Clémence, une jeune Aristo (02)

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Elle a les yeux exorbités.

D'autre part, l'angoisse monte d'un cran suite aux paroles de la métisse.

« Je vous recommande de retirer le string de protection... vous pourrez mieux apprecier la coupe de se produit.»

Si l'on peut parler de coupe! C'est plutôt un bout de tissus avec des découpes dans tous les sens, pense Ophélie.

« Non ça ira » s'empresse de dire Ophélie.

Clémence écoute l'échange avec amusement, comprenant le malaise de sa protégée. Cependant elle intervient, voyant l'occasion de se divertir.

« Pouvez-vous nous laisser quelques instants ». demande-t-elle à la quinqua.

« Bien sur Madame Ambourg »

Le regard perçant, Clémence se lève alors et fixe Ophélie.

« J'aimerai tellement te voir avec cette jolie culotte » dit-elle d'un ton ferme.

Elle savait que la tentative de sa belle pour empêcher son plan était voué à l'échec. Un peu d'intimidation, qui vint immédiatement, et elle était certaine que sa détermination limitée se briserait rapidement. La force n'était plus nécessaire, car la simple menace suffisait pour obtenir l'obéissance de sa protégée.

Ophélie comprend immédiatement la menace voilée. Elle enlève alors la protection et enfile contrite la culotte.

« Oh que c'est mignon! » s'exclame la grande.

«Attends je vais t'aider à bien la positionner » ajoute-t-elle en se rapprochant.

Elle se place alors derrière Ophélie et étire les empiècements de chacune des fesses afin que les deux cordons qui rejoignent la face avant, longent l'intérieur des cuisses.

"Oh mon Dieu", soupire Ophélie, avec la réaction involontaire de son corps aux attouchements troublants.

Cela semble être des heures, mais ce n'est que quelques minutes.

La grande termine avec quelques ajustements et l'effleurement de son bijou, posant ses doigts sur les petites boules, admirant de près le travail de Sandrine.

Clémence se recule ensuite, admire sa protégée.

Totalement indécente dans cette culotte noire, ouverte autant sur ses fesses que sa vulve, proposant de surcroit sur un plateau sa belle poitrine réhaussée, nue et arrogante, exhibant ses larges aréoles brunes et ses tétons déjà murs, cette femme incarne la luxure à l'état pure.

Clémence se rapproche de sa belle, pose les deux mains en coupe autour du visage, la bécote tendrement et lui murmure qu'elle n'a aucune raison de paniquer.

« Tu es tellement belle avec ces dessous coquins » lui aura-t-elle avec un large sourire.

Et puis la voyant si fragile, le corps brulant, elle ne peut résister à l'envie de la malmener un peu plus.

« Oh! ma petite chienne est toute chaude » murmure t'elle en empaumant les lippes engorgées.

"OOHHHHHH...!"

Les résolutions d'Ophélie sont brusquement brisées lorsque Clémence pose hardiment sa main droite directement sur son monticule nouvellement rasé, englobant entièrement la peau nue. Ophélie sursaute légèrement sous l'attaque vicieuse, mais ne résiste pas pour autant.

Depuis qu'elle porte le bijou, celui-ci ne laisse pas son corps indifférent. Insidieusement il entretien un niveau d'excitation, relativement bas certes, mais un degré suffisant pour la maintenir attentive, un palier qui la pousse à accueillir favorablement toutes sollicitation de sa libido, une hauteur qui la fera démarrer rapidement.

Et justement la grande commence à connaitre sa partenaire.

Son geste excite tellement Ophélie qu'elle ne peut pas empêcher l'accès à sa chatte sans défense, ouvrant par réflexe les cuisses, même si son esprit rationnel sait que ce n'est ni l'endroit ni le moment et qu'elle frémit de culpabilité face à sa faiblesse.

« Ah, je comprends pourquoi tu es si stressée... tu es chaude, brulante » chuchote Clémence en l'enserrant, coulissant ses doigts entre et sur les lèvres grasses.

« Aaaahh »

« Je vois... ma petite chienne a besoin d'attention » pavoise la grande en insérant profondément deux doigts.

« Oooooohhhhh » gémit Ophélie.

