René et ses Proies 01

Informations sur Récit
René est un vieux pervers aimant séduire et dominer.
3.1k mots
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1

Partie 1 de la série de 8 pièces

Actualisé 02/13/2024
Créé 08/25/2022
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Voici l'histoire de René et des proies qu'il attire, séduit et pervertit. Bien entendu, ce récit est de l'ordre du fantasme, l'auteur ne cautionne pas un seul instant de tels comportements dans la vie réelle. Il s'agit ici d'un récit imaginaire, réservé à un public averti, destiné aux plaisirs des sens, de la lecture et s'il déclenche caresses et séances de plaisirs jubilatoires solitaires ou partagées, Mulierscriptor vous en remercie!

Je préfère ici prévenir les lecteurs que cette première partie est une introduction et une mise en place destinée à créer une histoire agréable à lire avec des personnages que j'espère crédibles et excitants à leur découverte.

***

René était un vieux cochon qui adorait par-dessus tout pervertir les âmes et les corps des jeunes femmes et hommes qui passaient à sa portée. Il n'avait pas de préférences réelles et le seul plaisir de dominer un être qu'il amenait le plus loin possible dans une forme d'abandon et de déchéance sexuelle sous sa coupe lui suffisait.

Approchant des soixante-cinq ans au compteur, son corps affichait les stigmates d'excès divers et variés. Vingt kilos de trop au bas mot s'étaient surtout accumulés dans une bedaine consistante aux plis latéraux disgracieux, son front dégarni avouait son âge avancé, ses mains boudinées semblaient vouloir attraper et retenir tous les trésors du monde.

Il avait gardé cependant un beau regard et ses yeux bleu aidaient à séduire encore. Il fallait un peu oublier ce visage, certes normal, mais d'où suintait la perversité du personnage. La nature l'avait doté d'une pilosité quasi animale sur l'ensemble de son corps, d'une peau très douce et surtout, avantage non négligeable, d'un beau sexe. On pouvait détester René, il fallait être honnête, son engin suscitait l'admiration.

Dans les dix-centimètres, certes pas gigantesque, mais d'un diamètre et d'une forme imposante. Quand il bandait et sortait son membre, tous tombaient amoureux de sa bite épaisse, parfaitement dessinée et surmontée d'un gland décalotté absolument exquis à regarder. Parfois, le simple fait de le voir nu se saisir de son sexe pour le caresser avait amené des hommes et des femmes à s'agenouiller et à la sucer sans qu'il ne sollicite aucune faveur d'eux.

René avait presque toujours pu constater le pouvoir quasi hypnotique que sa bite avait sur ses proies. Il était bien incapable de comprendre le pourquoi de l'affaire, mais il en profitait allègrement.

La plupart du temps, hommes ou femmes passés entre ses bras, finissaient dans l'industrie du X ou dans des clubs privés. Rarement stars, plus souvent pénétrés par tous les orifices et chair à canon volontaire allant de gang-bang en scènes et plans où des mecs bien montés, des trans avec leurs trois pièces tendues comme des épées ou des lesbiennes équipées de godes de grandes tailles les labouraient dans des séquences où l'on oubliait leurs visages maculés de spermes, d'urines ou de crachats.

Ils étaient les victimes consentantes et peu rémunérées, voire volontaires et gratuites, qui déclenchaient les torrents de spermes et de mouilles solitaires des milliards de voyeurs du Net.

Les plus chanceux « séduisaient », grâce à René bien évidemment, une autre personne dominante et souvent nettement plus âgée qu'eux. Ils partageaient alors une vie de couple tant que leurs époux étaient satisfaits de leurs services et de leur dévotion à leur débauche. Amis intéressés, hommes et femmes aux moyens conséquents partageant ses goûts pour la dépravation, René avait l'embarras du choix. Il était connu, reconnu et apprécié pour les nombreux recrutements qu'il réussissait toujours.

Du comptoir de sa boutique de bijoux de pacotilles qui masquait son « Home Sweet Home » ainsi qu'une partie arrière divisée en plusieurs pièces toutes équipés de micros et caméras, René observait pensif les comportements des clients qui se présentaient chez lui. Assis, les yeux fixés alternativement sur chacun, telle une araignée qui s'apprête à bondir sur une mouche engluée dans sa toile pour la ficeler et la dévorer à sa guise, il attendait le bon candidat désespérément depuis plusieurs semaines.

