te dira tout ce que tu as à faire. Elle a préparé un programme spécial pour toi aujourd'hui. Je te verrai ce soir.

Et rappelle-toi ce que je t'ai dit." Elle me donna un rapide baisé et sortit de la maison. Je pouvais encore entendre le bruit de la voiture de

Mélanie s'éloigner quand Sandy entra à son tour.

"A genoux! Quand je rentre dans une pièce où tu te trouves, tu dois te mettre à genoux immédiatement et baisser la tête, jusqu'à ce que je quitte la pièce ou bien que je te dise de faire autrement. Tu as compris?"

"Oui Maîtresse Sandy," répondis-je, puis j'obéis en m'agenouillant.

"Je veux que tu mettes tous les vêtements que tu possèdes, je dis bien tous, quels qu'ils soient, dans des sacs poubelle. Suis-moi."

Je me mis à ramper à quatre pattes derrière Sandy avec un rouleau de gros sacs de jardinage dans une main, la suivant vers la chambre de

Mélanie. Sandy tira tous les tiroirs et en sortit mes chaussettes, slips, cravates, mouchoirs, absolument tout, pour les jeter à terre. Puis elle se dirigea vers les armoires et en retira mes chemises, T-shirts, pull-overs, jeans, pantalons, costumes, manteaux pour les mettre également sur le sol.

"Emballe tout ça," me dit-elle. J'obéis, et en silence je mis toutes mes affaires dans les sacs. Elle me surveillait pendant que je suivais ses instructions, fermant chaque sac après les avoir remplis. Je remplis ainsi cinq sacs avec mes vêtements, et deux avec mes chaussures et mes bottes.

Elle chercha dans toute la maison, trouvant ça et là une paire de chaussures de football, un vieux maillot, les vêtements sales du panier à linge, une écharpe. Elle trouva tout. Cela me prit encore une heure pour emballer tout ça. Il me semblait que j'avais épuisé toutes les larmes de mon corps.

"Jette ces sacs dehors, je m'en occuperai après."

Sandy me questionna ensuite sur les photos et les posters de la chambre, me demandant quelle famille y était représentée, ou bien qui les avait achetés. Tout ce qui m'appartenait ou me représentait fut enlevé.

Puis je refis le lit de Mélanie avec des draps et une couette propres, et quand j'eus fini toute trace de moi avait disparu de la pièce.

Puis on passa aux sous-vêtements de Mélanie.

"Je veux que tu prennes tous les sous-vêtements de ta Maîtresse, que tu les mettes dans la baignoire et que tu les laves tous un par un à la main.

Tu les accrocheras ensuite à la corde à linge pour sécher." Mélanie avait plus d'une trentaine de petites culottes, neuf soutiens-gorge, neuf strings et deux porte-jarretelles, plus environ une vingtaine de paires de bas et de collants. Je lavai chacun d'eux à la main, les rinçai puis les mis dehors à sécher sur la corde. Le beau temps de ce matin avait tourné, et il faisait moins chaud dehors, maintenant que le vent s'était levé. Un excellent temps pour sécher le linge me dis-je, alors que j'accrochais les sous-vêtements de ma Maîtresse.

Sandy me surveillait. J'avais obéi à chacune de ses instructions à la lettre.

Il était onze heures et demi lorsque j'eus finis la lessive. Nous prîmes un rapide diné et une tasse de café, puis nous allâmes dans le bureau pour passer à l'étape suivante de ma nouvelle vie.

Sandy avait préparé un certain nombre de documents qui n'attendaient plus que ma signature. Je restai agenouillé à côté d'elle alors qu'elle me tendait chaque papier. Il était inutile d'espérer vérifier ce que je signais. Un document cédait l'entière propriété de la maison à Mélanie. Un autre permettait la clôture de mon compte bancaire, laissant Mélanie comme seule détentrice du compte. J'avais déjà donné mon portefeuille à Sandy, et elle m'avait déchiré mes cartes de crédit ainsi que mon chéquier. Je donnai mes papiers de voiture ainsi que les clés à Sandy. Elle retira mon permis de conduire du portefeuille. Quand Sandy en eut fini, je n'avais plus rien. J'avais le sentiment d'avoir été violé. Agenouillé à ses côtés, je me remis à pleurer.

"Oh, s'il te plaît, épargne-moi ces jérémiades," fit-elle claquer sèchement. "Ton passeport est encore dans la chambre, va le chercher,"

ordonna-telle. Je retournai dans la chambre de Mélanie et le prit dans le tiroir du bas. Quand je revins, Sandy avait rassemblé tous les papiers dans sa sacoche, et elle était en train d'enfiler son manteau.

"Je t'avais demandé de me faire une liste de toutes tes possessions. Tu l'as?" Je lui donnai, et elle la compara à la liste préparée par Mélanie.

Elle vérifia et raya chacun des éléments de la liste, et parut satisfaite : il ne me restait effectivement plus rien.