Entendant ces doux sons, Clémence sourit et se met à rentrer et sortir vivement ses doigts. Il ne lui faut que très peu de temps pour sentir Ophélie, trembler comme une feuille, jouir et couler abondamment sur sa main.

« Tu en avais besoin!... Bon maintenant je vais demander à louise de nous rejoindre »

« noooonnnn!» souffle Ophélie.

« si, si... il y a des tenues dont je veux son expertise... et arrête de faire l'enfant... elle a l'habitude de voir des femmes nues » argumente-t-elle.

« Ça suffit maintenant... soit tu es raisonnable ou maman sera obligée de te punir ici... j'ai vu dans un coin de la boutique des cravaches qui pourraient convenir mais je ne sais pas si tu apprécieras une correction de ta maman chérie, sous les yeux de la propriétaire. » ironise-t-elle.

« Non, non » dit-elle vivement, terrorisée.

« Tu es raisonnable ma fille, c'est bien » convient la grande.

« Tu sais combien j'adore te voire totalement nue, d'ailleurs j'ai quelques idées, mais je ne refuse pas de te voir revêtue de parures osées voir totalement scandaleuse. Des tenues qui révèle la salope que tu es, des tenues qui feraient bander un mort, qui réveillerai les fantasmes les plus pervers, qui donneraient même l'envie à un eunuque de te violer » ajoute Clémence.

Ophélie tremble sous la violence des mots.

« Je crois que nous avons ici tout ce qui te plaira, ma petite chienne en chaleur » lui annonce telle en lui claquant sèchement les fesses avant de se diriger vers la porte.

« Louise, vous pouvez venir nous aider s'il vous plait » demande Clémence

« Mon amie est détendue maintenant, on peut poursuivre les essais » ajoute-t-elle, mortifiant Ophélie.

La propriétaire n'est pas très loin. Elle arrive rapidement, affichant un sourire complice lorsqu'elle passe devant la grande. Il n'y a pas besoin que Madame Ambourg explique la situation, les non-dits sont clairs. Louise n'est pas dupe de ce qui se passe entre les deux filles, comme la grande sait que louise a deviné. Elles sont ravies de la situation tout en sauvant les apparences. Toutes les deux sont conscientes et jouissent de cette connivence, car en définitif, elles ont un but commun, s'amuser au dépend d'Ophélie. À deux contre un, le jeu est plus intéressant!

Souriante, Clémence laisse rentrer la métisse.

« Est-ce que cela vous dérangerait de l'aider à mettre cette tenue...Avec ses longs ongles, je pense que ce n'est pas pratique et j'ai peur qu'elle déchire par mégarde le tulle » ajoute Clémence en regardant ensuite Louise.

Elle s'approche en même temps d'Ophélie pour qu'elle ne tombe pas pendant que la métisse enfile cette fine combinaison par les pieds. En effet ce Catsuit manches longues dos nu, au col montant fermé dans le cou est comme une seconde peau ultra confortable.

Constitué d'une matière opaque sur le devant, et d'un tulle entièrement transparent jusque sous les fesses, jouant la double lecture clair-obscur, ce vêtement est une pièce érotique, ultra féline, mais délicate à enfiler.

« Je resterais immobile si j'étais toi » relance Clémence en soutenant Ophélie.

La voix à un caractère enjoué, mais La belle brune ne s'y trompe pas. Avec cet avertissement, elle décide de tenir compte de ces paroles, ne regardant pas la métisse et ravalant sa honte.

La simple pensée de louise entre ses cuisses écartées, la tête à vingt centimètres de son sexe totalement exposé, voyant son clitoris excité et décoré du bijou, est déjà émotionnellement dévastatrice pour Ophélie, mais avec les mains remontant la tenue, plus longtemps sur ses cuisses que nécessaire, elle a peur de défaillir.

Et les essayages se poursuivent comme cela pendant une heure.

Il y eu le corset auquel Clémence demande à louise de serrer les lacets au maximum. Ophélie a l'impression de ne plus savoir respirer, mais Clémence lui dit qu'elle est magnifique, que cela fait ressortir la finesse de sa taille et met en évidence son beau cul.