Cela faisait maintenant trop longtemps qu'il n'avait pas senti d'opportunités réelles de s'amuser et cela commençait à lui peser. Sa dernière prise était une jeune catho de 18 ans complètement innocente chez qui il avait senti la fêlure à exploiter. Après s'être occupée d'elle, la petite était devenue une experte de bien des pratiques sexuelles imaginables.

René avait lâché l'affaire quand un milliardaire venu de l'Est s'était amouraché de son corps après l'avoir copieusement baisé et lui avait laissé une belle mallette en Euros pour solde de tout compte. Apportée par deux molosses bas du front, aucun mot n'avait été échangé sauf « Louisa » (le nom « d'artiste » dont René avait affublé la jeune fille). Le message était clair et René sans état d'âme avait pris le fric sans poser aucune question. Il n'avait jamais revu « Louisa » ni entendu parler d'elle ensuite.

Ce jour-là pourtant son instinct ne lui dit rien sur l'instant. Ce ne fut qu'en soirée qu'il constata l'absence d'une bague dans un des présentoirs. Il se souvenait avoir ouvert cette vitre dans l'après-midi pour deux gamins de la banlieue, mais il savait très exactement ce qu'ils avaient acheté. Un petit malin s'était permis de lui piquer un bijou dans son dos sans qu'il ne s'en aperçoive. La vache, cela faisait longtemps qu'on ne lui avait pas fait ce coup!

Petit hic pour le voleur, René avait disposé et caché une bonne dizaine de caméras HD en vidéo surveillance qui couvraient toutes sa boutique et lui permettait même d'observer les moindres détails de la vie de ses clients quand ils entraient dans son magasin. La qualité des technologies actuelles étaient telles que si une étiquette d'un string dépassait d'un jean taille basse, il pouvait en lire la marque et toutes les informations imprimées en deux réglages et recherches d'images.

Trouver qui l'avait arnaqué, le laissa sur les fesses. Le jeune mec était plutôt petit et mince en comparaison des autres clients. Il le vit clairement chaparder la bague à deux balles accompagné de ses copains et copines qui le congratulèrent en sortant de sa boutique. René devinait la jeunesse et la petite vingtaine à tout casser des membres de la bande, l'aspect provincial dans les fringues du chapardeur et ce comportement innocent et transparent qui ne laissait rien deviner du petit vol à venir. Ce gamin avait l'habitude de se faire oublier, c'était évident.

En réalisant un agrandissement du visage de son voleur, René se gratta le ventre, signe d'un questionnement interne assez puissant chez lui. Rien à faire, ce visage lui disait quelque chose à bien l'observer, mais quoi... Peau de zob, cela ne lui revenait pas.

René se coucha et sa petite branlette nocturne sur les images d'une jeunette à très forte poitrine, sans grands moyens, à qui il avait laissé sa carte en espérant la brancher dans le futur moyennant quelques Euros pour l'amener à lui dévoiler sa poitrine, n'arrivèrent pas à le calmer. Rien à faire, il restait dans ce doute et ne savait pas pourquoi il était persuadé de connaître son voleur.

René s'endormit énervé et se réveilla heureux. La nuit lui avait donné la solution.

Il partit dès son premier café avalé d'un trait fouiller les derniers CV qu'il avait reçu pour un éventuel job de vendeur.

René n'avait jamais engagé personne et ne comptait pas le faire! Le chômage aidant, des dizaines de jeunes lui envoyaient des candidatures pour un hypothétique boulot qu'ils n'auraient qu'en rêves! À travers ses CV, les photos portraits jointes et quelques détails sur la vie des intéressés, René obtenait parfois des informations suffisantes pour tenter des approches concluantes. Dans tous les cas, en dehors de ses activités de chasseur, il ne répondait jamais. C'était un miracle qu'il eut gardé sa fiche (ou un signe du destin après tout).