"Je vais partir, j'en ai à peu près pour une heure," me dit-elle. "Mets ces sacs poubelle dans la voiture."

"Mais je pensais que l'on déménageait mes vêtements vers la chambre d'ami?"

"Qu'est-ce que je t'ai dit au sujet de penser, et parler sans permission?"

Cette petite peau de vache méritait vraiment une bonne correction, pensai-je, mais je retins ma langue : c'était la volonté de Mélanie, je ferai donc ce qu'elle désirait.

"Est-ce que je viens de détecter une attitude de défi chez toi?"

demanda-telle. "J'adorerais te casser en deux pour te remettre à ta place..."

"Ouais, et qu'est-ce qui se passera quand ma femme rentrera ce soir et qu'elle retrouvera sa collègue avec deux yeux au beurre noir et les dents cassées?" répliquai-je, perdant mon sang-froid.

"Et puis, qu'est-ce que tu as à perdre, tu n'as plus rien maintenant!" me rappela-telle, remuant le couteau dans la plaie.

Cette remarque me fit craquer, et je lançai ma main pour la saisir, mais avec une rapidité étonnante elle évita mon bras : je semblais lent et maladroit face à elle, et elle me frappa tout de suite avec son coude dans mes côtes et un genou dans ma cuisse. Je ne sais pas si ces coups étaient prévus ou avaient été frappés au hasard durant son esquive, mais le résultat fut que je m'écroulai sur le bureau, sur le ventre. Elle se remit sur pieds derrière moi et en un instant elle fut sur mon dos. Elle m'asséna alors une rafale de coups sur la tête, puis, avec une force surprenante pour sa petite taille, elle me fit tourner sur moi-même pour me mettre sur le dos. Instinctivement je couvris ma tête avec mes mains, craignant la même volée de coups, mais elle me surprit en frappant plus bas : elle planta son genou dans mon bas-ventre qui se retrouvait sans protection.

Je vis trente-six chandelles. Je vacillai et commençai à glisser à terre, mais elle me rattrapa par les cheveux et me lança son genou dans mon visage, cassant ainsi mes lunettes et laissant une série de coupures autour des yeux avec les débris de verre. Je rebondis contre le mur derrière moi, à côté du bureau, pour finalement m'écrouler à terre. Je restai ainsi, tremblant face à elle: elle n'avait même pas une égratignure, et elle était à peine décoiffée.

"Debout!" ordonna--telle.

"Non, c'est bon, j'en ai eu assez..." Je ne pouvais plus voir de mon Œil droit, le sang coulant dessus à flots.

"Oh non, ne crois pas t'en tirer comme ça," et elle s'en prit à moi à nouveau. Elle me saisit par les cheveux et commença à me tirer pour me remettre debout.

"NON, PITIE SANDY, NON!" J'essayai de me dégager, mais elle me frappa à nouveau dans l'estomac, me faisant m'écrouler en arrière. Elle bondit alors sur mon ventre : j'étais complètement coincé entre le bureau et le mur.

"Je vais te donner une leçon que tu n'oublieras jamais, je te le promets!"

J'avais un bras coincé sous moi, et Sandy s'agenouilla sur l'autre : je me sentais totalement incapable de me libérer. Elle s'assit sur ma poitrine, se tournant vers mes pieds, et commença à défaire la ceinture de mon pantalon.

"NON! NON!" criai-je alors que je me remuais et me tortillais sous elle. Je ne voyais plus que d'un œil, et le derrière de Sandy en bloquait le champ de vision, mais je n'avais pas de doute sur ce qu'était en train de faire cette salope!

Elle tenta de frapper mes testicules mais je réussis à bouger et elle me rata.

Elle finit par réussir à défaire ma ceinture, et poursuivit son travail en enlevant les boutons un à un.

"NON SANDY, PITIE! PITIE, NON, SANDY!" hurlai-je. Je ne pouvais l'arrêter. Elle passa ses mains à l'intérieur de mon Jeans, ses doigts s'enroulèrent autour de mes testicules et elle eut un cri de triomphe quand elle serra. Puis elle me remit sur mes pieds, me tirant par mes parties!

"PITIE MAITRESSE! PITIE!" gémissais-je alors qu'elle me tirait ainsi à travers la pièce. Mon Jeans glissa le long de mes jambes, me faisant trébucher.

"Ne tombe pas. Je n'aimerais pas te les arracher si vite." Elle me mena vers le centre de la pièce et se mit à soulever mes parties génitales jusqu'à la hauteur de mon nombril. Elle me fit mettre ainsi sur la pointe de mes pieds, ses ongles plantés profondément dans mon scrotum.

Je ne pouvais plus parler. J'essayai de supplier mais seul un cri aigu sortit. J'étais paralysé.