Mais le pire est l'essayage du body string avec jarretelles amovibles et bretelles réglables.

Corseté sur le haut avec des empiècements en dentelle semi-transparente, des quarts de bonnets exposants la poitrine et sur le bas, l'entrejambe complètement ouvert, exposé, avec des lacets de part et d'autre de la vulve se rejoignant par derrière en une seule pièce séparant les fesses, cette tenue éprouve considérablement Ophélie.

Elle halète tout au long des manipulations de ses seins, louise les bougeant, les plaçant de façon qu'elle pense correcte, fait un pas en arrière, puis réajuste la poitrine, effleurant insidieusement les tétons.

Par ailleurs, voyant le regard lointain de Clémence ; indifférente à son supplice, sagement Ophélie ne résiste pas, ne voulant pas contrarier la grande. Pire encore, la prof lutte vigoureusement pour se calmer, reconnaissant la possibilité très réelle de mouiller.

Mais l'ajustement de son haut n'est que la partie la plus facile de l'opération.

Satisfaite de ses progrès, Louise passe à la deuxième phase, tout aussi complexe.

« RESTE TRANQUILLE OPHELIE! » aboie violemment Clémence alors que la métisse se trouve à nouveau devant son sexe.

« Louise est là pour t'aider... et si j'étais toi, j'envisagerais d'écarter davantage tes jambes pour lui donner toute la place possible. » ajoute-t-elle toujours aussi sèche.

Ophélie est pétrifiée.

Elle grimace mais ne dit rien en signe de protestation et suit le conseil d'écarter ses jambes et cela malgré son humiliation. Retenant son souffle, elle a désormais son sexe entièrement offert, les cuisses ouvertes pour maximiser son accès, la tête baissée de honte, espérant contre tout espoir, empêcher Louise de l'exciter avec ses contacts pressants.

"Unnmmh..." murmure Ophélie se mordant la lèvre inférieure avant de fermer les yeux de désespoir.

Ophélie se sent tellement humiliée.

Tout cela est tellement obscène et intrusif. L'intimité avec Louise est insupportable, avec son visage à quelques centimètres seulement de l'entrée de sa féminité... ouverte et vulnérable.

Elle sursaute et souffle bruyamment lorsque la métisse, utilise son pouce et son index pour éloigner ses lèvres charnues du pli qui rencontre sa cuisse, et faillit même défaillir quand celle-ci, vicieuse, plaque sa paume et presse plus fortement les deux lèvres ensemble pour positionner les deux bouts de tissus de part et d'autre de sa vulve.

Pire encore, le frottement de son clitoris désormais non protégé déclenche une charge tout le long de son torse, provoquant la chair de poule sur ses seins tremblants et ses mamelons sensibles.

Ophélie se demande où cela mènera si Louise ne s'arrête pas bientôt. Elle craint de perdre le contrôle, du moins le peu qui lui reste.

Craignant le pire arriver, elle tente une dernière fois de supplier Clémence du regard et celle-ci, contre toute attente, accède à sa demande.

« J'ai l'impression que les attaches ont trouvé leur place » dit-elle à louise.

Celle-ci comprend de suite le message.

« Oui Madame de Ambourg... j'ai fini » répond elle.

"Whuuuh...", expire Ophélie, soulagée lorsque les lacets sont en place et que la métisse se relève, s'écarte et regarde son travail.

« J'ai l'impression que cet ensemble a été conçu rien que pour vous... il lui va à merveille » ajoute Louise.

« Oh oui vous avez raison Madame Narem!» Répond Clémence ravie.

Elle ne peut détacher les yeux de sa protégée, le regard gourmand devant ce mélange combiné body bustier agrémenté de jarretière, dévoilant toutes les parties intimes de sa partenaire, les sublimant.

« Tourne toi ma belle » demande la grande

« Oh oui, tu es magnifique » ajoute-t-elle.

Les yeux embués de désir en disent long sur ses véritables envies.

Et puis s'avançant au contact, elle vient admirer sa dulcinée, posant la main sur ses fesses, elle ne peut s'empêcher de les caresser. Elle se penche ensuite, la bouche au bord d'une Ophélie inquiète

« je n'avais pas remarqué que tu avais un cul extraordinaire » murmure t'elle en le triturant et laissant son majeur s'insinuer entre ses fesses.

