Clémence, une jeune Aristo (02)

BÊTA PUBLIQUE

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« Garde ton énergie ma fille » dit enfin Clémence, satisfaite de son travail.

Elle jette ensuite un dernier regard sur le corps étendu à plat ventre, les jambes écartées, immobilisée, avant de sortir de la chambre.

« Repose toi bien... et pense à ce qui va se passer... Maman revient. » dit-elle en changeant de personnage.

Au grand dam de son père qui voulait qu'elle s'oriente vers le management des entreprises, le bac en poche, Clémence commence des études de psychologie, une année en fait, avant d'Integer en définitif un MBA.

Et ce n'est pas une année de perdue, bien au contraire. Son père reconnaitra bien plus tard, suite à un conseil d'administration ou elle l'assistait, qu'elle n'avait pas son pareil pour analyser les personnes présentes, connaitre leurs motivations, déceler leur faille et savoir exactement quel type de langage adopter avec eux pour les convaincre et les amener à partager l'opinion de son père, ses décisions.

Il en était resté coi.

Douée d'une intelligence émotionnelle, rhétorique, lecture des autres et connaissance d'elle-même, comprenant ces concepts, leur portée et en les développant comme des compétences, elle a appris à identifier les signaux non verbaux et les comportements qui révèlent les intentions masquées, pour convaincre ses interlocuteurs et les inviter à se joindre à elle dans la poursuite d'objectifs inatteignables autrement.

Aujourd'hui, avec la communication dont elle maitrise les arcanes, elle s'appuie sur ces six principes psychologiques qui composent l'influence, pour déséquilibrer, désarçonner et appuyer sur les ressorts sensibles d'Ophélie.

Et une des cordes sensibles d'Ophélie est sa maman.

Immobilisée, la tête dans l'oreiller, Ophélie n'a aucune idée du temps qui passe. Est-ce une heure, plus, elle est en tout cas maintenant plus détendue malgré ses sombres pensées.

Indifférentes aux bruits des oiseaux émanant du parc, elle est encore moins en alerte sur ce qui l'entoure. Aussi, isolée dans son monde, elle ne prête pas attention à Clémence qui s'avance telle une panthère vers sa proie.

HUITISCH.

« OUUUUUUAAAAAAAAAilllllll » hurle Ophélie sous la douleur foudroyante.

Brusquement sortie de sa rêverie. Elle tourne la tête ensuite, les yeux emplis de terreur. « Pourquoi?! » crie-t-elle enfin.

« Maman vient te donner ta punition... et tu vas la subir sans broncher » ajoute-t-elle sous le regard ébahit de la brune.

Ophélie voudrait se rebeller, mais elle est impuissante, immobilisée et totalement déstabilisée. Avec les paroles, ajoutées à la puissante frappe, elle s'est subitement vue plongée dans son enfance, sur les genoux de sa mère, criant, pleurant à chaudes larmes. Tout le film de cette scène lui est revenu immédiatement alors que 25 années se sont écoulés. Elle ne se rappelle plus de la faute. Par contre, la dureté des claques lui rougissant les fesses, le temps infini penché à recevoir la correction insoutenable, sont gravés dans son inconscient pour la vie.

Jamais plus elle n'a contrarié sa maman au point de recevoir une telle punition. Gardant le souvenir d'une mère autoritaire et inflexible, elle est devenue une jeune fille calme, lisse, une adolescente sans histoire cherchant continuellement l'amour de sa maman. Jusqu'à maintenant, elle avait complétement oublié cette fessée, cette journée profondément enfouie dans sa mémoire, doutant même de sa réalité.

« Je vais te frapper une dizaine de fois et ça va faire mal. Mais tu sais que c'est pour ton bien ma fille. C'est l'obligation d'une maman de corriger sa progéniture quand celle-ci est désobéissante..... Tu vas finir par m'écouter! »

Clémence lève ensuite sa cravache en formant un énorme arc de cercle.

Ophélie la regarde incrédule, désorientée, mais elle est vite rattrapée par la réalité. Elle hurle sous la frappe magistrale. Presque immédiatement, une marque rouge apparait sur la fesse droite, avec une petite ligne passant sur sa gauche. Elle crie encore quand la grande la cravache de nouveau avec force, sans mansuétude, lui infligeant sans répits les frappes suivantes. Ophélie hurle sans discontinuer, sursaute, se tord.

