De Mari à Esclave Ch. 07

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De mari à esclave.
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Ma vie avec Mélanie se mit à changer considérablement. Alors que nous étions auparavant amoureux l'un de l'autre, son attitude envers moi devint froide et distante. Nous entrâmes dans une relation Maîtresse/ esclave qui semblait ne plus devoir s'inverser : elle venait de trouver un nouveau poste très lucratif au bureau chef de une Banque, sa carrière prenait son envol, et moi pendant ce temps j'étais devenu son serviteur a tout faire.

Nous considérer comme mari et femme en était presque risible.

Toute ma vie tournait maintenant autour de Mélanie. Depuis mes premiers instants le matin quand je lui faisais couler un bain, lui préparais ses vêtements et le petit déjeuner, jusqu'au soir quand elle me renvoyait dans ma chambre après en avoir fini avec moi, tout ce que je faisais était pour elle. Je maintenais la maison dans un état impeccable, tous les jours je changeais ses draps, je lui lavais ses vêtements et lui nettoyais à la main ses sous-vêtements. Je lui préparais des plats délicieux et variés, mais finalement tout cela ne représentait rien de plus que ce qu'un bon domestique était sensé faire.

Elle amenait régulièrement à la maison sa collègue du Bureau chef,

Sandy, qui, forte de son expérience de Domination avec son mari, m'avait dressé et avait introduit Mélanie à ce type de relation. Sandy venait une fois par semaine, généralement le jeudi soir. Elles sortaient pour la soirée, et rentraient vers onze heures pour passer en revue tous mes écarts de conduite de la semaine passée, et m'infliger les punitions en conséquence.

Comme je haïssais ces jeudis soirs! Parfois les châtiments n'étaient pas seulement physiques, mais consistaient également en des séances d'humiliation : elles se moquaient alors de ma virilité, elles commencèrent même à me travestir, et j'étais régulièrement sodomisé à l'aide de godemichés de toutes tailles. Puis vint ce soir fatidique, il y a deux mois maintenant, où Mélanie ramena à la maison une ceinture de chasteté masculine, une sorte d'appareil en plastique transparent qui emprisonnait mon sexe vers l'arrière, empêchant ainsi toute érection.

Étrangement, ce qui me parut le plus gênant fut que je devais m'asseoir pour uriner. Sandy adorait que je porte cette ceinture, et prenait beaucoup de plaisir à m'exciter sexuellement, me causant ainsi une douleur extrême : elle me poussait aux larmes, faisant gonfler mon pénis prisonnier contre sa cage de plastique.

Plusieurs fois elles mentionnèrent l'idée que Sandy vienne avec son mari, Charles : les deux femmes semblaient aimer l'idée de m'amener à un nouveau niveau de soumission, mais moi je détestais cette pensée de voir un autre homme dans ce contexte, et j'étais persuadé que Charles devait penser de même. Être l'esclave de Charles était devenu presque acceptable à l'abri des regards extérieurs, mais je ne voulais pas exposer cette situation à des tierces personnes...

Cependant ce que je voulais ou pas n'avait pas d'importance pour Mélanie! Heureusement, malgré plusieurs discussions qu'elles eurent à ce sujet, elles ne nous mirent jamais en présence l'un de l'autre et après quelques temps je me mis à espérer que cela n'arriverait jamais.

Puis les choses changèrent quand Mélanie invita une autre femme. En fait, tout changea quand elle me présenta Angela...

Angela était de Québec et venait d'être mutée à Montréal, devenant la nouvelle responsable de l'agence de Mélanie. Elles s'étaient vues quelques fois après le travail, à tel point que, ne sachant pas avec qui elle passait ses soirées, je m'étais demandé si Mélanie n'avait pas une liaison avec quelqu'un. Un après-midi Mélanie me téléphona pour m'informer qu'elle avait invité sa directrice, et me demanda de leur préparer un repas soigné.

"Comment devrai-je être vêtu?" demandai-je, ce qui n'était pas une question idiote quand on sait que ma garde-robe se limitait en gros à sept culottes usagées de Mélanie.

"Comme d'habitude. Elle sait pour toi et veut voir avec quel genre de lavette je suis mariée. Nous serons là vers six heures," puis elle raccrocha.