Ophélie est mortifiée.

Devoir se soumettre aux caprices est déjà suffisamment perturbant, mais en plus le faire devant une vendeuse est pour elle, le comble de l'humiliation.

« Tes fesses sont douces... Je pense qu'on passera un bon moment quand je les ouvrirai... » dit-elle doucereuse.

« Nooonn » répond par reflexe Ophélie déjà terriblement affectée.

Jamais personne ne s'est aventuré dans son tunnel étroit, elle ne l'aurait jamais permis. Aussi rien que d'entendre la grande évoquer le viol de son annus délicat, elle suffoque, prend panique.

« Oh ne t'inquiète pas, ce sera pour plus tard ma belle... Je suis certaine que tu voudras que j'explore avec toi les joies de la sodomie » insiste-t-elle ironique d'une voix basse.

« Allez rhabille toi » déclare t'elle tout haut en claquant son cul.

« Nous allons prendre toutes ces tenues » indique-t-elle ensuite à Louise en désignant du doigt le paquet distinctif.

« Sans oublier évidemment ce dernier ensemble » précise-t-elle

« j'aime voir ses belles fesses exposées » ajoute-t-elle, augmentant encore le malaise d'Ophélie.

« D'accord Madame Ambourg » répond Louise tout sourire.

10) Départ.

Revenue à la propriété, Ophélie prépare ses valises rapidement. Soulagée de partir, elle écoute néanmoins Clémence lui réitérer qu'elle n'interfèrera pas dans sa vie, lui donnera du temps pour s'organiser lorsqu'elle voudra qu'elles se voient, tout en espérant qu'elle lui réponde quand elle lui téléphonera. Le ton est froid.

Par ailleurs je t'ai mis ton collier avec la laisse dans la valise. C'est le tien, mais ne pense surtout pas l'oublier quand tu te déplaces. Ophélie comprend bien les messages et ce que cela sous-entend.

Par contre elle est surprise lors du départ.

A l'Aéroport, Clémence se comporte comme une femme amoureuse, attentionnée autant que prévenante, délicate et douce, lui souhaitant un agréable retour, lui demandant d'embrasser sa fille pour elle, puis avant de partir, la serre, l'embrasse et lui remet un petit écrin.

« Tu l'ouvriras plus tard ma chérie » lui murmure-t-elle.

Dans l'avion, assise en classe affaire, toute la pression accumulée ces derniers jours retombe. Ophélie s'allonge et s'assoupi rapidement, bercé par le ronronnement de l'appareil. Ce n'est que lorsqu'elle émerge deux heures plus tard, dégustant une salade landaise, qu'elle pense à sa fille et à son travail. Inévitablement, son esprit dérive vers son séjour en Martinique, seulement trois jours, mais trois journées intenses. A un moment donné elle repense à la boite que lui a remise Clémence, elle la sort de son sac à main et l'ouvre.

« Oh mon dieu! » s'exclame t'elle en ouvrant l'écrin lui révélant une bague toute simple en or blanc.

Elle est rattrapée par toute sortes de sentiments contradictoires.

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Anonymous
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7 Commentaires
Yokebed83Yokebed83il y a environ 2 mois

Bonjour un super texte comme d'habitude hâte de lire la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

Une suite pleine de promesse

On attend avec impatience le retour du frère

Ne nous faites pas trop languir pour le prochain chapitre !

amimaxamimaxil y a 2 mois

très très bien vite la suite

AurailiensAurailiensil y a 2 mois

C'est pas toujours qu'un deuxième chapitre soit au moins aussi intense que le premier. Je mettrais volontiers 6... Embarqué par cette histoire et cette relation. Je veux bien être patient si c'est pour découvrir 6 ou 7 nouvelles pages de cette teneur

AurailiensAurailiensil y a 2 mois

Il est rare qu'un 2ème chapitre pour moi soit au moins aussi intense que le premier... Emporté par l'histoire ! Je mettrais encore 6 et je veux bien être patient si c'est pour découvrir encore 6 ou 7 pages de cette teneur. Un grand merci Dominic

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