Ce n'est pas une tendre fessée, c'est une raclée.

Lorsque la grande arrête enfin de la cravacher, le derrière maintenant rouge vif, les fesses zébrées de part en part, elle peut la voir trembler, pleurant comme un bébé, la tête enfouie dans l'oreiller, le moral en lambeau, dévastée.

« Je vais te laisser réfléchir à ton attitude ma fille, et quand je reviendrais on verra comment tu veux poursuivre cette semaine. » Annonce Clémence en quittant la chambre.

Une demie heure plus tard la grande est de retour.

« Bon alors... tu as réfléchi... » dit-elle, la cravache tenue innocemment dans sa main.

« Euuhhh »

« Exprime toi clairement... Est ce que la fille a toujours envie de contrarier sa maman... seras elle douce et affectueuse... maman aimerait autant ne plus frapper son joli petit cul... » dit-elle en remuant insidieusement la cravache.

« Oui » répond immédiatement Ophélie de sa voix tremblante, effrayée.

« C'est un bon début... mais maman voudrait t'entendre clairement lui dire ce que tu comptes faire » ajoute t'elle.

Figée, Ophélie ne sait pas quoi répondre, la peur étreint sa gorge. Néanmoins sous le regard dur, elle murmure les premiers mots qui lui viennent à l'esprits, des mots qui apaiseront la colère de la grande : « je vais t'obéir »

Clémence la regarde, intéressée mais fronçant les sourcils « Maman aimerait que tu lui en dises plus, que tu lui exprimes tes regrets, que tu lui demandes pardon... tu te doutes à quel point maman est blessée... mais ta maman t'aime, tu le sais!» insiste Clémence en martelant sciemment ses phrase avec le lien Mère Fille.

« Eeuuuhh... jee fferais touut ce que tu me demandes » balbutie t'elle en baissant son regard.

« Donc si je te comprends bien, tu vas-tu devenir une gentille fille »

« Ouuuiiiiii » répond elle, ignorant l'expression abaissante.

« Donc si je te comprends bien, tu seras une bonne petite fille obéissante, prévenante, douce et gentille avec sa maman. »

« Ouuuuuiiii » répond elle tremblante, occultant l'ignominie des propos.

Bien sûr elle entend de nouveau le mot maman ce qui la désoriente. Aussi improbable que cela paraisse, inconsciemment elle s'attendait à se faire nommer de petite chienne, minimisant la portée, presque familiarisée, habituée d'entendre ce mot pour la désigner. Mais là ce terme la plonge dans un autre niveau de perversité.

« Oui qui? » insiste Clémence.

« Oui maman » balbutie Ophélie tremblante.

« Ok... c'est super! Tu vas voir, on va bien s'amuser maintenant » annonce Clémence.

« Maintenant tu peux me suivre... Et dépêche toi » lance la grande lorsqu'elle a totalement détaché sa protégée.

Résignée, le derrière en feu, le visage aussi rouge que ses fesses, la respiration irrégulière et le regard éteint, Ophélie se relève lentement et comme un pantin, suit la grande.

La douche est un moment de douceur. Au début Clémence s'occupe d'Ophélie, les cheveux mouillés, les enduisant de shampoing, puis massant son cuir chevelu. Ensuite avec le gel douche elle parcourt consciencieusement toutes les parties du corps, visage, épaule, dos, poitrine qu'elle chouchoute, ventre et nombril qu'elle caresse. Elle n'a pas assez de ses mains pour parcourir le corps de sa protégée. Elle se penche ensuite pour laver les pieds, les mollets, elle remonte sur les cuisses, caresse plutôt qu'elle ne nettoie, insère ses doigts dans la raie culière sans oublier l'œillet fripé, cajole les petites et grandes lèvres.

Fatiguée, meurtrie par la correction, Ophélie pensait se retrouver seule sous la douche, avoir un peu d'intimité.

Or Clémence ne lui donne pas cette chance. Elle ne lui laisse pas le loisir de se laver seule. Elle la prend en main tel un bébé.