Avec sa main libre elle saisit mon slip et en deux secondes me le retira en le déchirant littéralement. Puis, de trois coups violents avec ses dents, elle le mit en lambeaux. Elle essaya de me soulever encore plus, puis finalement abandonna, tout en gardant sa prise. Maîtresse Sandy se tenait devant moi, vêtue d'une jupe noire et d'une chemise gris foncé, ses jambes gainée de bas noirs largement écartées. Elle faisait largement onze pouces de moins que moi, mais elle m'avait maîtrisé complètement. Elle dégagea une frange de cheveux devant ses yeux et me regarda fixement.

"Pitié Maîtresse Sandy. JE VOUS DEMANDE PARDON!" puis je commençai à pleurer de nouveau.

"Le seul moment où tu as le droit d'être au-dessus de moi dans une pièce c'est quand je l'ai décidé. Compris?" J'essayai de répondre, mais elle serra encore plus mes testicules, et ma réponse se perdit dans un cri de douleur. Puis elle me prit totalement par surprise en tirant

violemment mes parties génitales vers le sol. Je m'écrasai sur le sol en suivant le mouvement. Elle me laissa alors un moment de répit, que je passai à sangloter comme un enfant, en position fœtale.

Je pensais qu'elle en avait fini avec moi. Elle libéra mes testicules, mais seulement pour quelques instants. Puis elle reprit sa prise et me ballota telle une poupée de chiffon. Enfin elle me tira par les cheveux pour me remettre sur mes pieds.

"Pitié Maîtresse Sandy! Pitié! Je vous en supplie! Pitié!" Je n'en pouvais plus, j'étais brisé.

"Mets-toi debout sale chien!" cria-telle. Elle me laissa ainsi sur mes pieds, mais je vacillai et j'eus du mal à rester debout, restant prostré. Elle m'ignora quelques instants, convaincue d'avoir pris ma mesure, et défit la fermeture éclair de sa jupe qui tomba à terre, puis elle l'envoya sur le bureau avec son pied.

"Je ne veux pas me salir avec ton sang sur ma jupe," m'expliqua-telle.

Je n'offris aucune résistance quand elle saisit mes cheveux et me força à baisser la tête, la bloquant alors entre ses jambes. Ses cuisses serrèrent ma tête, me maintenant fermement. Elle s'allongea ensuite le long de mon dos, ses mains se promenant entre mes jambes. Elle saisit mes testicules et les tira entre mes fesses. Elle en tenait une dans chaque main, les tirant de chaque côté. Elle tira en se penchant en arrière, mais n'avais pas assez d'élan pour obtenir ce qu'elle voulait...

Elle essayait de me soulever du sol par mes boules!

Elle se balança en avant de nouveau, puis repartit en arrière.

"NON MAITRESSE PITIEEEEEEEEE! NON PITIEEEEE!" hurlai-je.

Elle n'avait toujours pas assez de forces pour que mes pieds se soulèvent, mais à chaque essai elle gagnait quelques millimètres. De nouveau elle me tira et me fit mettre sur la pointe des pieds.

"MAITRESSEEEEE! STOOOPP! PITIEEEEEEE! ARRRGHHH!"

Elle fit un nouvel effort, mais ce n'était pas assez pour qu'elle atteigne son but. Elle se rebalança en avant et me souleva en tirant en arrière. Je pensai qu'elle allait arracher mes testicules. Je hurlai dans un râle sans fin d'agonie.

"AAAAAAARRRGGGGHHHHHHH! ARRETEZ! PITIEEEEE! STOPPPPPP!" criai-je.

"Encore une fois." Et elle avait raison : à la quatrième tentative elle réussit à me soulever du sol par mes boules!

Je gesticulai et me débattis désespérément, hurlant à l'aide, pendant que ce petit bout de femme me maintenant en l'air plusieurs secondes.

"POUR L'AMOUR DE DIEUUUUU! PITIEEEEE! AU SECOUUUURS! NOOON!"

Je ne sais pas si Sandy me lâcha ou bien je glissai, mais je finis par retomber lourdement à terre. Je restai replié sur moi-même, sanglotant devant elle.

Je me mis à lui embrasser les pieds, implorant sa clémence.

"Pitié Maîtresse Sandy, je vous en prie pardonnez-moi. Je vous en supplie, arrêtez, je vous en prie, arrêtez..."

Maîtresse Sandy se tenait debout au-dessus de moi, confiante dans sa puissance : elle m'avait totalement détruit. Elle me repoussa du pied tel un animal ennuyeux, et commença à se rhabiller. Elle enfila sa jupe et en remonta la fermeture éclair. Je restai allongé derrière elle en gémissant, tenant mes testicules martyrisés, pendant qu'elle se passait un coup de brosse dans les cheveux. Alors qu'elle mettait son manteau, elle s'adressa à moi :

"Je pars pendant à peu près une heure. Je veux que tu ais enlevé tous les poils de ton corps au moment où je reviendrai, et que le linge soit prêt à être repassé. Il y a de la crème à épiler dans la salle de bains, les instructions sont très simples à suivre, même pour un homme. Ne me déçois pas Robert." Et sur ces mots elle quitta la pièce.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE