Clémence, une jeune Aristo (02)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Mais qu'est-ce que tu fais... arrête ces bêtises »

« Maintenant tu vas m'écouter... j'en suis persuadée! » répond Clémence « mais avant je vais te débarrasser de tous ces vêtements... tu vas avoir trop chaud!» ajoute-t-elle ironique en se mettant devant elle.

Ophélie pousse un cri de surprise alors que la grande tend la main et tire sur le devant de la chemise, faisant sauter quelques boutons. Puis arrache d'un coup sec le chemisier et met à nu le soutien-gorge.

« Oh mais dit donc, tu as pris du sein! » s'exclame-t-elle. « C'est la maternité qui t'a donné une poitrine plus généreuse? » taquine-t-elle tout en se dirigeant vers une étagère et revient avec un canif qu'elle agite sous les yeux effrayés d'Ophélie. Elle coupe ensuite les bretelles du soutien.

« Oh mon dieu qu'ils sont beaux » reprend elle, puis tend la main, clairement dirigée vers la poitrine d'Ophélie.

Les yeux écarquillés, sans qu'elle ne puisse se soustraire aux mains baladeuses, cajoleuses, agressives, elle subit un pelotage en règle, une auscultation méthodique. En d'autres circonstances elle aurait pu apprécier ces attentions mais aujourd'hui, le contexte, la lubricité, le sadisme qu'elle discerne dans le regard de son ex élève, n'augure rien de réjouissant.

Et elle a raison.

Au début Clémence évalue, soupèse, caresse, cajole, la poitrine de ses deux mains douces.

« Oh oui tu as décidément pris du volume... J'adore tes seins. Ils sont doux et ferme. Ils tombent un peu mais au vu de leur taille, je trouve qu'ils se tiennent très bien malgré leur poids. » argumente-t-elle joueuse.

« Qu'est-ce que ça peut lui faire qu'elle se tienne bien ou pas. J'ai la poitrine que j'ai, un point c'est tout. Je ne suis pas venu ici pour écouter les sarcasmes d'une petite garce, pourrie gâté. Je ne suis pas son jouet » pense-t-elle.

Et si c'était le cas!

Rapidement la grande ne peut se contenir. Perverse, elle devient agressive et salace.

« J'adore tes mamelles » ajoute-t-elle alors qu'elle les empoigne, les serre, les malaxe brutalement avec les doigts recourbés sur la chair tendre.

Ophélie geint puis suffoque.

La grande ne s'arrête pas en chemin. En effet elle continue l'auscultation de la poitrine en enserrant fermement chacun des deux monts tout en les tirants.

Ophélie a mal, mais ne veut pas le montrer. Elle n'est pas femme à se laisser impressionner.

« oooouuuaaaaahhh » crie la pauvre suppliciée.

Son tourment n'est pas fini, bien au contraire.

Clémence réitère plusieurs fois la manœuvre à chaque fois plus durement. Elle presse, étire les seins puis pince et allonge les tétines. Le traitement est tellement dur qu'Ophélie hurle maintenant. Elle essaie de soulager la douleur de toutes les manières possibles, se tortillant, accompagnant les mouvements de sa tortionnaire, mais rien n'y fait. Elle ne se rappelle pas avoir jamais eu aussi mal. Elle en perd le souffle. Elle se montre particulièrement forte face à la douleur, or malgré sa résolution, souffrir en silence pour ne pas montrer sa faiblesse face à son ancienne élève, s'avère trop difficile à tenir. L'acharnement de la grande a raison de sa ténacité. La souffrance est telle que des larmes coulent sans qu'elle ne puisse les retenir.

Lorsqu'enfin Clémence délaisse la poitrine, Ophélie soupire profondément. Sa poitrine rebondit lourdement. Elle a l'impression que ses seins maltraités ont pris encore plus de volume. Cependant ce n'est pas cet aspect qui la préoccupe en premier. En effet elle s'aperçoit avec horreur que ses tétons maintenant violacés, encore plus gros et durs, presque vivants, lui envoient des secousses de plaisir déroutantes. Elle savait sa poitrine réactive, mais ne présageait pas qu'elle puisse envoyer des signaux aussi dérangeants, sous la douleur.

4) Le chat et la souris.