Elles arrivèrent en fait à huit heures et demie. Angela était une femme très grande : pieds nus elle devait mesurer dans les six pieds cinq pouces, et avec ses talons elle me dépassait de quelques pouces. De plus elle était imposante, avec de larges épaules et un buste bien développé, des hanches fortes, mais sans être grosse pour autant. Elle n'était pas laide avec sa fossette au menton, ses yeux clair de couleur verte, et sa crinière d'épais cheveux châtain tombant lourdement sur ses épaules. Je lui retirai son manteau et elle me considéra d'un air désapprobateur.

"C'est ça?" demanda-telle avec un fort accent de campagne de Québec.

"Angela, voici Robert, mon esclave. Robert, je te présente Maîtresse Angela."

Je m'inclinai : "Maîtresse Angela, bienvenue dans la demeure de Maîtresse Mélanie." Angela était habillée dans le même style que Mélanie, avec un ensemble gris foncé, l'ourlet de sa jupe tombant quelques pouces au-dessus de ses genoux. Elle portait une chemise de satin noir sous sa veste, et aux pieds elle avait des chaussures à hauts talons en cuir noir verni, qui se prolongeaient par des bas noirs sur les jambes.

Je restai tête baissée alors qu'elle m'examinait.

"Il me paraît un peu trop habillé pour ce que j'ai en tête," dit-elle en étouffant un petit rire, pendant que je restais debout devant elle, vêtu seulement d'une petite culotte attachée avec des lacets. Elle baissa l'avant de ma culotte : je portais ma ceinture de chasteté.

"Sa queue à quelle taille?" demanda-telle à Mélanie.

Mélanie haussa les épaules : "pas beaucoup, cinq pouces et demie."

"Mon clitoris est plus grand!" dit Angela avec un sourire glacé. Je la crus sur parole.

"Tu le libères souvent?"

"Une fois par mois si elle l'a mérité."

"Elle?"

"Oui, je le considère de plus en plus comme elle plutôt que lui,"

répondit Mélanie, me regardant d'un air froid dont je me souviendrai toujours.

"As-tu déjà commencé à le féminiser?"

"Sandy et moi nous sommes un peu amusées avec lui, en le travestissant par exemple, mais je n'ai encore rien décidé de définitif dans ce domaine."

Angela parcourut ma poitrine avec sa main, et me pinça un sein.

"Tu devrais, cela les remet à leur vraie place, bien que je n'ai aucun doute qu'elle sache déjà quelle est sa place. N'est-ce pas?" demanda-telle en serrant plus fort mon téton.

"Oui Maîtresse Angela," répondis-je en essayant de ne pas montrer ma douleur.

"Tu as faim?" demanda Mélanie changeant de sujet.

"Ouais, j'ai l'estomac dans les talons."

"Sers le dîner dans la salle à manger," m'ordonna Mélanie.

J'avais préparé une salade ainsi qu'une quiche, plus facile à réchauffer car j'avais anticipé leur arrivée tardive. Je servis les deux femmes puis restai auprès d'elles, remplissant leur verre de vin sans qu'elles aient besoin de me le demander. Elles discutaient travail, et je me mis dans un coin de la pièce, en dehors de leur champ de vision, attentif à leurs demandes éventuelles.

Puis, quand elles eurent fini, je débarrassai les assiettes vides et leur servis un gâteau au fromage pour le dessert, suivi d'un café et d'une liqueur. Durant tout le repas elles ne m'adressèrent pas une seule fois la parole. Quand elles eurent terminé, elles passèrent dans le salon et je filai dans la cuisine pour nettoyer les plats. Je restai dans la cuisine une fois la vaisselle finie, et je n'allais dans le salon que quand elles m'appelaient pour remplir leur verre.

Juste avant onze heures Mélanie m'appela.

"Angela veut te baiser. Va en haut, prends une douche et attends-la dans ton lit." De ma vie je n'avais jamais reçu un ordre aussi humiliant et dégradant, mais "oui Maîtresse Mélanie " fut tout ce que je pouvais répondre, puis je montai les escaliers pour me préparer pour Maîtresse Angela.

Elle devait m'avoir entendu sortir de la douche, car elle entra dans ma chambre alors que j'étais en train de m'essuyer. Elle alluma la lumière de la chambre.

"Tu n'es pas trop intimidé, j'espère?"

"N-non," bégayai-je.

"Un peu nerveux peut-être? Ne t'en fais pas mon mignon, je serai gentille avec toi." Elle jeta la clé de ma ceinture de chasteté sur le lit.

"Je ne suis pas sûre d'en avoir besoin, mais je préfère que ça soit prêt au cas où. Tu vois ce que je veux dire?" Elle commença à déboutonner sa chemise, alors que j'essayai maladroitement de défaire le petit cadenas qui emprisonnait mon sexe. Après quelques secondes d'essais nerveux, mon pénis fut libéré de sa cage et revint à la vie.

Sous sa chemise de satin noir, Angela portait un soutien-gorge noir à lacets. Elle tira sur la fermeture éclair de sa jupe qui tomba à terre, en tas sur ses pieds.

"Mets-la sur un cintre," commanda-telle. Je m'agenouillai à ses pieds, prit sa jupe et fis comme elle m'avait ordonné.

" Mélanie m'a mentie, elle fait plus que six pouces!" dit-elle avec un petit rire en voyant mon sexe libéré, alors qu'elle dégrafait l'arrière de son soutien-gorge. Angela avait des seins volumineux, et ils apparurent en tombant lourdement, ses larges et sombres tétons déjà durs et dressés.

"Sur le lit," ordonna-telle. Je m'exécutai. Elle retira sa culotte de satin noir et se mit à califourchon sur mon ventre.

"Suce mes tétons!" C'était parti. Elle se mit à onduler sur moi. Après m'avoir fait sucer ses seins, elle m'ordonna d'aller plus bas et de lécher son sexe. Elle bloqua ses jambes derrière ma nuque et me fit sucer son clitoris, interminablement. Plus elle était excitée, plus elle devenait agressive et exigeante. Je n'avais pas été autorisé à libérer mon sexe depuis trois semaines, et toute cette activité commençait à être difficile à contrôler pour moi. Elle s'empala sur mon pénis à demi érigé, mais elle ne parut pas satisfaite de ma prestation.

"Salope, qu'est-ce qui va pas chez toi? Bande donc, chien! Un peu de

vigueur!" commanda-telle.

"Pitié Maîtresse, je crois que je suis prêt de jouir!"

"Essaye un peu, essaye juste de jouir sans ma permission et je te jure que tu le regretteras! Je veux dire, tu le regretteras vraiment! Tu m'as comprise, mon petit?"

Mais c'était sans issue, et après qu'Angela m'eut chevauché quelques secondes, j'éjaculai.

"J'ai joui, Maîtresse Angela. Je suis désolé, je suis désolé," dis-je

D'une voix chevrotante.

Elle se leva et vint s'asseoir sur mon visage.

"Lèche-moi tout ça, nettoie ta merde, qu'il n'y en ait plus une goutte chez moi!" hurla-telle. Elle tendit ses bras vers l'arrière, cherchant mon sexe. Quand elle le trouva, ses doigts saisirent mes testicules et elle se mit à serrer. Je poussai un cri étouffé entre ses jambes, alors que j'étais en train d'essayer de nettoyer ma semence. Elle serra sans pitié mes testicules l'un contre l'autre. Elle se mit à les broyer, les griffer, les tourner... Je criai en-dessous d'elle pour implorer sa pitié et son pardon, mais elle n'écoutait pas.

"Toutes les gouttes, espèce de chien, toutes tes saloperies de gouttes!"

Puis elle se releva, mais ne lâcha pas sa prise autour de mes testicules et me tira hors du lit.

"Dans la salle de bains," ordonna-telle, toujours en me tirant par les parties génitales : j'étais à l'agonie. Je poussai des petits cris aigus, la suppliant de me laisser, d'arrêter ce traitement.

"Dans la douche!" Elle me fit m'allonger sur le dos dans le bac de la douche, lâcha enfin sa prise sur mon sexe et... Commença à uriner sur moi!

Elle se positionna sur le côté du bac et dirigea son jet d'urine sur mon

visage.

"Ouvre ta bouche et ne t'avise pas de laisser tomber une seule goutte!"

J'essayai d'obéir, mais je n'arrivais pas à ouvrir la bouche : je n'avais jamais avalé d'urine et cela dépassait ma volonté.

"Espèce d'enfoiré," me lança-telle alors que je toussais et

M'étranglais, son urine me coulant sur le visage. "Bois-moi ça!

Il faut que tu t'y habitues, j'en ai encore plein en réserve pour toi!" ce qui était vrai car elle devait avoir la vessie pleine, et la douche dorée me parut durer des siècles. Petit à petit j'essayais d'ouvrir la bouche, mais je n'arrivais toujours pas à avaler.