Il ne fallut pas plus de cinq minutes à René pour retrouver l'impétrant. Son portrait imprimé en couleur et de bonne qualité ne laissait planer aucun doute. Il avait toutes les informations sous les yeux et même le numéro de mobile de l'intéressé. Le dommage était ridicule, trente Euros en comptant large, mais René était vexé de s'être fait posséder et il venait de décider de se venger.

Faire croire à cet imbécile de Kevin, puisque c'était son prénom, qu'il était contacté pour un entretien d'embauche était un jeu d'enfant. René se fit séducteur et recruteur au possible en parlant au jeune gars d'un salaire généreux et d'un job intéressant. Il pouvait venir le jour même à 19h, juste avant la fermeture, c'était parfait. RDV était pris.

A l'heure convenue, René accueillit son jeune candidat à l'embauche (et à la débauche) avec un grand sourire et s'empressa de verrouiller la porte derrière lui, histoire « que nous soyons tranquilles pour discuter de votre futur emploi, mon jeune ami ».

En une petite heure, René savait tout de Kevin. La confirmation de ses origines provinciales, sa mère seule au foyer et ne pouvant l'aider, la bourse d'étude pour ses années de fac, ses rêves de réussites sociales, bla bla bla bla... René demanda à Kevin de lui suivre dans une pièce à l'arrière et lui annonça :

- Maintenant, mon petit Kevin, le clou du spectacle, mon système de vidéosurveillance!

Alors qu'il avait la main sur son épaule, René sentit avec délectation le corps du petit malin se raidir d'un coup. Ce petit con pensait vraiment le voler et avoir un job en récompense?! Il allait comprendre sa douleur!

- Asseyez-vous sur le fauteuil en face de cet écran, vous allez me dire ce que vous pensez de mon matos, lui dit-il en saisissant rudement ses deux épaules et en le poussant d'autorité sur la chaise.

Il entoura le fauteuil de ses bras, pressant son torse de côté et posant presque sa tête sur l'épaule de Kevin qui ne mouftait plus. De la main droite, René cliqua sur la souris. La séquence sélectionnée ne demandait qu'à se lancer, l'écran s'alluma.

Le plaisir qu'il prenait à ferrer ce petit poisson donnait la gaule à René qui pensait déjà au confort de cette petite bouche ou de ce petit cul qu'il rêvait de tester au plus vite.

Kevin découvrit avec horreur que son petit larcin avait été filmé et qu'on le reconnaissait parfaitement :

- Je suis désolé Monsieur, je peux tout vous expliquer, on m'a forcé, je ne voulais pas, je vous le jure!!! s'écria-t-il

René s'en tapait de ses excuses, le futur de Kevin était entre ses mains. Il le regarda de son air le plus vicieux et savoura cet instant où le destin d'un individu s'offrait à lui :

- Mon petit Kevin, je m'en fiche un peu du pourquoi... Me demander un boulot et venir me voler, vraiment? C'est clair que maman ne va pas comprendre quand la Police va l'appeler... Ni quand l'Éducation Nationale va lui apprendre qu'une bourse d'étude est supprimée... Ah ben, forcément, on n'aide pas non plus les voleurs à s'élever dans la société hein! C'est logique tout cela!

Kevin, complètement affolé, ne réfléchissait plus logiquement et s'était effondré. Il pleurait de toutes ses larmes comme un gosse et il supplia :

- Monsieur, non pas ça, je vous en prie, pas la Police, je vais vous rembourser, je suis prêt à travailler gratuitement pour vous rembourser, mais pas la Police s'il vous plaît!

René pouvait jouer le magnanime, le piège venait de se refermer.

- Écoute Kevin, d'habitude je ne suis pas aussi gentil, mais la discussion que nous avons eu tout à l'heure m'incite à penser que tu mérites peut-être une dernière chance.

René laissa passer un ange ou plusieurs démons dans le silence.

- Voilà ce que je te propose. Tu me rejoindras au magasin et tu m'aideras trois soirs par semaine et le dimanche. Je te laisse tes mardi et jeudi soir pour tes études et tes amis ou un autre job ainsi que le samedi aussi. Je te libère aussi un week-end par mois pour aller voir maman puisque c'est ce que tu m'as expliqué faire depuis que tu es en Fac. À la fin de l'année scolaire, si je suis satisfait, j'effacerai sous tes yeux ces vidéos et nous serons quittes (mais j'en aurai bien d'autres beaucoup plus intéressantes, pensa-t-il).