« On va bien s'amuser toute les deux ma belle... mais pour l'instant il faut qu'on règle un petit contentieux... On devait se revoir après les vacances mais je n'ai plus eu de tes nouvelles. Pourtant tu m'avais assuré en fin de soirée que l'on se reverrait à la fin des vacances. » dit-elle déçue en passant ses deux mains dans le pantalon et le tirant vers le bas.

Elle est si violente que la culotte est emportée avec son bas, les boutons arrachés.

Nue et totalement vulnérable aux caprices de la grande, Ophélie sent la honte brûler son visage.

« On va remettre les pendules à zéro et nous serons à nouveau réunies. Nous allons rattraper le temps perdu » explique-t-elle en prenant une petite pagaie dans un tiroir.

Ophélie grimace en apercevant la planchette en bois de bambou d'une dizaine de centimètre de large pour une longueur d'environ vingt centimètres.

« Cela sera peut-être un peu désagréable pour toi, mais c'est un mal nécessaire. Tu m'as fait beaucoup de mal et j'entends que cela ne se reproduise plus. Tu m'excuseras si je ne vais pas être tendre avec toi » lui explique-t-elle froidement.

Elle lui tapote ensuite le visage et se place derrière elle, la caresse de la tête aux reins, flatte les fesses, les pétri quelques instants pour s'imprégner de leur consistance puis lève le bras.

« Splash »

« Ouille »

Le coup n'est pas très fort, mais suffisamment rapide pour surprendre et piquer la peau tendre.

Clémence regarde les effets que produit cette première tape.

« Tes fesses réagissent bien... elles commencent à se colorer » dit-elle ironique.

La punition ne fait que commencer.

Clémence recommence à abattre sa planchette sur le postérieur, encore et encore durant plusieurs minutes. Le derrière rougit.

Ophélie se retient de crier mais les frappes commencent à la bruler, elle pousse de petites plaintes, se débat, agite son derrière dans tous les sens, rien ne la soulage.

Et puis la douleur devient insupportable d'autant que la grande s'acharne. Elle frappe maintenant sans retenue, fort, très fort, pour faire mal, puis s'arrête. Elle reprend son souffle.

« Tu ne peux pas savoir comme tu es belle quand tu résistes. J'aime ce caractère têtu. Mais ça ne sert à rien de luter. Tu ne peux pas gagner. Tu vas céder... Je vais te faire céder. Tu es une petite chienne, je te l'ai déjà dit... mais une petite chienne se doit d'être obéissante » dit elle odieuse.

Machiavélique avec une pointe de sadisme, Clémence veut donner l'impression à Ophélie qu'elle agit de façon désordonnée, qu'elle la frappe pour simplement la punir, pour lui faire ressentir la douleur qu'elle à eu. Or ce serait bien mal la connaitre. La grande ne veut pas simplement se limiter aux souffrances physiques. Non, elle veut la pousser loin, très loin dans ses retranchements. Elle sait que sa prof est une battante, pugnace, résistante à l'effort et ce n'est pas une souffrance infligée à ses fesses qui la feront flancher. Bien sûr que non.

Seulement clémence connait une partie de la face cachée de sa prof. Celle qu'elle a vue lors de son anniversaire. Elle sait ce dont Ophélie est capable lorsqu'elle est excitée, lorsque les paramètres sont rassemblés pour que sa libido outrancière se libère, poussée à bout, toutes les barrières sautent.

Preuve en est la fin de soirée d'étudiant, humiliée dans la chambre avec les garçons, chauffée ensuite dans la cave par la cravache, jouissant férocement sous le joug de son frère.

Aujourd'hui encore, Ophélie jouira et ce ne sera pas de sa volonté. Clémence l'a prévu.

Elle poursuit sa tâche correctrice.

Elle se repositionne à côté du derrière d'Ophélie et recommence à frapper le derrière de celle-ci avec une régularité de métronome. Toutes la surface des deux globes est bouillante, la croupe prend une couleur rougeaude et la douleur occasionnée par ces frappes lourdes dévaste Ophélie. Celle-ci est dans une résistance obstinée, mais finalement, elle crie sans se retenir, renonçant à se contrôler alors qu'elle réalise de plus à quel point son corps perfide apprécie cela, ce corps devenant réactif alors qu'elle s'abandonne au sentiment de désespoir total.

Clémence suspend ensuite ses frappes. Le ventre d'Ophélie vibre au rythme de sa respiration saccadée, elle n'en peut plus de crier à tue-tête, elle est épuisée. Or, ce n'est qu'un répit car Clémence visite la vulve charnue, inspecte sèchement l'intérieur avec deux doigts, puis retire sa main pour descendre le palan d'une dizaine de centimètres. Les bras immédiatement soulagés, Ophélie peut maintenant reposer complétement sa voute plantaire à plat sur le sol. Soulagée, elle souffle.

« Oh, ça me parait bien chaud et humide. Tu mouilles dis donc!!! » relance la Clémence odieuse, en réinvestissant la chatte brulante.*

Humiliée par la salacité de la grande, Ophélie resserre ses jambes.

Ce n'est pas du gout de l'aristo.

« Ecartes tes cuisses », lui ordonne Clémence en la frappant sèchement.

« A partir de maintenant tu ne décides de rien... Je ne suis plus ton élève... Là c'est moi ta prof, et crois moi tu vas faire ce que je te dis. » insiste-t-elle avec une frappe scellant ses dires.

« Ouaaaiiiiiiiilllllle » crie Ophélie. Brisée, elle ne peut qu'obéir.

« Ne fait pas ta sainte nitouche! Je vois bien que tu as envie d'être touchée. » précise-t-elle. « Oh!!! il me semble que ça se dilate bien tout ça » ajoute-t-elle obscène.

Ophélie à l'impression d'être une bête de somme sur laquelle un maquignon pose ses mains pour tester l'état de l'animal qu'il va acheter.

« A-t-elle assez de passage pour mettre bas, n'est-elle pas trop étroite pour se faire saillir ». pense t'elle.

Clémence la rabaisse à un niveau qu'elle ne pouvait imaginer.

« Tu es trempée. » Dit-elle en enfonçant profondément deux doigts dans la chatte.

Ophélie cambre le dos et essaye de s'écarter de la main.

« Est-ce que tu es toujours aussi mouillée, ou est-ce juste les caresses sur tes fesses qui te font cet effet? » ironise t'elle.

Tout en disant cela, elle pousse ses doigts aussi loin que possible et commence à les tourner.

Ophélie gémit alors que Clémence titille son point G, des papillons aveuglent son regard, une boule de feu grandit dans son ventre.

« Noooonnnn » gémit elle suppliante. Ophélie a les yeux injectés de désir mais résiste encore aux doigts inquisiteurs.

« Oh quelle vilaine fille! » murmure Clémence.

Elle l'aiguillonne en la doigtant.

« Espèce de petite garce, tu es excitée comme une chienne en chaleur... et c'est moi, la personne que tu détestes le plus en ce moment qui est celle qui t'a mis dans cette situation!!! » lui annonce t'elle en jubilant. « Ce doit être désopilant de s'en rendre compte. Amour et haine sont intimement liés ma belle... Et encore tu n'as pas tout vu! D'ici peu tu me demanderas de te faire jouir... Si, si... dans dix minutes, au pire quinze, tu vas me supplier! » Sourit elle en la branlant vigoureusement.

La main enveloppant le sexe charnu, la paume plaquée sur le clitoris et deux doigts fourrés dans le trou accueillant, Clémence met tout son cœur.

« Oh... nom de dieu tu jutes comme une petite chienne en chaleur » rit elle en voyant sa main couverte de mouille.

Elle aggrave encore la luxure d'Ophélie par ses paroles lubriques.

Maudissant la grande, en plein déni sexuel, percluse de honte, Ophélie voudrait résister à la déferlante qui se prépare. Mais son corps ne l'entend pas. Désormais au sommet de son excitation, elle gémit alors qu'elle commence à écraser ses hanches contre la main inquisitrice. Elle tremble d'anticipation.

Clémence sourit satisfaite. Le cheminement des actions qu'elle a organisé, planifié et mis en place, se déroule comme prévu.

« Le résultat est encourageant » se dit-elle.

Le piège, les attaches, l'humiliation, la nudité crue, le rougeoiement des fesses, concourent à déstabiliser Ophélie. En la préparant méthodiquement pour mieux la soumettre, Clémence ne pensait pas que sa tendre prof serait aussi vite réactive. C'est une bonne surprise.

Or, Clémence est beaucoup plus perverse que sa prof ne pourrait l'imaginer. Elle va lui accorder le plaisir qui vrombit entre ses cuisses mais seulement quand celle-ci la suppliera. Elle prévoit de la monter au sommet puis la faire redescendre et cela plusieurs fois. Faire évoluer son état d'esprit en fonction des frustrations, des sanctions, des récompenses ou des plaisirs, passant d'un état à l'autre tel un petit train sur des montagnes russes.

C'est le moyen que clémence a choisi pour perturber, désorienter sa proie et qu'en définitif elle n'ait de choix que la soumission.

L'intention est de supprimer son sentiment de contrôle et de faire monter la pression jusqu'à ce qu'elle ne puisse penser à rien d'autre qu'aux sensations physiques de plaisir et de douleur auxquelles elle est soumise. La clé est de lui refuser la satisfaction d'un orgasme le plus longtemps possible.

Mais pour l'instant elle joue avec elle.

Elle retire donc sa main, attend quelques instants, puis la repositionne entre les cuisses. Pendant les trente minutes suivantes Clémence titille continuellement sa chatte. Les mouvements sont lents et doux. De plus, la grande accompagne ses attouchements par une attention non moins perturbante de la poitrine ; Avec sa main libre elle cajole, caresse l'un des seins d'Ophélie alors qu'elle mignonne, suce, aspire le téton de l'autre. Ophélie se tortille, gémit, halète, sa propre lubrification coule le long de ses cuisses.

Quand Clémence pense qu'il y a une chance qu'elle soit sur le point d'avoir un orgasme, elle stop immédiatement ses taquineries. Le visage d'Ophélie est toujours rouge vif mais c'est maintenant la rage qui prévaut plutôt que la douleur et la peur.

Clémence s'approche alors de son visage et tente un baiser. Mais la prof se refuse. Elle détourne la tête.

La grande sourit. Elle n'a pas dit son dernier mot.

« Oh ma belle, ce n'est pas ce que tu veux?.... D'accord, d'accord.... Ne t'affole pas, j'ai ce qu'il te faut ma petite chienne. » annonce t'elle machiavélique.

Inquiète Ophélie tourne la tête et regarde ce que fait la grande.

Celle-ci fouille dans le sac et en sort un emballage en plastique contenant ce qui ressemble à un long chapelet. Ophélie croit deviner ce que c'est. Elle manque de s'étouffer. Maintenant, une pure terreur inonde son corps.

« Nooonnn... tu ne peux pas faire ça » dit elle révoltée.

« Si, si » rie t'elle « tu ne vas pas me dire que tu n'as jamais joué avec tes fesses!!! » s'exclame Clémence.

« « Nooonnn... ne fais pas ça » pleurniche t'elle complétement horrifiée.

« Tu ne sais vraiment pas ce que tu veux.... Il y a deux minutes tu voulais jouir et maintenant tu râles parce que je vais accéder à ton souhait.... En plus je vais te bichonner ton beau cul... tu me fatigues » dit-elle en se penchant à nouveaux dans son sac et retirant un gros bâillon boule.

Elle lui fixe séance tenante.

« Voilà.... Maintenant on est tranquille. Tu devrais me remercier, je vais prendre soin de ton petit cul pour qu'il se détende progressivement. » dit-elle moqueuse.

« Tu vois il y a de petites boules pour que le passage se fasse en douceur. » lui montre-t-elle.

Les boules qui composent le jouet anal en silicone de vingt centimètres avec six billes de diamètre progressif de 1.5 à 3 cm avec des intervalles grossissants à chaque fois.

Ophélie a les yeux fous

.

« Je t'ai pris le plus petit modèle » sourie t'elle sarcastique. « Tu vois comme je suis gentille avec toi!... Une fois inséré, il détend progressivement les muscles autour de l'anus »

Et puis Clémence badigeonne de lubrifiant le jouet, enduit les fesses, masse l'œillet palpitant. Entre deux, elle doit tout de même rappeler à l'ordre Ophélie, en lui claquant deux fois les fesses et la menace de la fouetter si elle n'arrête pas de remuer et n'écarte pas les jambes.

« mmrrrrrreeh » grogne Ophélie dans son bâillon.

Son cul rouge vif est douloureux, les joues tremblent.

Cette mise au point faite, la prof, bon gré mal gré se tient tranquille.