"Tu verras, je te promets que tu deviendras mon urinoir," dit-elle posément, alors que le jet d'urine se transformait en petit filet. Elle laissa les dernières gouttes tomber sur le sol de la salle de bains.

"Lèche-moi ça!" Je sortis précipitamment de la douche et je me mis à lécher la petite mare sur le carrelage.

"Tu as un problème, Angela?" demanda Mélanie alors qu'elle apparaissait à l'entrée de la pièce, me regardant de haut.

"Oui, mais rien que je ne puisse régler moi-même, Mélanie. Cet imbécile m'a jouit à l'intérieur!" dit Angela, l'air dégouté.

"Mais c'est absolument impardonnable!" dit Mélanie en secouant sa tête.

"Je vous demande pardon Maîtresse, je suis sincèrement désolé."

"Qui t'a permis d'ouvrir ta sale gueule!" cria Mélanie, furieuse. "Je te prête à ma nouvelle amie et c'est ainsi que tu te comportes? Je ne sais pas ce que vais faire de toi!

"Peut-être qu'après la soirée je pourrai le prendre quelques semaines avec moi, je pense que je peux le dresser pour en faire un bon esclave,"

proposa Angela en me regardant, pauvre diable pathétique appliqué à lécher le sol à ses pieds.

"Si tu le veux Angela, alors prends-le, c'était sa dernière chance," puis elle tourna les talons et sortit de la pièce.

"Finis de nettoyer," ordonna Angela. "Je suis loin d'en avoir fini avec toi."

Je pris une douche rapide, puis retournai craintivement vers la chambre.

Angela m'y attendait, avec un godemiché de trente centimètres accroché avec une ceinture, se balançant devant elle.

"Bien," dit-elle, "où en étions-nous?"

Je me retrouvai bientôt avec Angela forçant le passage de mon anus.

"Oh pitié Maîtresse Angela, pas ça!" suppliai-je.

"Hé, ce n'est que le début, détends-toi et pense à ta Reine," railla-

Telle alors qu'elle me poussait à l'intérieur l'extrémité de la "Grosse

Queue de plastique mon Paul", le surnom qu'elle donnait à son godemiché. Elle me viola ainsi avec son "sexe" gigantesque, plusieurs fois dans la nuit, la douleur augmentant à chaque nouveau passage. Je me mis à pleurer silencieusement alors qu'elle me baisait avec son monstrueux engin. Quand elle eut fini, elle se redressa et détacha la sangle de son gode.

"Nettoie-le," ordonna-telle, puis elle partit prendre une douche. Je me levai, prit l'objet de mes souffrances et allai le laver en bas dans la cuisine. Puis je préparai la table pour le petit déjeuner, et allai-me coucher dans le canapé.

Les deux femmes se levèrent le lendemain, s'habillèrent et prirent leur petit déjeuner, alors que je m'activais auprès d'elles, débarrassant après leur passage. C'était mi-septembre, et on profitait d'une belle arrière-saison. Mélanie portait une nouvelle jupe bleu clair que je n'avais jamais vue auparavant. Elle était extrêmement séduisante et je la désirais plus que jamais. Cela faisait presque un an maintenant que j'avais reçu ma lettre de licenciement : tant de choses avaient changé durant cette année!

"Vous êtes magnifique!" ne pus-je m'empêcher de lui dire.

"Quel dommage, ce sera pour un autre!" intervint abruptement Angela.

Je crus comprendre ce que cela impliquait, mais je ne voulais pas croire que ma femme puisse voir un autre homme! Durant toute ma période de soumission elle ne m'avait pas trompé, ou du moins elle ne me l'avait pas montré. Je ne voulais y croire, je ne pouvais pas. Mais je n'eus pas le temps de m'apitoyer sur mon sort, car une autre mauvaise surprise m'attendait.

"Tu es prêt?" me demanda Angela.

"Prêt?"

"Oui, tu es prêt? Je te rappelle que tu viens avec moi."

"Mélanie?" suppliai-je.

"Tu pars avec Angela. Je te reverrai ce week-end," puis elle sortit de la pièce.

Angela me paraissait encore plus intimidante qu'au cours de la soirée passée et je me sentais perdre tous mes moyens devant cette femme, aussi je la suivis avec docilité quand elle se dirigea vers sa voiture. J'étais vêtu uniquement d'une culotte de satin bleu marine. On ne m'avait pas encore remis ma ceinture de chasteté, mais je savais qu'Angela l'avait prise avec elle. Elle passa un collier autour de mon cou, et au moment de sortir de la maison elle y attacha une laisse puis me conduisit vers la voiture. Elle ouvrit le coffre et m'ordonna d'y rentrer, après m'être mis entièrement nu.