Au début la prof est tendue. Cependant, au bout de dix minutes, elle se surprend à apprécier les attentions de la grande. Sa douceur est surprenante. Ce traitement particulier fini par la troubler fortement.

La douche prise Clémence invite sa protégée à remettre son collier et s'habiller. Elle lui présente les vêtements qu'elle lui a préparé sur le lit. Un haut, une culotte, une jupette, et des Nu-pieds.

« On va ou? » ne peut s'empêcher de demander Ophélie

« Ne discute pas, mets lès! » souffle Clémence en voyant Ophélie examiner la jupe blanche évasée au motif gaufré et surtout le Crop-Top Court à bretelle.

« Tiens voilà ton portable, tu devrais appeler ta fille... Je te laisse un quart d'heure et ensuite tu me rejoins dans la cuisine. On mangera. »

« Merci » répond Ophélie, surprise mais sensible à l'attention.

Il est presque quatorze heures quand les deux filles sont sur le point de sortir.

« Tu as fini? » demande la grande.

Ophélie finit d'essuyer la vaisselle alors que Clémence revient avec son sac.

« Allez dépêche-toi!!! » dit-elle en préparant une paire de lunettes pour sa protégée.

Habillée de la sorte Ophélie à l'impression d'être une midinette de 17 ans.

« C'est plus de mon âge » pense t'elle, inconfortable dans sa tenue. Les fesses douloureuses, elle est toutefois contente de sortir prendre l'air. Si elle n'a pas encore retrouvé son sourire légendaire, à défaut d'être enjouée, elle est en tout cas moins maussade.

7) Balade en ville.

Les deux jeunes femmes se baladent en ville depuis une heure. Le temps est merveilleux. Possessive, Clémence a passé son bras sur les hanches de sa belle.

Ophélie s'en accommode, par contre elle ne s'habitue pas aux regards des passants qui la fixent.

Il est vrai que deux jeunes femmes aussi jolies et différentes ; une grande blonde aux cheveux courts au look de garçon manqué et sa moitié, brune aux cheveux longs avec des formes affriolantes, attirent forcément les regards. De plus, le collier en cuir avec mousqueton et cadenas ne laisse pas indifférents, et encore moins les monts proéminents qui tendent le tee-shirt.

Certains se figent sous son passage, fasciné, par tant de luxure, de beauté. Pour les initiés la soumise est identifiée, magnifique de surcroit, elle est convoitée.

Clémence le voit dans les regards.

Dans une petite rue passante, Clémence vient de repérer un petit bistrot avec tables sur le trottoir, la balade leur a donné soif et elle veut aussi s'amuser. Elle s'assoit face aux passant en invitant sa belle à s'installer à côté d'elle. Elle lui précise néanmoins de ne pas s'assoir sur sa jupe.

Ophélie marque un temps d'arrêt, mais obtempère soucieuse de ne pas irriter la grande et puis elle est heureuse de faire une pause après la balade particulièrement éprouvante.

« Il fait chaud ma chérie! » dit-elle en posant main sur la cuisse d'Ophélie, paume sur la jupe, doigts sur la jambe. « Tu veux boire quoi? »

« Un diabolo menthe s'il te plait » balbutie la prof.

« Chérie... ça veut dire quoi » se demande t'elle interrogative sur le sens que lui accorde la grande.

Clémence se penche à son oreille et lui susurre. « Reste bien droite, et garde tes mains sur la table, ta jupe ne va pas s'envoler... Et écarte les cuisses s'il te plait. »

Affolée par les conséquences, son corps et sa raison en bataille, honteuse de ce qu'elle s'apprête à faire, la mort dans l'âme et le cœur battant la chamade, elle écarte légèrement ses jambes.

Quatre jeunes sont sur le trottoir d'en face. Les deux garçons comptent leur argent pour savoir s'ils peuvent s'offrir une boisson, alors que les filles discutent ensemble. L'une d'elle, une petite rousse de dix-sept vingt ans, dont le regard est négligemment tourné vers Ophélie, observe celle-ci.

« Plus! » ordonne la grande.

Toujours honteuse, Ophélie ne réfléchit plus maintenant, une étreinte lui serre le bas du ventre l'intimant d'obéir.

Clémence a bien vu le groupe d'ados, aussi c'est avec joie qu'elle observe leur manège.