- À la moindre incartade de ta part, je préviens le Commissaire de l'arrondissement qui est un ami et ton compte est bon. C'est compris?

René ne pouvait lui avouer qu'il préviendrait quand même le Commissaire qui était un grand amateur de petits culs de minets et adorait les pénétrations viriles à l'arrière de son Audi personnelle ou parfois chez René ce qui était très pratique pour ses petites vidéos persos.

Le petit Kevin allait vite comprendre que dans la Police, un cul était un cul, une bouche une bouche et peu importe qu'un vagin ou une bite accompagnent le paquet cadeau. Dans tous les cas, ces messieurs-dames savaient se servir de toutes ces pièces à convictions et à pénétrations avec un grand professionnalisme!

Kevin dans son malheur et sa peur était soulagé et reconnaissant, il lança un :

- Oui, c'est ok. Merci Monsieur, Merci! J'accepte, je vous le jure Monsieur!

René marqua une longue pause en regardant fixement Kevin sans ciller des paupières. Il lisait en lui comme dans un livre ouvert :

- Kevin nous sommes bien d'accords, tu seras à mon entière disposition ces jours-là, tu ne poseras aucune question et tu accepteras de faire tout ce que je te demanderai sans jamais rien refuser, nous sommes bien d'accords?

À ce stade, Kevin lui appartenait déjà, c'était trop facile...

- Oui Monsieur, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le jure : Jusqu'à la fin de l'année scolaire, je vous obéirai en tout sans discuter, c'est promis!

René en bandait de joie et de plaisirs futurs ; à cet instant, il eut envie que le petit Kevin s'agenouille devant lui et le suce jusqu'à l'extase. Il imaginait ses lèvres charnues s'ouvrir et avaler son gland. Ses grosses mains se poseraient alors sur les temps de Kevin pour mieux saisir son crâne et faire coulisser son membre lentement dans sa bouche. De temps en temps, il lui demanderait de lui lécher les couilles, de garder la bouche ouverte et lui cracherait même dedans.

Puis à la fin, il s'enfoncerait bien au fond de ce jeune fourreau et lui demanderait de déguster son sperme.

Ensuite, il ferait bien évidemment un montage bien crade de la vidéo et la mettrait en ligne sur un site payant. Auparavant, René aurait disséminé des extraits gratuits bien bandants sur tout le Net où l'initiation d'un jeune homme par un vieux pervers poilu qui finirait par le défoncer, excitait sa clientèle d'habitués. Mais pas ce soir, il ne pouvait pas brusquer les choses à ce point.

René reprit son souffle et constata que le petit Kevin était lui aussi en apnée, attendant sa réponse.

- Bon, Kevin, ce sera la première et dernière fois de ma vie que je serai aussi généreux. Tu peux partir, je t'attends demain à 19h pour signer ton contrat. Si tu n'es pas là à l'heure pile demain soir, tu peux préparer tes affaires pour aller au Commissariat. Je te le dis, que ce soit bien clair entre nous. Demain 19h ici ou plus tard avec la Police, compris?

Kevin baissa les yeux devant l'autorité naturelle de René et murmura :

- Oui Monsieur, c'est compris.

René cria aussitôt le faisant sursauter :

- Kevin, je n'ai rien compris! On part sur de mauvaises bases là! Quand tu me parles, tu t'exprimes clairement (et bientôt tu ajouteras Maître, mais cela il le garda pour lui)!

Kevin avala ses derniers sanglots, sécha ses larmes et dit clairement cette fois-ci :

- Oui Monsieur, c'est compris

René se tourna et indiqua une direction à l'opposé d'où ils étaient entrés

- Tu trouveras à gauche un couloir avec une issue de secours à son bout. Kevin, tu sors et tu entreras par cette porte à partir de maintenant. Dans l'année à venir, l'entrée du magasin t'es interdite. Ta porte, c'est celle-là, celle de derrière. C'est bien compris?

Kevin hocha la tête et ne prononça pas un mot de plus, René enchaîna :

- Demain à 19h précise, je l'ouvrirai. Si tu y es, tout ira bien, si tu n'y es pas...