« Pousse à chaque fois que je te présente une boule... tu vas voir, ce sera moins compliqué. »

La grande pousse alors doucement mais fermement la première boule à travers le sphincter et celle-ci rentre assez facilement. Concentrée Ophélie suit les conseils de Clémence et les 4 premières boules rentrent, certes avec une grande tension, mais sans rencontrer de difficultés.

Arrivé à ce palier, Clémence ressort trois boules et les réinsère tout aussi vite. Elle le fait plusieurs fois, sans être rapide, mais après qu'elle sent que l'anus se détend, force la 5ème et la 6éme dans la foulée.

Elle laisse ensuite Ophélie reprendre sa respiration et deux minutes plus tard elle recommence les aller et retour. Enfin, suite à une dizaine d'aller et retour langoureux elle laisse le jouet calé après la dernière boule et à la surprise d'Ophélie allume le vibrateur. En activant cette fonction, Clémence est certaine que le plaisir montera peu à peu.

Clémence se positionne devant et regarde la prof se tortiller, incrédule quant aux sensations qui l'envahissent.

Au bout de cinq minutes Clémence retire enfin le jouet. Ophélie pense son calvaire terminé or, la grande ne lui laisse aucun répit. Immédiatement, elle enfonce son doigt lubrifié dans son anus.

Ophélie sent le doigt glisser facilement au-delà de son sphincter. Le sentiment de viol de son intimité est encore plus flagrant, intrusif, et lorsqu'elle s'aperçoit que la grande insère un deuxième doigt, l'humiliation augmente encore d'un cran. Elle doit pourtant subir l'invasion de la grande pendant plusieurs minutes. En effet celle-ci adore l'embarras de la prof alors qu'elle doigte doucement puis plus rapidement, tournant, élargissant l'anus réfractaire. Elle travaille ses doigts d'avant en arrière ensuite, mais lorsqu'Ophélie arrête finalement de résister elle se retire.

Ophélie souffle.

Cependant le répit est de courte duré. Juste au moment où la prof commence à respirer plus facilement, Clémence pouce un objet contre son étoile. C'est un plug d'une quinzaine de centimètres avec un diamètre de vingt à trente millimètres.

Ophélie ouvre la bouche pour protester mais ne peut empêcher le plug de glisser dans son cul encore partiellement ouvert. Elle crie, se tortille mais la grande la tient fermement. Ceinturant son ventre elle pousse fermement l'objet, forçant l'anneau serré, l'obligeant à se dilater et tout d'un coup, la prof sent le jouet presque aspiré dans son cul alors que la partie la plus grosse du plug anal glisse au-delà des muscles de son ouverture.

« Arrête de râler... tu vas bientôt jouir ma petite chienne. Tu n'as peut-être pas l'habitude de ce genre de jeux mais fais moi confiance, tu vas très vite en redemander. » dit-elle en souriant.

Clémence commence alors à faire tournoyer lentement le plug anal et à le tirer doucement.

Ophélie retient son souffle.

Chaque petit mouvement est dérangeant, cependant la douleur est supportable. Cet étrange objet lui envoie de minuscules signaux de plaisir. Par contre, lorsque la grand allume le plug, au niveau le plus bas, Ophélie hyperventile. La sensation du jouet vibrant, remplissant son cul, faisant tressaillir son muscle anal est trop fort.

Et c'est sans compter sur les attentions sur sa chatte. En effet, Clémence veut la pousser à bout. Tantôt elle effleure, masse le bourgeon à travers sa capuche, trempe ses doigts dans le vagin quand elle ne caresse pas les lèvres gonflées.

Mais bien sûr, elle fait aussi des pauses tout en laissant le plug détendre l'anus. Le réglage au plus bas ne peut faire jouir la prof mais contribue à entretenir l'excitation lancinante, une excitation qui peut vite devenir intolérable.

Ophélie oscille entre frustration lorsque Clémence refuse de la caresser et joie quand celle-ci lui accorde son attention.

Après plusieurs retraits et occupation de la vulve affamée la tension est au maximum. Pour une femme qui aime autant avoir le contrôle, c'est insupportable. Dans des circonstances normales, Ophélie ne manifesterait pas sa contrariété, cependant elle n'est pas en état de décider, son corps en effervescence réclame son dû. Le degré d'excitation est si élevé qu'à son esprit défendant, elle ne peut que se résoudre à supplier son bourreau.