Aussitôt son ordre donné, la rousse a vu sous la table la main se rapprochant du string. De suite elle en a informé sa copine, et rapidement, le groupe regarde plus ou moins discrètement dans leur direction.

Pendant ce temps un serveur se présente devant les deux jeunes femmes, prend son temps pour débarrasser les verres vides et attend la commande. Les deux jeunes femmes sont très belles, cependant la poitrine de la brune attire immédiatement son regard. Il est sous le charme de ces seins lourds avec les tétons agressifs.

Ophélie a le visage écarlate. Son rythme cardiaque s'emballe avec les doigts de clémence qui ont découvert sa vulve et masse son bouton. Heureusement on ne peut pas voir son regard à travers ses lunettes fumées, par contre elle peut observer la concupiscence des ados et l'œil lubrique du serveur, ce qui n'est pas pour calmer ses sécrétions.

Les boissons avalées, elles ne restent pourtant pas plus longtemps. Clémence voulait juste se confirmer l'idée qu'Ophélie est une exhibitionniste refoulée. Elle en est certaine maintenant.

Toutes les deux se remettent donc en chemin, la grande heureuse et satisfaite, Ophélie tourneboulée, le souffle court.

Au détour d'une ruelle, Clémence aperçoit la boutique qu'elle avait sélectionné sur internet. Tatouage et piercing.

Elles rentrent ensemble et Clémence laisse Ophélie dans l'entrée pour discuter avec le responsable. Elle a prévu la pose de piercings. Elle prend rendez-vous et choisi les bijoux qu'elle veut voir sur sa protégée.

En sortant Clémence reste vague en annonçant qu'elle a vu de belles choses. Elles rentrent ensuite

8) Samedi matin.

Les filles viennent de se réveiller ce matin. Elles sont dans la chambre de la maitresse de maison.

Ouvrant les yeux la première, Clémence regarde sa belle comme si c'était la première fois qu'elle la voit. Elle redécouvre ce visage doux et serein qui lui fait penser à une madone. Par ailleurs elle est émue comme elle ne l'a jamais été, elle ne sait pas d'où lui vient cette admiration, presque une vénération pour ce corps, ce besoin de protéger mais aussi de garder pour elle seule cet écrin fragile.

Avec ses mains elle entoure la tête de sa belle brune, la caresse doucement en attendant qu'elle ouvre les yeux, puis l'embrasse passionnément et l'attire dans ses bras pour la câliner tendrement.

Ophélie a le meilleur réveil depuis longtemps, mais elle est déstabilisée lorsqu'elle ouvre les yeux. Elle s'aperçoit qu'elle est collée à une femme, Clémence, les bras entourant son corps. Elle retire automatique son bras et se tourne sur le dos.

Clémence n'est pas choquée. Certes elle est pressée de voir sa protégée devenir totalement sienne, mais elle sait aussi qu'il faut de temps en temps lâcher la bride, lui donner l'impression qu'elle a le choix pour mieux la faire revenir sur le chemin que la grande a tracé.

Elle se tourne donc vers Ophélie et prend possession de sa poitrine. Elle embrasse le sein droit, pressant doucement ses lèvres contre la chair tendre, traçant des cercles autour de son mamelon avec sa langue, le suçant alors qu'elle bichonne l'autre de sa main libre, le caresse, le malaxe, titille le téton dressé.

Ophélie aimerait dire qu'elle est indifférente, mais elle halète.

Clémence déplace ensuite sa bouche vers son autre sein se substituant à sa main qui glisse sur le ventre, entre les jambes, effleure la capuche du bourgeon et survole les lèvres.

Sa protégée est très excitée, ses lèvres sont engorgées et proéminentes, son clitoris déjà dur.

La grande rassemble alors l'humidité qui est autour de la vulve, remonte ses doigts le long du clitoris, la faisant gémir, puis appuie sur la capuche pour stimuler davantage son bouton d'amour.

Ophélie voudrait dire non, mais elle cesse de résister, emportée par une fulgurante sensation. Cette caresse lui fait perdre pied. Elle se laisse aller en arrière, s'allonge, se crispe, les mains agrippées aux draps, se tord de plaisir alors que les doigts de Clémence continuent leurs mouvements endiablés sur son sexe.