René laissa planer un long silence très parlant. Cette phrase n'appelait aucun réponse. Kevin se leva et presque en courant se rua sur la porte et quitta les lieux comme s'il avait un fantôme à ses trousses.

René était dans un état d'excitation intense, il fallait qu'il partage sa joie tout de suite avec un vieil ami.

Il envoya un long message à Robert, lui expliquant la situation et joignant des extraits de la conversation, bien entendu filmée et enregistrée, avec le petit Kevin.

La réponse de Robert ne se fit pas attendre :

- « René, tu es le plus fort et tu as un goût exquis! Tu me mets ce futur petit mignon au frais. Dès que tu l'auras entièrement à ta main, je me ferai une joie de venir tester ses orifices avec toi. Je crois que l'on va le faire hurler de plaisir tellement il va apprécier nos belles bites! Merci mon ami, merci mon René, je pense que je vais me branler plusieurs fois en pensant à tout cela avant de m'endormir. À très bientôt, ton ami Robert. »

La réponse de Robert ne surprenait pas René, il connaissait bien les goûts de son vieil ami et sa passion pour les initiations et partages de jeunes hommes. Robert était aussi un as de la féminisation... Pourquoi pas, après tout se demanda René pensif.

Il prit encore quelques minutes pour annoncer la bonne nouvelle à ses nombreuses connaissances en multipliant la diffusion de son premier courriel à «sa liste spéciale».

À la fin de son repas du soir, plus de vingt messages de remerciements étaient déjà arrivés, chacun souhaitant déjà tester au plus vite le petit Kevin présenté par René.

Tu as déjà tes fans, mon petit. Tu as vraiment été inspiré de venir me piquer une bague toi!

René s'endormit comme un loir après s'être longuement branlé. Il avait joui abondamment et puissamment comme s'il avait retenu son plaisir plusieurs fois durant un longue séance de baise.

Tout à la joie de sa trouvaille du jour, son sperme se répandant sur son torse, René sourit intérieurement aux quelques gouttes qui avaient même touché son visage. Cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas éjaculé avec une telle force, qu'il prit un peu de son sperme sur ses doigts et s'en délecta.

On était jeudi, la soirée du lendemain s'annonçait chargée et le dimanche à venir allait être crucial pour l'asservissement volontaire de Kevin.

René rêva de pénétrations, de fellations et de séances de découvertes des clubs où seul le plaisir compte. Kevin occupait la place centrale de ses rêves.

La suite très rapidement (en espérant vous intéresser aux aventures de ce chers vieux pervers)!

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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

J'ai hâte de lire la suite, ça promet !

MulierscriptorMulierscriptoril y a plus d’un anAuteur

Hello à tous, le suite est en ligne et publiée mais n’a pas été rattachée sous le premier chapitre... il faut la rechercher sous Mulierscriptor pour la lire... J’en suis désolé....

MS

MulierscriptorMulierscriptoril y a plus d’un anAuteur

@Rudy & @Aurailiens et à tous : un grand merci pour vos commentaires et vos compliments. La seconde partie est en ligne depuis ce matin, j'avais quasiment travaillé les deux paragraphes en même temps. J'espère que cette suite vous passionnera tout autant. Je vous imagine excités à la lecture des mes récits pour mon plus grand plaisir, soyez-en assurés :-)

MS

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Voilà une "introduction", au sens figuré pour l'instant, et une "mise en place", en attendant la mise en bouche, qui ouvre tous les possibles et nous laisse dans l'excitation et l'impatience ! Merci Mulierscriptor

MulierscriptorMulierscriptoril y a plus d’un anAuteur

@mecdual : merci beaucoup pour votre commentaire. Oui, j’aime imaginer et construire effectivement des situations ouvrant sur bien des possibles avec des personnages ayant un «contenu». J’espère que la suite qui devrait arriver en ligne très rapidement vous plaira et vous excitera encore plus. En tout cas, j’avais le besoin d’explorer un univers différent de la série en cours « Soumission et séduction ». Ce René qui se développe en moi m'excite et m’inspire beaucoup pour le moment :-)

MS

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