Elle conduisit environ une demi-heure, s'arrêtant de temps en temps, probablement à cause du trafic chargé de la matinée, puis roula à bonne allure quelques minutes. Elle prit enfin une route cahoteuse et finit par stopper. Elle ouvrit le coffre et me tira dehors par les cheveux. Elle me fouetta alors avec la laisse qu'elle avait détachée de mon collier.

"Avance!" cria-telle. J'obéis en trébuchant sur le chemin de terre, sous une pluie de coups, puis elle m'ordonna d'entrer dans un petit bâtiment. Cela ressemblait à une écurie, et l'intérieur était sombre, avec une seule fenêtre. Le sol composé de gravier venait visiblement d'être arrosé et ratissé, et il était humide et glissant. Angela m'ordonna de me mettre debout au-dessus d'un anneau en acier qui était fixé par terre.

Elle saisit ensuite une corde dans un râtelier sur le mur, en passa une extrémité à travers l'anneau, puis l'attacha solidement autour de mes testicules. Elle tira sèchement sur l'autre extrémité, me forçant à tomber sur mes genoux. Je criai de douleur.

"Tu peux hurler aussi fort que tu veux, personne ne pourra t'entendre à part moi, et j'adore ça!" Elle prit alors un fouet enroulé autour d'un crochet sur le mur. Puis elle retira son manteau et, tenant d'une main la corde attachée à mes testicules et de l'autre le fouet, elle se prépara à me donner une séance de flagellation que je ne serai pas prêt d'oublier.

Elle était experte dans le maniement du fouet : elle commença par me donner un peu de mou sur la corde, puis frappa en enroulant le fouet autour de mon épaule, laissant à son extrémité une zébrure rouge traversant le haut de mon bras. La douleur était intense. Le second coup arriva un peu plus bas, autour de ma poitrine, faisant apparaître une nouvelle marque rouge vif.

Le troisième porta plus bas encore, sur le ventre, et je ne pus m'empêcher d'émettre un petit cri étouffé. Le numéro quatre s'enroula autour de mes hanches et de mes fesses, mais heureusement rata mon pénis de quelques pouces. Le numéro cinq atteignit à nouveau ma poitrine et cette fois-ci je laissai échapper un véritable cri de douleur.

"Voilà qui est mieux, je veux t'entendre!" hurla-telle.

Le sixième coup de fouet porta à nouveau sur mes fesses, me touchant au même endroit que précédemment : je sentis ma peau se déchirer, et un filet de sang couler le long de mon arrière-train. Elle me tira alors vers elle avec la corde, sèchement, me faisant trébucher puis tomber à genoux. Elle me tira ainsi vers l'anneau par les testicules, me faisant déraper sur le gravier du sol.

"PITIE! MAITRESSE ANGELA, ARRETEZ, JE VOUS EN SUPPLIE!" criai-je. Elle arrêta de tirer, me Dominant de sa taille, debout au-dessus de moi, les jambes écartées. Sa chemise était déboutonnée presque jusqu'à la taille, laissant apparaître ainsi son soutien-gorge noir. Sur son visage apparut un sourire diabolique, alors qu'elle faisait claquer à nouveau son fouet sur mon dos. Je hurlai pendant qu'elle recommençait à me frapper, sans pouvoir me protéger ou même bouger. Puis au bout de quelques instants elle relâcha un peu la corde, me permettant de rouler sur moi-même et de glisser ainsi sur le dos. Elle s'approcha et tourna autour de moi, continuant à maintenir la tension dans la corde, puis elle s'arrêta, debout au-dessus de ma tête. Je levai les yeux et vit sa petite culotte noire sous sa jupe, puis elle lança encore le fouet qui zébra mon ventre, mon pénis flasque, ainsi que l'intérieur de mes cuisses. Du sang se mit à couler sur le bas de mon abdomen, ainsi que sur mon sexe. Je me mis à hurler comme un cochon que l'on égorge. J'étais maintenant totalement effrayé par cette femme, capable apparemment de tout. Elle se tenait au-dessus de moi, j'étais à sa merci et je pensais qu'elle était sur le point de délivrer le coup de grâce.

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