La grande sent alors le bassin d'Ophélie trembler, sa poitrine se soulever. Elle miaule ensuite et pousse ses hanches contre la main de Clémence lorsque celle-ci commence à faire entrer et sortir ses doigts. Elle gémit avec retenue, son corps tremble dès que les doigts trouvent son point G, le titille savamment et enfin jouit bruyamment avec la main qui la branle maintenant avec force.

Ophélie est enfermée dans un dilemme cornélien. Subir la foudre de la grande si elle se rebelle, résister au désir de son élève, pour en définitif se soumettre, ou faire fi de sa honte et laisser son corps dicter sa loi.

Elle croit encore avoir un choix, cependant avec une langue vorace dans la bouche, explorant chaque millimètre de son palais, haletante, elle n'est pas en mesure de se défiler, et se laisse donc faire.

Clémence ne se pose pas ce genre de questions. Ce qu'elle veut elle le prend. Heureuse, excitée, elle attrape le visage avec ses mains, embrasse brutalement Ophélie, enfonce sa langue dans sa bouche, rencontre la sienne et la fait tourbillonner voracement.

Toujours aussi pressée, elle s'extrait ensuite de la bouche accueillante et bondit rapidement hors du lit.

Hagarde, sans force, Ophélie reste immobile. Il lui faut plusieurs minutes pour sortir de sa torpeur, cependant lorsqu'elle parvient à reprendre ses esprits, elle écarquille les yeux de surprise ; Clémence vient de réapparaître dans toute sa férocité. Autour de sa taille, une ceinture en cuir l'enserre et, devant, un impressionnant dard se dresse dans toute sa puissance.

Le ventre de la prof se noue d'appréhension, avec en même temps une sourde chaleur qui l'irradie. Peur et excitation.

Ses yeux s'agrandissent de stupeur lorsque Clémence se positionne entre ses jambes. L'objet immense qu'elle braque vers son sexe l'inquiète autant qu'il la fascine.

"Tu me rends folle" souffle, Clémence pendant qu'elle s'aligne, trouve l'entrée de la chatte et commence à se frayer un chemin.

Ophélie halète lorsque la tête passe.

Petit à petit, la grande enfonce son dard, s'arrêtant lorsqu'elle sent une résistance, se recule et pousse à nouveau. Elle se glisse lentement en elle, centimètre par centimètre jusqu'à ce que la totalité soit à l'intérieur d'elle.

Ophélie cesse de respirer, concentrée sur le sexe en latex qui se fraie un passage dans son intimité. Elle se fige, repoussant la vague de chaleur. Non, elle n'aura pas de plaisir. Elle ne cédera plus à ses pulsions coupables, gardant le contrôle sur tout son corps. « Je ne lui donnerais plus cette satisfaction » se convainc-t-elle.

Mais c'est sans compter la détermination de la grande.

Elle s'est retirée presque complètement du vagin accueillant, puis est revenue profondément. Impitoyable, Clémence s'acharne ensuite entre les jambes largement écartées, de plus en plus vite, essayant de soutenir le rythme de sa protégée qui agite maintenant les reins de façon frénétique. Vaincue, le désir l'emporte, lubrifiant les parois, relâchant les muscles du vagin, ce qui permet à Clémence, de s'enfoncer encore plus profondément.

Et puis la frénésie de l'instant, le besoin d'une étreinte plus forte, la luxure dévorante, poussent Ophélie à se lâcher définitivement. Elle enroule ses jambes autour de Clémence, serre ses chevilles derrière ses fesses et de surplus, au comble du ravissement de Clémence, l'enlace urgemment, passionnément.

Ce retournement de situation, cette tendresse soudaine, émeuvent la grande. Un peu surprise, mais profondément heureuse, elle s'affaisse sur sa belle, accroche ses mains aux épaules et l'inonde de bisous alors qu'elle se tient au fond d'elle.

« mmmmmmmm » gémit Ophélie alors qu'elle presse ses parois intérieures, roule les hanches tout en caressant tendrement le dos qui la couvre.

Clémence savait qu'elle aiguillonnait son point G aussi, sensible à son besoin et non moins touchée par les câlineries, les douces mains qui la font frissonner, elle se tient en place et laisse sa belle se stimuler.